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Jour de grève – Chapitre 1

Jour de grève - Chapitre 1



Je ne sais si vous avez essuyé une grève de transport en commun, ni chez vous cela ressemble à la région parisienne. Mais je peux vous dire que c’est une folie. Je vous dirais que si vous pouvez éviter ça ne vous en privez pas. On perd un temps fou. On a l’impression lorsqu’on à enfin un transport, de ressembler à un chargement de viande. Encore que, je crois savoir que les cartiers de b?uf sont mieux traités que nous. Brefs les esprits s’échauffent. On est bousculé, piétiné. Je vous dirais de l’éviter, mais il arrive parfois ?

Donc jour de grève. Grève surprise bien évidemment. Passage de métro sporadique, absence de bus, train supprimé. Comme tous les matins, je me présente à la gare pour découvrir que les trains circulent de façon aléatoire. Mon train est supprimé. J’attends. Je tourne, je lis. La foule devient dense. Les gens qui prennent habituellement le suivant arrivent à leur tour. Enfin en voilà un qui arrive. Il va être difficile de se faire une place. Que vous disais-je ? Il est déjà presque plein. Les gens sont debout à l’intérieur. Pas question d’avoir une place assise. Au mieux je peux espérer tenir debout dans un coin. S’y est, je suis à bord. Mon espace vital est réduit à néant. Je ne vois pas car je tourne le dos à la porte et ne peux me retourner. Mais je sais que d’autres encore essaient de monter. Je suis de plus en plus serrée. Je ne vois pas qui est autour de moi. Je suis plutôt petite. J’avais le dos d’un homme face à moi. Ecrasée, par des épaules, des bras, sur le coté droit. Dans mon dos impossible de savoir. Sur le coté gauche, mon oreille repose tendrement sur d’énormes seins, mon bras repose mollement son un ventre. Finalement lors d’une grève choisissez une grosse femme. On ne se fait pas marcher sur les pieds et c’est particulièrement confortable.

Le train démarre enfin. Petite secousse, un coude me percute les cotes. Les premières gares défilent. De toute façon on ne peut pas être plus séré. C’est dans ce contexte que je sens quelque chose contre ma fesse. Une jambe, un cartable une fesse, Je ne sais pas. En tous les contacts corporels je ne fais pas bien la différence. Pourtant cela se précise. Une Main, une main inquisitrice. Un malotru profite de la situation. J’essais de bouger en vain. Le bord de ma jupe remonte petit à petit sur mes cuisses. Elle la soulève doucement, sûrement. Je cherche à me dégager. Impossible de bouger. Le train s’arrête. Dans la secousse, La main à glissée sur ma fesse. Je suis plutôt énervée. J’ai une douleur dans le ventre. La peur sans doute. Je cherche à me dégager mais du monde monte encore. La main me caresse la fesse. Je deviens rouge. Je ne sais plus que faire. Mon slip glisse doucement dans la raie de mes fesses. Je désespère de me sortir de se piège. Je tente de forcer le passage pour m’éloigner. Je reçois des grognements. Les doigts poussent toujours mon slip. Je serre les fesses. Impossible de rester ainsi, la fatigue musculaire. Je ne peux non plus serrer mes pieds, je perds l’équilibre. La main à tout loisir pour poursuivre. Repoussant mon slip les doigts caressent maintenant ma vulve. Je panique. Je serre les fesses de nouveau. Les doigts s’écrasent contre mon sexe. Mon slip s’enfonce encore. Ma vulve s’ouvre. Je ne peux plus rien y faire. J’ai peur. Je mouille. Ils me caressent encore. Je sens que je perds mon contrôle. Je prie pour cela s’arrête. Je ne veux pas que cela m’arrive comme ça en public. J’ai peur. Je mouille, Je m’ouvre. Les doigts jouent avec mes petites lèvres. Je sens le plaisir monter en moi. Je ne cherche plus à fuir. Je sens mon slip mouillé dans mes fesses. Un doigt la pousse encore. Qu’il me prenne ! Maintenant ! La main continue de jouer avec mon antre. Je ne me contrôle plus. Je crois que mon bassin oscille. Elle caresse toujours. Le train s’arrête. Je panique les gens vont descendre et me voir les fesses à l’air, Une main fichée dans le sexe. On nous serre encore. L’avant bras s’appuie sur ma raie. Je n’en peux plus, je sombre dans le plaisir.

Lorsque je reviens à moi, la main n’est plus là. La femme sur laquelle j’appuis ma joue gauche me regarde.

’ ?a ne va pas ? Mademoiselle ? ’

Le train s’arrête.

’ Poussez-vous ! Pardon cette demoiselle manque d’air ! ’

Elle m’ouvre un large passage jusqu’à la porte. Je vous l’ai dis mettez-vous près d’une grosse ça aide. Je reprends des couleurs. Elle bloque la porte pour me permettre de respirer encore. Le train repart. Impossible de voir qui ! Je sens mon slip dans mon sexe. Je cherche du regard. Rien ne perce. Je me dis que je me suis presque faite violer. Après réflexions c’est un viol. Je me revois coincée. Un énorme sexe m’empale au milieu de la foule. Mon sexe mouille de nouveau. Je me sens repartir. La femme me tient la main. Nous sommes arrivés au terminus. Elle me fait de l’air. Remise, je la remercie.

