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Poupée gourmande pour un soir – Chapitre 1

Poupée gourmande pour un soir - Chapitre 1



Je viens de faire un truc fou. J’adore exciter les hommes en général et mes petits amis en particulier. Je n’ai pas de mal à cela. J’ai 27 ans et j’ai ce qu’il faut où il faut, et plutôt plus que la moyenne, sans exagérer. Nous dirons que je suis une brune aux formes assez épanouies. Comme je n’ai pas de pas de mec en ce moment, je me suis laissé tenter par la proposition de Nathalie, ma meilleure copine. Elle m’a proposé de participer à une soirée organisée par un de ses potes, Jérôme, soirée qui avait toutes les chances de se terminer de façon très coquine. J’ai donc accepté, sans me douter du traquenard dans lequel je m’engageai !

Il y avait 3 couples en comptant Nathalie, qui était venue avec son ami du moment, Pascal. Il y avait également 2 mecs seuls. Notre hôte, Jérôme, la quarantaine, pas mal, disposait d’une coquette villa avec piscine. Il était divorcé et cherchait apparemment des occasions de se distraire. Nous nous rafraichîmes donc dans la piscine, pour commencer. J’avais mis un maillot une pièce pour en montrer le moins possible au début. Enfin, en théorie, car je savais que ce maillot laissait plus que deviner mes seins opulents et mes fesses charnues. Nous chahutâmes donc un bon moment dans la piscine. A dix dedans, cela faisait du bruit . Ce fut l’occasion des premiers contacts physiques. Je profitai de ces jeux pour aguicher un maximum Cédric, un des 2 célibataires. Un mec finit pas lancer l’idée de faire un jeu à gages pour les filles, une sorte de ballon prisonnier à l’issue duquel la perdante devrait se faire laver au jet d’eau. Ce fut sa nana, Sandra, qui perdit. Pierre, l’autre célibataire, eu l’honneur de la laver sous toutes les coutures, en insistant, bien sûr, sur les endroits stratégiques . Puis, le jeu reprit et il fut décidé que la perdante devrait retirer une pièce de son maillot. Vu que j’avais opté pour un maillot une pièce, je fis donc bien attention de ne pas être la perdante. Visiblement ma plastique intéressait beaucoup Jérôme qui fit tout ce qu’il put pour que je perde. Mais le ballon finit par désigner la blonde Caroline qui dut nous dévoiler ses petits seins.

La chaleur et les apéritifs aidant, les convives s’échauffaient de plus en plus. Les hommes laissaient entrevoir un début d’érection et la conversation dévia sur la difficulté qu’ils auraient à ne pas éjaculer précocement avant la fin de la soirée. Nathalie, toujours coquine, prétendit que quelques coups de langue bien placés y suffiraient. Pascal renchérit qu’elle s’y entendait sur le sujet. Caroline et Sandra vantaient également leur habileté. Je ne voulus pas être en reste, moi qui adore exciter les mecs de cette manière ! Je les fais lentement monter en pression en faisant durer le plaisir, j’adore les avoir à ma merci comme çà . Finalement, Nathalie émit l’idée d’un . concours de pipes, pour savoir qui était réellement la meilleure ! On attaquait vraiment les choses sérieuses. Les hommes étaient tous d’accord, bien sûr. Compte tenu de mon abstinence du moment, l’idée me tentait bien. Sandra et Caroline étaient également partantes. Les couples furent formés. Je me retrouvai avec Yannick, le mec de Sandra, Nathalie était avec Pierre, Caroline avec Pascal et Sandra avec Cédric. Jérôme et David, le copain de Caroline feraient banquette. Nous nous agenouillâmes et baissèrent le maillot de ces messieurs. Au moment de commencer, Pascal dit alors :

— mais pour corser un peu le jeu, il faudrait un enjeu !

Nathalie réfléchit un court moment et dit :

— Eh bien . disons que la première à faire jouir son partenaire pourra décider du gage que la dernière devra subir.

Jérôme saisit la balle au bond et dit :

— vous n’avez pas froid aux yeux, mesdames ? et puis c’est l’heure de l’apéritif ? Pour être à la hauteur de vos prétentions, je propose alors que la perdante boive l’ensemble des éjaculations des perdants.

