Elodie1
Je mappelle Marc et jai presque cinquante et un ans. Je suis marié à Maria. Nous avons deux filles. La plus jeune, Aurélie a dix-huit ans et vient de réussir son bac. Sa grande sur Elodie à vingt deux ans, sans emploi à part un petit job cet été.
Maria et moi navons pas obtenu nos congés en même temps et elle a décidé de rejoindre sa famille au bord de la mer. Aurélie sennuie à la maison, tous ses amis sont partis et préfère accompagner mon épouse et retrouver sa cousine. Je vais les accompagner au train en ce treize juillet.
De retour à la maison, la chaleur est si étouffante que je prends une douche pour me rafraîchir.
Quand je reviens dans le salon, Elodie est rentrée de son travail. Elle fume une cigarette tout en tapotant sur son téléphone portable. Nous mangeons simplement sur la terrasse et la fraîcheur du soir fait du bien. Nous allons nous coucher et peu de temps après un orage éclate. Dans un demi-sommeil, je me lève et ferme les fenêtres pour éviter toute surprise. Je retourne me coucher et là, lorage devient extrêmement violent.
De la fenêtre, à moitié endormi, je regarde les éclairs qui illuminent le ciel. Puis retourne me coucher. Cest alors quElodie entrouvre la porte et me déclare quelle a peur de lorage. Elle porte une chemise de nuit rose en coton très courte qui dévoile sa culotte fleurie en coton également. Jouvre le drap et elle sallonge près de moi. Jéteins la lampe de chevet et elle se blottit contre moi. Je la tiens par épaules et lui fait un câlin protecteur. Elle pose une main sur mon torse et le caresse. A chaque claquement, elle trésaille et je la serre plus contre moi. Ma main a glissé et entre en contact avec la fermeté de son sein. Spontanément je la retire pour la remettre sur son épaule. Et je mendors.
Le quatorze juillet étant férié, je peux dormir plus que dordinaire. Toutefois, je suis réveillé par une odeur agréable. Elodie sest levée pour me préparer un plateau de café.
Le soleil est levé et éclaire ses longs cheveux noirs. Elle sassoit sur le bord du lit et une bandaison matinale déforme le drap. Elle regarde la bosse en souriant puis moffre une tasse. Je me redresse et tout en sirotant, je remarque sa poitrine et ses tétons dressés qui déforme sa chemise de nuit. Je reprends conscience et écarte mon regard. Elle pose sa tasse sappuie sur le lit et se penche pour me faire une bise. Ce faisant son coude entre en contact avec ma verge tendue. Ca na pas duré une seconde mais je me sens gêné.
Elle ne fait aucun commentaire et reprend le plateau pour redescendre dans la cuisine. Jattends de longues minutes que mon érection se calme et ly rejoins.
Nous prenons le petit déjeuner puis après sêtre lavée elle mabandonne pour rejoindre sa copine Sandrine. Je reste seul à la maison. Il fait trop chaud pour travailler à lextérieur aussi je fais un peu de ménage et massoupis sur un livre.
Le téléphone sonne. Cest Maria qui mannonce quelles vont aller rejoindre ma belle-sur à la plage et resteront pour le feu dartifice qui sera tiré sur leau.
La chaude journée passe et je prends une douche et me change pour un short plus léger et une chemisette que je laisse ouverte.
Plus tard, Elodie revient et elle aussi a eu chaud son tee-shirt est trempé de transpiration. Elle passe par la salle de bain et revient habillée dune jupette en jean et un débardeur très échancré. Je peux voir son soutien gorge en voile noir avec un joli liseré rouge qui orne les coutures. Le tissu est bien rempli par sa poitrine, plus généreuse que celle de mon épouse.
Je détourne le regard pudiquement. Mais chacun de ses mouvements dévoile une partie de ses cônes. Le temps passe. Elle sest allongée sur le canapé et regarde une chaîne musicale à la télévision. Elle sagite au rythme de la musique et je peux distinguer très nettement ses fesses séparées par un string noir bordé de rouge également. Je prends un livre pour occulter cette vue, mais mon regard se plonge irrémédiablement entre ses cuisses. Elle se relève brusquement et va chercher à boire dans le frigo. Elle a choisi un cola et me tend une bière. Nous trinquons et son regard vert pétillant me sonde. Je me sens tout timide et impressionné. Je dois rougir.
Elle déclare soudainement :
« Jai un peu dherbe, ça te tente un petit joint ? »
« Euh, tu sais chérie, ça fait très longtemps que je ny touche plus »
« Aller, mon papou, décontracte-toi ! ».
Elle est penchée et saffaire sur la table basse du salon alors que je matte son décolleté. Son uvre terminée, elle moffre son cône pour lallumer. Je tire et manque de métrangler, je tousse, mais en reprends. Je le lui tends et on se le passe mutuellement, jusquà la fin. Livresse monte progressivement et je me mets à rire bêtement, puis maffale sur mon dossier. On se regarde, on boit et on rigole. Jai envie dune cigarette. On ne se parle plus mais nous nous observons au travers de la fumée.
Pétillante, elle me dit :
« On se commande une pizza ? »
Je redescends sur terre et passe la commande. Elle roule un autre joint, pour tout à lheure dit-elle.
Le livreur arrive et flashe sur ma fille, je le fusille du regard et le repousse gentiment dehors. Je referme la porte alors quElodie est déjà en train de découper des parts fort penchée en avant. Le fait-elle volontairement ?
Là, japerçois un bout de ses tétons et de ses auréoles à travers le voile de son soutien gorge. Et je contemple, envieux, tenté !
Elle me fait asseoir près delle et porte à ma bouche une part que je croque. Elle me fixe dans les yeux et pour ne pas rester en reste, je saisis une part de pizza et lui mets à la bouche. On se regarde, tout en essayant de bien offrir à lautre.
