Je suis président d?une grande société financière. J?ai la cinquantaine, je suis légèrement ventru et un tantinet chauve. Je gère des centaines d?employés et je peux faire ou défaire les carrières selon ma volonté. Les promotions comme les démotions se décident uniquement dans mon bureau. Je suis incontestablement le souverain de cette société.
Quatre-vingt pour cent de mon personnel est féminin. Ce n?est pas par hasard. Elles doivent êtres belles et bien proportionnées. Une fois par semaine, l?une d?entre elle est promue, soit par le salaire, soit par le titre, soit par l?allègement de ses fonctions. Ce qui me permet de les revoir dans mon bureau en moyenne cinq fois chacune. Chaque promotion est échangeable contre une faveur sexuelle. Je les regarde, je les touche, je les lèche mais jamais je ne les enfile. Il ne conviendrait pas de risquer le moindre procès pour paternité. Je me contente de leur éjaculer dans la bouche, sur les mains ou, ce qui me plaît le plus: sur leurs vêtements. Je suis un salaud!
J?ai toujours pensé qu?il fallait payer cher pour savourer le plaisir de la perversité. Ainsi, après chaque promotion je prends rendez-vous avec la mystérieuse Mistress Barbarelle. Cela me coûte trois cents euros l?heure et je m?en trouve incroyablement satisfait. Je n?ai jamais vu le visage de Mistress Barbarelle. Dès que je m?introduis dans ce que son valet nomme ’la Salle des machines’, elle est déjà cagoulée et sanglée dans une sorte de combinaison de latex violette qui me laisse tout à fait présumer de ses formes abondantes. C?est une grande et forte femme, admirablement bien en chair et qui, malgré cela, possède une voix douce et chantante. Mistress Barbarelle me fait toujours mettre à genou, face contre le mur en m?exhortant à l?obéissance. Elle a une longue verge qu?elle promène dans mon dos en me grondant d?avoir encore souillé une jeune fille. La première partie de ma punition consiste a lui raconter ce que j?ai fait.
-’Je ne lui voulait pas de mal, Mistress Barbarelle, je vous le jure. Elle avait besoin de gagner un peu plus et elle était si jolie dans ce petit tailleur ajusté. Je voulais m?assurer qu?elle mangeait à sa faim, la pauvre, alors je l?ai fait asseoir sur moi. Je l?ai d?abord questionné sur ses besoins financiers et la conversation a dévié au rythme des investigations que mes mains commettaient sous son tailleur. J?ai détaché les boutons de sa veste puis ceux de sa blouse. Son ventre était doux comme du satin. Son délicat nombril frisonnait chaque fois que mon index s?y enfonçait tandis que je faisais mine de relever sa jupe de ma main libre.
Comme ses protestations étaient à peine murmurées, j?en ai conclu qu?elle aimait cela la petite garce aussi j?ai caressé ses seins par dessus son corsage. Quand j?ai senti les pointes se durcir sous la dentelle, j?ai bandé. (C?est toujours à ce moment là que Mistress Barbarelle me cingle de sa verge pour la première fois, un grand et solide coup sur le cul dont la douleur aïgue me fait dresser la queue.)’
-’Continue morpion, me somme Mistress Barbarelle de sa voix qui ne chante plus.’
-’Et bien, j?ai profité longuement de la dentelle de son corsage avant d?y plonger à pleines mains et de lui arracher ce soutien-gorge affolant. Elle a poussé un petit cri sous le pincement de la bretelle qui cédait et je me suis mis à lui manger les aréoles avec rage en croquant légèrement dans cette chair rouge et dure, juste assez pour qu?elle gémisse sous le mal. (Et vlan! Deux autres coups de verge féroces assenés à l?arrière des cuisses suivis d?un plus puissant encore qui me strie les reins. La douleur me pénètre violemment et j?en bave de plaisir.)’
-’Après sale bâtard? grogne Mistress Barbarelle.’
-’Après je lui ai sucé ses mamelons jusqu?à ce qu?ils mauvissent puis j?ai glissé sauvagement ma main sous sa culotte. Là je lui ai brusquement écarté les jambes et j?ai empoigné sa touffe que je devinai aussi noire que ses cheveux. C?était une bien belle brunette vous savez. (Et la verge de reprendre son chemin vers mes reins avec la présumable intention de me les faire éclater. Quel délice! Je peux ressentir chaque coup comme un déchirement voluptueux et ça me fait monter dans la bouche un flot de salive que je laisse couler doucement sur mon menton.)
