Bonjour, je m’appelle Franck et l’histoire que je vais vous raconter est bien réelle, j’ai bien évidement changer le nom de la fille mais rien d’autre.
Cette histoire s’est passé en janvier 2003, à l’époque je faisais mes classes dans l’armée, et dans ma promotion il y avait une dizaine de fille.
Bref comme de nombreuse base militaire, là où j’étais était assez isolé et se trouvait loin de tous en Finistère, et on avait pas tous des voitures pour rentré pendant les perm alors certains passaient leur repos dans la base car c’était assez mal desservie par la sncf.
Je suis un gars, de 175 pour 80 kg, pilier de rugby, je fais beaucoup de sport. Dans ma promo il y avait une des filles qu’on va appeler Jennifer. Brune cheveux mi long attaché en queue de cheval, 165cm, une cinquantaine de kilo, avec de petite lunettes, très coquine. Elle était assez jolie dans son genre mais n’avait pas inventé l’eau chaude.
Dans le jargon militaire c’est ce qu’on appel un trou de combat.
Jennifer était d’origine de la Savoie et elle ne rentrait qu’une fois par mois et je ne lui parlais pas trop.
Un weekend je suis resté a la base car j’étais de garde, vers 19 h le chef de poste m’a envoyé faire une ronde incendie. Donc je suis parti avec ma radio faire le tour des installations de la base, ce qui comprenait le bâtiment dortoir. Chaque chambre comprenait 6 lits et 6 armoires et abritait 6 soldats.
J’ai donc commencé par une ronde du RDC pour vérifier les bureaux des services puis le premier étage et pour finir le deuxième étage réservé au filles.
Une des portes coupe feu était resté ouvert et au moment où j’ai voulu la débloqué, mon attention a été attiré par des bruits provenant du couloir. C’était clairement des gémissements et l’espace d’une seconde j’ai cru que quelqu’un regardait un film x sur son ordi. Mais je me suis vite dis que le X ok mais point de film.
Je me suis approché en silence des différentes portes, pour localiser la source sonore.
Je localise enfin la chambre et je remarque que la porte est fermé mais pas à clé, car il y avait pas de verrou.
Je regarde sur la porte le nom des militaires dans la chambre. Et j’ai vu que Jennifer y figurait.
Je me suis dis que faut que je vois ce qu’elle fait, mais je ne pouvais pas ouvrir la porte car la plus part grinçaient. Je me suis donc rendu dans la chambre adjacente qui était ouvert et j’ai profité de l’obscurité du mois de janvier j’ai ouvert la fenêtre et je me suis assis sur le rebord pour pouvoir regarder dans la chambre d’à coté. C’était un peu risqué car je pouvais déraper et tomber du deuxième étages et il faisait assez froid. Mais ce que j’ai vu en valais le coup.
Je vois sur le lit le plus prés de moi, Jennifer en treillis. Elle est allongé sur son lit. Le pantalon de son uniforme est descendu à mi-mollet, sa veste ouverte sa chemise F1 remontée au dessus de sa poitrine. Elle porte un mini slip ou un string en dentelle violet et un soutif assorti d’où dépassent un sein très appétissant qu’elle malaxe de sa main gauche. Je vois clairement son téton érigé rouler sous ses doigts. Elle a les yeux fermé, ses lunette relevé sur ses cheveux et elle se mord la lèvre inférieur.
Son autre main n’est pas inactif, je vois son bassin se soulevé en rythme et sa main qui ayant écarté le linge, s’occupe de sa minette complétement épilé sauf un triangle de poils brun que je vois a moitié couvert par l’étoffe. Je suis comme subjugué par le spectacle qui m’est offert. J’ai une trique pas possible et je ne sais pas ce qui me retiens de passer dans la chambre d’à coté.
Je vois clairement son index et son majeur entrer et sortir de son con, alors qu’elle se caresse la clitoris avec son pouce. Ses doigts sont luisants de sa mouille et je donnerai n’importe quoi pour y gouter.
Après quelque minute elle soulève son bassin et descend son slip sur ses mollets, elle écarte le plus possible les genoux se redresse un peu sur sa tête de lit puis elle s’occupe de sa chatte, avec sa main gauche elle s’occupe de son clito et sa main droite elle saisi que brosse à cheveux qu’elle sort de sous les draps en vrac sous son corps. Elle s’enfonce le manche qui doit faire deux a trois cm de diamètre dans la chatte en étouffant ses gémissements.
Elle va doucement au début et accélère de plus en plus jusqu’à ce qu’elle explose en jouissant.
Elle se crispe et après quelque seconde sans un bruit elle retombe sur le lit aussi flasque qu’une capote rempli d’eau.
Je décide de m éclipser doucement pour éviter de me faire repéré. Juste en descendant du rebord de la fenêtre, je l’entend dire « putain qu’est ce que je donnerai pas pour une bonne queue !!!!»
ces mots m’assomment, un peu choqué mais hyper excité.
