La jeune femme était à présent si près de la chatte de Johanna qu’il ne lui suffisait que de tendre sa langue pour entrer en contact avec la zone où se trouvait bloqué le sexe de Filou.
Johanna sentit le souffle de la jeune maman se poser entre ses cuisses, et n’eut comme seul réflexe que d’aspirer plus fortement le liquide qui sortait encore et toujours du sexe positionné au-dessus de sa bouche.
Karine prit la décision de passer à l’action et sortit sa langue pour la poser délicatement sur le clitoris de Johanna, puis elle se servit de sa main pour écarter les lèvres de la belle blonde et ainsi avoir accès en même temps au nud encore coincé de Filou, d’un mouvement sensuel, elle lécha avec application la jonction du mâle et de sa chienne afin de profiter au maximum du goût des deux amants.
Johanna poussait de son côté de petits gémissements tout en ondulant du bassin comme pour être sûre de récupérer tout le sperme du chien et profiter par la même occasion de la langue experte de sa partenaire sexuelle.
— Alors, tu aimes te faire prendre et te faire lécher en même temps ?
— Putain, j’aurai jamais cru goûter à ta chatte et encore moins de cette façon ! Et t’as une langue hmmmm !
— Et oui, je suis une femme et je sais ce qu’une femme attend.
Le temps de leur petit dialogue, Filou avait réussi à se libérer bruyamment de son étreinte vaginale, et Karine ne perdit pas une seule seconde pour rattraper avec sa langue la plupart du liquide qu’avait laissé séchapper le chien lors de sa libération.
Les deux femmes étaient à présent en plein ébat sexuel où chacune d’elle s’appliquait du mieux possible à débarrasser l’autre du contenu canin laissé par Filou dans leurs sexes.
A lui tout seul, le labrador avait réussi à remplir ces deux femelles sans pour autant en avoir eut assez. En effet, le chien était toujours en état de procéder à une saillie et il comptait bien ne pas en rester là.
Filou s’approcha de ce spectacle auquel il ne comprenait pas grand chose si ce n’est qu’il devait à présent passer par le petit trou d’un chienne comme le lui avait appris Johanna.
En effet, la jeune fille dont l’ambition sexuelle n’a d’égal que sa beauté, avait pris pour habitude de dresser le chien depuis plus d’un an à un rituel orgasmique bien particulier. Afin de ne pas le laisser sauter sur sa maîtresse par habitude de sauter une femme, elle l’avait dressé à la lécher en position assise, puis lorsqu’elle l’allongeait, cela était le signe qu’il pouvait s’introduire, ensuite lorsqu’elle se sentait suffisamment lubrifiée par le chien, elle ondulait son bassin pour l’inviter à passer son nud. La dernière partie du coït, elle ne l’a développé qu’il y a quelques mois, lorsqu’elle se rendit compte qu’elle pouvait aussi prendre un immense plaisir en laissant le labrador la sodomiser, elle dressa donc Filou à la prendre par derrière, uniquement en levrette sur le canapé, mais ce n’était pas Johanna qui était à quatre pattes sur le canapé en ce moment, mais bien Karine qui ne s’est jamais laissée sodomiser, pas même par le père de son fils.
Johanna savait que la suite du programme n’allait pas plaire à celle qui était occupée à avaler le fruit d’un rapport sexuel entre une femme et un chien, trop occupée d’ailleurs pour remarquer que le chien s’était positionné derrière elle, près à bondir sur le dos de sa maîtresse et lui élargir le petit trou. Mais la jeune métisse tenait ici sa vengeance, certes, le fait d’avaler du sperme canin ne lui déplaisait pas du tout, mais elle détestait que l’on lui force la main et c’était au tour de Karine de comprendre qu’obliger quelquun cela pouvait faire très mal, même si ça fait du bien.
A suivre…