-’Tourne-toi, médiocre limace, crie soudain ma tendre Mistress Barbarelle. Enlève ton veston et ta chemise que je puisse voir ta vieille peau et tes poils grisâtres.Tu me dégoûtes, vieille ordure, tu vas payer pour toutes ces pauvres petites filles que tu abuses. Vermine! hurle-t-elle en me frappant la poitrine de sa verge.’ Ce qui laisse apparaître sur mon torse une enflure qui me traverse d?une épaule à l?autre. (Elle m?empoigne le bras et me soulève avec une rage effrayante. Elle me projette sur une table métallique et mon dos se révulse au contact glacial du stainless. Elle m?attache solidement les chevilles ainsi que les poignets dans des sangles dont l?intérieur est uniformément hérissé de minuscules piquants. L?inconfort de cette nouvelle torture me procure une onde de choc qui me parcoure en entier et mon sexe se raidit de plus belle. Alors elle me bande les yeux, ce qui a pour effet d?accentuer ma peur. Je me mets donc a trembler en proie à cette frayeur qui me plonge dans les plus indicibles délices.)
-’Pardonnez-moi Mistress Barbarelle de vous avoir désobéis. Punissez-moi, je le mérite.’
-’Qu?as-tu fais ensuite à la petite?’
-’J?avais la main toute mouillé de son foutre, je l?ai fait déshabillé puisqu?elle était si excité. Elle a dansé en ôtant ses vêtements, ondulé comme une salope bien entraînée en faisant bouger ses hanches et en me montrant son beau cul ferme et lisse de jeune minette. Alors je lui ai tapé ce cul, d?adord avec le plat de ma main et ensuite avec une petite cravache. (Je sens alors une brûlure intense qui me darde les mamelons et tout mon corps se tortille sous la sensation terrible du sang chaud qui dégouline de ma chair. Je sens les aiguilles qui entrent lentement dans le rose durci des tétons en même temps qu?une main empoigne mes bourses pour les tordre avec fureur ce qui me coupe littéralement le souffle et me pousse au bord de l?évanouissement.)
-’Ensuite? ordonne Mistress Barbarelle (qui accompagne son ordre d?un coup de poing au bas ventre qui me fait hurler. ’ (Je halète, je ne parviens pas à répondre tout de suite ce qui accentue mon angoisse car j?entends les soupirs d?impatience de Mistress Barbarelle. Je sens sur mon ventre le contact affreusement gelé de quelque chose de dur qu?elle fait rouler jusqu?à mes cuisses puis qu?elle ramène sur mon ventre et j?ai peur.) -’Je l?ai attrapé par un bras et je l?ai fait s?agenouiller devant moi. Elle a baissé la fermeture éclair de mon pantalon et tâté le renflement de mon short. Alors je l?ai prise par les cheveux et lui ai commandé de me sucer. Puis je lui ai dit de ne pas bouger et je l?ai pénétré dans la bouche et c?est moi et moi seul qui lui assenait ces coups de butoir au fond de la gorge.’
(Je vois des étoiles et une horrible souffrance me dévore tout le membre. Je perçois le faible ronronnement du rasoir adapté, une machine sophistiquée qui m?a déjà laissé bon nombre de cicatrices sur la bite. Je peine à revenir à moi, les douleurs se multiplient, se chevauchent et je ne sais plus bien laquelle est la pire. Soudain Mistress Barbarelle se met à grogner et la chose dure et gelée de tout à l?heure se distingue du lot. Je la sens de nouveau, cette fois, essayer de se frayer un chemin entre mes fesses. Je m?affole, on dirait une matraque de plomb. Pour la première fois je sens que la punition va dépasser mes espérances. Ma terreur m?excite tant, je pointe de partout, tout mon corps se bande et je lutte désespérément pour que mes fesses résistent. Alors sa main gantée m?enduit tout le cul d?une potion grasse, elle se faufile et me beurre bien en profondeur, me force à ouvrir les fesses en utilisant le rasoir sur mes bourses et me plaque sa matraque contre l?anus. Je sens que c?est gros et je suis épouvanté.
J?ai beau me débattre mais trois nouvelles sangles me retiennent, insidieusement rajoutée pendant l?épisode des aiguilles. Je hurle de toutes mes forces pour qu?elle renonce à cette torture imprévue quand elle m?enfonce dans la bouche ce qui me semble un chiffon imbibé d?urine. Je gigote autant que les sangles me le permettent mais j?entends Mistress Barbarelle pousser un son rauque que je ne lui connaît pas. La pointe de la matraque commence son assaut et plus je me contracte plus la douleur est atroce. D?abord de petits coups comme un heurtoirpuis des coups répétés et de plus en plus puissants, un véritable bélier cherche à me défoncer le cul. Puis le grand choc, ça déchire, la brûlure est si intense, j?ai un haut-le-coeur, j?ai l?impression qu?on me fore avec un marteau piqueur, du sang jaillit entre mes fesses et la cadence s?accélère et plus le rythme de la chose me blesse plus je bande et plus les couilles me font mal à force d?êtres pleines et plus malgré moi je donne des coups de reins pour suivre le va-et-vient de la chose et les parois intérieures de mon cul ne sont plus qu?un brasier raclées par des flammes
douloureuses et soudain je sens ma queue comme un canon prêt à tirer et je viens, je gicle, je crache du foutre en quantité, je me vide et tout mon corps spasmé s?épuise lentement dans un grand frisson. Mistress Barbarelle était bien fâchée cette fois!