J’ai profité de l’interruption pour me laisser glisser au sol et m’installer à genoux à côté de Johan et ouvrir docilement la bouche devant la queue de Stef en lui jetant un petit regard complice tout en présentant ma langue. Il s’est orienté de façon à déposer sa lourde bite à l’entrée de ma bouche, en insistant à nouveau : "allez-y doucement, je ne pourrais plus tenir très longtemps". J’ai souri en avançant la tête pour accueillir une belle partie de sa queue et commencer à le sucer en sentant Johan se rapprocher de moi pour coller ses cuisses et ses épaules contre les miennes. J’avais les yeux fermés et je faisais courir ma langue sur le gland de Stef dans la chaleur de ma bouche lorsqu’il s’est reculé pour laisser ma langue terminer sa course dans le vide en m’arrachant un petit gémissement. J’ai suivi du regard ce magnifique sexe qui se dirigeait doucement vers le visage de Johan qui se trouvait à quelques centimètres du mien.
Son regard était lui aussi fixé sur le gland et il a docilement ouvert la bouche lorsqu’il est arrivé à hauteur de ses lèvres. Johan a levé les yeux vers Stef en avalant ce qu’il pouvait et en amorçant un mouvement lent de va-et-vient. J’assistais encore une fois au spectacle depuis les premières loges et je devais résister à mon envie d’intervenir. Après quelques instants, la queue de Stef est sortie de la bouche de Johan qui est restée ouverte en expirant un gémissement de frustration, pour se diriger à nouveau vers moi. J’ai de nouveau ouvert la bouche pour l’accueillir d’abord sur ma langue et lui procurer un maximum de plaisir avant qu’il ne l’offre à nouveau à Johan. Son petit jeu a duré de longues minutes. Chaque fois que la queue passait au suivant, l’autre admirait la scène patiemment. Les fils de salives étaient pratiquement partagés et nos corps étaient presque collés l’un à l’autre.
Sa façon de nous faire languir et de nous mettre en compétition (ou en collaboration ?) était très excitante et je bandais dur. Le string de Johan trahissait une petite bosse entre ses jambes et je devinais qu’il bandait lui aussi. Stef était sur le point d’éjaculer et ça se sentait dans l’air et dans le goût de sa queue. C’était au tour de Johan de sucer lorsque Stef a doucement extrait sa queue qui paraissait sur le point d’exploser pour la frotter contre la joue de Johan, ce qui soulignait encore sa taille. Johan a gémi en le laissant caresser son visage. La vue de cette énorme bite aux veines surgonflées m’a poussé à me joindre à eux en embrassant le flanc du tronc pour faire glisser mes lèvres sur toute sa longueur. Johan s’est retourné pour faire de même lorsqu’il a senti mes lèvres courir sur sa joue. On l’a ensuite sucé en oubliant totalement ses instructions, l’air était électrique et nos bouches voulaient lui vider les couilles.
Nos bouches couraient frénétiquement sur son grand tronc en se frôlant régulièrement, de temps en temps, l’un d’entre nous lui aspirait les couilles pendant que l’autre tentait d’avaler son gland. À deux reprises, nos bouches se sont rencontrées au niveau du gland pour lui lancer des coups de langue groupés, ce qui nous poussait à nous embrasser un instant avant de repartir sur sa queue. Il ne se plaignait plus de l’intensité et laissait venir son orgasme sans précipitation. Sa maîtrise était magistrale. Sur les derniers instants, j’ai senti le goût salé qui trahissait la présence notable de son liquide préséminal dans la salive qui recouvrait son sexe. J’ai placé la main sous ses bourses pour les malaxer avec amour en me plaçant au plus près du gland qui était engouffré dans la bouche de Johan qui se l’enfonçait bruyamment dans la gorge.