La coquinerie (pour ne pas dire plus !) de la proposition laissa les participantes bouche bée. Il en profita pour rajouter :

— j’apprécierais également qu’elle se soumette à un ou deux caprices de ma part en plus de celui de Nathalie. Comme je suis le seul célibataire ne participant pas au jeu . j’ai droit à des compensations !

C’est à ce moment là que je pris conscience que j’avais hérité d’un des 2 mecs déjà en couple, donc moins en manque et plus difficile à faire jouir. Sans laisser aux autres le temps de réfléchir, Nathalie déclara effrontément :

— pour moi, c’est d’accord ; on y va.

Sandra et Caroline n’émirent pas d’objection. Je suivis donc . Nous primes chacune un verre de martini vide et commencèrent notre ouvrage. Le Yannick que j’avais récupéré était déjà en pleine forme. Je jugeai que je pouvais prendre un peu mon temps avant de le faire exploser. Au moins jusqu’à la première éjaculation qui serait provoquée par une des autres candidates. Il semblait apprécier mon « travail » car je sentais sa respiration s’accélérer. Je le turluttai depuis un petit moment quand j’entendis les râles de plaisir de Pierre qui avait craqué assez rapidement dans la bouche de Nathalie. Je suspendis ma fellation pour la voir recueillir le précieux nectar dans son verre. Elle y recracha ce qu’elle avait pris dans la bouche en disant fièrement :

— gagné !

Nathalie avait gagné. La connaissant, il valait mieux ne pas être la perdante ! Nous reprîmes toutes les trois notre ouvrage. Mais à peine eu je le temps de reprendre mes succions, que j’entendis Cédric jouir à son tour. C’est vrai que je l’avais bien chauffé dans la piscine. Sandra recueillit son abondante éjaculation dans son verre. Il ne restait donc plus que Caroline et moi. Je devais absolument achever mon partenaire. Je déployai donc tous mes talents, la langue se fit douce, légère, je lui caressai les couilles, je le sentais se raidir, durcir. Il était proche de la rupture. Les cris de plaisirs de Pascal résonnèrent comme un coup de tonnerre dans mes oreilles. J’avais perdu ! Je le soupçonnai de ne pas avoir du faire beaucoup d’efforts pour se retenir. Caroline, seins nus, arborait fièrement son verre de sperme. Nathalie s’approcha de moi et dit :

— on dirait que tu as perdu . et que j’ai gagné !

Perverse, elle ajoute :

— j’espère que tu as soif, pour commencer !

Je la vis sans réagir rassembler elle-même le contenu des 3 verres dans un seul. Çà faisait une bonne petite quantité.

— il en manque ! il faut que Yannick ajoute sa contribution !

Elle approcha le verre de sa queue et il se termina dans le verre. Je regardai, fascinée, les jets crémeux frapper les parois du verre, consciente qu’ils allaient finir sous peu dans mon estomac !

— et voilà ! dit triomphalement Nathalie.

Je la maudissais intérieurement mais j’allai bien devoir m’exécuter pour rester à la hauteur de mes prétentions. Elle me tendit le verre en disant :

— allez, vas-y.

Jérôme approuva. Il avait également retiré son maillot et il me contemplait avec mon verre plein en se caressant doucement les couilles. Le salaud, il savourait son plaisir.

— allez, nous voulons que tu boives tout.

Pour finir une fellation, j’aimais bien avoir le goût du sperme dans ma bouche, mais là je me demandais quel effet çà faisait d’en boire en aussi grande quantité. Peut-être que je n’y arriverai pas. Mais çà m’avait donné envie de sucer cette queue pendant tout ce temps pour rien. Je regardais le contenu, liquide avec des paquets blanchâtres onctueux … Et puis cela m’excitait de le voir bander à la pensée de ce que j’allais faire. Il allait éclater ! Je décidais de me faire très cochonne pour qu’il ne puisse se contenir. Je me léchais les lèvres en le regardant dans les yeux avant de commencer. J’approchais le verre de ma bouche et l’inclinai. Je sentis une tiède sensation quand le sperme atteignit mes lèvres puis ma langue. J’avalai une première petite gorgée. Ce n’était pas déplaisant, mi salé mi âcre, et chaud. J’avalai.

— c’est bon ? demanda t’il

— hmm .. répondis-je, assez sincère finalement !

