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Débuts d'une soumise – Chapitre 3

Débuts d'une soumise - Chapitre 3



Nouveau chapitre où nous commencerons seulement à entrer véritablement dans le vif du sujet, laissez moi vos impressions sur le forum ou par mail.

La voiture noire à lallure anonyme se gara tôt le lendemain devant chez la jeune fille. Elle attendait, résolue et excitée, portant une tenue à lallure plutôt décontracté, jean et t-shirt à manches longues un peu ample pour cacher la tenue de cuir quelle portait en dessous.

Loppressante sensualité du cuir contre sa chair tiède suffisait déjà à affoler ses sens, la tenue était parfaitement ajustée, comme une seconde peau, étreignant ses seins, ses hanches En marchant, elle sentait parfois les fermetures éclairs placé au niveau des seins et de lentrejambe frotter contre sa chair, faisant pratiquement tituber la jeune fille, qui, les yeux hagards de désir, se rattachait alors à la poignée de sa valise comme à une bouée de sauvetage.

Elle se sentait désirable dans le cuir noir que son maître avait fait réaliser pour elle, elle sentait toute la force charnelle quelle pouvait déployer. Son sexe shumidifiait constamment depuis quelle portait le cuir, et quand elle referma la porte après avoir embrassé sa vieille grand-mère en promettant de lui téléphoner dès quelle pourrait, elle sentit pratiquement son ventre se tordre de désir inassouvi.

Le chauffeur de la voiture, était un type maussade pas franchement bavard, qui jeta la valise dans le coffre avant de lui ouvrir la porte de la voiture dun air empressé. Ils quittèrent la rue où habitait la jeune fille, puis la ville, alors il sarrêta et se tourna vers la passagère :

-Le monsieur qui a commandé la voiture pour vous a demandé que vous ne connaissiez pas la destination, il faut que je vous bande les yeux

Les muscles noués par lanxiété, elle hocha faiblement de la tête et lhomme sans rien ajouter dautre lui banda les yeux sans douceur. La voiture recommença à rouler durant un long moment. La voiture sarrêta finalement et la main rugueuse du chauffeur décrocha le bandeau. La jeune fille fut un instant éblouie par la lumière puis elle distingua lenvironnement autour delle. La voiture était garée devant un grand portail noir en fer forgé délimitant lespace dune vaste propriété, et devant la porte, se tenait le maître !

A cette vue, la jeune fille sentit à nouveau son ventre se contracter furieusement, et les frémissements convulsifs qui la parcouraient reprirent, faisant frotter sa peau contre le cuir. Le chauffeur descendit sa valise puis lui ouvrit la portière. Elle sortit, encore titubante, devant lutter contre la paralysie qui semparait de ses jambes et durcissaient ses muscles.

Son maître lui adressa u bref regard, puis se détournant, remercia le chauffeur, lui fourrant un billet dans la main. La voiture repartit rapidement. Il prit la valise et fit signe à la jeune fille de le suivre sans lui adresser la parole. Franchissant le portail la jeune fille découvrit un grand jardin impeccablement entretenu, au loin, elle entendit un chien aboyer et tourna la tête pour tenter dapercevoir le canidé. Mais il était invisible.

-Ne tinquiète pas, le chien de garde est attaché. Contente-toi de me suivre.

Le long chemin de sable et de gravier ratissé avec soin les conduisit jusquà la porte dune grande maison. Le maître passa naturellement le premier et elle attendit avec appréhension quil lui fasse signe de rentrer. Il pointa un doigt inquisiteur sur elle et dit :

-Avant dentrer, retire-moi ses vêtements sans forme et montre-moi ton habit de soumise.

Elle retira avec empressement son t-shirt et son jean, exposant son corps parfaitement moulé dans le cuir fin, soulignant chacune de ses courbes. La vision était obscène, mais eut lair de plaire au maître qui lui fit signe dentrer.

Elle pénétra dans une vaste pièce décorée et meublée avec goût qui desservait plusieurs couloirs. Le maître lui indiqua :

-Les pièces de ses couloirs te sont interdites, elles sont réservées aux humains libres et tu ne le seras bientôt plus. Je vais tindiquer les pièces qui te sont accessibles.

Il ouvrit une porte donnant accès à un escalier qui descendait vers les entrailles de la maison. Il indiqua :

-Il y a un très grand sous-sol sorganisant en plusieurs sections. Ici ta chambre, pose-y ta valise, tu auras le temps de la regarder plus tard. Mais là, nous avons ton pucelage à faire sauter.

