Le lendemain, vers 11h, Marine reçu un coup de fil de Laura. Elle me raconta après que, finalement, le mari de Laura avait quelque chose de prévu en début d’après-midi, et qu’il ne pourrait pas garder Chloé tout de suite, mais qu’elle viendrait un peu plus tard quand même. Marine hésita à aller faire les boutiques toute seule mais Laura l’encouragea à y aller, comme ça elle pourrait voir ses achats quand elle viendrait en fin d’après-midi. Vers 14h, Marine partit donc en ville pour son shopping me laissant seul à la maison.
Il faisait vraiment beau et chaud, et je m’étais mis à l’aise, portant uniquement un short de bain. Je m’installai dans le jardin pour lire, mais au bout de 20 minutes on sonna à la porte d’entrée. Je m’approchai et jetai un coup d’il par la fenêtre ; après tout, je n’étais pas chez moi et ça aurait peut être surpris des amis des beaux-parents de me voir ouvrir torse nu. Je reconnus immédiatement la jolie silhouette de Laura et me précipitai pour ouvrir et la faire entrer.
Moi : Bonjour Laura. Tu viens tôt finalement ; c’est dommage Marine est partie y a moins d’une demi-heure…
Laura : Oui, finalement on a pu s’arranger avec Marc et il garde Chloé.
Moi : Ok. Tu veux appeler Marine ? Vous pourriez vous rejoindre et faire les boutiques comme prévu.
Laura : Non, je vais pas la déranger maintenant. Tant pis on remettra ça une prochaine fois. Et puis il fait tellement chaud aujourd’hui que ça n’aurait pas été si agréable que ça.
Je faillis lui répondre que tous les magasins étaient climatisés mais après tout, elle était assez grande pour savoir ce qu’elle voulait. Je lui propose de s’installer dans le jardin et vais chercher à boire. Quand je reviens elle s’est allongée sur un des transats. Cette fille est vraiment magnifique. Elle porte une jupe noire qui lui arrive à mi-cuisse et un débardeur turquoise qui laisse apparaître le haut de sa jolie poitrine. Elle me remercie en prenant le verre que je lui tends avec le sourire, et je m’installe à mon tour sur le transat à côté d’elle.
Nous bavardons un peu et, après quelques minutes, elle annonce qu’avec ce temps, elle va en profiter pour bronzer un peu. La voilà qui retire ses sandalettes, sa jupe et son débardeur, dévoilant un bikini coloré. Elle sort ses lunettes de soleil de son sac et s’installe confortablement sur le transat. De mon côté, je reprends le livre que j’avais laissé pour lui ouvrir et continue ma lecture. Autant vous dire que je n’avance pas beaucoup : je ne peux m’empêcher de jeter de petits coups d’il sur le côté, régulièrement. Avec ses lunettes de soleil, je ne sais pas trop si elle regarde vers moi ou non, mais c’est trop tentant. Je contemple ses jolies formes et ses longues jambes dénudées, un vrai régal pour les yeux. De temps en temps, elle déplace les bretelles du haut de son bikini, les faisant plus ou moins descendre sur ses épaules et le haut de ses bras, sûrement pour éviter des traces de bronzage.
Dans ma tête tout se bouscule, j’ai cette magnifique créature à mes côtés mais je ne peux trop rien faire malgré mon envie. Plusieurs minutes passent sans que nous néchangions un mot, et Laura finit par se retourner sur le ventre. Elle tourne la tête vers moi et semble me regarder mais ne dit rien pendant quelques instants, semblant hésiter un peu.
Laura : Ça te dérange si j’enlève mon haut… ? C’est rare de pouvoir bronzer ainsi sans avoir plein de monde autour de soi… J’aurais moins de marques de bronzage pour une fois.
J’ai cru mal entendre et j’ai dû faire une telle tête qu’elle se mit à sourire.
Moi : Heu… non fait comme tu veux… ça ne me dérange pas.
J’imagine déjà ses gros seins nus sous mes yeux, je dois rêver ! En fait, elle dégrafe simplement son soutien-gorge, restant allongée sur le ventre et retirant les deux bretelles de ses bras. En jetant toujours des petits coups d’il vers elle le plus discrètement possible, je remarque qu’on peut voir un peu la courbure du côté de sa poitrine, aplatie contre le transat. C’est bien loin de ce que j’imaginais, mais c’est déjà quelque chose. Quelques minutes passent à nouveau. Il faut que je trouve un moyen d’en voir plus, c’est une occasion unique. Je pourrais proposer d’aller se rafraîchir dans la piscine, mais elle remettrait sûrement son haut. Peut-être que son petit manège est en fait une invitation, mais je ne peux pas lui sauter dessus comme ça : si je me trompe ça risque de faire beaucoup de tort à mon couple. Il me vient finalement une idée qui me satisfait, le coup de la crème solaire ! C’est une bonne occasion de me rapprocher et, si elle le prend mal, mon intention peut paraître louable.