Je voulais l’exciter à fond. J’approchais à nouveau le verre de mes lèvres et je bus. Tout. En plusieurs longues gorgées. J’avais la bouche emplie du gout de tous ces spermes mélangés et j’avalais tout en fixant Jérôme qui avait accentué légèrement son mouvement de branlette. En déglutissant une dernière fois, je posai alors fièrement le verre devant lui. Quelques applaudissements se firent entendre. Je pris alors pleinement conscience de ce que je venais de faire : boire un verre plein de foutre devant une assistance surchauffée ! Jérôme prit le verre, le regarda puis me le rendit :

— lèche ! dit-il simplement

Il n’en avait pas assez ! Il n’avait pas explosé comme je l’espérai initialement. J’acceptai alors de continuer le jeu encore plus loin. Je pris le verre, tirai grand ma langue et commençai à le nettoyer. Je léchai les parois, suçai les bords en faisant exprès force bruits de langue. En trente secondes, il fut propre et je le posai à nouveau devant lui. Je le vis alors de plus en plus excité.

— très joli, souffla t’il, mais il y en a trois autres !

Le salaud, il voulait vraiment profiter de la situation ! Je m’exécutai et, l’un après l’autre, je nettoyai consciencieusement les verres. Là, il n’y avait pas que lui qui était excité car je voyais avec un soupçon d’inquiétude les autres convives hommes rebander. Mais toute cette scène m’avait excitée aussi et je ne me forçai pas pour récupérer tout le sperme qui avait collé aux parois des différents verres et je les laissai absolument propres. Comme une grosse cochonne.

— bravo, tu es vraiment très gourmande ! puisque tu en veux plus, je vais te satisfaire. Fais-moi jouir dans ta bouche.

Enfin, me dis-je. Il approcha son sexe et dit

— je vais jouir dans ta bouche et tu vas tout garder pour le montrer à tout le monde.

Encore une dernière perversion, pensai-je. Je décidai de le satisfaire encore une fois. Quelques succions et coups de langues furent suffisants pour le faire partir. Ce fut énorme. Il jouit dans un grand cri et je sentis les giclées frapper mon palais. J’en perdis le compte et me retrouvai avec une confortable dose de sperme dans la bouche. Son orgasme dura bien 30 secondes. Je l’avais voulu, je l’avais eu.

— que c’était bon ! dit-il montre moi tout.

Je dus rougir légèrement car jusqu’à présent j’étais actrice et tout d’un coup je devais subir. Mais je m’exécutai :

— j’ai vraiment bien rempli ta petite bouche.

Et il le fit constater aux autres. Je pensai que c’était terminé quand il me dit

— bien. Maintenant, tu vas garder mon sperme jusqu’à ce que je te dise d’avaler.

Je restai pétrifiée de surprise. J’aurais pu m’arrêter là. Dire stop, çà va trop loin. Pourtant je n’en fis rien. Je me laissai aller à ses ordres. Il me donnait l’alibi pour continuer cette exhibition. Je sentais ma chatte détrempée. Je refermai la bouche. Je me demandais ce qui m’attendait maintenant.

— nous allons parfaire ton exhibition. Montre-nous ses seins qui semblent magnifiques.

Bien sûr. Sans mot dire, toujours en le fixant, je fis glisser une bretelle, puis l’autre. Je roulais le maillot vers le bas et fis jaillir mes seins.

— ils sont vraiment très jolis ! n’est-ce pas ?

L’assistance approuva.

— continue.

Il me voulait nue. Je continuai donc de faire rouler mon maillot inexorablement vers le bas. J’atteignis la ceinture. Je trouvai ce déshabillage public délicieusement excitant. J’avais le goût salé de son sperme sur la langue et les spectateurs le savaient. Et çà m’excitait qu’ils le sachent. Alors avant de me livrer entièrement à leurs regards, je marquai un temps d’arrêt. Ce fut Nathalie qui intervint :

— allez, toute nue.

Je continuai. Je sentis mes fesses se découvrir puis toute résistance ayant disparu, le maillot glissa définitivement et tomba à mes pieds avec un floc sonore. J’étais nue devant tous avec la bouche pleine de sperme. Quelle honte mais quelle extase ! D’un mouvement de pied, je jetais le maillot inutile aux pieds de Jérôme.

— très joli. Fais un tour sur toi-même que tout le monde en profite.

