Wallid est depuis toujours mon meilleur ami. On a grandi ensemble. C’est auprès de moi, en premier, qu’il a fait son coming-out, il y a de cela 8 ans à peu près, on avait 14 ou 15 ans. Bien sûr, un peu plus tard, il m’a demandé si je voulais sortir avec lui. Mais je suis hétéro et je lui ai dit non. Notre relation n’en a pas souffert, il n’y a jamais eu d’embrouilles entre nous. On est resté potes inséparables.
Ce soir, je suis chez lui. On doit se bouffer une pizza, mater un film et aller en boîte, celle où il y a deux salles, une gay et une hétéro.
Vers 19 h 00, ça sonne. Il ouvre. C’est Xavier, dit Xav, un grand black bisexuel, avec qui il est sorti et que je connais bien. Ils ne sont plus ensemble mais sont restés potes. Il est accompagné de Simon et Paul deux autres gays que je connais un peu moins bien. Ils sont tous sympa. Je les apprécie parce qu’il ne font pas travelos ou folles tordues. C’est des mecs virils, qui assument ce qu’ils sont sans démonstration.
Après avoir causé de choses et d’autres, Paul propose un poker. Je suis joueur, j’accepte aussitôt, ce qui décide les autres gars.
Après plusiuers manches, ma veine de cocu m’a fait empiler presque tous les jetons. Wallid est déja hors jeu, puis c’est le tour de Xav. Comme il est toujours chaud de la pine, il propose de recommencer la partie en streap. Tout le monde est d’accord. Moi aussi, car outre que j’aime le jeu, je ne suis pas spécialement pudique. Je leur précise simplement que si ça part en sucette, ce sera sans moi. C’est OK pour tout le monde. On commence. Les règles sont les mêmes pour tous. 4 fringues, pas plus : les chaussettes (comptant pour un vêtement), le futal, le slip et le T-shirt ou le marcel selon les cas. On remplit les verres de bière et c’est parti mon kiki !
Ma chance ne m’a pas quitté. Il faut dire que j’en soupçonne de perdre pour se déssaper plus vite et s’exhiber. Paul est le premier à laisser tomber le pantalon. C’est un mec d’1,80 à peu près, athlétique. Il est en string, qu’il semble avoir choisi une taille en dessous pour mieux mettre en valeur son paquet. Puis vient Xavier, en jockstrap, destiné sans doute à faire valoir les magnifiques formes de son cul. Il taille un bon mètre 90 et pas loin de 90 ou 100 kg tellement il est baraqué. Il doit déja être un peu excité, vu la bosse impressionnante qu’il a dans le calbut. Wallid a toujours son pantalon, Simon n’a perdu que ses chaussettes. Je suis le seul à avoir tout gardé.
Xavier propose un gage : le premier à poil suce le vainqueur. Tout le monde est d’accord et Wallid me regarde d’un oeil inquiet. Non, je ne marche pas dans cette combine. Simon insiste; Qu’est-ce que je risque ? Vais-je me dégonfler ? Il n’a pas tort. Je ne risque rien. Ils sont deux quasiment à poil et le seront avant moi, sans compter que l’un d’entre-eux va sûrement faire exprès de perdre pour s’offrir une bite. Quant à gagner, je peux facilement l’éviter pour garder ma pine au sec. J’accepte. Wallid, de plus en plus inquiet, insiste pour que je ne participe pas. Il fait valoir que rien ne m’y force, que je ne dois pas me sentir obligé, alors que les trois autres me font remarquer qu’une parole est une parole et que, si je perds je dois aller jusqu’au bout. Mais je suis sûr de ne pas perdre et mon orgueil me fait fanfaronner un peu.
Wallid me dit
Sans rire Manu, t’es pas obligé. Tu veux pas qu’on arrête ?
T’inquiète, celui qui va me faire perdre n’est pas né !
On repart et je perds immédiatement mes chaussettes et mon T-Shirt. Les cris fusent, quand je l’enlève. On apprécie mes pectoraux lisses et mes abdos. Puis la chance revient un peu. C’est à Wallid d’être en boxer. C’est un beau rebeu bien dessiné. Dans les slips ça s’échauffe à vue d’oeil. Le jeu reprend et Simon se retrouve en pantalon comme moi. La partie s’annonce plus difficle que prévu. Je peux tout aussi bien perdre, ou gagner. Je veux éviter l’un et l’autre. Xavier annonce.
On corse le jeu ?
Qu’est-ce que tu proposes ?
Le perdant est la lope à jus de tous les autres.
Simon et Paul adhèrent immédiatement. Wallid me regarde de plus en plus géné.
Tu peux arrêter là tu sais. Ce n’était pas dans nos conventions.