Je me lève donc et attrape un tube de crème solaire qui n’était pas très loin, car on en a régulièrement besoin quand on profite du soleil dans le jardin. Je m’approche de Laura qui n’a pas bougé :
Moi : Tu devrais mettre un peu de crème solaire, sinon au lieu d’être bronzée tu vas finir comme une écrevisse.
Ne lui laissant pas trop le temps de répondre, je continue, venant juste à ses côtés.
Moi : Tu veux que je t’en étale sur le dos ?
Après un bref instant de réflexion, elle finit par me dire oui.
Je massois sur le bord de son transat et commence à étaler de la crème sur son dos. Je m’applique, insistant longuement pour profiter le plus possible de ce moment et de sa peau douce. Elle déplace ses bras pour poser sa tête sur ses mains. Mon étalage de crème se transforme de plus en plus en massage et elle semble apprécier. Je lui masse les épaules et la nuque, avant de repartir sur toute la longueur de son dos. Puis je remonte en passant mes mains sur ses hanches, longeant ses côtes délicatement, jusqu’à venir effleurer le côté de sa poitrine. Je n’insiste pas dans un premier temps et recommence plusieurs fois la manuvre, sans observer de réaction négative de la part de Laura. Elle semble profiter également du moment, me laissant faire malgré mes caresses de plus en plus éloignées de l’objectif initial. Mes mains glissent avec douceur sur sa peau, alors que je reviens régulièrement sur les côtés, venant caresser du bout des doigts les côtés de sa belle poitrine pressée contre le transat. Je profite de la situation, cherchant la limite. Après tout, elle me laisse faire alors qu’elle pourrait me repousser ou au moins faire une remarque sur le fait que je dépasse les bornes. Plus le temps passe et plus mes doigts remontent, jusqu’à caresser franchement les côtés de ses seins dont j’apprécie la rondeur et la douceur. Je suis de plus en plus excité par la situation et cela me fait perdre la notion du risque : il faut que je tente d’en avoir plus. Au pire tout s’arrête et j’en aurais bien profité.
Je la fixe, continuant mes caresses, mais cette fois-ci, mes mains glissent nettement plus loin sur les côtés, mes doigts touchant son bas-ventre, puis son ventre, arrivant à la base de ses seins, venant les empaumer. Ca y est ! J’ai les seins de Laura dans mes mains, du moins une partie. Je sens ses tétons qui me semblent avoir durcis sous mes doigts. Elle frissonne et se mordille les lèvres. Sans doute est-elle aussi prise de doute entre le plaisir et ce sentiment de faire quelque chose d’interdit. Je profite de son incertitude pour caresser ses seins, me penchant sur elle et venant murmurer à son oreille :
Moi : "Mmm tu es tellement belle Laura… Tu ne peux pas savoir depuis combien de temps je rêve de pouvoir te caresser ainsi…"
Elle ne répond pas, mais elle ne m’a toujours pas repoussé. Je continue de caresser ses seins, déposant quelques baisers sur son épaule. Finalement, je me lance et la fait se retourner vers moi, pour qu’elle soit sur le dos et que je puisse enfin contempler l’objet de ma convoitise. Elle est tendue, mais se laisse relativement faire. Je la regarde ainsi étendue à mes côtés ; la forme de sa poitrine est bien ronde, tombant légèrement sur les côtés dans cette position. Je n’hésite pas et reviens déposer mes mains sur ses seins, jouant avec, sans retenue à présent, les faisant bouger dans tous les sens. Sa poitrine est vraiment parfaite, pas trop ferme, ce qui permet de bien la faire bouger, sans pour autant qu’elle soit vraiment molle. J’adore et ne cache pas mon plaisir. De son côté je sens qu’elle est excitée également, ses tétons ayant complètement durcis à présent.