Après quelques secondes, Stef a gémi et a saisi sa queue en son milieu pour l’extraire de la bouche de Johan, la queue a marqué un petit soubresaut comme si Johan ne voulait plus la libérer, pour enfin sortir accompagnée d’un filet de salive. J’ai levé les yeux vers Stef pour épier l’expression de son visage et j’ai lu dans ses yeux que le moment était venu. J’ai présenté ma langue en ouvrant la bouche avant de poser mon regard sur son gros gland, Johan m’a imité en collant son visage contre le mien. Stef s’est branlé quelques instants pendant lesquels mon regard s’est perdu pour admirer ses couilles rebondir lourdement au rythme des mouvements de sa main. J’ai ensuite été extrait de ma rêverie en l’entendant gémir doucement pour marquer le début de son orgasme, sa main était immobilisée au milieu du tronc.
La première éjaculation n’en était pas vraiment une, un filet de sperme s’est écoulé du gland pour tomber sur nos cuisses, comme si la pression des éjaculations à venir vidait le sperme accumulé dans la verge. Ce filet de sperme fut rapidement suivi d’un jet abondant qui a atterri bruyamment dans la bouche ouverte et sur la langue offerte de Johan qui a émis un gémissement de surprise avant de recevoir un deuxième jet qui a balafré son visage pour terminer sa course derrière nous en percutant le sol. Une fraction de seconde plus tard, mon esprit gravait seulement le souvenir du bruit de son sperme chutant sur le sol lorsque Stef a orienté son gland vers moi pour éjaculer un beau jet que j’ai reçu sur le côté du nez et qui m’a légèrement éclaboussé au niveau de l’il que j’ai fermé par réflexe avant de sentir son liquide chaud couler dans ma bouche.
J’ai aussitôt rouvert les yeux pour voir et sentir Stef poser son gland sur ma langue offerte en gémissant, comme s’il devait pousser ou que la pression le faisait légèrement souffrir, avant de lancer une autre éjaculation qui a rempli ma bouche offerte. J’étais enivré par l’odeur de son sperme et j’en voulais encore, mais Stef s’est rapidement détourné pour poser son gland sur la langue de Johan qui attendait docilement sa dose. Je suis resté sagement dans cette position en regardant la grosse bite de Stef se tendre pour expulser un nouveau jet de sperme sur la langue de Johan qui a de nouveau gémi en l’accueillant, comme s’il réalisait avec stupeur qu’un homme lui éjaculait abondamment dans la bouche, mais qu’il était incapable de résister à l’envie de le recevoir.
Stef a commencé à se branler plus intensément pour expulser tout ce qu’il lui restait et a encore lâché une éjaculation plus modeste sur le beau visage innocent de Johan dont la bouche restait ouverte, la langue sortie dégoulinante de sperme. Il est ensuite revenu vers moi pour se branler sur mon visage et déposer une dernière pointe de sperme sur ma lèvre supérieure et sur ma langue. Il a ensuite glissé la main vers la base de sa queue pour la soulever et me tapoter deux ou trois fois le visage avec, avant de la lâcher en soufflant de plaisir. Je sentais le contact de ses couilles sur mon menton et le poids de son énorme sexe sur mon visage, son gland arrivait au-delà de mon front. Je me retenais de me masturber et pour en détourner l’envie, j’ai incliné le visage pour lécher ses couilles et en aspirer une en bouche. Johan s’est penché vers moi pour embrasser la grosse bite de Stef qui débandait entre nous.
Stef a encore soupiré de satisfaction avant de se reculer pour s’appuyer sur le bord du bureau.
J’ai senti Johan se plaindre doucement avant de me tourner vers lui. Son joli visage était balafré par une traînée blanche qui glissait petit à petit vers le bas tandis qu’une grosse goutte de sperme tombait lentement de son menton. Il a baissé le regard pour contempler nos torses et nos cuisses en soupirant un petit "ouah… quelle dose". J’ai suivi son regard pour voir les impacts des gouttes qui étaient tombées sur nos cuisses qui se touchaient encore. Johan a écarté le tissu de son string pour libérer sa queue en érection avant de le relâcher. Je ne sais pas s’il hésitait à se masturber, mais il n’en a rien fait et s’est contenté de lever le regard sur Stef avec un regard complice. Comme s’il voulait lui montrer à quel point il bandait d’avoir reçu une telle éjaculation. Tandis que Stef et Johan partageaient un petit rire, mes yeux se sont posés sur l’entrejambe de Stef.
