Pratiquement nue, perchée sur ses escarpins, son collier et ses bracelets brillent sur sa peau. Sunao se déplace discrètement dans un salon aux murs en boiserie ancienne. Elle sert du champagne à son Maître et ses amis plongés dans une conversation très sérieuse.
Certaines mains traînent à son passage, flattant ici une cuisse, là une fesse, ou la courbe des hanches. Sunao répond aux caresses par un sourire respectueux.
La jeune Geisha tourne autour de la table ; ses bracelets tintent à son poignet. Dans sa démarche sensuelle, ses petites lèvres se frottent l’une contre l’autre. Sa chatte humide émet des clapotements obscènes qui ne laissent indifférents ni son Maître ni les amis de celui-ci. Elle voit des pantalons bosselés, les braguettes prêtent à exploser.
Le verre de son Maître étant vide, elle le remplit de champagne, la croupe tendue. La main de celui-ci caresse la raie, effleure les trous humides de la jeune femme qui s’ouvrent, prêts à le satisfaire. En levant la bouteille, une goutte de champagne chute sur son sein nu.
L’atmosphère érotique monte d’un cran. Les conversations s’arrêtent, les yeux des hommes braqués sur la goutte de champagne qui suit la pointe du petit téton rose et descend lentement le long du ventre plat. Un signe de tête de son Maître suffit à lui faire comprendre ce qu’elle doit faire. Elle aime tellement ça, lui obéir, surtout lorsque c’est très vicieux.
Sunao pose la bouteille sur le sol, grimpe sur la table basse, au milieu du cercle d’hommes. Elle s’y allonge entièrement, relève les genoux qu’elle écarte pour bien montrer sa petite chatte rose clair.
La petite Geisha se caresse, une main entre les cuisses, l’autre malaxant un sein. Elle s’exhibe, impudique, devant tous ces hommes, le cur battant à tout rompre. Son index dessine de petits cercles autour de son bouton damour rose vif.
L’un d’entre eux sort sa queue dressée et épaisse. Pour le récompenser, Sunao insère son index dans son vagin. Un autre comprend et sort lui aussi sa verge, dure, tendue. La jeune femme ajoute un deuxième doigt dans sa chatte, les fait entrer puis sortir, émettant un clapotis obscène. Les bracelets tintent aux poignets au rythme de ses petits cris aigus. De la mouille épaisse sort du vagin à chaque va et vient des doigts. La jeune Geisha se cambre et décolle les fesses du plateau pour montrer son petit trou. Elle espère qu’au moins un de ces vicieux l’enculera ce soir. Elle a tellement envie d’une bonne bite lui défonçant le cul à en avoir mal.
Sunao se sent terriblement salope, ouverte, exhibée devant tous ces salauds qui ne pensent qu’à profiter d’elle, à tripoter ses trous, à s’y enfoncer, et à déverser leur foutre.
« Vous allez abuser de mes orifices jusqu’à jouir sur moi ! Je veux être arrosée et débordée de sperme. » pense-t-elle.
Lhomme assit face à la chatte ouverte sapproche de la table, caresse le clito dressé. Sunao retire sa main de son entrejambe pour malaxer ses seins. Un deuxième vicieux insère deux doigts dans son vagin trempé, en exerçant de doux va-et-vient. Un troisième s’avance, y ajoute son index et son majeur. Ils étirent lorifice ; Sunao, troublée, cri de plaisir mêlé de douleur.
Le Maître sort sa verge tendue et se place devant le visage de sa soumise. La main posée sur son cou, il insère son mandrin dans la bouche de la femme en butant contre la gorge. La Geisha tousse, étouffée. Le Maître pousse jusquà la garde, puis exerce de doux va-et-vient. Un quatrième salaud se place entre les jambes écartées ; il appuie son doigt sur la petite rondelle rose en dessinant des cercles. Elle souvre lentement, l’accueille. Il étire le petit trou étroit en frictionnant les parois. Puis il ajoute un deuxième doigt.
Sunao couine, écartelée par ces vicieux qui la labourent de toutes parts. Elle se sent chienne, les yeux larmoyant et le visage souillé de salive mêlée aux sécrétions de son Maître. Son vagin déborde de mouille en émettant des clapotis obscènes.
Ça suffit, laissez-la !
Chacun savait qu’on ne discute pas les ordres de l’hôte. Alors les invités reculent, les doigts qui fouillaient les orifices de la Geisha se retirent, la laissant perplexe et frustrée. Décidément, elle ne s’habituera jamais aux délires pervers de son Maître et amant. Pourtant, elle se prête toujours au jeu avec délectation.
Approche et sers-moi, mon verre est vide.
Elle se relève péniblement, quitte la table en laissant une petite flaque de mouille, là où était posé son fessier. La démarche à l’équilibre précaire, encore sous le coup des caresses vicieuses qu’elle subissait, elle approche de son Maître. Au moment où elle penche la bouteille pour le servir, il glisse une main entre les cuisses de Sunao qui, instantanément, frémit.
Ne renverse pas une goutte sur mon costume, fais attention !
Il enfonce un doigt dans son petit trou et fait de doux va-et-vient.
Les autres hommes se sont rassis à leurs places, la queue toujours bandée ; certains continuent de se masturber lentement, attendant la suite des évènements.
