Amandine fille au pair 3
Ce soir la Amandine rejoint la chambre de ses patrons, elle avait laissée les deux surs en tête à cul, si lon peut dire.
Elle ne frappa même pas à la porte, entra et se dirigea vers le lit conjugal des deux époux.
— Mais enfin Amandine ou allez-vous, vous ne voyez pas que nous sommes couchés mon épouse et moi ?
— Cest bien pour cela que je suis ici monsieur, je viens pour mon pucelage, vous savez la petite membrane que jai dans le vagin, je voudrais la faire disparaître et votre épouse ma dit que vous pourriez y remédier !
— Comment cela ?
— Ne me dite pas que vous ne savez pas comment on fait !
— Oui Amandine, viens dans le lit avec nous ma chérie, on va te dépuceler!
— On ? Non, lui ! Toi tu regarde, tu me mange la moule si tu veux mais pas plus, tu as eu mon cul, devant cest pour lui tout seul !
— Allé viens ne fais pas lenfant, tu sais bien, que cest lui qui va te dépuceler avec sa grosse trique !
Amandine sitôt quittée le peu dhabit quelle avait sur elle, cest à dire rien si ce nest une nuisette en dentelle, sauta sur le lit et sur le vit du mari, cétait le premier quelle voyait et il était de taille, un morceau de roi et pas un de dessous le manteau, non un véritable chibre bien gros, de 25 de long et six dépaisseur, le truc qui te fait passer de vierge à grosse cochonne en trois secondes.
La femme lui mangeait la moule et elle suçait le vit de lhomme avec la conviction dune débutante qui veut bien faire.
Elle avait sorti le gland et le suçait allégrement, salivant dessus et le branlant de tout son long, lengin prenait des proportions qui faisaient douter Amandine de la faisabilité de la chose. Comment cet engin allait-il pouvoir entrer dans son vagin ?
Quand lhomme fut bien bandé comme un vieux bouc lubrique, la femme le dirigea vers la minette de la jeune fille, enfonçant le gland dans les muqueuses de cette petite chatte de pucelle.
Lhomme soufflait comme un porc à qui lon donne des châtaignes, ses yeux sortaient de sa tête, il senfonça dans le con juvénile et fit sauter le pucelage en enfonçant son pieu au plus profond du ventre dAmandine.
La douleur quelle ressentit, pour brève quelle fut nen fut pas moins forte, le pieu senfonçant en elle, lui distendait les chairs, le vagin étroit avait du mal à admettre lintromission de la barre dacier qui le pénétrait.
La femme branlait le clitoris dAmandine et lui caressait les seins, en lembrassant sur la bouche, la langue profondément enfoncée. Amandine avait mal lhomme resta immobile quelques instants, puis alla en elle dans un long va et vient, les doigts de la femme lui caressant les couilles lhomme la prit longuement, Amandine jouissait comme une folle depuis que lhomme avait commençé à la pistonner allégrement et surtout depuis que la femme lui enfonçait deux doigts dans le cul.
— Ne joui pas dans sa chatte, elle ne prend pas de contraception pour le moment, tu jouiras dans son cul, elle adore ça se faire défoncer la rondelle !
Amandine venait davoir son troisième orgasme quand lhomme passa ses jambes sur ses épaules et mis sa tige sur son anus, le pieu entra en elle comme dans du beurre, les fists de la femme dans son cul, avaient bien distendu les muscles anaux de la jeune fille.
La femme branlait Amandine lui mangeant la chatte et introduisant ses doigts les un après les autres dans lentre fraîchement dépucelée dAmandine, un, deux, trois, quatre, et cinq doigts étaient dans la fente et le pieu du mari dans son cul, lexplosion vint en même temps que le mari éjacula au fond de ses tripes.
Montant du plus profond de son ventre les contractions du plaisir envahissaient la tête dAmandine, elle ne se réveilla de son léger évanouissement, que pour voir la femme, qui à coté delle se faisait copieusement fourrer dans la bouche par son mari. Il lui prenait la bouche comme on prend un cul, avec violence, en lui criant des mots obscènes.
— Prend ça salope, vieille pute, avale ma bite, tu nes quune chienne lubrique, je vais te remplir la gorge de mon foutre !
Amandine regardait ce pieu senfoncer jusquà la garde dans cette gorge, la femme pleurait, de la bave coulait de ses lèvres, elle étouffait, lhomme eut un râle et lâcha sa liqueur au plus profond de la gorge.
La femme mit un moment à reprendre son souffle, le sperme et la bite lavaient étouffée.
Amandine rejoignit sa chambre quelques minutes plus tard, laissant les deux époux sendormir.
Elle passa devant la chambre de Maud les deux filles étaient endormies têtes bêches, elle ferma la porte et regagna sa chambre, demain elle ferait dépuceler lune des deux filles par son père, la préparant elle-même, pendant que la mère soccuperait de lautre.
Elle avait quand même mal à sa fente et alla prendre une douche se baignant les fesses et sa chatte fraîchement déflorée dans leau fraîche du bidet.
Le lendemain, elle ne se réveilla que fort tard, la maison était calme, tous dormaient ou étaient à leurs occupations, le mari parti au travail et la femme à son cabinet.
Elle déjeuna et entreprit un peu de ménage, lentrecuisse quand même sensible des assauts des deux patrons lubriques, il fallait que cela se passe mieux pour les deux filles car Amandine ne voulait pas quelles aient mal comme elle, cétait quand même ses protégées.
Elle my en route un plan, il fallait que la vielle pute la laisse seule avec le mari et les filles, donc quelle dorme.
Ce fut facile, quand elle apporta les cafés au salon à ses deux patrons, elle versa dans la tasse de la femme un somnifère.
La soirée pouvait commencer.
La suite bientôt on ne va pas mettre trois dépucelage en même temps car Amandine a dautre tours dans son cul ! Non-pardon ! Sac !