Il disait dune voix détachée, comme sil sagissait dune simple formalité. La jeune fille posa la valise près du lit avec brusquerie, les jambes à nouveau paralysées et la bouche entrouverte de terreur. Mais le maître ignora son air craintif et continua dans le couloir sombre du sous-sol jusquà une grande porte de fer qui semblait insonorisée et renforcée.

-Cest ici que ça va se passer ! dit-il dune voix goguenarde en déverrouillant la porte. La porte souvrit lentement, dévoilant un espace éclairé par une lumière blanche plutôt violente, qui rappela à la jeune fille, les spots employés dans les blocs chirurgicaux. Le maître lui indiqua dun signe de menton dentrer.

Elle pénétra, tremblante, dans la pièce sans fenêtre et vit que le mobilier se limitait à une étrange table basse posée au centre et ornée de plusieurs pièce de harnachement. La porte claqua derrière elle, son maître venait dentrer, et elle se tourna vers lui.

-A genoux devant la table, ordonna-t-il.

Elle obéit, le cur battant, curieuse et inquiète de la suite. Le cuir neuf crissa quand elle plia les genoux, et quand elle fut devant la table, il passa autour de ses cuisses les liens de cuir accrochés à la petite table, qui, constata t-elle, était soudée au sol par des vis pour lempêcher de bouger. Le maître ne disait rien, se contentant daccrocher les sangles très serrées en la touchant le moins possible. Mais le cuir épais de sa combinaison lempêchait de toute manière de ressentir vraiment ses faibles attouchements. Quand elle fut attachée à genoux, les cuisses écartées immobilisées par les pieds de la table, le maître se releva un court instant et lui dit :

— Couche-toi sur la table, cambre ton cul.

Elle sexécuta aussitôt, collant sa poitrine habillée de cuir contre la table de métal froid qui la fit frissonner. Il attacha ses bras le long de la table, par le même harnachement qui avait servi à enserrer ses cuisses. Elle était à présent complètement immobilisée, le dos cambré, dans une posture offerte pour quand le maître viendrait sintéresser à son entrejambe. Mais il manquait encore quelque chose, le maître lattrapa sous le menton et lui dit son visage tout proche du sien :

— Tu seras bientôt la soumise de façon pleine et entière. Ceci va être un moment très spécial mais je ne veux pas que tu en profites trop pleinement.

Il brandit alors devant elle un masque-bâillon pareil à celui quelle avait vu dans le sex-shop plusieurs mois auparavant. Sans dire un mot de plus, il passa le bâillon autour de sa tête, lui enfonçant sans ménagement la boule qui lempêcherait de crier dans la bouche, puis lajusta à laide de petites sangles. La soumise fut alors plongée dans lobscurité et imperméable au son, ses yeux et ses oreilles couverts par le bâillon.

Devant la disparition de ses fonctions sensitives, attachée et livrée comme elle était, elle fut prise de tremblements convulsifs, une boule dangoisse se forma dans sa gorge et elle sentit ses yeux shumidifier. La main chaude de son maître se posa un bref instant sur son dos, comme la rassurer mais cette brève caresse ne dura pas et bientôt la présence apaisante dans son dos disparut et elle fut de nouveau plongée dans une totale ignorance de ce qui se passait autour delle.

Au bout dun temps plutôt court sans doute, mais qui lui avait paru déjà très long, elle sentit quon descendait la fermeture éclair qui donnait accès à son sexe, exposant son intimité à lair froid de la cave. Elle recommença à frissonner, et si elle ne claquait pas des dents, cest uniquement parce que bâillon lempêchait. Deux doigts écartèrent ses grandes lèvres, un autre se glissa dans son vagin trempé mais ressortit très vite. La jeune fille comprit que son maître avait voulu vérifier quelle était bien vierge.

Un bruit sourd et paraissant lointain, quelle identifia comme le claquement de la porte lui indiqua que son maitre était sorti. Elle attendit longuement, toujours parcourue de frisson et bientôt son corps shabitua à lair frais et le temps passant, son angoisse diminua légèrement. Bientôt les muscles de son dos exagérément cambré commencèrent à la faire souffrir ainsi que ses genoux durement agressé par le sol. Sa mâchoire contractée par la tension permanente lélança douloureusement sans quelle puisse se soulager immobilisée par son masque-bâillon. Lattente devint interminable, elle ignorait si des heures ou des jours sétaient écoulés, et elle devait attendre attachée solidement, au bon vouloir de son maitre.

Puis le bruit sourd et lointain de la porte claquée, seul bruit qui pouvait lui parvenir, la fit sursauter.

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