Xavier ajoute.
C’est vrai, on ne veut pas forcer un hétéro. Tu peux te retirer du jeu Manu.
Mais mon tempérament fanfaron (je ne vais quand même pas me dégonfler devant ces mecs ! J’ai encore mes chances !) et l’alcool peut-être un peu, me font prendre le risque. Je tope dans toutes les mains, pas de parjure possible.
L’atmosphère vient de changer d’un coup. Avant c’était des plaisanteries à n’en plus finir et des éclats de rire quand un mec se déssapait. Maintenant tout le monde est silencieux.
Je distribue. Je perds, j’enlève mon pantalon. Pas un bruit, pas une parole comme quand j’ai enlevé le T-shirt. 4 mecs en slip, un en pantalon. Je peux perdre.
Nouvelle donne. Je découvre mes cartes. Un jeu de merde. Il faudra jouer serré. Mais je joue mal.
Debout, je baisse mon slip. Silence de mort et je me demande comment je vais me tirer de là. Il me reste un espoir, que Wallid gagne car je sais qu’il renoncera à sa victoire et que je pourrais échapper à ce qui m’attend. Paul perd son string. Queue épaisse à gros prépuce, puis Simon perd son pantalon et, au tour suivant, c’est Wallid et je découvre la bite circoncise, légèrement courbée vers la gauche et longue de mon pote. Je suis foutu, à moins que Simon ou Xavier, celui qui va gagner, me libère de ma parole. Et c’est Xavier qui gagne.
En baissant son jock, il bande déja. Il s’approche de moi. Sa queue est énorme, il est entièrement épilé. J’attends que quelqu’un dise quelque chose… Mais il règne un silence de mort. Personne ne parle. Tout le monde dse demande ce que je vais faire. Alors, puisqu’il n’y a pas le choix, je me mets à genoux et, lentement je m’approche du noeud. Il est très tendu juste en face de mon visage. Et je le prends, dégoûté, en fermant les yeux. Je suis surpris. Il s’est bien lavé, il n’y a aucun goût désagréable. Autour de moi, les applaudissemenst fusent, avec les bravos. Je suce ce gros bout qui emplit ma bouche et je suis épaté par sa douceur extraodinaire. Je commence à aller et venir et je le saisis. Les mains de Xav sont sur ma tête, il va et vient gentiment. Je soupèse ses couilles , je le branle de plus en plus vite.
Machinalement, j’attrape mon propre zob; déja dur. Je suis en train de sucer un mec et ça me fait bander. Je le crois pas ! Puis vient le tour de Paul. Il a un gros pénis recouvert d’un prépuce épais, qu’il décalotte. Un petit goût de pisse me fait reculer mais il me rattrape par la nuque et j’enfourne l’engin. Puis il m’attire vers le canapé pour s’allonger, je continue de sucer pendant que les autres mecs se tripotent.
Tout à coup, un mec pose ses mains sur mes fesses. Je veux me retourner mais Paul maintient sa pression sur ma tête. La force de ses bras m’oblige à pomper jusqu’au fond de ma gorge sans pouvoir me dégager.. Les caresses continuent sur mon cul. Le mec (Qui ?) me prend les couilles puis sa bouche vient me mordiller. Aux poils du menton, je reconnais mon homme. Il n’y en a qu’un qui à un léger collier, c’est Simon. Il me bouffe les fesses, puis introduit sa langue dans ma raie pour me lêcher le trou. Très vite c’est l’extase. Aucune fille ne me l’a jamais fait. Putain c’est trop bon. Paul me libère et je reste à quatre pattes pour retrouver la bite de Xav et Simon glisse son corps entre mes jambes que jécarte pour le laisser passer. Il attrape mon chibre et me suce. Il joue avec mon prépuce, enroule sa langue autour du gland, chatouille et mordille la couronne, rabat la peau dessus et me lêche entre le prépuce et le gland. Et ça aussi c’est trop bon. Aucune meuf ne m’a jaamis pompé comme ça . Paul me bouffe la rondelle. Je suce mais je cherche Wallid du regard. Il n’est pas là. Ou peut-être derrière Paul ?
J’essaie de reproduire avec Xav ce que Simon me fait. Vu comment il tortille ses hanches, il doit aimer. Il me dit
Putain, t’apprends vite, c’est super bon. Sans rire t’a déjà baisé un mec ?
Je suis au bord de l’orgasme. C’est le moment choisi par Paul pour m’introduire un doigt.
Qu’est-ce tu fait ? non non , pas ça, je marche pas !
Attends, tu vas voir, c’est comme la langue, tu vas t’y faire.