On sourie, on pouffe, mais on ne se quitte pas des yeux. Elle a un regard ensorceleur !
On boit un peu et on recommence notre manège. Jai les doigts pleins de sauce tomate et cherche une serviette, mais elle me saisit le poignet pour me lécher avec application. Elle enfourne mes doigts dans sa bouche et je sens sa langue dardée sur mes phalanges. Jai un frisson qui me parcourt, surtout dans le slip. Elle prend plaisir à me sucer et me regarde avec un regard brûlant.
Elle me tend une serviette pour messuyer sa salive et propose que lon aille dans sa chambre pour regarder le feu dartifice. Je suis troublé et range un peu la table avant de la rejoindre. Elle sest appuyée avec les coudes écartés sur le garde-fou et je suis obligé de me mettre derrière elle, par manque de place.
Je prends appui sur les montants de la fenêtre et on attend que le feu commence. Mon sexe entre en contact avec une fesse, je me recule instinctivement mais des picotis envahissent mon bas ventre. Elle a allumé son joint et rejette la fumée, puis me le tend en se tournant vers moi. Ce faisant, son bassin entre franchement en contact avec mon pubis. Elle ne se recule pas et moi non plus, par contre je sens une bandaison arriver rapidement. Je me recule un peu pour téter le pétard et lui tends en me penchant en avant. Nouveau contact, elle a senti ma dureté et quand elle me tend le joint à nouveau, elle sarrange pour bien sappuyer contre mon sexe. Cest interdit, mais cest sublime comme sensation. La fois daprès, cest moi qui mappuie franchement sur elle.
Elle roule les fesses et je plie les genoux pour bien sentir sa raie. Elle va de gauche à droite et moi de haut en bas.
Nous soupirons tous les deux et jai glissé mes bras sous son débardeur pour lui peloter les seins.
« Hum papa, cest agréable ! »
On reste de longues minutes à se frotter lun contre lautre et malheureusement le téléphone sonne. Je redescends dun étage, décroche. Cest Maria qui mappelle de la plage pour me dire combien est beau le feu quelle regarde.
Je bande comme un âne en remontant vers la chambre de ma fille, tout en lui parlant, un peu essoufflé.
Et là, dans la pénombre, japerçois Elodie qui a quitté sa jupe et qui est maintenant perchée sur des talons aiguilles. Elle a dût se dépêcher, je ne lai pas quittée plus dune minute.
Je réajuste son string mal positionné et quand mon doigt effleure sa fesse, elle a un frisson.
Je lui passe le combiné et me recolle à elle. Je lui dégrafe son soutien-gorge et accède à ses seins si fermes et si doux. Elle converse avec sa mère naturellement tout en roulant ses fesses sur mon pénis. Je glisse ma main sur le triangle de son string et il ne mest pas difficile daccéder à sa chatte trempée. Elle raccroche, me tend lappareil, que je jette sur son lit et reprends mes caresses sur son corps brûlant.
Elle glisse sa main et se saisit de mon engin pour le malaxer.
« Ho ! Papa tu es si dur ! »
Elle me palpe sur toute la longueur.
Sans se retourner, elle essaie de baisser mon short pour me libérer et cest moi qui finis par le faire. Jen profite pour lui enlever sa culotte qui se coince un peu dans les talons et vite je reprends ma place derrière elle.
Le feu dartifice commence.
Je fais glisser ma paume de main sur son sein droit et de lautre main, jeffleure son clitoris. Elle à la chatte totalement épilée et la sensation est bizarre sous mes doigts.
Elle soupire et elle reprend mon sexe pour le frotter sur son anus. Tout en me maintenant, elle bouge du bassin pour percuter mon bout avec son petit trou. Je pousse un peu pour la pénétrer mais ce nest pas ce quelle veut. Elle glisse ma queue entre ses cuisses et se frotte le sexe sur mon mandrin. Elle me comprime très fort avec ses cuisses serrées. Je suis aux anges. Laccès de sa chatte étant rendu difficile, jai glissé ma deuxième main sous son débardeur pour lui pinçoter les tétons. Par ses mouvements lents de bassin mon gland finit par se retrouver à lentrée de son vagin. Elle ondule du bas ventre jusquà sempaler dessus, sans aucune aide.
Elle se perfore à fond en geignant de plaisir, puis me laisse prendre linitiative.
Par de longs et lents vas et viens, je suis en train de lui faire lamour devant la fenêtre, on peut être vus mais ça nous excite.
Ca pétarade dans le ciel et des gens sexclament dans la rue en contrebas de notre maison.
Moi je suis dans le fourreau de ma fille et elle se pince les lèvres alors que jaugmente la cadence. Je lui tiens les hanches et y vais franchement maintenant. Elle se crispe et jouit en silence, et moi rapidement, jéjacule en elle une grosse quantité de semence en plusieurs jets.
Cest le bouquet final et je me suis appuyé la tête sur son dos tout en continuant à glisser en elle lentement. Dans la rue, les gens applaudissent et ça nous fait rire, même si ce nétait pas pour nous. Elodie se relève et je laide en la tenant par les seins. Elle tourne la tête, et dit :
« Cétait génial papa ! Je peux tembrasser ? »
Sans attendre ma réponse, elle sest dégagée et sest retournée. Elle me tient la nuque et approche ses lèvres. Nos bouches entrent en contact et sa langue vient chercher la mienne pour un ballet sensuel. Je la serre contre moi et notre baiser est extrêmement passionné.
Elle se décolle et me susurre à loreille sur un ton presque autoritaire:
« Ce soir, je dors encore dans ton lit ! Va me chercher une serviette, ton jus coule partout ! »
Sacrée fille !