Chapitre V
Nous étions là toutes les deux dans la chambre de mon amie. Moi assise sur le fauteuil, les collant sur les chevilles, Aurélie sur le sol, les jambes ouvertes. Un liquide blanc s’échappait de son sexe béant. Elle continuait à le masser en étalant la crème intime sur son corps avec un plaisir évident.
— C’est dingue la quantité de sperme que peut gicler un chien !! me dit-elle, tu sais les mecs, on a un dé à coudre, là on a carrément un verre à bière ! hahahaha !!
— Je comprends mieux ton érudition en matière de zoophilie. Ca fait longtemps que tu as découvert cela ?
— Ohh ! Un an et demi à peu près. J’avais entendu parler de ces pratiques au cours d’une discussion entre copains, mais tu me connais, je ne pouvais pas rester dans l’expectative, il fallait que je connaisse tout sur ce sujet alors je suis allée me renseigner sur le net. Tu ne peux pas imaginer la quantité de sites qui parlent de ça et combien de femmes parlent de leur premières expériences zoophiles dans des forums . Et puis, un jour j’ai fait le pas. Nous avions un chien à la maison … Cartouche, donc ça n’a pas été difficile. Il a tout de suite compris. En fait je voulais voir s’il réagirait à certaines provocations. Hihihi tu sais ce que je faisais ? Je me caressais dans ma chambre et ensuite je me baladais sans culotte dans la maison. Je ne te raconte pas dans quel état il était !! Hihihihihi !!! Comme un fou, il n’arrêtait pas de me sentir les fesses jusqu’au jour où … Enfin bref ! Je vais prendre ma douche je te raconterai la suite plus tard.
Les souvenirs de mon amie évoquaient en moi des images récentes vécues pas plus tard que ce matin. Comment lui dire cela !
Aurélie se leva, s’étira en soupirant longuement. Des gouttes de sperme coulaient encore sur ses cuisses. Elle me sourit, s’approcha de moi et me déposa un petit baiser pointu sur le bout du nez en me disant
— Je suis contente que tu sois au courant de mon secret. Je ne savais pas à qui en parler. Je vois que je ne t’ai pas choquée. Tu ne m’as pas jugée non plus. Je t’en remercie. Allez je file.
Elle s’en alla en courant avec un petit rire de gamine. Je restais là, ne sachant que faire. Son baiser m’avait troublée, je dois l’avouer .
Je remontais mes collants et je filais aux toilettes pour m’essuyer un peu. Je revins , m’asseyant sur le lit d’Aurélie. Il fallait que je lui parle moi aussi de mes aventures. A mes pieds traînait la serviette qu’Aurélie avait placée sous elle pendant le coït. Elle était maculée du sperme de Cartouche. Je la ramassais et sentis pour voir si l’odeur était particulier.
Rien de spécial. J’eu peu honte de faire ce que je faisais, mais recommençais pour bien en percevoir les odeurs .Je me sentais un peu nerveuse.
— Et bien, je te surprends petite cochonne !! Ca t’intéresse ? Tu veux connaître le goût de la semence canine ? Tu veux le sucer ?
— Euh non, lui répondis je le visage en feu et le ventre aussi par la même occasion. Non je regardais c’est tout ! Bafouillais je , en regrettant de ne pas lui avoir dit « oui, j’ai envie »
Je me sentis rougir comme une tomate et tremblais comme une feuille. Terre ouvre-toi et prends-moi ! Je n’arrivais plus à articuler pratiquement au bord des larmes tellement j ’étais mal à l’aise.
— Héééé ! Je blague !! Ne le prends pas comme ça !! Humour humour !!
Ca y est ! Je pleurais comme une Magdeleine ! Je fondis en larmes. La pauvre Aurélie se confondit en excuses et drapée dans un drap de bain elle vint s’asseoir à côté de moi me prenant par les épaules.
— Ma pauvre Chantalou ! C’est comme ça qu’elle m’appelait
Je suis désolée, je ne voulais pas te vexer, ni te blesser. Je suis vraiment conne parfois. Je croyais que ça te ferait rire. Sérieux ! Je suis désolée, excuses-moi ! « Smack »
Et la voilà qui me refit un baiser sur la joue puis un autre dans le cou en me caressant les cheveux avec tendresse et délicatesse.
— Non rassure-toi, tu n’es pas coupable. Mais disons que . ta réflexion, le fait que tu m’aies fait peur . bon tout ça m’a un peu remuée. Et . aussi que . comment dire . tu n’avais pas tout a fait tord. En fait , c’est depuis que tu m’as parlé de sexe avec les chiens et bien je n’arrête pas d’y penser.