Et effectivement, je m’y fais. Il me masse à l’intérieur et je commence à tordre mon cul pour recevoir plus de plaisir.
Simon et Xav sont devant moi pour que je lêche alternativement les deux pieux, trop gros pour les manger ensemble.
Maintenant j’ai deux doigts dans l’anus, qui vont et viennent, tournent, glissent, coulissent, me massent. Et puis Paul met sa pine. Il introduit lentement le gland qui rentre tout seul, tellement il a été magicien avec ses doigts. Je laisse faire sans rien dire, consterné d’aimer ça ! Puis le membre s’enfonce jusqu’à ce que je sente les poils des couilles sur mes fesses. Le va et vient commence. Je suce toujours. Et j’aperçois Wallid, appuyé contre le mur qui regarde médusé et qui ne bande pas. Les mecs se donnent le tour, c’est Simon puis le braquemart de Xav que je sens passer. Il me défonce le fion avant que je ne m’y fasse. Il me tasse complètement, me casse le cul à grands coups de reins. Je m’habitue à cette massue et je ressens ce que Wallid a dû sentir quand ils étaient amants. Puis il s’extrait.
Je vais jouir les gars.
Je dois me mettre à genoux, je suis la lope à jus. Simon appelle.
Wallid, qu’est-ce tu fous ? Viens, on décharge !
Je reçois en effet une giclée, puis deux, puis trois en pleine tronche. Je ferme la bouche et le sperme des deux autres tombe en une pluie chaude, épaisse et odorante. J’en suis couvert. Les mecs s’applaudissent, se congratulent en se tapant sur les épaules.
Bravo Manu, tu t’es pas dégonflé.
Viens, on va te laver.
C’est nécessaire en effet. On va dans la salle de bain et ils me poussent dans la baignoire où je m’allonge. Et aussitôt, Xav me pisse dessus. La bière fait pisser, le jet et long et continu. Simon me rejoint et me fait mettre à genoux pour recevoir en même temps que moi, tout en me palochant. Je suis tellement fatigué par mon cassage de cul, que je ne résiste pas. Paul pisse à son tour. Simon me dit de me mettre debout. Je le fais; je dégouline des deux liquides. Il me fait
Pisse moi dessus.
Il ouvre la bouche pendant que je me soulage la vessie.
Puis c’est la douche, la vraie. On se sèche. Les mecs vont reprendre leurs fringues dans le salon- cuisine. Je reste assis sur le tabouret de la salle de bain, pensif, pour récupérer et mettre mes idées en ordre
Ils viennent me saluer tous les trois en me félicitant. Je leur fait promettre de ne rien dire à personne. Je les entends parler à Wallid, lui dire au revoir. La porte claque.
Au bout de cinq minutes, je me lève. Je rentre dans le salon-cuisine. Wallid est assis dans le canapé.
Wallid ?
En me voyant, il se lêve. C’est quelqu’un d’émotif. Les larmes perlent au bord de ses yeux.
Putain Manu, je voulais pas ça. Qu’est-ce qu’ils t’ont fait ? Je suis désolé, putain, tu me crois ?
Oui Wallid, t’inquiète…
Jure moi que tu m’en veux pas. Jure moi qu’on restera potes.
Je te le promets.
Il pleure tout à fait maintenant en me regardant. Il est beau.
Je te jure, je savais pas qu’ils viendraient, c’était pas prévu… On n’aurait pas dû te faire ça. J’ai même pas pu les retenir.
Je m’approche de lui. Je dis tout bas
Wallid, Wallid…
Comment tu vas faire pour pas m’en vouloir maintenant ?
Ça va pas être compliqué.
Je suis tout près de lui. Je m’approche, presque à le toucher. Il me regarde, sans comprendre encore. Puis je le prends dans mes bras. Je sens son gros sexe contre ma touffe humide, mal séchée.Il ne dit rien. Je pose ma tête contre la sienne, joue contre joue, je sens ses larmes. Il ne sait pas ce que faire de ses mains. Il hésite, puis, les pose délicatement sur mon dos. Je murmure.
J’ai envie de toi Wallid, j’ai envie de toi. J’ai adoré ce qu’il mon fait. Fais-le pour moi.
Puis j’approche lentement mes lêvres des siennes. Elles s’effleurent, se touchent, s’ouvrent et s’échauffent dans une pelle fougueuse.
J’ai dormi chez Wallid. Ou plutôt, j’ai passé la nuit dans son lit. On a fait l’amour et quand il a éjaculé, je n’ai pas fermé la bouche. J’ai tout bu, tout. On n’a pas dormi avant le petit jour, on s’est aimé jusqu’à l’aube … pour rattraper le temps perdu. Et on le rattrapera longtemps.