Je le fis et je saisis les regards lubriques de tous les mâles. Et je dois l’avouer, je profitai pleinement d’être un objet de désir. Mais Nathalie intervint alors :

— Si tu te souviens bien, j’ai le droit de t’imposer un gage. Tu vas te laisser caresser par tout le monde . et toujours en gardant la bouche pleine !

La perverse ! çà ne m’étonnait pas d’elle. Comme libérés d’une trop longue attente, le groupe se rapprocha de moi. Des mains atteignirent d’abord mes fesses. D’autres mes seins. Puis d’autres se faufilèrent entre mes jambes. J’étais palpée, pelotée, caressée. Nathalie me susurra à l’oreille :

— alors, ma petite cochonne, il est bon le sperme de Jérôme ?

Pour toute réponse, ne pouvant parler, je levai les bras au-dessus de ma tête et me livrai sans entrave à leurs caresses. Tous rebandaient. Dans un brouillard de plaisir, j’entendis Jérôme dire :

— l’un après l’autre, il y en aura pour tout le monde.

Chacun s’occupa donc de moi à tour de rôle, me palpant, me léchant, me malaxant. J’étais devenue une vraie poupée gonflable, attendant avec impatience qu’une main vienne explorer mon entre cuisse, titiller mon bouton, . Christophe et David, qui n’avaient pas joui explorèrent pratiquement toutes les parties de mon corps. Cédric en profita un maximum, me léchant avidement les seins et les fesses. C’était un tantinet humiliant de servir de poupée sexuelle. Mais très agréable aussi et à ma grande honte j’y prenais beaucoup de plaisir. A un moment, j’entrouvris la bouche en manquant de laisser échapper le liquide qui s’y trouvait ! Les cochons abusèrent de mes charmes tous les six. Puis ce furent les femmes. Oui ! également ! Leurs caresses étaient plus délicates mais je ne pouvais exprimer totalement mon plaisir vu que j’avais toujours la bouche pleine. J’en étais réduite à gémir et je n’avais qu’une envie c’était d’avaler. Mais l’ordre ne venait pas et ma bouche se remplissait de salive au fur et à mesure que durait le jeu. Je m’astreignais pourtant à tout garder. En regardant Jérôme et Nathalie, je gonflai alors mes joues et fit tourner le mélange gluant comme si je me rinçai la bouche avec pour les provoquer.

— je sais, dit-il, les caresses, c’est encore meilleur, avec mon foutre dans ta bouche.

— Allez les filles, si on la faisait jouir pour la récompenser ? dit Nathalie. Ecarte un peu les jambes, ma chérie.

La salope ! Elle voulait que j’orgasme avec la bouche pleine ! Inconsciemment, j’obtempérai pourtant et gardai les jambes légèrement écartées. Je sentis alors de douces main caresser l’intérieur de mes cuisses tandis que d’autres s’insinuaient dans ma chatte détrempée, dans mon petit trou également. C’était le fin du fin. Au bout de quelques instants, je ne pus me contrôler davantage ; je pris une inspiration et avalai tout ce que j’avais en bouche pour crier mon plaisir. Il me fallut deux gorgées pour bien me vider la bouche.

— mais qui t’a dit d’avaler ? entendis-je aussitôt

Reprenant mon souffle, je regardai Jérôme.

— elle mérite une punition, vous ne pensez pas ?

— oui ! répondirent les autres à l’unisson.

A la vue de tous ces sexes bandés, je m’attendais au pire. Excités comme ils étaient, ils devaient vouloir s’assouvir à tout prix. Au point où j’en étais rendue, je voulais bien accepter une « punition » mais seulement si elle était jouissive. Mais j’avais une petite idée de ce qui m’attendait . Jérôme me fixa alors et dit :

— faîtes lui avaler tout votre sperme ; remplissez sa bouche comme bon vous semblera.

Ce fut l’orgie. Je fus prise par tous et j’assouvis complètement mon désir leur né de toute cette séance ainsi que le leur. Je n’ai jamais bu autant de foutre car tous devaient se finir dans ma bouche. Certains le firent plusieurs fois. J’avalai. Tout. Ils m’ont même demandé de garder la totalité de trois éjaculations dans ma bouche puis de me caresser en simulant un orgasme avec la bouche pleine de sperme. Je l’ai fait. Et . je n’ai pas simulé !

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