Cette situation me rassure : elle est très passive, et si elle décide d’arrêter, elle sera fautive de m’avoir laissé faire aussi longtemps. Je m’enhardis et me penche sur elle venant déposer des baisers sur le haut de sa poitrine, puis je commence à embrasser ses seins l’un après l’autre, ses jolis tétons tout durs, puis je les prends carrément en bouche, les suçant et les mordillant doucement. Laura laisse échapper un petit soupir retenu, elle semble être assez sensible de la poitrine et cela me ravit. Je reprends mes baisers sur sa poitrine, remontant vers son cou, sa gorge, déposant un baiser au coin de ses lèvres. Elle ne se dérobe pas et je finis par l’embrasser, d’abord très délicatement, puis avec plus de passion. Elle répond à mon baiser et nos langues se rejoignent, se frottant l’une contre l’autre dans un ballet sensuel.
Quand enfin nous cessons ce long baiser, elle murmure :
Laura : On ne devrait pas…
Je n’allais pas laisser passer cette chance avec Laura, et tentai d’être le plus convainquant possible.
Moi : Ne t’en fait pas, laisse toi faire…
Je l’embrasse à nouveau sans lui laisser dire un mot et me laisse glisser le long de son corps, profitant à nouveau de sa belle poitrine sans m’attarder, embrassant son ventre plat, descendant progressivement. Il ne faut pas que je la laisse trop réfléchir et que son plaisir la fasse craquer. S’il y a une chose que ma femme apprécie par-dessus tout, c’est mes cunnilingus. Si j’arrive à m’occuper de la petite chatte de Laura, je suis sûr que ses dernières barrières céderont. Je couvre son bas-ventre de baisers, caressant ses cuisses avec douceur. Je suis un peu mal installé au bord de la chaise longue et vient me placer entre ses jambes. Je dépose des baisers par-dessus son bas de bikini, continuant de la caresser. Elle se tortille un peu et mordille ses lèvres sensuellement, ce qui la rend encore plus craquante…
C’est l’instant de vérité, j’attrape les nuds qui tiennent son bas et les défais délicatement, puis je retire ce fin tissu qui la couvre encore légèrement. Je découvre une fine toison blonde bien taillée ainsi que son intimité. Je glisse ma tête entre ses cuisses, déposant des baisers sur lune delles, ce qui la fait frissonner. Je tourne un moment autour de son sexe, couvrant son bas-ventre et son entrejambe de baisers avant de finalement coller mes lèvres sur son intimité. Je glisse ma langue délicatement entre ses lèvres intimes, la faisant sursauter légèrement. Je donne plusieurs coups de langue, évitant pour l’instant de trop taquiner son clitoris, commençant à ressentir l’excitation de ma partenaire au bout de ma langue. Mes mains caressent ses cuisses, son ventre, remontant par moment sur les côtés pour venir effleurer sa poitrine. Laura semble céder au désir et ne repousse aucune de mes manuvres. Je suis aux anges et me délecte de son jus, glissant ma langue de plus en plus loin en elle. Finalement, je calme mes coups de langue pour venir jouer avec son clitoris. Elle se cambre quand je commence à l’embrasser et à faire rouler ma langue tout autour. Elle semble apprécier et je continue de plus belle. Mes coups de langue se font plus précis, taquinant et agaçant ce petit bouton alors que je sens la respiration de Laura s’accélérer. Je glisse un de mes doigts en elle, découvrant la chaleur de son vagin et ressentant l’humidité de plus en plus présente. Je m’applique à faire monter son plaisir progressivement, essayant de la garder à la limite de la jouissance le plus longtemps possible. Ma langue ne cesse de s’agiter sur son clitoris et, quand enfin je la sens trembler de plaisir, je me décide à la faire succomber. J’accélère le mouvement de mon doigt dans son vagin alors que ma langue s’agite le plus vite possible sur son petit bouton. Elle se cambre d’un coup, ses fesses se décollant du transat, tout son corps semblant pris de tremblements. Sa respiration se coupe l’espace de quelques secondes puis elle laisse échapper un long gémissement de plaisir. Pendant toute sa jouissance, je continue de lécher son intimité avec fougue afin de prolonger son plaisir. Mes mouvements ralentissent enfin et elle se calme peu à peu, reprenant son souffle.