Au moment ou je quitte la chambre la tête plein de fantasmes, mon radio se met a crépiter car le chef de poste de sécurité essaye de me contacter pour savoir si tout allé bien.
J’appuie vite fais sur le pédale d’alternat de la radio pour couper la transmission et je me précipite en bas pour le recontacter pour dire RAS.
Je repars vers mon lieu de service en me disant qu’il me faut un plan pour me la faire ce weekend.
Il est 20 heure et je suis au réfectoire pour prendre mon repas du soir.
Je suis à table quand je vois arrivé Jennifer, elle était comme à son habitude sauf que tous le monde étant de repos on devait être 4 ou 5 dans le messe.
Elle se sert dans le buffet froid et fais un tour d’horizon, je suis le seul qui est de sa compagnie.
Je la voit me sourire, et je le lui rend d’instinct, elle vient alors vers moi, j’ai des flash de ce que j’avais vu qui traverse ma tête. Elle se plante devant moi de l’autre coté de la table et me dit avec un sourire :
-Bon app, je peux me joindre à toi?
Je lui répond :
— bien-sûr que oui avec plaisir.
Elle installe et on parle de tout et de rien.
Elle me dit: dis moi Franck, t’es assez calé sur le combat et l’armement non? (c’est vrai que c est ma spécialité)
je lui répond avec modestie : je suis pas à plaindre, je m’en tire pas mal.
est ce que je pourrai passer te voir pour que tu m’explique certain truc que j’ai pas compris en cours, et il y a une évaluation dans la semaine, je te le revaudrai.
Moi pas de soucis, au contraire, je me suis fais chier aujourd’hui, ce soir je suis de garde au poste et demain je suis de descendance alors sa me ferai plaisir d’avoir de la compagnie et en plus si je peux aider une camarade!!!!
elle cool c’est dommage qu’on a pas sympathisé avant.
Moi oui c’est vrai d’autant que t’es charmante.
Elle me sourit, elle rougit en disant que c’est gentil et me demande quel partie de nuit je fais.
Je lui répond que je fais 21h jusqu’à 2 h avant d’être relevé par quelqu’un d’une autre compagnie.
Sur ce je lui dis a regret que je dois justement aller prendre mon poste. Au moment de me lever elle m’attrape la main qui tiens mon plateau, je me fige et la regarde dans les yeux.
Elle a les yeux coquin comme pas deux, elle me sourit et me dis « je te plait? »
je reste un peu con sans voix devant sa question, et je bredouille un oui bien sûre.
Elle me relâche en gardant son sourire au lèvre, on dirait qu’elle a une sensation de victoire, et me lâche un « rappelle toi que je te le revaudrai ».
je la quitte et au moment ou je passe la porte j’entends « Franck !!! » je m’arrête et me retourne pour voir ce qu’elle veux encore, et elle me dit « je te plais, mais ça t’as plut aussi tout à l’heure? »
Là je me suis rendu compte qu’elle savait que je l’avais maté. Je parts un peu gêné mais exciter.
On est samedi soir il est 22h30 et la base est calme car très peu de gens sont resté, il n’y a plus de circulation et je regarde la télé en lisant un magazine qui traine en m’imaginant plein de scénario très chaud avec elle.
D’un coup je vois quelqu’un venir vers le poste dans le noir sur les caméra de surveillance, je me demande bien qui c’est, surement pas le chef de poste sa silhouette sphérique de ce vieil adjudant permettrai de l’identifier même dans le noir.
Je vois la porte s’ouvrir et Jennifer rentré avec ses cours à la main.
Elle me regarde, me sourit et me dit :
— je trouve pas le sommeil, et je me suis dis que ça serait pas cool de te déranger demain alors que t’as bosser de nuit pour te demander les explications. Je peux te tenir compagnie quelque minutes?
— pas de soucis, viens prends une chaise.
Elle s’assoit à coté de moi derrière la banque et ouvre ses cours. Je sais ce qu’elle veux et c’est surement pas la définition des termes mnémotechnique utilisé en combat ou le nom des pièces composants les fusil d’assaut, mais je décide de jouer son jeu. Pendant une dizaine de minute je lui explique la définition de anagrammes et le nom et le fonctionnement de différents armes.
Je fais un monologue et j’ai l’impression qu’elle boit mes paroles.
À un moment donnée elle se penche sur moi pour écrire une définition sur le papier qui est devant moi.
Son épaule touche mon torse, et elle pose sa main droite sur ma cuisse, pour prendre appuie, pour écrire comme elle est gauchère. Là j’ai comme un éclair dans mon entre jambe, et une se forme dans mon pantalon. Je me dis qu’elle ne peut pas le louper si elle tourne la tête un peu . Elle recule son coude jusqu’à a ce que ça touche mon ventre. Et au moment de se relever, je sens sa main me caresser la cuisse gauche du genoux jusqu’au haut de ma cuisse. Et la sa main se pose sur mon érection. Elle stoppe sur place et fixe pendant quelque seconde ma bosse.
