Quelques jours passent, notre relation amoureuse grandit, nos jeux prennent de lampleur, ma fille et moi navons plus de secret jusquau soir où elle vient à me parler de Michel, je devais my attendre. Elle me dit que cest normal quelle le connaisse et que je serais mieux à la maison de temps en temps plutôt que de passer le week-end toujours chez lui. Je lui demande si elle nest pas un peu jalouse.
— Je ne peux pas être jalouse de celle que jaime.
Décidément ma fille est mûre, ça promet.
Maintenant je dois mettre Michel au courant de mes aventures, je ne sais pas comment il va le prendre mais je ne peux pas lui dissimuler cette relation.
Il est vrai que Michel maime énormément et cest réciproque, il connaît les problèmes que jai avec ma fille quil na jamais vue. Jai du lui dévoiler, jours après jours, combien ma fille est déprimée depuis labsence de son père, elle ne supporte pas dêtre seule dans sa chambre et que je suis obligée de la laisser venir dans mon lit sinon cest la crise de larmes assurée. Au fur et mesure de nos rencontres, Michel finit par connaître parfaitement les relations que jai avec ma fille. Jai réussi à tout lui dire, par de petites phrases bien placées au cours de nos conversations, ce qui a amené mon compagnon à me demander sil peut nous voir toutes les deux dans nos jeux intimes. Cette idée ne menchante pas, de plus il ne connaît pas Isa, ce que je lui fais sentir. Cependant, dans mon cur, jai très envie de faire plaisir à l’homme que j’aime, encore faut il quIsabelle soit daccord, elle qui me demande toujours quand je vais lui présenter Michel.
Après de plus en plus dinsistance de part et dautre, je finis par céder aux êtres que jaime le plus au monde. La date fixée, jorganise donc un week-end pour les rencontres tant attendues où Michel connaîtra Isabelle de visu et passera la nuit à la maison pour la première fois. Le samedi soir en question, les présentations ont été chaleureuses. Très vite une sympathie sest instaurée entre Isabelle et Michel. La similitude de leurs situations ny était sans doute pas pour rien. Les conversations allaient des sujets les plus variés, de la musique au sport, de la littérature aux vacances
Je me trouve entre ces deux personnes comme une reine, ils sont aux petits soins pour moi, à celle ou celui qui me fera le plus de compliments, ces deux personnes maiment. Il y a aussi beaucoup de louanges sur la beauté dIsabelle, et sur le charme de Michel, donc tout va bien pour moi qui appréhendait cette rencontre et finalement ces deux jours ont été formidables, Isabelle et Michel sentendent à merveille, Isabelle na pas fait son cinéma, elle a dormi sagement, seule dans sa chambre. Michel ma fait lamour comme un fou, peut-être quil fantasmait sur Isabelle. Le lendemain soir Michel est parti, Isabelle ma rejoint dans le lit pour venir chercher sa dose de bonheur.
Cette relation au fil des semaines se renforçait dans une complicité qui se passait de mots trop précis. Il sagissait dune entente tacite, dune communication par les sensations et les sentiments que chacun ressentait de son côté. Des émotions aussi.
Cest après trois mois environ que ma fille me dit quelle aimerait voir ce que je fais avec Michel, cette demande est comme une volonté de sa part et coïncide avec celle de Michel qui remettait le couvert par ses petites suggestions pour me voir avec Isabelle. Pour gagner du temps, je lui réponds que je dois demander à Michel, mais je pense que ça ne mavancera guère.
Quand jai annoncé la dernière trouvaille de ma fille à Michel, il ma étreint très chaleureusement, je suis coincée entre mes deux amours, je pense de plus en plus que je vais être obligée de céder.
Le samedi suivant Michel est à la maison, aucune allusion pendant le dîner, à lheure de se coucher, Isabelle nous dit bonne nuit et quitte la pièce. Michel et moi papotons encore un peu, passons à la salle de bain et allons nous coucher. Jallume la lampe de chevet, mon regard tombe sur ma fille assise tranquillement dans le petit fauteuil meublant un coin de la chambre, elle est vêtue dune nuisette et me sourit en voulant dire : Jattends maman. Je lui dis quelle ne manque pas de culot, sa réponse fut nette: « NON »
Michel, les yeux pétillant sassied sur le lit, retire son peignoir et rentre sous la couette en évitant de montrer son corps nu. Jinsiste encore pour quelle se retire mais finalement sans trop insister, je vois bien que rien ny fera et ce Michel qui sourit bêtement. Je suis sûre quils se sont mis daccord pour faire cette affaire. Je suis obligée de me résigner en me disant que tôt ou tard, il faudra que ça se fasse. Alors je me laisse aller et me couche le plus simplement du monde sans cacher ma nudité. Je me blottis contre mon amoureux nayant pas dautre choix, quand même un peu gênée par le regard de ma fille. Michel prend linitiative en commençant une série de préliminaires savants et excitants.
