Cloé c’est engagée dans de longues études, sa maman et moi ne la voyons pratiquement plus.
Dès son retour de la fac, elle dîne, se douche, nous embrasse puis rejoint sa chambre, c’est très rarement qu’elle regarde la télévision avec nous, le peu de temps libre qu’elle a, elle le passe à travailler dans sa chambre.
Il est tard, je monte rejoindre ma femme qui doit dormir depuis un bon moment.
Je passe devant la chambre de ma fille, un rai de lumière passe sous sa porte, je frappe doucement, elle répond.
J’ouvre et entre dans la pièce, Cloé est assise dans un coin aménagé qui lui sert de bureau.
Je m’approche, pose mes mains sur ses épaules et les masse doucement et lui frotte le dos comme je le fais chaque soir.
Il est tard ma chérie !
Oui papa, je termine et je me couche aussitôt !
Je dépose un baiser sur sa joue et sors de la chambre.
Le lendemain matin, elle descend, prend son petit-déjeuner, elle est vêtue d’un t-shirt trop large et d’un short de nuit.
Elle nous embrasse puis prend place.
Une petite discussion s’engage.
Tu devrais prendre du temps pour te distraire ma chérie, et ne pas rester plongée dans tes livres comme tu le fais !
Maman, il y a des choses plus importantes que les distractions, crois-moi, mon avenir par exemple !
Ce que veut dire ta maman ma chérie, c’est de ne pas tabrutir avec tes devoirs, il faut que tu rencontres des gens, que tu sortes avec des amis, t’aérer, en un mot, te changer les idées, tu travailles trop !
Promis, je vais y penser !
La journée se passe normalement, chacun vaque à ses occupations.
Le soir très tard, je monte me coucher.
Comme à l’accoutumée, lorsque je vois de la lumière dans la chambre de ma fille, je frappe, pas de repose.
J’entre, ouvre la porte, elle est étendue sur le lit avec des écouteurs sur les oreilles.
Pour seul vêtement, elle ne porte que son t-shirt large qui lui arrive à mi-fesses, et d’une culotte qui moule admirablement ses fesses, elle feuillette un bouquin.
Elle sursaute en me voyant, et retire les écouteurs.
Oh papa, tu m’as fait peur !
J’ai frappé, mais j’ai pas eu de réponse ma chérie, donc je suis entré, tu vas bien !
Très bien papa, merci !
Je m’assieds sur le bord de son lit, elle me sourit.
Je glisse ma main sous son t-shirt et lui frotte délicatement le dos, elle soupire.
Humm, c’est bon papa, ça détend ! qu’elle me dit en souriant.
J’appuie plus fort et la masse lentement, son corps frémit, elle ferme les yeux.
En retirant ma main, je frôle sans le faire exprès son fessier, Cloé se cabre, je m’excuse de ce geste involontaire, elle me sourit.
Je sors de la chambre, sans omettre de l’inviter à se coucher.
Je me couche auprès de ma femme qui dort depuis longtemps.
Pendant toutes ces années, je n’avais pas remarqué que ma fille avait grandi, et qu’elle avait maintenant un corps de femme.
Je n’arrive pas à trouver le sommeil, je me tourne de tous les côtés.
Plein d’idées malsaines me passent dans la tête, j’en attrape même une érection.
Je deviens fou, voilà que je fantasme sur ma fille maintenant, il faut que je me reprenne.
Pour me calmer, je me plaque contre ma femme, mon membre tendu est contre ses fesses, je m’agite doucement contre son corps.
La pression et à son comble, je serre les dents, me raidis et remplis mon slip de sperme.
Rapidement, je me lève, me lave, enfile un pyjama et retourne me coucher.
J’avoue que ma nuit fut agitée.
La journée me parut longue, il me tarde de rentrer du travail.
Lorsque j’arrive, Cloé est dans le canapé, elle regarde la télé.
Surpris, je dis :
Oh ma chérie, tu n’es pas dans ta chambre aujourd’hui !
J’irai tout à l’heure papa, je dois changer, car je sors avec des copines !
Ah ça c’est magnifique, vous allez où ?
Je ne sais pas encore, au cinéma et après chez une autre amie !
Tu vas rentrer tard alors ?
Possible !
Je m’assieds à côté d’elle, nous parlons de choses et d’ autres, soudain, elle se blottit contre moi, sa tête est appuyée sur mon épaule, elle ronronne comme une chatte.