Je ne bouge plus, j’ai le cur qui bât à 200, et les tempes qui jouent des percussions.
Elle tourne la tête et me regarde droit dans les yeux avec son regard de cochonne avec ses lunette, et elle me sourit de tout ses dents en me caressant la braguette.
Elle défait ma fermeture et extirpe ma bite qui ne demandait qu’à sortir.
Je ferme légèrement les yeux en apprécie le moment alors qu’elle entreprend de me masturber.
Je sort de mon état en l’entendant me dire avec sa petite voix « je te l’ai dis que je te le revaudrai !!!! » .
je la prend avec douceur le menton avec deux doigts je lui tourne la tête pour prendre sa bouche et je l’embrasse avec douceur.
Ses lèvres sont douces, chaudes, et sucrées. Je sens sa langue qui dépasse la limite de mes dent et rejoint la mienne pour rentrer dans une danse torride. Pendant ce moment elle continue ses mouvements plus que parfait sur mon membre qui gonfle à bloque. Je sens sa caresse sur mon gland hyper sensible à chaque cycle de sa main.
Je passe ma main droite entre les boutons de sa veste de treillis que je défait pour constater qu’elle ne porte ni tee shirt, ni soutif en dessous ce qui me donne un accès direct direct a son sein gauche que je voyais tantôt se faire malaxer. Sauf que la c’est ma main qui remplace la sienne.
Je sens ses seins durcir et je joue a rouler ses tétons sous mes doigts, la peau de auréole de son sein se friper et des gémissements sortir de sa bouche collée a la mienne.
Après ce court moment de pure bonheur elle quitte ma bouche me sourit a nouveau et se redresse sur sa chaise, elle défait le reste de ses boutons de sa veste et m’expose ses seins encore plus magnifique, un bon 90 B avec les téton durci, redressé comme pour quémander des caresses et les auréoles légèrement brunâtre mais pas trop. Elle viens s’assoir a califourchon sur mes cuisses. J’ai la bite en érection, coincé entre mon ventre et son pubis séparé par le tissu de son pantalon.
J’ai ses deux magnifiques globes juste devant mon visage, et je sens le parfum si particulier de sa peau qui inonde mes narines et qui m’enivre.
Je pose mes mains un peu froides de chaque coté de sa hanche, et je remonte doucement sur ses flancs et son ventre ce qui lui procure une légère contraction et doucement je remonte sur ses côtes pour arriver en dessous de ses seins. Au même moment, j’approche mon visage et je dépose quelques baisers sur son sternum. En décrivant un spiral de propagation, qui empiète sur les deux seins.
Je l’entend gémir ce qui m’encourage à continuer. J’entreprends alors de lui caresser un sein pendant que je malaxe l’autre en lui mangeant et en mordillant les tétons. Je sens que ça lui plait car en plus des gémissements, elle se met à bouger du bassin et se frotte la minette sur mes cuisses.
Je sens la chaleur de son entre-jambe sur ma cuisse.
Après quelque minutes, de ce traitement elle me demande d’arrêter car elle va jouir si je continu.
Elle se relève, se recule et se met a genou devant moi sous la banque qui la rend invisible de l’extérieur, et me fais une des meilleures fellation de ma vie. Sa langue joue sur mon gland et sur mon frein, elle me lèche sur toute la longueur en oscillant sa langue sur le trajet et me masse la bourse.
Puis elle me prend en bouche et commence un pompage en règle en aspirant, mon sexe le plus fort possible. De temps en temps elle abandonne mon sexe pour prendre mes couilles dans sa bouche et les gober elle joue avec dans sa bouche. Puis elle reprend sa fellation. Elle sait y faire il ne lui faut guère plus de 5 minutes pour me faire jaillir. Je sens le sperme monter et je sens surtout que je ne peu pas me retenir, je me crispe en lui disant que je viens, et elle amplifie ses mouvement me faisant comprendre de venir en elle.
Je pose mes mains sur sa tête et je lâche ma semence dans sa bouche. Elle me regarde droit dans les yeux avec ses yeux de cochonne derrière ses lunettes, elle me masturbe de sa main gauche en tenant mon gland emprisonné de sa bouche.
Lorsque mon sperme sort je vois ses yeux s’écarquiller, et sa joue creusé jusqu’à là se gonfler.
Après 3 ou 4 giclées, elle relâche ma queue mais la garde devant sa figure, et deux ou trois autre giclées vienne maculé son doux visage, et ses lunettes. Elle sourit encore ouvre sa bouche où elle avait gardé mon sperme, et racle avec ses doigts la semence sur son visage pour le mettre en bouche. Une fois la bouche remplie elle avale le tout puis ouvre la bouche et tire la langue pour me faire voir. Puis elle reprend ma bite en bouche pour me nettoyer.