Je la regarde ainsi quelques instants, étendue sur le dos, encore retournée par le plaisir qu’elle vient de ressentir. Je souris, satisfait de l’avoir menée à un tel plaisir. Mais je ne compte pas m’arrêter là, et j’espère bien avoir moi aussi ma part de plaisir cet après-midi. Avant que sa lucidité ne revienne totalement, je quitte mon short de bain, dévoilant mon sexe dressé et vient me placer à cheval sur elle. Je glisse mon sexe entre ses seins que je presse l’un contre l’autre de mes mains. Quelle douceur ! Je m’agite lentement, profitant de l’instant. Elle me regarde, puis son regard se baisse vers sa poitrine et mon membre, dont le gland dépasse à chaque mouvement. Après le plaisir que je viens de lui offrir, je mérite bien ça et elle ne m’empêche pas d’en profiter. Je la fais remplacer mes mains sur ses seins, et c’est à présent elle qui m’enserre dans sa douce poitrine. J’en profite et mon sexe est à présent bien dressé. Mon désir se fait de plus en plus fort et je ne peux m’empêcher de donner des coups de bassin de plus en plus marqués, faisant approcher mon gland de plus en plus vers son visage. Elle me regarde et comprend le message, finissant par entrouvrir ses lèvres. Je n’attendais que ça et m’avance un peu plus, quittant sa poitrine pour déposer mon gland à l’entrée de sa bouche. Je la laisse faire, poussant un soupir de satisfaction quand je ressens ses lèvres glisser sur mon gland puis sur ma hampe, alors que je vois le bout de mon sexe disparaître dans sa bouche. Elle taquine mon gland de sa langue, l’humidifiant bien de sa salive, et commence un petit va-et-vient, la position ne l’aidant pas à faire beaucoup plus. Je place une main à l’arrière de sa tête et lui imprime le rythme, soupirant de plaisir. La voir me faire cette fellation m’excite beaucoup et mes yeux ne quittent pas sa jolie bouche qui enserre délicieusement mon sexe. La position n’est cependant pas des plus stables et je finis par me reculer.
Je plonge mon regard dans ses beaux yeux bleus alors que je m’allonge sur elle, venant l’embrasser avec fougue. Elle passe ses mains à l’arrière de ma nuque et fait durer le baiser. Je ne cesse de la caresser et mes mains retrouvent vite une place sur sa poitrine généreuse dont je ne me lasse pas. Nos corps se frottent l’un contre l’autre et je finis entre ses cuisses, mon sexe dressé glissant sur le sien alors que nous ne cessons de nous embrasser. Je suis excité comme jamais et, quand mon gland finit par se retrouver à l’entrée de son vagin, je marque une petite pause, continuant de la caresser et de l’embrasser, le temps de me calmer quelque peu. Finalement je commence à entrer en elle très lentement, sentant son intimité s’ouvrir et son vagin m’accueillir. Mon gland se glisse dans son délicieux fourreau qui m’enserre délicatement et dont la chaleur entoure mon membre dressé. La pénétration est lente mais elle nous arrache à tous deux un long soupir de plaisir et de satisfaction. Je fais de lents va-et-vient, poussant de plus en plus progressivement, jusqu’à me retrouver entièrement en elle, mon bas-ventre collé au sien. Ça y est, je possède enfin Laura, l’objet de tous mes fantasmes. Jamais je n’aurais cru que cela puisse arriver un jour. Je reste ainsi au fond de son vagin pendant plusieurs secondes, profitant de cet instant si intense. De toute façon je suis tellement excité par la situation qu’il vaut mieux que je ne m’agite pas trop pour l’instant.
Quand enfin je reprends possession de mes moyens, je commence à m’agiter en elle, ressortant presque entièrement de son vagin avant de me glisser à nouveau bien en elle. Elle semble très excitée par la situation et les mouvements se font facilement tellement son antre est glissant de cyprine. Peu à peu, mes mouvements s’accélèrent et la pénétration devient plus vigoureuse, lui arrachant des soupirs et des petits gémissements réguliers. Mes mains ne restent pas inactives et je ne cesse de caresser ses hanches et les côtés de ses seins que je sens bien pressés contre mon torse. Mon plaisir monte rapidement mais je parviens à me contenir assez bien, prolongeant ce moment le plus possible. Après plusieurs minutes intenses, une petite pause me ferait le plus grand bien, et je me décide à changer de position. Laura semble prendre bien du plaisir et rien ne laisse penser qu’elle pourrait changer d’avis maintenant et tout arrêter.