Sunao verse le liquide, contenant avec difficulté le plaisir un peu malsain qu’elle ressent à servir son amant avec un doigt enfoncé dans son cul devant tous ces vicieux.
Tu as envie de jouir ?
Ouiii, s’il vous plait, faites-moi…
Délaissant son cratère anal, son Maître vient d’introduire deux autres de ses doigts dans la chatte, interrompant la réponse de la Geisha.
Es-tu une salope, Sunao ?
Oui je suis une salope, une sale cochonne, oh mon dieu… vous me rendez folle !
Écarte bien les genoux, laisse-toi faire et reste debout, et surtout n’oublie pas de bien me regarder dans les yeux.
Il entame alors un mouvement rapide de son poignet, les doigts en crochet dans le con déjà baveux de la belle. La paume de sa main frottant contre le clito, le mouvement accélère, de plus en plus vite, les doigts irritant la paroi interne du vagin. Sunao crie de plaisir, son corps se tortille, le bassin ondule au rythme des caresses de son Maître.
Soudain, un jet de liquide fuse de sa chatte. Puis, une averse de mouille gicle et souille la manchette de la chemise de l’homme. Elle coule le long des cuisses de la Geisha, jusqu’à former une flaque sur le sol qui laisse pantois les voyeurs.
Sunao gémit, crie, les yeux révulsés, puis finit par s’effondrer au sol, le derrière dans la flaque de mouille. La scène est tellement excitante que deux des autres hommes se précipitent sur elle ; dans un gémissement sourd continu et le visage tordu par le plaisir, ils éjaculent leur sale foutre sur le corps nu à leurs pieds, agité de tremblements.
Portez-la sur la table ! Ordonna l’hôte.
Les deux autres hommes saisissent chacun une jambe et un bras, la soulève et la pose délicatement sur le plateau. Le regard hagard, Sunao tremble encore de plaisir.
Tenez-lui les cuisses écartées ! Je vais vous montrer comment je baise ma soumise.
Les deux hommes obéirent. Le Maître pose son gland à lentrée de la jolie chatte débordante de mouille, et s’enfonce d’un trait. Une nouvelle fois elle crie de plaisir. Son vagin étroit se resserre sur la grosse queue bien dure qui la remplit si bien et la rend folle.
Il entame alors une série de va-et-vient à un rythme effréné. Le magnifique corps de la soumise se cambre, le bassin tendu contre le sien. Les couilles pleines de son Maître butent sur les fesses ; son ventre claque sur les cuisses, sa queue frottant la paroi supérieure de son vagin.
Une douce chaleur envahit Sunao ; des ondes électriques parcourent son corps en couvrant sa peau de frissons. Puis, un brasier sallume au creux de son ventre. Sa chatte dégoulinante émet des clapotements obscènes. Les yeux mi-clos, elle crie de plaisir, les mains crispées sur les bords de la table.
Un homme vient se placer au-dessus du visage de Sunao, se branlant vigoureusement la queue. Il pousse des râles et de longues giclées de sperme giclent sur les cheveux et les joues. Excitée par la jouissance, un orgasme foudroie la Geisha. Elle ne crie plus, elle hurle comme une chienne en chaleur. Son bassin se tend sur la queue de son Maître, sa chatte se resserre. Les deux hommes raffermissent leur prise sur les cuisses, alors que son corps est secoué de spasmes.
Le Maître retire son mandrin brillant de mouille et l’enfonce d’un trait dans le petit trou ouvert denvie. Un éclair traverse le corps de Sunao, elle hurle encore de plaisir, le corps cambré. Il retire sa bite et la remet aussitôt violemment. Puis, il recommence une dernière fois. Enfin, le Maître défonce le petit trou à vive allure.
Soudain, l’homme qui tenait la cuisse gauche se décale, pour enfoncer violemment sa queue dans la bouche de la Geisha. Un autre homme se place au-dessus de son visage. Ils jouissent tous les deux en même temps, le visage tordu de plaisir. Le sperme de l’un inonde sa bouche, et celui de l’autre nappe sa joue et son nez.
Lhomme qui tenait la jambe droite se décale lui aussi en poussant des grognements sauvages. Son gland éjecte de longues giclées de sperme qui arrosent les seins aux petits tétons roses.
Chacun leur tour, ils donnent leurs pines et leurs doigts à lécher et à nettoyer à Sunao. Le Maître pilonne toujours son cul en la regardant pourlécher les spermes avec délice.
Soudainement, il se retire du cul de la jeune femme et lui enfonce sa queue dans la bouche jusquà la garde. Son sperme chaud gicle bien au fond tandis qu’il hurle de plaisir. Le corps parcourut de spasmes, il reste immobile quelques instants. Puis, il se retire, frotte sa belle queue sur la langue de Sunao.
Ne bouge pas ! Ordonne-t-il.
La peau couverte de sperme colle et tiraille, mais elle reste bien immobile.
Les hommes ajustent leurs vêtements et se rassoient. Ils reprennent le fil de leur conversation en dégustant leur champagne. Lorsque sa coupe fut vide, le Maître autorise Sunao à descendre de la table pour les servir, la peau souillée et brillante.
Je remercie HPassage pour cette co-écriture improvisée. M’adapter à ton style d’écriture et à ton inspiration a été un exercice très intéressant.
Thea