Nous roulons tranquillement. Mon maître soulève ma robe et s’amuse à caresser mon clitoris. L’effet est immédiat. Je ferme les yeux et bouge légèrement mon bassin. Mon maître prend le clitoris entre son pouce et son index et serre légèrement. Je ne peux m’empêcher de gémir. Maître, permettez à votre chienne de jouir. Je n’ai pas de réponse de mon maître. Je me retiens. Il continue à jouer avec mon clitoris, s’arrête. La tension retombe un peu et il recommence. Je gémis de plus belle. Je bouge mon bassin. Cela dure un moment. A aucun moment, mon maître met ses doigts dans mon vide couille, il ne joue qu’avec mon clitoris. Je n’en peux plus, j’ai envie de jouir, je me retiens. Mon maître arrête la voiture sur une aire au bord de la route. Là, il me dit de descendre. J’attends auprès de la portière. Mon maître vient me chercher, m’amène devant la voiture, me couche sur le capot, me fait écarter les jambes. Il sort sa queue, et il me pénètre sauvagement. Je le sens en moi. Sa queue au fond de mon vide couille, le plug qui reste fichait en moi, je râle. Maintenant, je t’ordonne de jouir, femelle, dit mon maître. L’ordre libérateur est arrivé. Je jouis pendant que mon maître me besogne. Il se finit et reste en moi. Je suis aux anges. Une voiture passe en klaxonnant. Je remercie mon maître de m’avoir permis de jouir. Il se retire de moi. Je me lève et vais maccroupir devant la voiture, ma robe bien relevée. J’urine longtemps, face à la route. Une fois fini, je me relève et baisse doucement ma robe et retourne à la voiture. Mon maître démarre.
Nous arrivons au gîte. Maître Michel et Justine sont déjà là. Ils nous accueillent. Maître Michel nous explique que les propriétaires sont absents et que nous avons tout l’espace pour nous. Je remarque deux chaînes qui dépassent sous la jupe de Justine. Cela m’intrigue, deux chaînes qui pendent sans rien, c’est étonnant mais je ne demande rien Je sors les valises de la voiture. Justine m’aide et me montre la chambre. Elle me dit qu’ils sont là depuis hier soir et qu’ils ont laissé le chien à sa belle-mère. C’est un endroit très calme. Nous rejoignons les deux hommes qui sont sur la terrasse, assis dans des rocking-chairs entrain de discuter. Mon maître me demande de lui servir une bière. Je lui ramène sa bière, l’ouvre, lui sers dans un verre et m’assois à ses pieds. Sa main me caresse les cheveux. Justine reste debout à côté de son maître. Alors que maître Michel joue avec les chaînes de Justine il dit à mon maître :
— Devines à quoi elles servent
Après un moment de silence , mon maître répond :
— Je ne sais pas mais tu vas me le dire
— A transporter mes boules de pétanque. Ce sont des chaînes avec des aimants. Elle les ramasse et me les apporte, plus besoin de se baisser.
— Ingénieux, tu en as de la chance
— T’en fais pas, j’ai pensé à toi et j’en ai acheté suffisamment pour nous deux. On pourra jouer avec quatre boules chacun.
— Et bien faisons une partie. Celui qui perd paye l’apéro à l’autre.
Maître Michel se lève et revient avec les chaînes. Il en ajoute deux à Justine. Mon maître me demande de me lever et il m’en met quatre, une à chaque anneau de mes grandes lèvres. Une fois mises, il met les boules. Immédiatement, je sens le poids des boules sur mon vide couilles. Mes lèvres sont très étirées. Je vois Justine grimacé, je dois faire la même grimace, en plus, j’ai le plug qui est toujours enfoncé en moi.
Allons au terrain de boules, dit maître Michel.
