Elle Jouit en toute liberté de cette nouvelle expérience. Jouit pleinement de la vulve qui soffre à elle, nacrée, perlée… finement dessinée. Elle lèche suce, mordille, explore et excite… mais ne perd pas une miette des sensations que lui procurent les caresses dÉlodie. Les deux femmes laissent libre cours à leurs envies… sensuelles et sauvages… sensuelles surtout… au sens où à lécoute de lune et de lautre, elles arrivent ensemble au paroxysme du plaisir unissant leurs cris et les soubresauts de leurs corps. Anne a senti un spasme incroyablement profond naître tout au fond delle … un spasme qui ne pouvait exploser en un cri… Et ce fut la même chose pour Élodie. Symphonie du plaisir en plusieurs temps…
Au bord de lévanouissement mais totalement épanouies, les deux amantes salanguirent… Têtes bêche, cuisses ouvertes, sexes ruisselants. Anne la première eut envie de lécher le plaisir de sa partenaire. Cétait bon, chaud, légèrement salé, et onctueux. Lorsquelles furent un peu rassérénées, elles sassirent face à face, lune assise au creux des jambes ouvertes de lautre, de sorte que leurs corps pouvaient une fois encore sépouser.
Encore haletantes, elles sembrassaient à pleine bouche, se caressaient doucement… cherchaient lapaisement… goûtaient la plénitude du moment.
Élodie, merci… cétait… un véritable éblouissement, aussi inattendu que surprenant. Jen ai encore des frissons dans le ventre… au plus profond.
Anne était émue, aux larmes. Elle embrassait Élodie presque amoureusement, tendrement… Elle était vraiment bouleversée.
Mais Anne, je nai rien fait… enfin… je veux dire que je nai rien eu à vous apprendre, même pas à vous guider… Jallais dire que vous aviez été parfaite, mais cest même pas de ça dont il sagit. Vous avez su trouver le chemin toute seule. Je nen doutais pas. Je sais que vous êtes une femme attentive, autant à votre partenaire quà vous même. Vous illustrez bien ce quest réellement la sensualité… un partage et donc une écoute du corps, une écoute de lautre… avec ou sans les mots… surtout sans les mots.. Et Élodie, émue elle aussi léchait les larmes de son élève qui était surtout une amante magnifique.
Anne sallonge sur le dos, réellement épuisée mais tellement heureuse. Complètement hors du temps. Élodie ne peut sempêcher dadmirer le corps encore perlé de sueur de son amante dun soir… dun soir… elle espère bien que dautres occasions intimes se présenteront.
Et Anne pense la même chose. Elle est loin de ce quelle imaginait en laissant son homme pantois ce soir, au seuil de la porte et de son désir.
Apaisement
Anne avait encore envie du corps dÉlodie… mais un désir tendre. Elle était réellement chamboulée par ce quelle venait de vivre. Elle caresse sa maîtresse… puis vient sallonger sur elle en prenant soin de se faire légère. Mais Élodie la serre dans bras. Elle aussi a envie de ce contact charnel, tendre et charnel. Leurs seins, leur ventre… leur pubis… tout leur corps en contact de lautre. Connectées… Long baiser… brasier encore chaud …
Élodie… Je ne sais plus où jen suis… Ce qui sest passé est un peu inattendu. Je nétais pas venu là pour ça, mais cest un magnifique cadeau du hasard.
Ne regrettez surtout pas, Anne… profitez de ce moment. Ça a été très fort. Je vous promets que ma première expérience avec une femme nétait pas aussi belle. Ça ressemblait plus à un mauvais défi de fin de soirée… bref pas un moment inoubliable. Sauf que caresser les seins dune femme, caresser son corps lisse… ça … jen ai ensuite conservé lenvie. Et jai eu plusieurs occasions dassouvir cette envie de façon plutôt agréable… Mais aujourdhui de fut une véritable explosion de plaisir… jen ai encore des spasmes légers et délicieux au creux du ventre.
Les deux femmes restent un long moment enlacées, blotties lune contre lautre. Elles se lèvent enfin, à regret… mais prolongent encore leur duo charnel sous une douche bien chaude, chacune savonnant lautre.
Lapaisement vient, petit à petit et dans la douceur parfumé dun sauna.
Retour au point de départ
Elles retournent au bar et boivent un verre les yeux dans les yeux. Élodie rompt le silence avec un sourire dans le regard…
Anne, je crois bien que vous nétiez pas venue pour ça… nest-ce pas ? Je suis curieuse de savoir ce que vous aviez en tête…
Anne se sentit rougir, ce qui ne manqua pas de létonner. Aussi incroyable que cela pouvait lui paraître, elle avait réellement perdu le contrôle. A son insu, elle était en train de tomber amoureuse dÉlodie !
Il fallait quelle se reprenne durgence… non pas que la jeune femme lui déplût… et cétait peut-être bien ça le problème. Non seulement elle avait profondément aimé ce quelles avaient fait ensemble, mais elle ressentait en plus quune sorte de lien sétait noué entre elles. Il fallait quelle essaie doublier ça pour le moment… ce nétait pas pour ça quelle était venue en effet. Mais lidée mériterai bien quelle y revienne un jour.
Élodie, je nai pas lintention doublier ce qui vient de se passer entre nous… Tu as découvert ou confirmé ce que tu imaginais de moi… et tu mas révélé quelque chose que jai longtemps ignoré… Je ne regrette absolument rien. Aujourdhui, jai juste envie de te dire que je suis heureuse de lavoir découvert avec toi. Mais si tu le veux bien, nous reparlerons de ce moment une autre fois… Je veux que tu saches tout de ce que je ressens maintenant.
Mais en effet, jétais venue avec un autre scénario en tête, et qui na rien à voir… Vraiment rien à voir.
Elle lui explique alors quelle a dit à son mari quelle allait lappeler et quil devrait être attentif à ce quil allait entendre… ou peut-être voir…
Elle va dabord choisir 2 couples, des habitués dont elle connaît la classe et les penchants des dames pour le partage, y compris entre femmes. Élodie laide à trouver ces 4 oiseaux rares et ils vont senfermer dans une chambre avec une paroi miroir sans tain. Ils seront observés, mais ne sauront pas par qui.
Puisque tout le monde est daccord, elle envoie un SMS à son homme.
