Mardi 17 avril
Après une semaine intense de travail, vous avez une matinée de congé. Vous décidez d’aller faire les courses pour la semaine et quittez votre domicile à 9h30. Alors que vous êtes au parking, prêt à allumer votre véhicule, vous apercevez Magali qui se dirige vers sa voiture. Sous une veste, elle porte une robe grise et des talons. Vous sortez et l’interpellez :
Salut Magali !
Elle se retourne et vous lance un grand sourire. Vous lui faites signe de venir. Quand elle est devant vous, vous l’attirez derrière le monospace d’un voisin et lui roulez une formidable pelle. Elle vous repousse mollement :
Pas ici ! On pourrait nous voir !
Pour toute réponse, vous la tournez et donnez une belle claque sur son gros cul.
T’es sacrément bandante, habillée comme ça ! Fais voir ce que tu as dessous !
Magali hésite, regarde autour d’elle :
Tu… tu es sûr ?
Montre !
Magali soulève sa robe sur un collant et une culotte noire.
Montre ta chatte !
Votre voisine descend ses dessous sur son minou à la dense toison.
Ça ne va pas du tout !
Quoi ?!
Vous prenez un air menaçant :
Ecoute-moi attentivement : chaque fois que je te croiserai, ici ou ailleurs, et peu importe comment tu es vêtue, je vérifierai. Donc, dorénavant, tu oublies les culottes et tu ne portes que des strings minuscules ou rien du tout. Et fini les collants, dès maintenant, tu mettras des bas avec porte-jarretelles. Et tu te rases le minou. Complètement.
Magali vous regarde, un air de défi brille soudain dans ses yeux.
Je m’en occupe aujourd’hui. Les tangas sont acceptés ?
Non. Au maximum, une ficelle dans la raie.
Magali respire plus rapidement. Elle pose la main sur votre entrejambe :
Et les bas autofixants ?
Je tolèrerai. Une fois. Pas plus.
Je n’ai pas de porte-jarretelles, je trouve que ça fait pute.
Mais tu es une pute. Ma pute. Suce ma bite.
Magali ne se fait pas prier. Elle ouvre rapidement votre jeans et commence à vous pomper comme une damnée. Elle vous masturbe simultanément et vous fait jouir dans sa bouche.
Vous sortez deux billets de 100 de votre porte-monnaie.
Tiens. Pour t’acheter des porte-jarretelles et des bas adaptés.
Magali les mets dans son sac. Vous ajoutez :
Il me semble que tu pars tôt le mercredi matin ?
A 6h, oui.
Alors tu vas appeler ton boulot et leur dire que tu viens une heure plus tard. A 6h, tu viens chez moi. Tu porteras une jupe et tu veilleras à avoir respecter mes consignes.
Vous embrassez vulgairement votre voisine qui s’en va ensuite sans demander son reste. Vous vous rasseyez dans votre voiture, satisfait, mais un peu honteux de ce que vous faites avec elle.
Mercredi 18 avril
Vous avez réglé votre réveil à 5h45. Le temps de prendre une douche et de boire un café. 6h, pas de Magali. Vous commencez à l’avoir mauvaise. Finalement, à 6h10, vous entendez taper timidement à votre porte. Elle n’a pas osé sonner.
Magali porte un tailleur bleu marine, jupe et blazer, sous lequel elle a vêtu un chemisier blanc.
Tu es en retard.
Arrête ! Mon mari s’est réveillé en même temps que moi et on a baisé. Je ne te dis pas comme il était heureux de me découvrir entièrement rasée. Ensuite, je me suis préparée et quand il m’a vue habillée ainsi, il a voulu remettre ça. Je ne voulais pas qu’il trouve le porte-jarretelles et je l’ai sucé. Il vient de jouir dans ma bouche.
Vu que tu as déjà commencé, tu peux continuer avec moi.
Magali s’agenouille et vous suce jusqu’à ce que vous lui disiez de se relever.
Viens dans la chambre !
Vous vous asseyez sur le lit et ordonnez à votre voisine de se déshabiller lentement. Le chemisier tombe sur un jolie soutien-gorge blanc. Vous acquiescez de la tête. Magali sourit et retire sa jupe. String assorti mais porte-jarretelles noir et bas couleur chair.
C’est quoi ce porte-jarretelles noir avec des dessous blancs ? Dernière fois, OK ?
Elle acquiesce d’un signe de tête. Une fois qu’elle est nue, vous lui dites :
Comme tu viens de te faire sauter par ton mari, t’es prête là. Viens t’asseoir là-dessus.