Nous avançons doucement. La descente des marches de la terrasse est difficile. Je marche les jambes écartées et j’essaie que les boules se balancent le moins possible. Enfin, nous arrivons au terrain. C’est mon maître qui commence . Il lance le cochonnet et je dois lui donner la boule. Cela soulage mes lèvres au fur et à mesure. Quand ils ont fini, nous devons aller chercher les boules. Je me mets au-dessus d’une boule, me baisse en pliant les genoux jusqu’à ce l’aimant touche à la boule et je me relève. Mes lèvres s’étirent de nouveau. Une fois que j’ai ramassé les quatre boules, je retourne auprès de mon maître et le jeu reprend. Il dure longtemps. Je suis incapable de dire qui gagne et qui perd tellement je sens mes lèvres. Justine n’est pas mieux que moi. Enfin, nos maîtres ont fini et je comprends que c’est mon maître qui a gagné. Nous retournons au chalet. C’est encore plus difficile qu’à l’aller. Monter les trois marches de la terrasse s’avère une épreuve terrible. Nous pouvons ranger les boules. Je passe machinalement ma main sur mes lèvres. Mon maître me dit de m’approcher. Il caresse mes grandes lèvres qui sont très sensibles après le traitement qu’elles ont subies. Sa main est douce et me fait un bien fou. Deux doigts s’insinuent entre mes lèvres, commencent à me pénétrer doucement. Mon maître sait s’y prendre, il sait comment faire pour me détendre et bien sur, il y arrive. J’ai envie d’être fouillée, que sa main rentre en moi. J’ai envie qu’il prenne possession de sa chienne, qu’il me domine, qu’il m’amène au bord de la jouissance et me laisse ainsi. Je ferme les yeux. Mon maître rentre doucement quatre doigts, il insinue le pouce et commence un va-et-vient. Au fur et à mesure sa main rentre écartant mes lèvres, distendant mon vide couille, je sens sa main en moi. Voilà, la main est rentrée, je suis fouillée. Je mouille, je sens la jouissance arriver. Juste à ce moment, mon maître ressort sa main, ma laissant au bord de la jouissance. Il me donne ses doigts à lécher. Ils sont pleins de mouille. Il les enfonce dans ma bouche, je les lèche comme je peux. Enfin, il les retire. J’ouvre les yeux. Je vois Justine à quatre pattes, son maître est en train de la saillir. Son maître se vide en elle. Une fois fini, il vient sasseoir à côté de mon maître et ils entament une discussion sans plus s’occuper de nous.
Le soir, nous trainons sur la terrasse, profitant de la douceur. Avec Justine, nous allons dans le bungalow. Nous prenons un plateau chacune. Ses plateaux sont dotés de deux chaines sur les coins extérieurs et d’une ceinture sur le bord opposé. Je pose, sur mon plateau, trois bouteilles de digestif, Justine pose sur le sien, deux verres, un petit bol de glaçons et des petits amuse-bouches. Je prends les deux chaines qui sont attachées aux coins extérieurs du plateau et Justine prend la ceinture. Je soulève le plateau, accroche les chaines aux anneaux de mes tétons et Justine attache la ceinture dans mon dos, ainsi, le plateau ne peut pas tomber et tire énormément sur mes mamelles. J’aide Justine a attaché le sien. Nous retournons à la terrasse, les mains dans le dos. Quand nous sommes à côté de nos maîtres, nous nous mettons à genoux, cuisses grandes ouvertes et attendons. Nos maîtres se servent, reposent les verres, prennent quelques amuse-bouches tout en se demandant qui va gagner la coupe du monde de foot. J’ai mal aux tétons, les bouteilles parraissent de plus en plus lourdes. Nos maîtres continuent à boire et à discuter. Mes genoux me font mal, mes tétons aussi, pourtant, je suis excitée. J’aime être ainsi, je regarde Justine, elle ne dit rien, juste un léger balancement de son bassin me laisse deviner dans quel état elle est.
Mon maître dit :
— Regarde ses femelles, Michel, pas l’une pour rattraper l’autre
— Oui, la tienne, sa mouille tombe sur le sol et la mienne, si elle continue, elle va jouir sans qu’on la touche
— La mienne ne va pas jouir, elle va rester comme cela, une femelle qui jouit, c’est suffisant.
Maître Michel se lève, donne une claque sur les fesses de Justine
— Allez, jouit maintenant, femelle.
Justine se met immédiatement à gémir et jouit aussitôt. Je regarde Justine jouir envieuse.
— Allez, débarrassez-nous tout cela et tout le monde va dormir et toi, femelle, au pied de ma porte, comme une bonne chienne.
Nous débarrassons. Quand j’enlève le plateau, je pousse un soupir. Une fois tout ranger, je me mets au pied de la porte de la chambre de mon maître. Je m’endors mais j’ai beaucoup de rêves érotiques et une envie folle de faire l’amour. J’ai une nuit agitée. Vivement demain