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Les grosses fesses de Mimi – Chapitre 3

Les grosses fesses de Mimi - Chapitre 3



De longs mois après, alors que je ne mattendais plus à avoir de ses nouvelles, elle mécrivit pour me dire que son mari était décédé depuis 4 mois, et quelle se sentait vraiment seule et triste, elle avait peu de moyens pour voyager, mais étant exilée dans le sud et ses enfants et petits-enfants en région parisienne, elle pensait monter prochainement pour les visiter.

Elle me demandait si, à cette occasion, nous pouvions nous voir.

Je répondis bien-sûr favorablement, et que même, si ses enfants manquaient de place pour lhéberger, je pouvais la loger quelques jours, puisque ayant une grande maison.

Elle répondit avec enthousiasme, et nous convînmes de sa venue ; jallai la recevoir pendant 2 semaines, séjour pendant lequel elle pourrait aller voir sa famille durant la semaine et certaines soirées dautant que je navais pas de congés et passer avec moi au moins un week-end.

Elle devait monter en T.G.V.

Le jour de son arrivée je vins la chercher à la gare de Lyon afin quelle ne se perde pas dans les métros et R.E.R. qui émaillent le trajet de cette gare à chez moi.

En allant la chercher je mattendais à trouver une vieille femme, vieillie par le temps passé, le veuvage, les épreuves.

Quand je laperçus je fus franchement et agréablement surpris : ses cheveux mi-longs blonds décolorés avaient une coupe impeccable, elle était légèrement maquillée avec goût ce qui rehaussait avec grâce le bleu azur de ses yeux, sa tenue vestimentaire navait rien de celle dune retraitée : bottes, bas fumés, jupe droite très classe au-dessus du genou et cintrée, et chemisier blanc élégant à manches courtes qui mettait en valeur ses bras appétissants et ronds.

Je me dis quelle était sacrément coquette, mais aussi que javais la chance dêtre probablement lobjet de cette attention et du soin particulier quelle avait portés à son apparence, avec sans doute le désir de me plaire.

Elle vint à ma rencontre avec un grand sourire, et je lembrassai sur les deux joues mais en la pressant doucement contre moi, une main sur sa taille, une autre sur son bras plein.

Arrivés à la maison, nous primes un thé et entamâmes une longue conversation ; je menquis de comment elle allait, de ses soucis, sa famille, sa vie quotidienne.

Elle se montra plutôt gaie et enjouée, ravie, semble-t-il, de me revoir et de sortir pour quelques jours de son quotidien triste et monotone.

Après cet agréable moment passé à bavarder je linvitais à monter déposer son bagage :

« – Voilà, tu peux déposer tes affaires-là. Cest la chambre damis ; la mienne est juste en face. »

Puis après une petite pause :

« A moins que tu préfères dormir avec moi, il ny a pas de problème. »

Elle eut un sourire entendu et sapprocha de moi, presque à me toucher :

« – Si tu me le proposes, je ne vais pas le refuser

— Cest comme tu veux »

Elle se pressa doucement contre moi ; je déposai un baiser sur son front.

« Ca fait tellement longtemps » dit-elle, sans préciser si elle parlait de nos ébats passés ou de son activité sexuelle en général, ou simplement de nous.

Le soir je lui confectionnai un petit dîner, et nous mangeâmes en tête à tête avec un fond de musique douce.

Je linvitai même à danser un slow langoureux. Ma main sur sa taille, je la pressai contre moi et elle fut obligée de sentir contre son ventre la raideur dans mon pantalon que son contact faisait naître en moi.

Je lembrassai à pleine bouche, mes mains descendirent sur ses fesses quelles caressèrent dabord doucement, puis se mirent à les palper fermement ; je constatai avec un réel plaisir quelles navaient rien perdu de leur fantastique volume, de leur abondance ; je la pelotai avidement, soupesant ces belles chairs, écartant un peu ses masses bandantes (enfin, autant que sa jupe droite permettait de le faire), descendant jusquà ses cuisses, lui remontant ses grosses lunes

Elle avait les joues en feu, et le désir nous montait à la tête.