La couette est vite refoulée au bout du lit. Mon amant se montre très habile dans ses caresses, ses baisers sont des plus efficaces, nous retrouvons têtes bêches, moi dessous, la bouche pleine. Nous nous aimons fougueusement en oubliant complètement la présence dIsabelle.
Cest quand la main de ma fille apparaît sur le périnée de Michel pour saisir les couilles, que je reviens à la réalité. Je me dis que vraiment cette petite garce est de plus en plus délurée. Mon amoureux a bien senti les doigts légers dIsabelle, la verge se fait plus dure dans ma bouche. Je pense que ma fille distillait ce désir depuis déjà pas mal de temps
Ses doigts saventurent entre les fesses poilues pour venir encercler la tige plantée entre mes lèvres. Je ne peux que lui laisser lobjet quelle saisit, elle le palpe et entame une masturbation lente et maladroite sous mes yeux. Jaccompagne la main dIsabelle sur la verge luisante en fixant son regard brillant malgré la faible lumière. Son autre main me caresse le visage, je ferme les yeux pour apprécier ces merveilleux instants, mon Michel ne tient plus, il envoie tout ce que ses couilles lui permettent dexpulser, je me jette sur le gland pour en récupérer le maximum, Michel se dégage sur le côté, le sexe ramolli.
Isa me regarde, ses yeux sont plantés dans les miens, pas moyen d’y échapper. Ils m’interrogent, observent mes réactions. Nous sommes serrées l’une contre l’autre, les yeux maintenant fermés. Elle sait que Michel nous regarde avec beaucoup dintérêt. Elle me donne de petits bécots sur le front, baise mes yeux, picore mon nez, suce le lobe d’une oreille. Sa bouche descend vers mon cou, ou elle me provoque de délicieux frissons. Elle pose ses lèvres sur les miennes, nos langues senroulent.
La chaleur de nos corps grimpe rapidement, je caresse sa petite poitrine dune main en lui massant le dos de lautre main. Sa bouche se sépare et vient sur mes seins pour finalement descendre dans ma toison. On sest retrouvées tête bêche en nous gougnottant, la présence de Michel nous surexcite, je me tords de plaisir telle une anguille lorsque ma fille titille mon petit trou de sa langue pour essayer de sintroduire, elle tente de remplacer sa langue par un doigt, à partir de ce moment je ne me suis plus retenue, jai joui en étouffant mes gémissements entre ses cuisses. Je crois quIsa a voulu faire du zèle pour notre ami, faire beaucoup mieux que dhabitude, elle a pris son pied autant que moi à en juger son état, elle respire fort et sest affalée sur moi.
Michel ne perd pas une miette, les yeux rivés sur les fesses dIsa, il caresse son membre qui a vite repris de la vigueur, je me délivre de ma fille inerte en la couchant à côté de moi, je métends sur le dos pour que mon amant me fasse lamour, jai très envie dune pénétration.
— Viens Chéri, baise-moi tout de suite. Lui dis-je.
Me retrouver dans un tel état dexcitation minquiète presque, comment je peux abandonner ma réserve devant ma fille pour me conduire à linstar dune vraie femelle en chaleur. Michel nest pas lhomme à se poser autant de questions, ma position lui convient et il y répond favorablement. Je moffre en soulevant mon derrière, je ne suis quun frisson, tout mon être se concentre sur ce pieu plongé dans mon corps. Je suis labourée et vaincue dans cette joute inégale, à nouveau ma jouissance est immense, Michel risque encore quelques coups de reins, il ouvre ses vannes de flots liquoreux qui courent dans mon ventre.
Dans un soupir de résignation, je me tourne vers Isabelle qui a regardé nos débats, je suis hors du temps. Un baiser frais sur mon front me ramène sur terre, le contact doux et soyeux de ses mains qui se glissent sous ma tête et qui me ramène près de son corps, mon visage sur sa petite poitrine, son cur bat très fort en résonnant à mon oreille. Nous restons ainsi sans dire un mot. Juste des corps qui se reposent, qui tentent de reprendre pied, ce petit sein sous ma joue est chaud, lélasticité de sa chair et ce téton qui agace mon nez, je bouge la tête pour embrasser le bouton avec dévotion et respect. Mes lèvres semparent de ce petit bout de ma fille pour le sucer tandis que mon corps tout entier se love contre le sien, ses bras se referment sur ma nuque. Longuement jai suçoté le sein de ma fille, je me suis endormie sur elle, son autre sein enfermé dans ma main.
Le son de la radio me réveille, je suis seule dans le lit, je me lève pour aller vers la cuisine où une odeur de café mattire, Isabelle et Michel assis de part et dautre de la table, prennent leur petit déjeuner. Nous exprimions notre connivence complice, l’essence trouble de notre amitié. Cette histoire complice et complexe est vécue comme un désir de plaisirs partagés dans un amour sincère avec en plus une communion damitié parfaite.