J’adorais regarder sa bite dans ces instants-là, elle ne bandait plus, mais restait gonflée par l’orgasme récent, elle était brillante de salive et de sperme, ce qui mettait ses veines en évidence. Je me suis légèrement avancé pour glisser la langue sous son gland et le prendre lentement en bouche en expirant doucement la bouche ouverte malgré l’odeur de son sperme. Lorsque je l’ai relâché, Johan a émis un petit soupir amusé en poussant la grosse queue de Stef pour admirer ses balancements lourds. Il a ensuite essayé avec délicatesse de remettre son prépuce en place.
Alors que le prépuce refusait d’obtempérer et glissait à nouveau pour découvrir le gros gland brillant, Johan a soupiré en soufflant d’un ton admiratif "Putain, quelle belle grosse bite… je crois que je suis accroc", j’ai souri malgré moi, car je partageais cette pensée, et il a ajouté "Il faut qu’on remette ça…" Stef qui nous regardait d’un air amusé a affiché un sourire satisfait et lui a répondu "la soirée ne fait que commencer…", plein d’assurance. Je me suis relevé en riant, car je savais qu’il disait vrai, j’avais déjà eu le privilège de constater son endurance. Mes jambes étaient engourdies tellement j’étais resté assis longtemps sur mes talons. Johan m’a imité en regardant de nouveau son torse et ses cuisses, le top sportif noir était taché par quelques gouttes de sperme et tandis qu’on admirait le résultat, il a soufflé : "t’as éjaculé combien de fois, 10?".
Je l’ai aussitôt corrigé en précisant : "8, je crois," et j’ai ajouté "T’as éjaculé pour nous trois, là." On a ri puis Johan a encore ajouté "J’ai mal à la bite tellement j’ai bandé en te suçant", en affichant un petit sourire coquin. Malgré la présence de Johan, j’ai serré la queue épaisse de Stef en lui demandant presque en chuchotant, et probablement en rougissant : "après, tu voudras bien la mettre dans mon cul ?". Je n’ai pas prêté attention à la réaction de Johan, mais Stef a glissé la main derrière ma taille pour saisir mes fesses et il a répondu doucement "ne t’en fais pas pour ça." Le regard qu’il plongeait dans le mien était sans équivoque, il avait bien l’intention de m’enculer comme je le méritais. Nos regards ont ensuite été attirés par Johan dont les doigts étaient glissés dans ses cheveux pour en ôter une goutte de sperme. Il a commencé à rire et on a suivi naturellement le mouvement en se dirigeant vers la salle de bain pour nous nettoyer.
Bien que Johan et moi n’avions pas eu d’orgasme, nous étions détendus et satisfaits. Comme si l’orgasme de Stef avait été suffisamment puissant pour nous administrer à tous les trois une bonne dose d’endorphine. Dans la salle de bais, on s’est amusé avec quelques jeux de rôle tout en nous lavant… les scénarios avaient principalement lieu dans les vestiaires du club. Nos conversations étaient superficielles et tournaient parfois autour du sexe. Johan a par exemple demandé à Stef qui se nettoyait la queue au-dessus de l’évier comment il faisait pour se dépiler aussi bien les testicules et la queue, et Stef lui a répondu, tout en savonnant son gros membre, qu’il utilisait la crème dépilatoire de sa sur en montrant le flacon. Malgré ma faible pilosité, je faisais pareil avec les produits de ma mère, surtout pour plaire à Stef et lui offrir un fessier le plus féminin possible. Mais visiblement, Johan n’avait pas besoin de ces artifices, tellement sa pilosité était nulle.