Il ne se passa pas longtemps avant que nous nous retrouvions dans ma chambre. A mon grand plaisir, elle avait toujours ses bottes, et dans cette tenue je la trouvais super sexy !

Je mallongeai sur le lit et lui annonçai quelle allait me faire un strip, mais pas nimporte comment, javais des exigences :

« – Avant denlever quoi que ce soit, je veux savoir ce que tu portes sous ta jupe

— Un slip.

— Et ? Un collant…? Ou ce sont des bas ?

— Et si je ne veux pas te répondre? » énonça-t-elle dun air espiègle

« – Alors, réponds juste à la question : des bas ou des collants ? »

Un petit silence, un gloussement, puis dune voix chantonnante :

« Ce ne sont pas des collants »

Là jétais vraiment scié. Elle avait mis le paquet.

« Alors enlève juste ta culotte ! Tu gardes tout le reste pour le moment. »

Tant bien que mal elle se contorsionna pour passer ses mains sous sa jupe étroite sans la faire remonter, fit glisser puis tomber sa culotte à ses pieds, une jolie culotte rouge en dentelle. Du bout du pied et habilement elle le me la jeta.

Je men saisis et la portai à mon visage, et humai profondément son parfum intime, son odeur musquée de femme, profonde et envoutante, qui avait eu le temps dimprégner le tissu durant le voyage en train

Elle était debout face à moi, avec un air coquin, un air de défi.

« Maintenant remonte lentement ta jupe Remonte-là jusquau milieu de tes reins. »

Elle saisit le bas de sa jupe grise et tout en me regardant droit dans les yeux commença à la remonter.

Quand elle fut en haut des cuisses japerçus les émouvantes bandes plus sombres puis la peau nue et replète du haut de la cuisse Ah la petite cochonne, la petite allumeuse ! Elle avait mis des bas autofixants ! Jétais sûr quelle nachetait pas ça du vivant de son mari

Mais elle continua de remonter sa jupe et je ne fus pas au bout de mes surprises : je découvris un mont de Vénus proéminent, si blanc et aussi lisse quil avait dû être lorsquelle était enfant ! Cette petite coquine lavait entièrement rasée ! Elle voulait me rendre fou, cétait certain

Je me redressai dun bond, massis sur le bord du lit, mes yeux hypnotisés par cette vision. Elle souriait, satisfaite delle-même.

« Avance » lui ordonnai-je dune voix blanche.

Elle resta sans bouger pendant 2 ou 3 secondes, ses mains tenant toujours sa jupe retroussée sur ses reins, me regardant dun air de défi, puis fit les 2 pas qui me séparaient de moi.

« Ecarte les jambes. »

Je posai mes mains sur ses fesses et lattirai vers moi ; sa vulve était juste à hauteur de ma bouche, et je la collai immédiatement à ce magnifique coquillage corail ; ma langue parcourut toute son intimité, de bas en haut, de haut en bas, tandis quelle sétait légèrement renversée en arrière, et soupirait profondément.

Je la gratifiai un long moment de cette caresse buccale, ses mains sétaient posées sur ma tête ; je mimprégnai avec délectation de son goût délicat et épicé, qui fit renaître dans mon cerveau le souvenir de ces après-midis coquins, ensemble, dans ma chambre dhôtel si luxueuse à Cuba.

Je laissai presque à regret sa chatte si douce, et lui intimai :

« Recule à nouveau et tourne-toi. Garde ta jupe relevée sur tes reins. »

Elle ne se fit pas prier, et sexécuta lentement. Jeus alors ce spectacle éblouissant de deux belles lunes blanches immaculées dans la lumière tamisée de ma chambre. Quelles merveilles !

Cette fois cest moi qui mavançai à genoux, et mes mains fondirent à pleines paumes sur ces belles miches tendres et molles que je me mis à pétrir furieusement.

Elle gloussa, toujours étonnée de ma fascination pour ses grosses fesses qui, elle, la complexaient toujours.

