Au début de notre relation, ma (future) femme et moi avions trouvé un sport commun, le squash.
Nouveaux dans cette grande ville, nous avons cherché un club sympa. Celui que nous avions trouvé était petit, 3 cours seulement, et particularité unique, avait un vestiaire mixte, seules les douches étaient séparées entre elles.
Aux horaires où nous allions jouer, souvent, le club était quasi vide, tout au plus 2 ou 3 habitués en train de boire un coup au bar, et les cours étaient généralement tous libres (un des avantages d’un petit club.)
Après avoir joué 2 parties acharnées, nous sommes allez prendre une douche salvatrice.
Nous rentrons dans le vestiaire, vide, comme on s’y attendait (et comme je l’espérais)
Nous nous déshabillons, et passons sous la douche. Bien sur, nous sommes allez dans la même cabine, et pas pour faire des économies d’eau, vous vous en doutez bien.
Nous nous savonnons le corps, et profitons de la glisse procurée par le gel douche pour nous caresser mutuellement. Ma femme me branle pendant que je cagole son clitoris, et profite de l’occasion pour glisser un doigt inquisiteur dans son cul, ce qui n’est pas pour lui déplaire, bien qu’elle n’aime pas trop ça.
Après quelques minutes de caresses, nous passons à des choses plus sérieuses. Ma femme se met à genoux pour prendre ma bite dans sa bouche et me procurer une fellation dont elle à le secret. Tout y passe, la langue le long de la bite, les boules gobées, pressées, une gorge profonde, bref, la panoplie de la parfaite suceuse. Je me laisse envahir par le plaisir, le dos appuyé au mur.
Au bout de quelques instants, je demande à ma femme de se mettre debout, et c’est à moi cette fois-ci de me mettre à genoux (il n’y a pas de raison que je sois le seul à prendre mon pied.) Je glisse alors ma langue dans son sexe chaud et humide, et titille son petit clito, chose qu’elle adore par dessus tout. Après quelques minutes de ce traitement, elle me demande de la pénétrer.
Comme la cabine n’est pas très grande, la seule solution est de la porter et de l’empaler sur ma queue.
Ma femme soit mince, mais elle est grande. Aussi, il n’est pas facile pour moi de la porter. Pour me soulager, elle a l’idée de poser ses mains au dessus du chambranle de la porte. Mais comme elle est fermée, elle n’a pas trop de prise.
Aussi, quelle ne fut pas ma surprise quand elle me demande d’ouvrir la porte, car nous ne savions pas si des joueurs étaient dans le vestiaire en train de se mettre en tenu.
Sous le coup de l’excitation, j’ouvre la porte doucement, ma femme toujours empalée sur ma queue. Ouf, personne. Nous allons pouvoir continuer a baiser un peu plus confortablement. Nous sortons de la douche doucement, car ma femme était toujours sur ma bite. Je la repose, puis lui demande de se baisser en avant, afin que je puisse la prendre en levrette, ce qu’elle fait sans discuter, car c’est sa position préférée.
Elle prend appui sur le banc, et je la pénètre de nouveau, profondément. Je la lime tout en lui caressant les seins d’une main, le clitoris de l’autre.
Vu que je ne suis pas d’une endurance folle, il ne me faut que quelques minutes pour éjaculer en elle, tout en veillant à ce quelle jouisse aussi (c’est impératif pour moi, et pour elle.)
Une fois notre affaire faite, nous retournons chacun dans un cabine, pour, cette fois, une douche sage.
Nous nous rhabillons, puis rejoignons le patron du club au bar. Dès que nous nous assoyons, celui-ci nous dit "alors, la douche était bonne ?" S’il savait….
Nous avons recommencé plusieurs fois, mais avec le temps, le club a changé, il y avait plus de monde, et il n’était plus possible de faire nos petites sauteries sans risquer de se faire surprendre. De toutes façons, un an après, et à la demande de joueurs (et joueuses), le club a construit des vestiaires supplémentaires, afin de séparer homme et femme. Dommage….