J’avoue avoir toujours eu certains fantasmes. Cependant, je n’avais jamais osé les assouvir. Mais voilà, un beau jour, je me suis décidée.
Le facteur avait l’habitude de passer vers 8h du matin, et j’avais enfilé une robe de chambre que j’avais laissée entre-ouverte. Je ne savais pas vraiment si mon plan allait marché, mais si je n’essayais pas, je ne saurais jamais.
8h10, on sonne à la porte. Je vais ouvrir et je peux surprendre son air plus ou moins surpris de me voir ainsi vétue.
J’espérais pouvoir le faire prendre un café malgré son travail. A mon grand étonnement (et plaisir surtout !), il accepta en souriant ! Son regard restait fixé sur ma poitrine dévoilé légérement pas l’habit de soie rose. Je l’ai alors invité à prendre place au salon et je suis allée préparer les cafés.
Je suis arrivée avec les boissons et je me suis assise de manière à laisser glisser un côté de ma robe de chambre sur ma cuisse, dévoilant alors ma jambe. J’ai aussitôt remarqué qu’il ne la quittait pas du regard. Finalement, j’ai écarté les cuisses, afin qu’il comprenne ce que je voulais précisément.
Il lui fallut peu de temps pour m’arracher le vétement de soie. J’étais alors assise sur le divan, à sa merci. Il l’avait bien compris d’ailleurs. Il glissa une main experte entre mes cuisses et introduit un premier doigt dans mon sexe humide et chaud. Il commença un vas et viens agile qui m’arrachait des gémissements. Il me leva alors et me poussa dans la chambre, son doigt toujours en action. J’étais éxitée comme une chatte en chaleur. Il me demanda si j’aimais être prise en lévrette, je lui ai crié un oui à la limite de l’orgasme. Il compris alors que j’allais jouir alors il stoppa son vas et viens et me poussa sur le lit. Il disait aimé cette technique chinoise qui consiste à pousser le plaisir jusqu’à la limite de l’orgasme et d’arrêter juste avant pour mieux jouir ensuite !!!
Il saisi deux foulards et m’attacha les mains au barreaux du lit, mais sur le ventre, afin que je puisse être à 4 pattes. Je n’en pouvais plus, il fallait qu’il viennent en moi. Il se désabilla et me doigta encore un peu, jusqu’à ce que mon sexe coule de délice ! Il prit alors mes seins dans ses mains et me pénétra. Il commença alors un vas et viens lent puis accéléra. Il me bourrait alors par saccades qui m’arrachaient des cris de plaisir. Je me déhanchait pour le sentir encore mieux.
J’ai alors eu un orgasme terrible j’ai hurlé de plaisir comme jamais. Il éjaculais maintenant. Et c’était tellement bon … Il me dit ensuite qu’il allait m’enculer. Mais j’ai refuser, j’étais vierge de ce côté là. Il m’a dit que je n’avait pas le choix. Je compris alors que je ne pourrais rien faire. J’ai alors essayé de me débattre, mais il me dit que si je continuait, il allait me pénétrer sec, et j’aurais très mal. Je me suis alors calmée, mais les larmes me monterent aux yeux. J’avais très peur. Il me doigta encore pour mouiller mon petit trou. J’ai encore essayé de me débattre, mais il m’envoya une claque sur les fesse, ce qui me fit hurler de douleur. Il m’a alors dit que je l’énervais puis il m’a pénétrée, d’un coup sec.
Il m’a traité de salope, et m’a dit que je devais alors assumer lorsque je l’allumais. Il avait raison. Mais j’avais mal. Et petit à petit, mon trou se détendit et cela me procurait du plaisir. Oui, un plaisir certain. J’atteins rapidement un orgasme. Il me détacha et me coucha sur le dos.
J’avais un bocal rempli de petits cailloux de toutes les couleurs sur la table de nuit. Il me dit qu’il allait me laisser de quoi m’occuper durant la matinée. Il saisi le bocal et entreprit de fourrer dans mon sexe les pierres. Je ne pourrais pas dire combien de pièces il y introduit, mais j’atteins un nouvelle orgasme.
Il parti après m’en avoir mis dans les deux trous. J’ai passé 1h à tous les enlevés. Mais maintenant, je me le fait régulièrement et je pense à lui. Il ne passe plus par chez moi, mais j’espère le croiser un jour.
Béa