Magali s’empale à califourchon sur votre bite. Sans sourciller.
T’aimes bien faire la pute comme ça, hein ! Deux fois de suite, deux hommes…
Mmmmh…
Tu veux que j’appelle deux potes ? Je suis sûr que tu adorerais.
Ce… ce serait trop… non ?
Moi, ça me plairait. Tu me sucerais pendant qu’ils te baiseraient.
Si… si tu veux…
Je n’en reviens pas. Magali serait d’accord pour être baisée par d’autres hommes parce que je lui demande. C’est fou. Vous baisez bien fort votre voisine et jouissez dans son vagin. Comme son mari auparavant. Elle va se nettoyer. Elle va partir, vous lui dites :
Je ne vais plus te lâcher maintenant.
Je viens tous les jours si tu veux.
Est-ce que je t’ai dit comment je te trouvais bonne vêtue comme ça ?
Non. Mais ça se voit. Et ça me donne chaud.
Elle rit. Vous l’embrassez en posant vos mains sur ses fesses.
Quel cul, putain…
Elle sourit.
Chez moi, quand tu as dit qu’il t’excitait, c’était…
C’est vrai. Je raffole des gros culs. Le tien me rend fou. Je te prendrais bien qu’en levrette.
Mmmh… Ne te gênes pas…
Je changerais peut-être d’orifice…
Nouveau sourire, ses joues s’empourprent. Vous souriez :
Si tu me dis que tu es vierge de ce côté-là, je ne te crois pas une seconde.
Pas vierge, non. Mais c’était il y a longtemps.
Prépare-toi. Je risque bien de te défoncer la rondelle.
Arrête. J’ai déjà le string trempé.
Un dernier baiser et Magali s’en va.
Vendredi 20 avril
Vous récupérez encore des heures et vous rentrez plus tôt. Vous vous dépêchez un peu car vous savez que Magali arrive un peu après 16h ce jour-là. Vous vous garez et sortez quelques instants devant l’immeuble. Vous apercevez Magali à peine deux minutes plus tard. Vous lui ouvrez et vous prenez l’ascenseur ensemble et vous lui roulez une pelle. Vous allez directement chez vous. Sous une jupe évasée, elle a respecté vos consignes.
Magali commence à vous sucer dans le hall d’entrée et pendant qu’elle vous pompe, vous vous déshabillez. Vous l’emmenez sur le lit où Magali poursuit sa fellation. Vous la doigtez.
Putain comme tu pues de la chatte !
Magali s’interrompt un instant :
Désolée…
Ta gueule ! Amènes tes jambes ici !
En 69, vous bouffez voracement le minou de votre voisine et celle-ci jouit une première fois. L’odeur forte et entêtante de cette moule de fin de journée vous surexcite et vous la léchez avec tant d’avidité que Magali cesse de vous sucer. Haletante et trempée de sueur, elle a orgasme sur orgasme.
Baise-moi ! Baise-moi, j’en peux plus !
Vous venez entre ses jambes et glissez votre bite dans sa fente détrempée. Et vous la défoncez. Magali gémit, crie, rugit, hurle de plaisir. Jouit à nouveau.
Tu t’y es remise depuis mardi ?
A quoi ?
Préparation de ton fion.
Je me suis doigtée hier.
C’est tout ?
Oui…
Tourne-toi.
Magali se met à quatre pattes. Vous mettez une grande claque sur son cul. Elle crie. Vous humidifiez votre majeur et le glissez doucement dans le petit trou.
Mais bordel, c’est plein de merde là-dedans !
Ben oui, je…
Ferme-là ! Que je t’explique : y a un truc que j’adore, c’est quand on me suce la bite après une sodomie. Alors là, si je te prends par le cul, non seulement on va en mettre de partout, mais tu risques d’avoir un peu la nausée. Tu me comprends ?
Oui, mais…
Mais rien du tout, putain ! Tu dois toujours avoir le cul propre et prêt à recevoir ma bite, mes doigts ou ma langue.
Ta langue !?!
Oui, bordel ! J’adore bouffer des culs et je vais bouffer le tien ! Casse-toi, maintenant ! Tu m’as déçu ! Rentre chez toi, je ne veux plus te voir !
Du coin de l’il, vous la surveillez. Elle se lève, rajuste ses vêtements et vous jette un coup d’il. Ses yeux sont gonflés de larmes. Vous ne bougez pas, vous ne la regardez pas. C’est dur. Elle sort en refermant doucement derrière elle.
Une heure plus tard, vous recevez un message : "Pardonne-moi, ça ne se reproduira plus."