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la jeune femme qui m'obsédait – Chapitre 2

la jeune femme qui m'obsédait - Chapitre 2



Sophie était là, allongée sur un lit au beau milieu de mes rêves les plus fous, plus excitante que si elle avait été nue !

J’avais oublié où je devais aller, qui j’étais, où j’étais… J’étais un voyageur dans le temps.

Sans réfléchir, j’ai suivi mon instinct : je m’approchai sans faire de bruit et m’agenouille aussi adroitement que je le pouvais en écartant mes genoux de chaque côté des cuisses laiteuses et encore humides de la douche. Le mouvement du lit a fait un peu bouger la jeune femme et, en bougeant, elle écarta légèrement les cuisses.

Je mets mes mains sur son dos et les fais glisse avec la douceur de la soie, partant du creux du dos vers les épaules. Un petit gémissement de bien être me fit m’arrêter quelques secondes.

Je sentais mon sexe se raidir. Je reposai mes mains, les doigts bien écartés, sur le haut des fesses rebondies et entrepris un mouvement circulaire qui faisait s’ouvrir et se refermer les jolies collines chaudes. Le souffle de Sophie s’accélérait ; j’étais maintenant sûr qu’elle ne dormait pas et qu’elle appréciait…

Ma main gauche suivait le sillon des fesses, pendant que la droite dégrafait mon jean et le faisait descendre jusqu’aux genoux.

Je me penche et plonge mon nez dans la petite toison blonde et frisée et, de quelques coups de langue, j’invitai la jeune femme à me signifier son accord total. Ce qu’elle fit en creusant le dos et en reculant ses jolies fesses vers moi.

Instinctivement, j’ai amené mon sexe bien dur à la rencontre des fesses qui s’offraient à moi…

Mon sexe est allé glisser le long du sillon humide séparant les fesses, il caressa le rectum et pointa son gland à la base d’une belle chute de reins. Je le ramène tout doucement vers le bas, dans la toison d’or pour brosser quelque secondes, délicatement, les deux lèvres déjà bien gonflées de plaisir.

A ce moment, j’entendis un murmure : " Viens en moi… si-te plaiiiit ! Viens, main-ant… main-nant "

Je pris le temps de retirer complètement mon pantalon. Je remontai le peignoir pour dégager le nu artistique qui ne tarda pas à m’offrir une des plus belle photos que j’aie pu voir jusqu’ici…

— Retire-le si-te-plait… en entier, le peignoir !

Je m’exécute et m’allonge de tout mon corps sur Sophie.

Mon sexe raide allait et venait entre les fesses, tout en taquinant les lèvres gonflées et en titillant le petit bouton en haut du bel abricot de Sophie. Une main passée sous le ventre duveteux et doux caressait le haut de son sexe, et l’autre faisait connaissance avec de très beaux seins (très certainement vrais !).

Sophie halète maintenant, et attends une pénétration que je n’ai pas tardé à lui donner, malgré mon envie de voyager encore dans ces collines et ce doux paysage que formaient son sexe, son pubis…

Malgré la douceur de ma pénétration, j’ai entendu un léger "Vlouf !" quand mon sexe a traversé de l’autre côté de la caverne sensuelle de Sophie. J’ai tremblé de tout mon corps tellement je fus envahi d’une chaleur et d’un frisson de bien-être en arrivant au fond de son ventre.

Sophie ne contrôlait plus son corps : elle entama un mouvement désordonné avec ses fesses qui allaient dans tous les sens mais en gardant bien mon outil bien au chaud.

N’y tenant plus, j’ai aussi accéléré le mouvement et commençai à donner des solide et rapides coups de reins qui secouaient Sophie et lui tiraient des cris rapides et délicats.

Ses mains sont venues, un moment, s’accrocher à mes fesses et semblaient vouloir accentuer mon mouvement, ou alors me faire pénétrer plus dans ses profondeurs bien chaudes, lubrifiées et très douces.

Sophie écarte de plus en plus ses cuisses, creuse ses reins et relève plus les fesses, les bras écartés en croix et les mains s’accrochant aux draps…

— Prend-moi comme une bête ! Vas-y, fais-moi mal, fais-moi du bien ! Si-te-plait ! Plus fort !

Ces paroles soufflées entre des petits cris et des halètements m’ont renforcé dans mon désir. J’ai pris ses hanches brusquement et, je me suis relevé sur les genoux en la tirant avec moi.

En levrette devant moi, les belles fesses bien écartées autour de mon sexe, de beaux sein suivant le rythme, Sophie n’était plus de ce monde, et moi non plus !

Je repousse doucement les hanches que je tenais fermement jusqu’à sortir mon sexe jusqu’au gland, et, d’un coup fort mais sans brutalité, je suis allé chercher le fond.

Dans un cri rauque, je jouis d’un coup, très fort comme jamais avant, tout au fond de Sophie, ce qui lui a arraché plusieurs petits cris saccadés puis un plus grands, comme un râle ! Elle m’inonda l’entre-jambe…

(à suivre)

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