Je les malaxai, les palpai, les pinçai, les serrai, les ouvris, les refermai, les fis glisser lune sur lautre, ma bouche les couvrit de suçons, les aspira, les goba je finis par deux belles claques, sèches et bien sonores, main droite main gauche.

« Allez, enlève ta jupe maintenant. »

Elle fit tomber sa jupe et sen débarrassa, terriblement sexy.

« Va te mettre à quatre pattes, là, sur le bord du lit. Non, tu gardes tes bottes ! »

Je la vis se placer, terriblement lascive, excitée de leffet quelle me faisait.

« Cambre-toi bien. Ecarte un peu tes cuisses. Tends tes fesses. Allez, offre bien ton cul ! »

Elle obéit, et ma main ne put sempêcher de remonter du genou à lintérieur de la cuisse, jusquà lendroit où la peau nue si douce, légèrement boudinée par le haut du bas, faisait un léger bourrelet bombé, effleura sa vulve, ainsi que tout son pourtour, puis lempaumant la pressa comme un fruit mûr et bien juteux.

« Tes fesses sont vraiment magnifiques, et sont si blanches. Tu as déjà reçu le martinet ?

— euhnon

— Il va falloir jai trop envie de cingler ces belles chairs.

— Eh, mais jai pas envie davoir mal !

— Tinquiètes pas, ma toute belle, je vais juste te chauffer un peu, tu as un trop beau cul ! »

Jallai dans larmoire de ma chambre où je gardai précieusement certains instruments de plaisir. Jy pris mon martinet aux lamelles de cuir, un bel objet dont jaime faire usage sur certaines rotondités appétissantes.

Je me plaçai derrière Mimi, qui, patiemment, docilement, mais non sans crainte attendait à quatre pattes que je me livre à mon caprice : un cul blanc et aussi large, saillant juste au-dessous du chemisier élégant qui sarrêtait à la taille et faisait ressortir ce bel objet. Ce quelle était bandante ainsi, en bas et bottes, offerte à mon désir !

Retenant dans ma main gauche les lanières pour mesurer la force, jabattis dun premier coup celles-ci sur sa lune majestueuse.

« – Outchhh ! » Elle tressaillît, surprise, et un peu effrayée par la morsure sèche des lanières sur sa peau tendre.

Jappliquai régulièrement, comme un métronome, mon martinet, sur toute la surface des fesses, visant tantôt lune, tantôt lautre, mesurant bien ma force pour ne pas quelle se cabre à cause dune douleur insupportable.

Sa tête était tournée vers moi, inquiète. Elle vit que javais fait tomber pantalon et slip, et que ma queue était dressée, prête à laction.

Je minterrompais régulièrement et venais caresser cette belle sphère fendue, constatant que mon traitement navait laissé que de fines zébrures roses.

Elle semblait apprécier cette caresse apaisante.

« – Enlève ton chemisier et ton soutien-gorge, tu seras plus à laise.

— Oui il commence à faire chaud »

Je finis par des petits coups secs, portés de près, qui lui firent pousser comme des petits cris de surprise, et secouer avec grâce son gros popotin si excitant.

Je fis glisser les lanières sur ses reins, ses hanches replètes, puis plusieurs fois dans la raie de ses fesses, dune caresse sensuelle et troublante.

Enfin, à la façon dun balancier, je lui assénai quelques coups dintensité croissante dans ce sillon fessier, visant lanus tendre, et les bords rebondis de sa vulve.

Elle cria plus fort, sursauta, mais ne protesta pas.

« Là, cest bien, tu es une bonne fille, tu as bien encaissé. Je suis désolé mais je nai pas pu mempêcher de fustiger un aussi beau derrière.

Et puis ce gros cul mexcite tellement, il maguiche tant quil méritait dêtre puni pour ça »

Ce disant, je métais agenouillé derrière elle et je couvrais de caresses tendres et passionnées lobjet de mon désir ; mes mains insistaient sur lintérieur des fesses, et frôlaient sa vulve bien ouverte.