— Bon ce n’est pas grave, c’est normal tu sais . Et puis à nos âges, nous sommes jeunes et pleines d’hormones, d’envie et de vie !!
— Oui, mais en fait, ce matin . j’ai essayé avec mon chien. .d’abord je l’ai branlé pour voir comment était le sexe, et puis après c’est lui qui m’a léché. Mais depuis je me sens sale.
— Mon Dieuuuu ! Mais c’est super !! Il ne t’as pas montée encore non ? Pour de vrai j’entends, alors tu as goûté au cuni canin !!! Délicieux non ? La première fois j’ai cru que j’allais m’évanouir. Et puis après de fil en aiguille je suis allée plus loin. Il faudra que tu essaies aussi . Si tu veux, je t’aiderai ! OOOhhh c’est génial ! Ce sera notre secret. Secret de copines ! Secret de filles !! hahahahaha !! Au juste ! As tu envie de le faire ? as tu envie de te donner à Mambo ton chien,
En disant cela, elle rit à gorge déployée et me serra encore plus contre elle. La serviette qui enserrait sa poitrine montra quelques signes de fatigue et tomba légèrement dévoilant ses tétons roses et tendus.
– Oui !, m’entendis je lui répondre. Oui, j’ai envie de lui, mais je n’ose pas, je ne sais pas comment faire, je te l’avoue humblement
– Super mon amour ! Ne te fais pas de souci pour ça, je t’expliquerais, car la première fois, il ne faut pas faire n’importe quoi, mais je suis là, tu sais que tu peux compter sur ta copine. Bon ! Raconte moi tout, dis moi comment ça s’est passé, allez et en détail.
Je me mis à rigoler et entrepris le récit de mes aventures matinales.
Elle avait l’air d’apprécier car non seulement sa serviette était complètement tombée cette fois et je voyais bien que sa poitrine gonflait au fur et à mesure que l’histoire se déroulait. De plus je sentais que ses caresses devenaient de plus en plus appuyées et indiscrètes. Quand j’eu finis, sa main cette fois était carrément entre mes cuisses et je n’avais rien fait pour l’en empêcher ni pour l’enlever. Je me trouvais dans un état second, commençant à me demander sérieusement si tout ça allait était bien réelle où si j’étais entrain de rêver.
Aurélie, malgré son jeune âge avait une très forte personnalité et une très grande ascendance sur moi . je ne me connaissais pas de penchant lesbienne mais force était de constater que j’aimais ce qu’elle me faisait, que j’aimais ses doigts qui avaient quittés mes cuisses pour tenter une incursion entre les lèvres de mon sexe qui s’était grandement ouvertes pour leur laisser libre cours.
Mon corps tout entier tremblait, attendant avec impatience la suite des évènements et arriva ce qui devait arriver, nos lèvres ce sont trouver collées l’une à l’autre, nos langues se mélangeant pendant que ses doigts fureteurs caressaient et pénétraient mon ventre gluant de cyprine
Une sensation nouvelle et inexplicable m’envahit, j’aimais son baiser et je sentais une chaleur envahir mon ventre. Sans rien dire Aurélie me donna son corps en même temps qu’elle me déshabillait. Tout cela se passait comme dans un état de transe silencieuse, seulement guidée par un désir saphique mutuel.
La main d’Aurélie caressait maintenant mon sein et mon ventre. J’étais bien et mon corps prenait du plaisir sans chercher à s’en soustraire. Je m’abandonnais à ses baisers, à ses caresses et à ses mains qui glissaient sur la peau de mon corps qui se tendait comme un arc.
Ma respiration s’accélérât pendant que ses mains glissaient sur la peau de mes seins qui durcissaient sous ses caresses, j’avais l’impression de pouvoir en jouir. Maintenant sa bouche remplaçait ses mains. Je sentis ses lèvres aspirer le bout de mes seins et ses dents mordiller, par instants, mes tétons dont les pointes se dressaient fièrement.
Sa main glissât sur mon ventre et sur mes cuisses avant de venir caresser mon intimité. Son doigt écartât lentement mes lèvres avant de prendre possession de mon vagin dans lequel elle glissât un doigt pendant qu’un autre stimulait mon clito.
Aurélie accélérât ses mouvements, je sentais mon sang taper dans mes tempes avant qu’un orgasme me secouât et me terrassât violemment. Je laissais échapper un cri de jouissance et après, je ne me souvins de rien.
LE black-out, la petite mort. C’est sa bouche qui me ramenât à la réalité avec un baiser tendre. Je ne pus retenir mes larmes , tellement le plaisir et l’émotion avaient été intenses.
Elle me regardât et s’excusât d’avoir profité de la situation.