Je me retire et vient changer de place avec elle, m’installant sur le dos, alors qu’elle se place à cheval au-dessus de moi. J’aime cette position, me permettant d’admirer les magnifiques courbes de Laura ainsi que mon sexe qu’elle dirige à présent vers son intimité. Mmmm la voilà qui se laisse glisser sur mon sexe bien dressé, que je vois disparaître en elle. Elle commence à faire onduler son bassin et à me chevaucher, gérant le rythme de la pénétration. Je la laisse faire, mes mains caressant ses hanches avant de venir soupeser sa belle poitrine qui s’agite en rythme au-dessus de moi. Quelle est belle ! Je titille ses tétons durcis par l’excitation, mon regard ne quittant pas ses seins qui bougent sans cesse. Je me redresse pour venir embrasser ses seins et les lécher alors que Laura continue de s’agiter sur moi. Son rythme s’accélère et elle se laisse tomber de plus en plus sur moi, rendant la pénétration très profonde. Des frissons me traversent alors que je sens mon sexe tendu à maximum entièrement au fond de son vagin.
Sa respiration se fait plus rapide et je reprends ma position allongée, donnant des petits coups de bassin pour accentuer la pénétration et l’aider dans ses mouvements. Je regarde mon sexe aller et venir en elle quand je me rends compte que, vu la façon dont nous en sommes arrivés là, nous n’avons pas mis de préservatif. Je n’ai aucun doute sur Laura, mais il me revient la discussion qu’elle a eue avec Marine la vieille, ainsi que quelques confidences que Marine n’a pu s’empêcher de me raconter : Laura a arrêté de prendre la pilule depuis plusieurs mois et elle essaye d’avoir son deuxième enfant rapidement pour ne pas avoir une grande différence dâge avec Chloé. Aux dernières nouvelles, ça n’avait pas marché…
Laura continue de me chevaucher de plus en plus vite, poussant des soupirs de plus en plus réguliers et forts, ses seins s’agitent sans cesse devant moi, mon sexe va et vient en elle toujours aussi profondément, et cette pensée qu’elle se livre à moi sans la moindre protection me rend fou d’excitation. Impossible de me retenir d’avantage dans ces conditions.
Je tente de la prévenir :
Moi : Laura ! Je vais… mmMMMHannnnnn
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que je sens mon sexe se tendre et être pris de spasmes. Une première giclée de sperme vient de se répandre au fond de son vagin, rapidement suivie par trois ou quatre autres alors que je pousse un long râle de plaisir. Mon orgasme semble déclencher le sien et je sens son vagin se contracter sur mon membre alors qu’elle pousse un gémissement aiguë, semblant à son tour traversée par un puissant orgasme, tout son corps se crispant alors qu’elle tente de continuer ses mouvements pour prolonger notre plaisir si intense. Je donne des coups de bassin pour l’aider, ne réfléchissant pas aux conséquences : seul le plaisir compte, et celui que je suis en train de vivre est incroyable. Son vagin est brûlant et me serre fortement, semblant chercher à m’aspirer totalement.
Après quelques instants, nous finissons par ralentir le rythme, le souffle court. Elle se laisse tomber sur moi et je la serre dans mes bras, reprenant notre respiration. Je continue de sentir son vagin pris de petites contractions régulières contre mon sexe qui est toujours planté en elle. Je viens de jouir en elle abondamment et nous restons longuement l’un contre l’autre, son vagin rempli de ma semence. Je n’ai jamais ressenti un tel plaisir et une telle plénitude après l’acte et elle semble, elle aussi, toute retournée par ce que nous venons de vivre.
Elle finit par déposer délicatement un baiser sur mes lèvres avant de se redresser. Elle se relève lentement, me faisant ressortir de son intimité, de laquelle commence à s’écouler ma semence blanche. Elle met sa main sur sa fente pour retenir le liquide et se dirige vers la maison. Elle revient quelques minutes plus tard et remet son bikini.
Laura : Tu devrais te rhabiller un peu aussi. Marine ne va peut-être pas tarder à revenir…
Elle avait complètement raison : je n’avais aucune idée du temps qu’on avait passé et de l’heure qu’il était. Je rentre faire un brin de toilette et remettre mon short de bain. Quand je ressors, Laura est allongée sur le transat comme si de rien n’était. Elle me regarde :
Laura : Ne parle jamais de ce qui s’est passé cet après-midi. Tu es marié et moi aussi, on ne va pas tout foutre en l’air pour ça. D’accord ?
Je la regarde et finis par hocher la tête. Décidément, cette fille sait ce qu’elle veut…
Quelques mois plus tard, Marine m’apprend que Laura est enceinte. Elle est ravie pour sa cousine, et moi je repense à ce moment inoubliable passé avec la jolie Laura.