Ma femme rentre à l’instant, en souriant, elle lance:
Alors les amoureux, on flirte !
Cloé éclate de rire et ajoute :
Non c’est ton amant, pas le mien !
Dans l’histoire, c’est moi le plus gêné, Cloé s’écarte de moi et monte dans sa chambre.
Elle en redescend un peu plus tard, vêtue comme une collégienne japonaise, jupe courte écossaise, un chemisier blanc, elle ne porte pas de soutien-gorge, car on aperçoit nettement les pointes qui tentent de percer le fin tissu, de longues chaussettes blanches lui arrivent juste au-dessous du genou.
Mon Dieu comme tu es belle ma chérie ! que je lui dis en écarquillant les yeux.
Ma femme siffle d’admiration et dit :
Oh la nana, c’est une bombe ma fille, elle va faire des ravages !
Cloé nous sourit, nous embrasse puis disparaît.
Je suis resté de longues heures à attendre son retour devant la télévision, j’étais crispé, voire inquiet.
Enfin, la porte d’entrée s’ouvre, mon ange apparaît dans toute sa splendeur (je suis rassuré ).
Papa tu n’es pas couché!
Je mens un peu.
Non j’avais pas sommeil !
Alors ta soirée ?
Ouah, géniale, papa, nous avons fêté le premier emploi d’une amie, nous avons même bu du champagne, je suis un peu pompette moi qui bois jamais.
Pour une fois, tu es pardonné!
Il n’y avait pas de garçons avec vous ?
Oui, elles avaient toutes un copain sauf moi !
Mais j’en cherche pas rassure-toi, j’ai autre chose à penser !
Je peux te poser une question indiscrète ma chérie.
Oui mon petit papa, pose ta question !
Es-tu encore vierge ?
Cloé hésite avant de me répondre, elle me fixe du regarde et dit:
Oui je suis toute neuve !
Viens t’asseoir près de moi, tu ne tiens pas debout !
Elle se laisse tomber sur le canapé, sa jupe remonte et dévoile une bonne partie de sa culotte.
Mes yeux ne peuvent se détacher de ses cuisses admirables.
Je tente de rabaisser sa jupe, elle me retient la main.
Comment tu trouves mes cuisses papa chéri ?
Un peu surpris, je réponds :
Elles sont magnifiques, d’ailleurs tout en toi est magnifique !
Elle se lève d’un bond et vient s’asseoir sur mes genoux.
Elle passe ses bras autour de mon cou et dépose un rapide baiser sur mes lèvres.
Je mets ça sur le compte de l’alcool.
Elle se plaque contre moi, je sens la pointe de ses seins contre mon torse, cela me trouble énormément.
Tu devrais monter te coucher ma chérie, tu es fatiguée maintenant, tu es trop grande pour être sur mes genoux, que dirait-on si on nous surprenait dans cette position ?
Et alors je me moque des gens moi, nous ne faisons rien de mal !
Elle ajoute le geste à la parole, elle écrase mes lèvres avec les siennes.
Sa langue force ma bouche et se noue à la mienne, je ne sais que faire, je tente de me dégager sans trop de convictions.
Ma conscience me dit non, mon corps oui.
Je reprends mes esprits et réussis à détourner ma tête. Cloé se sent frustrée, elle prend ma tête entre ses mains et replaque sa bouche sur la mienne.
Nos salives se mêlent, je me dégage.
Non Cloé c’est pas bien, je suis ton père, ce que nous faisons c’est de l’inceste, reprends-toi ma chérie, tu as trop bu, va te coucher, je t’en prie !
Elle ronchonne:
Je suis pas à ton goût, je ne te fais pas d’effet, hein c’est ça ?
Si au contraire, mais il ne faut pas, c’est pas moral !
Tu sais, je sais comment il faut faire l’amour en théorie bien sûr, tu as peur que je t’en apprenne hein !
Bon Cloé, cela suffit maintenant, je ne suis pas de bois !
Ah donc tu me veux mon petit papa !
Cloé, tu es terrible quand même, j’ai pas dis ça !
Elle repose ses lèvres sur les miennes, là, je ne me retiens plus, nos langues se cherchent, le baiser dure un bon moment.
Doucement, je dégrafe un à un les boutons de son chemisier.
Je palpe un à un ses seins fermes, les bouts se dressent et deviennent durs.
La fièvre monte en nous.