Le soir en rentrant, je panique j’ai peur de la foule. Coincée, je sens des mains me courir le corps. On me déshabille. Tout le monde à ses vêtements. Il n’y a que moi qui soit nue. Je ne vois personne. Les mains me caressent. La femme du matin est là. J’ai la joue sur sa poitrine. Son sein est libre et m’invite à le sucer. Le téton dans la bouche, je sans les mains me courir le corps. Un énorme pieu me déchire. Je jouis. Je n’en peux plus mais ça continue. Toutes ses mains qui me caressent, ce sexe qui me pénètre. Je jouis encore. Encore. Je suis épuisée. On m’écarte les jambes. On joue avec mon clitoris. On me tire les lèvres. On caresse mes seins. On visite mon sexe. Je n’en peux plus je me sens vaciller.

Des gens se pressent autour de moi. On me pose des questions. Je suis allongée sur un banc. On est à la gare. Je sursaute. Mes vêtements sont là ! Le chef de quai fait écarter les curieux. Je l’accompagne. Il me sert un verre frais. Je rentre. Mon imagination me joue des tours. Tout cela est le fruit de mon imagination. Non ! Impossible ! Le matin j’avais bel et bien ma culotte enfoncée dans le sexe. Demain je pars en pantalon. Un bon bain, un repas, une bonne nuit, voilà qui me fera du bien.

Comme tous les jours, je suis sur le quai. Mon train est encore supprimé. Je monte dans le suivant qui est bondé. Et je suis en ? jupe. Je dois être folle. Je suis tout aussi serrée que la veille. Il n’y a que des maigres. C’est plus douloureux les os dans les cotes. Je regarde autour de moi. Mon champ de vision se réduit à deux personnes qui me tournent le dos. Je cherche autour de moi. En vain. C’est comme si j’avais envie que ça recommence. Absurde ! Je hausse les épaules. Ma jupe est levée par le coté. Je sursaute. Impossible de voir. La main me baisse la culotte. Je l’ai sur les cuisses. Elle est trop basse. Je n’arrive pas à l’attraper. Elle doit être plus basse que ma jupe. Je me vois descendre du train le slip sur les genoux. La main me caresse le sexe. Remonte sur mon pubis du bout des doigts. Il faut que je fasse quelque chose. Je cherche à attraper la main. Elle s’échappe et disparaît. Il me faut trouver une solution pour ma culotte. Je ne peux l’atteindre. Je serre les jambes dans l’espoir de la faire tomber. Le train s’arrête. Heureusement les gens montent. Plus serrée encore je secoue mes jambes. Elle glisse. Si elle passe les genoux c’est gagner ! Je m’acharne mes voisins râlent.

Elle tombe. Elle est sur mes pieds. Je cherche à la dégager complètement un pied la plaque au sol. J’en profite. Une main me pénètre vigoureusement. Je m’envole. Lorsque je reviens à moi le trin se vide. Tout paraît normal. Je ne sens rien de particulier. Tu rêve trop ! Je quitte le wagon. Le vent s’engouffre sous ma jupe. Le froid me glace le sexe. Je suis nue. Je n’ai pas rêvé.

Le soir, je rentre tranquille. Il est tard et la cohue est passée. Je suis fermement décidée à mettre des pantalons. C’est pourtant en robe que je me présente sur le quai. Mon train est toujours supprimé. Je me demande ce qui m’attend cette fois ci. J’imagine toute sorte de situations. Le train arrive. Bousculade. Je monte. Les chocs pleuvent. On soulève ma robe et ouvre ma culotte. On me pousse. Quelque chose de mout à été glissé dedans. Cela s’appuie mollement sur mon sexe et mes fesses. Je suis intriguée. Je me pose des questions. Cela m’excite. Je mouille. Je quitte le train le sexe trempé. J’ai l’impression qu’il veut happer la chose. Je vais aux toilettes de la gare. J’ouvre mon slip. C’est ma culotte de la veille. Je suis tellement excitée, que je ne résiste pas à me soulager. Le calme revenu je regarde ma culotte. ’ Ceci vous appartient, il me semble ’ c’est écrit au marqueur noir sur le fond de coton blanc. Indélébile c’est sur. Je suis soufflée. Je n’arrive pas à réaliser. Ma journée de travail est plutôt absente. Je ne pense qu’à ça. Il, Elle m’a fouillé le sexe, m’a pris ma culotte, et s’est permis de la remettre en place. Sur le coup de onze heure, je suis partie dans les toilettes, et j’ai remis la culotte ou on me l’avais mise. J’ai mouillé toute la journée.

Le soir la grève était finie. Je peux l’avouer. C’est une folie. Je vous dirais que si vous pouvez éviter ça libre à vous. Moi j’attends la suivante.

Lisa

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