Je suis rentré dans la cabine de douche pour me laver rapidement. Lorsque je suis sorti, Stef était sorti et Johan attendait son tour. Vu que nous étions seuls, il en a profité pour m’interroger en rougissant. Il voulait savoir si j’avais déjà baisé avec Stef et s’il m’avait pénétré. Je lui ai raconté brièvement mon expérience et il m’a demandé l’effet que ça faisait. Je lui ai dit que c’était fantastique, que ça faisait un peu mal au début lorsque l’anus est étiré, mais qu’une fois bien dilaté, ce n’était pas si difficile de se la prendre tout entière, même si un entraînement préalable était indispensable… vu la taille de son engin. Il m’a interrompu en précisant qu’il avait déjà essayé chez lui. Je lui ai demandé s’il avait déjà essayé avec des objets de la taille de Stef et il a acquiescé en souriant. Il n’avait pas cessé de rougir depuis le début de la conversation et je pense que c’était également mon cas.
C’était étrange de parler librement de ces choses sans éprouver de honte ou de jugement, finalement nous étions complices par la force des choses. Il m’a demandé si Stef avait déjà joui dans mon cul, et après avoir vu mon sourire, il m’a demandé l’effet que ça faisait. Je lui ai dit qu’on ne sentait pas le sperme directement, mais qu’on pouvait sentir les contractions des éjaculations et que j’avais pris mon pied. Ma queue commençait à bander légèrement à force de raconter ces sensations et sans y prêter attention, il a confié qu’il comptait bien essayer ce soir. Il allait entrer dans la cabine de douche lorsqu’il s’est tourné vers moi pour poser une dernière question : "Il éjacule toujours autant ?" J’ai répondu que d’après ce que j’avais vu, ses éjaculations étaient toujours abondantes, même si celle-ci avait été exceptionnelle. Pendant que je lui répondais, mon regard descendait par réflexe sur sa paire de fesses rondes.
Il a souri et m’a demandé "tu veux toucher ?", je me suis senti gêné par la question et j’ai probablement rougi, ce qui était absurde vu qu’on venait déjà de faire jouir un homme. Sans répondre, je me suis avancé et j’ai doucement peloté son cul. Je bandais dur quand il m’a sorti de ma rêverie en disant: "c’est un truc de malade ce qu’on est en train de vivre…" avant de rire doucement et de s’introduire dans la cabine pour se doucher.
Je suis sorti de la salle de bain et j’ai jeté un il dans la chambre de Stef pour remarquer qu’il n’y était pas. J’ai enfilé un t-shirt et un pantalon pour descendre au rez-de-chaussée juste au moment où il se présentait au pied de l’escalier pour remonter avec un paquet de friandises en main. Il a souri en se plaçant à côté de moi dans l’escalier et s’est approché de mon visage pour m’embrasser. Je ne m’y attendais pas du tout et j’étais encore saisi par la surprise quand j’ai senti sa main libre glisser sous mon pantalon pour agripper ma fesse droite. Par réflexe, j’ai tâté son entrejambe à travers son pantalon de jogging pour soupeser ses lourdes couilles et deviner un début d’érection et il m’a demandé en souriant "on va remettre ça ?"… il s’est aussitôt détourné pour remonter l’escalier d’un pas joyeux.
J’ai hésité un instant à le suivre immédiatement, après quoi, je suis allé fouiller dans mon sac qui traînait dans le couloir pour saisir mon carnet et noter par mots clés ce que je venais de vivre. Nous venions à peine de commencer la soirée et il s’était déjà passé tant de choses que je ne voulais pas perdre de détails. J’ai griffonné frénétiquement pendant quelques minutes, pressé de retourner à l’étage avec Stef et Johan, mais également soucieux de ne pas perdre une miette de notre expérience. Après quoi, j’ai négligemment jeté mon carnet dans mon sac et je suis remonté rapidement pour retourner dans la chambre de Stef.