Mes mains n’étaient pas en reste s’énervant sur cette maudite serviette qui atterrit au sol. Elle avait un corps superbe avec sa poitrine en forme de poire qui se dressait fièrement. Je m’allongeais sur elle, mes seins collés aux siens et mes lèvres collées aux siennes. J’aimais sa chaleur et l’odeur de son corps. Ma bouche prit possession de ses seins pendant que ma main et mes doigts prenaient possession de son sexe. Elle soupirât et écartât les cuisses autant qu’elle le put à la rencontre du plaisir.
Son sexe ruisselait et je sentais son clito gonfler sous mes doigts. Son corps se tendit, sa bouche laissât échapper un long gémissement de plaisir. La jouissance qui la traversât fut d’une grande intensité car je vis ses yeux se révulser complètement , de la bave coulait sur la commissure de ses lèvres.
Je ne lui laissais pas de répit et accélérât ma masturbation. Aurélie, la bouche grande ouverte, semblait chercher l’air pendant que son Nième orgasme de la matinée la traversait de part en part . La jouissance la rendait encore plus belle et jamais je ne me lasserais de la regarder dans ces moments-là.
J’avais faim d’elle et Je me glissais entre ses cuisses, ma bouche embrassait son ventre et descendait rapidement vers son sexe pour en prendre possession, pendant que je glissais lentement un, puis deux doigts dans son vagin. Ma langue jouait avec son clito, que ma bouche aspirait avidement. La respiration de Aurélie s’accélérât de nouveau ne pouvant retenir les soupirs, puis les cris prémices de la jouissance qui naissait dans son ventre.
J’avais envie de la faire jouir vite et fort, ma langue devint folle et mes doigts s’agitaient de plus en plus rapidement en elle pendant que mon autre main masturbait mon sexe. Je bus la crème qui s’échappait de son vagin, me régalant et m’en barbouillant le visage comme dans une messe noire.
Il me semblait que ses sécrétions n’avaient pas tout à fait le même goût que les miennes. Je me souvins soudain de son accouplement avec Cartouche. Le léger dégoût était vite chassé par une surexcitation de la situation. Mes oreilles bourdonnaient, ses muscles se tétanisaient, ses mains s’accrochant à mes cheveux.
Je regardais mon amie jouir violemment sous mes caresses presque bestiales et la jouissance me traversât pratiquement au même moment comme dans une communion solennelle
Elle retombât épuisée, mais visiblement heureuse.
Mes mains et ma bouche venaient de donner du plaisir à une fille pour la première fois de ma vie, j’étais heureuse et ne ressentais aucune honte à ce bonheur. Nous nous enlaçons tendrement, nous étions toutes les deux en sueur et nos parfums intimes se mélangeaient.
Elle colla sa bouche contre la mienne, sa langue forçant ma bouche pour chercher la mienne, et c’est dans un baiser voluptueux qu’elle me dit
— « Je t’aime »
— Moi aussi Aurélie, je t’aime
Et nous nous endormîmes comme ça , heureuse, amoureuses, blotties l’une contre l’autre.
A notre réveil, nous nous sommes embrassées tendrement. Quelques caresses seulement sous la douche.
La faim commencent à se faire sentir, nous décidâmes de nous faire quelques sandwiches et le reste de l’après midi nous l’avons passé dans les bras l’une de l’autre devant la télé. Elle me racontant comment elle en était arrivée à se laisser monter par son chien, la solitude, le manque physique de sexe, peut-être autre chose mais qu’elle gardait en elle pour l’instant me promettant de tout me dire un jour. Moi, le ventre en feu à l’écouter, buvant ses paroles, m’imaginant à sa place, clouée par le sexe de Mambo
A mon départ, elle m’embrassât et me dit que si j’avais besoin de quoi que ce soit comme informations que je pouvais l’appeler.
Je repartis chez moi un peu perdue quand même, me demandant quel comportement allais je avoir à présent en retrouvant Mambo.
De l’avoir vue prise avec son chien, l’envie de me faire prendre par le mien avait chassé complètement les résolutions que j’avais prises, celles qui me disaient de ne pas céder à la tentation et de me contenter seulement de me faire lécher ou de le branler, mais de ne pas aller plus loin avec lui. J’allais le faire
Tout en pédalant, je me disais qu’ en une journée, j’étais passée d’hétéro simple voyeuse au statut de lesbienne et bientôt zoophile !
Tout en pédalant comme une dératée, je la voyais encore attachée au sexe de son amant à quatre pattes et j’en avais trop envie. Cette salope d’Aurélie m’avait donné son virus. En pensant que Mambo m’attendait à la maison, je sentis de nouveau mon sexe imbiber ma culotte. Je devenais malade moi aussi .
Devais je la maudire ou la vénérer ?
a suivre