J’ai joui mais j’ai pas débander entièrement alors après quelque minute de répit je décide de m’occuper d’elle.
Je la relève, elle est debout devant moi, la veste ouverte, les seins à l’air et j’ai sa ceinture devant les yeux.
Je commence a lui ouvrir celle-ci, puis le bouton de son treillis et la braguette. En ouvrant celle-ci je vois qu’elle ne porte pas de sous vêtement et au moment ou je saisi le haut de son pantalon pour le faire tomber elle retient mon geste et comme par une fausse timidité se retourne pour me présenté son magnifique petit cul. Elle descend lentement le tissu pour faire apparaître sa peau satinée. On dirai les premiers rayon de soleil qui s’étendant sur une lande à l’aurore. En baissant son pantalon, elle se penche et lorsqu’elle lâche le pantalon qui tombe sur ses mollets, elle est pliée à 90 degrés, le buste couché sur la banque, ses jambes galbées en face de moi et son petit cul musclé devant mes yeux formant l’angle.
Je pose sans me poser de question mes main sur ses hanche et je remonte sur ses globes de viande que je caresse. Puis je les embrasse, je les mordille en caressant ses cuisses.
Je sens l’odeur de sa mouille et je vois clairement son abricot gonflé et trempé, avec un morceau de ses nymphes qui dépasse. Plus ma main monte le long de sa cuisse, plus elle cambre son cul et écarte ses jambes. Après un moment ma main rentre en contact avec son abricot parfaitement épilé et chaud comme en fusion.
Je commence a la caresser de ma main et elle gémit de plus belle en me disant que c’est bon.
Je fais pression sur ces grande lèvres et je les entrouvre, mon majeur trouve sans difficulté son clitoris. Je suis assez surpris car celle-ci est assez gros et long on dirait la première phalange de mon auriculaire.
Son sexe est trempé et j’utilise sa mouille pour caresser son clito avec mon majeur pendant que les autres doigts lui écarte les lèvres, mon pouce caresse son sexe en entier et la pénètre doucement.
Elle gémie de plus en plus fort et sa peau et perlé de sueur, elle me demande d’aller plus vite et plus loin mais la position n’est pas adéquate. À chaque gémissement, je vois sa rosette se serrer et se desserrer comme un cur qui bât.
Je veux gouter à ce fruit gouteux et juteux. Je la retourne et l’assois sur le bord de la banque, puis elle se laisse incliné en arrière en écartant le compas de ses jambes. Je pose ma main gauche sur son pubis et je caresse un instant son petit triangle de poil brun bien délimité par un soin tout particulier.
Je vois son sexe entrouvert trempé de cyprine, et son impressionnant clitoris a moitié couvert par sa gaine de peau.
Je laisse ma main sur ses poils et je descend mon pouce sur son clito ce qui me vaut un hannnn de sa part. Je fais une légère pression et je remonte mon pour pour décalotter le bouton. Avec mon autre main je commence à lui introduire un puis deux doigt dans sa chatte trempé et je la pistonne lentement.
Ma bouche vient au contact de son sexe, je hume son odeur qui me rend dingue, je commence a lui mettre des coup de langue et remonte doucement sur son bouton. À cette instant elle lâche un bruit roque, je suis sûre maintenant qu’est et très très clitoridienne. Alors d’un coup comme un affamé je scotche ma bouche sur sa vulve, et j’entreprends de lui rendre sa fellation sur son clito que je sens durcir et grossir sous ma langue. En même temps je la pistonne de mes doigts et en quelque minute de ce traitement elle se contracte et s’arque-boute et explose sur mon visage, elle lâche une quantité assez impressionnante de mouille sur mon visage et mon tee shirt. Et retombe en arrière les jambe écarté, la minette a l’air et en nage, je lui picore le ventre de petit baiser le temps qu’elle redescende un peu je vois ses seins écarté par sa position qui se soulèvent à chaque respiration.
Je lui roule une pelle torride qu’elle me rend bien.
Je lui dis: – ça te dirai de continuer ?
Elle hoche la tête et m’embrasse a nouveau.
Je lui dit : vas te coucher, je fini mon service et je te rejoint.
Sur ce elle me dit ok, se relève se remet en condition et prend la direction de la porte.
Il me reste deux heure à tenir et je sais que je n’aurai pas froid ce soir dans mon lit en ce mois de janvier. Et surtout que je sais que je vais passé un très bon dimanche.
J’espère que mon histoire vous a pas déçu. Donnez moi votre avis sur [email protected] si vous voulez la suite
bonne fêtes de fin d’année et meilleur vux pour 2012