Depuis notre dimanche à la plage dans le chapitre précèdent , ma mère était encore plus amoureuse que jamais , sentimentalement et sexuellement .
Nous avons passé un été fantastique , surtout le mois d’août pendant lequel nous étions tous les deux en congés .
Contrairement aux vacances précédentes où nous étions restés à notre domicile avec juste quelques sorties , nous partions très souvent en voiture dans un rayon entre 100 à 150 km maxi , et nous visitions sites et monuments . Nous nous échappions en amoureux , affichant de temps à autre nos sentiments . La tenue de ma mère , comme elle disait " savoir suggérer sans rien montrer " , la rendait très attirante . Par moments elle était littéralement déshabillée du regard , ce qui ne me dérangeait absolument pas ,c’était les vacances et il y avait beaucoup de touristes . Là où nous passions le plus inaperçus c’était dans des endroits comme les Saintes Marie , la Grande Motte et quelques autres lieux très touristiques . De toute façon ma mère avait décidé de vivre . Notre activité sexuelle était toujours aussi intense , nous faisions l’amour toutes les nuits .
Ma mère , quelques mois après le début de notre relation me raconta qu’il s’était produit en elle un changement intime , que ses règles étaient devenues plus abondantes et régulières qu’avant ; abondantes les 2 premiers jours , stables le 3e jour et en diminution constante pour disparaitre vers le 6e jour . De plus elle savait à quelques heures près le début de ses règles . Il n’était pas rare soit en rentrant du boulot , soit quand nous allions au lit qu’elle me dise : " Chéri si tu veux faire l’amour c’est maintenant parce que dans la nuit ce ne sera plus possible , et elle ne se trompait pas . Les 2 premiers jours la mettait à plat , c’était en gros mes 2 jours d’abstinence du mois , à partir du 3e elle m’offrait les caresses de sa bouche pour récolter mon sirop d’amour et à partir du 6e nous pouvions refaire l’amour .
La rentrée arriva , retour au travail pour nous deux , les semaines passaient , les jours diminuaient , octobre est arrivé , et ce qui n’aurait pas dû arrivé arriva .
Vers la fin septembre , un vendredi soir je trouvais ma mère un peu bizarre mais sans plus . Je n’ai rien demandé car nous avions convenus très tôt dans notre relation qu’il ne devait pas y avoir de doute , de non dit ou de faux semblants entre nous . J’attendais qu’elle aborde le sujet qui pouvait la tracasser . La soirée se passa bien , j’ai pensé alors que je me faisais des idées . Il était aux alentours de 23 heures , nous sommes montés dans notre chambre , je l’ai trouvée dans le lit , le drap sur son ventre , offrant à mon regards sa superbe poitrine . A penser que j’allais la prendre dans mes bras je bandais très fort . Elle était sur le dos , moi appuyé sur un coude allongé à côté d’elle , je caressais son ventre , ses flans , ses bras et bien sûr ses seins aux tétons durcis .
Elle noua ses bras autour de mon cou tout en me faisant un petit baiser du bout des lèvres , mon sexe raide contre sa cuisse je l’enjambais et me calais dans son entrejambe bien ouvert . Elle cala son visage dans mon cou et murmura :
" Chéri est ce que tu trouves quelque chose de changé en moi ? "
Je lui répondis que pour moi elle était toujours pareille si ce n’était encore plus désirable ; que quand je la prenais dans mes bras son puits d’amour débordait de mouille , que je venais en elle avec autant d’envie et de désir que la première fois .
" Et ma poitrine ?"
"Toujours aussi ferme et agréable à caresser " lui dis je .
" Rien d’autre ? "
Un peu embêté je répondis que non .
" Chéri caresses les "
Délicatement je les caressais et les palpais l’un après l’autre , saisissant un tétons entre 2 doigts elle eu un frémissement et une brusque inspiration .
" Ils sont même un peu plus fermes " lui dis je .
Le visage dans mon cou , me serrant plus fort elle , elle murmura à mon oreille :
" Chéri je crois …. , je suis sûre je suis enceinte de plus de 3 semaines , je suis en retard de 10 jours . " Elle pleurait dans mon cou , secouée par les sanglots .
" Pardon chéri , je ne comprends pas , je te jure que je n’ai rien fait pour "
Elle me regarda les yeux pleins de larmes en me disant qu’elle en était sûre depuis ce matin . De son travail elle avait réussi à avoir rendez vous chez sa gynécologue pour le lendemain samedi à la première heure , elle aussi divorcée avec qui elle avait tissé des liens d’amitié depuis que celle-ci était au courant de notre relation .
Sur un ton angoissé , le regard suppliant elle me demandant " Chéri tu viendras avec moi ?"
Nous avions fait la chose ensemble , il était impensable que je la laisse assumer le problème seule .
Ce soir là j’ai mis du temps à la rassurer . Dans son regard on pouvait voir à la fois le bonheur du présent et l’angoisse du lendemain . Le bonheur d’avoir été fécondée par une de mes graines et d’être enfin enceinte de moi , et l’angoisse du lendemain où il faudrait se résoudre à renoncer de pouvoir mener sa grossesse plus avant .
Très tard dans la nuit après l’avoir câlinée amoureusement , elle m’attira sur elle , entre ses cuisses , à la clarté de la lampe de chevet les yeux dans les yeux je me suis glissé lentement dans son ventre . Nos ventres descendaient et remontaient l’un vers l’autre lentement , très lentement . Nos baisers ne s’interrompaient que pour des " Mon chéri je t’aime " ou des "Maman je t’aime "
La délivrance est arrivée , en la regardant dans les yeux j’ai joui très fort , mon éjaculation à provoqué son plaisir , agrippée dans mon dos comme pour m’empêcher de me retirer , son corps frémissait comme si elle grelottait de froid , elle a joui dans de longs gémissements . Nous somme restés collés très longtemps . L’expression faire l’amour n’a jamais eu un sens aussi fort que cette nuit là .
Sa gynécologue avait fait en sorte également auprès de sa confrère du cabinet de radiologie , dans le même immeuble , de lui faire passer une échographie dès son arrivée . La radiologue ne posa aucune question concernant ma présence . Pendant l’échographie ma mère me serra la main furtivement ; celle-ci confirma que ma mère était enceinte et aussi une surprise , il n’y avait plus de stérilet . Après un toucher vaginal auquel j’ai assisté sur demande de ma mère à sa gynéco , le stérilet avait bel et bien disparu . L’explication : le stérilet s’était détérioré et avait été expulsé lors de ses dernières règles ; un cas sur plusieurs dizaines de milliers de stérilets . La gynéco pratiqua une IVG médicamenteuse , 12 jours après la 2e partie du traitement nouvelle échographie , ma mère n’était plus enceinte , pose du nouveau stérilet à laquelle j’ai aussi assisté .
Ma mère avait bien supporté cette IVG , cela faisait pratiquement 2 semaines que nous n’avions pas fait l’amour . Dans l’ascenseur en redescendant de chez la gynéco , elle noua ses bras autour de mon cou en me disant " mon chéri je t’aime " , son ventre contre le mien elle faisait comprendre ses intentions une fois rentrés à la maison . Elle était simplement heureuse d’avoir été enceinte de moi même si elle n’avait pas pu mener sa grosses à terme .
