La suite de l’histoire et bien c’est ma femme qui me l’a raconté.
Elle est arrivée devant le domicile de notre papy vers 14h30, une petite rue, des maisons de ville, elle est restée un peu dans la voiture, elle se demandait si elle ne devait pas rentrer, et puis elle a pensé à moi, à ma déception, après une hésitation, elle a repassé son rouge à lèvres, et puis elle est sortie de la voiture.
Arrivée devant la porte elle sonna, du bruit indiqua la présence de papy Michel, qui ouvrit sa porte.
Il lui a fait un large sourire en la voyant, son regard se porta des pieds à la tête, sans doute apprécia t’il la tenue de Madame.
Il l’invita à entrer, et une fois entrée, il lui dit alors :" Nous nous faisons la bise !!?" et ma femme s’avança vers lui. J’ai écouté le récit en lui demandant le plus de détail possible, ma femme était gênée de devoir détailler; j’étais comme vous à attendre la suite…
Notre papy l’a invité à passer au salon, une pièce de 3m50 sur 5m, avec un coin salon, une banquette et puis un fauteuil en face, et puis à côté une table de ferme et un buffet. Il lui proposa de prendre place dans le canapé et il s’assit en face, une table basse séparant les deux.
Ma femme m’a décrit que le canapé était un peu vieillot et l’assise un peu défoncée, et en s’asseyant, sa jupe remonta pratiquement au niveau de sa culotte, elle tenta de tirer un peu dessus, mais cela ne fit pas grand chose.
Elle posa son sac près d’elle, et en tournant sa tête face à son interlocuteur, et vit son regard qui était porté sur le haut de ses cuisses et sous sa jupe, que sur son visage.
C’était une expérience nouvelle pour ma femme, toute à la fois excitante et gênante. Ils ont commencé à discuter, et le regard de papy avait tendance à furtivement aller mater sous la jupe de ma femme. Au cours de la conversation, il proposa à ma femme de boire quelque chose, et il revint avec des bouteilles, ma femme lui posa alors la question sur la disparition de sa femme, il lui expliqua que cela faisait 5 ans, ma femme lui demanda si il n’avait pas pensé à chercher quelqu’un, et lui dit qu’à son âge, cela n’était pas facile, sur le ton de la taquinerie ma femme lui dit :" Une maitresse alors !?", et il lui répondit que dans ce cas il fallait trouver une jeune femme alors, mais qu’il était trop vieux pour plaire à une jeune femme.
Ma femme se surprit à lui répondre, qu’il se trompait, que des femmes de son âge appréciaient des hommes d’âge mûr. Il la regarda et lui dit que c’était gentil de dire cela, ma femme rougit un peu, et se sentant soudainement troublée de ses mots, elle croisa ses cuisses, laissant voir sans le vouloir vraiment, pleinement sa petite culotte blanche.