Ma langue se mit à parcourir le profond sillon, de haut en bas, de bas en haut, alternativement, sattardant sur le petit cratère étoilé et sombre, fondant sur le corail rose de sa fente ; elle se mit à gémir, à haleter : elle nen pouvait plus la grosse mère.

« Je vais te prendre, maintenant. »

Et joignant le geste à la parole, je me plaçai contre ses cuisses encore gainées de nylon et je pénétrai lentement sa chatte : elle était chaude et douce, à peine humidifiée, toute serrée.

Mes mains bien campées sur ses hanches, je la pris à grands coups de reins, allant buter à chaque coup de boutoir tout au fond de sa chatte soyeuse.

Elle poussait un cri de plaisir à chaque coup de pine.

Mes mains jouaient avec ses petits tétons qui pendouillaient obscènement.

Tout son corps tressautait, et je voyais des ondulations parcourir sa chair, ses bourrelets, comme des vagues montant à lassaut de la plage ; ce spectacle digne dun bon film érotique ainsi que celui de ses jambes gainées par les bas fumés, encore avec les bottes aux pieds, mexcitait au plus haut point, et jexultais, proférant des obscénités, mes mains crispées sur ses poignées damour, la manuvrant par les seins, buttant de plus en plus fort contre son pubis.

« Retourne-toi, je vais te baiser à fond, comme jaime ! »

Elle sinstalla sur le dos, je lui écartai grand les cuisses et les relevai le plus haut possible, posai ses bottes sur mes épaules.

Je lui branlai son beau coquillage rose de ma queue, en le faisant glisser de bas en haut, de haut en bas, puis jentrai le gland tout en la fixant dans les yeux, ses yeux azur écarquillés par le plaisir. Elle avait le visage écarlate, excitée comme jamais.

Lentement, je rentrai en elle, jusquau fond, jusquà buter, écrasant son pubis moelleux.

Mes mains plaquées sur ses cuisses je me mis à la baiser à grands coups de rein longs et puissants, elle se mit à crier à chaque butée ; je lui arrachai des cris de plaisir, elle lâchait des jurons, sa tête dodelinait de droite et de gauche, elle prenait son pied comme une folle, perdant tout contrôle.

Très excité et heureux de ses réactions, je la fis venir bruyamment, elle hurla, ce qui eut comme effet de me faire jouir comme un dément, je lâchai tout en elle, me répandant en grandes saccades de plaisir, avec des grognements désespérés.

Nous restâmes un moment ainsi imbriqués, tandis que je lui caressais les cuisses et les hanches doucement.

Puis allongés sur le lit, lun contre lautre, nous parlâmes à voix douce, partageant avec plaisir un long moment de tendresse.

« – Je navais jamais eu autant de plaisir en faisant lamour, tu es un amant extraordinaire.

— Je nai rien dexceptionnel

— Tu es tellement attentionné, on dirait que tu me connais tellement, tu sais comment mamener au plaisir.

— Je connais peut-être un peu le corps des femmes

— Et puis je naurais pas cru quà mon âge on pouvait encore avoir du plaisir. Avant quon fasse lamour ensemble il y a deux ans à Cuba, je pensais que cétait fini, je navais plus de désir, plus denvie de faire lamour, et je ne pensais pas que ça pourrait revenir Aujourdhui jai joui comme une jeune fille même plus fort quune jeune fille !

Oh cet été tu viendras chez moi quelques jours, et tu pourras profiter de la mer, de la chaleur, du soleil et de moi ! »

Nous demeurâmes longtemps enlacés, et les quelques jours quelle passa avec moi furent absolument délectables. Nous fîmes lamour très souvent, et si ça ne fut pas à chaque fois aussi intense que le premier soir, le plaisir et la tendresse sunirent pour nous offrir la semblance dun bonheur momentané.

Malgré la distance, nous continuâmes à nous voir 2 à 3 fois par an et à prendre du bon temps. Ce fut à chaque fois pour moi un ravissement et une excitation renouvelée de retrouver les grosses fesses de Mimi.

FIN

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