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Recadrage au vestiaire – Chapitre 1

Recadrage au vestiaire - Chapitre 1



Lorsque j’étais à la fac, je faisais partie d’un groupe de potes qui ne trouvait rien de mieux, pour affirmer leur virilité naissante, que de rabaisser les filles de la promo par de constantes remarques et moqueries sur leur physique. Le genre de commentaires vexants et allusifs ayant pour but de montrer qu’on était de vrais "bonhommes", alors qu’en vérité chacun de nous rêvait en secret de pouvoir un jour ne serait-ce qu’admirer et se délecter de ces corps et de leurs charmes très fraîchement acquis.

Le cours de sport était très souvent un moment particulièrement propice à nos railleries habituelles. En effet, les filles, dans leurs leggings moulants et leurs débardeurs étroits et ajustés, arboraient des poitrines insolentes et des fesses parfaitement dessinées. Il y avait bien trop d’objets d’attraction pour qu’un jeune homme puisse faire semblant de les ignorer. Nos sarcasmes, menés par nos hormones en ébullition, redoublaient alors d’intensité. Les filles, quant à elle, lassées par des comportements qu’elles qualifiaient, certainement à juste titre, d’immatures, nous ignoraient la plupart du temps.

Mais un jour, elles s’en plaignirent au professeur et lui demandèrent de nous séparer en nous répartissant dans des groupes différents. L’effet de groupe supprimé, les moqueries incessantes cessèrent et je fus alors réparti dans un groupe exclusivement de filles. Voyant qu’il s’agissait des plus belles filles de la classe, mes potes ne purent s’empêcher quelques sifflements lourdingues et remarques à l’emporte-pièce.

Seul et à présent isolé, je ne pus m’empêcher de rougir lorsque je croisai les regards de mes futures partenaires. L’une d’entre elles le remarqua instantanément et ne put s’empêcher de me lancer :

"N’ait pas peur p’tit loup, on ne va pas te manger !"

Elles éclatèrent toutes de rire ce qui contribua à accroître mon malaise et à faire resurgir ma timidité naturelle. Pendant toute la séance d’acrogym, elles n’arrêtèrent pas de se mettre dans des positions suggestives, de se cambrer et de se frotter contre moi, prétextant une figure particulièrement difficile ou délicate à effectuer. Me critiquant au moindre écart de conduite et profitant de quelques faiblesses dans mes portés pour me rabaisser en s’attaquant directement à ma virilité, leur ton se faisait de plus en plus directif avec moi. Une remarque de trop me fit à un moment sortir de mes gonds. Tout de suite, Tuna, la leader du groupe me rappela à l’ordre :

"Ecoute, nous, on veut une bonne note et on travaille sur nos figures depuis le début du trimestre. Alors il est hors de question que tu viennes gâcher tout le travail que nous avons accompli jusqu’ici. Tu feras ce qu’on te dit et c’est tout."

Je me pliai péniblement à toutes ses exigences tout en leur montrant ostensiblement ma mauvaise humeur.

Vint le moment de la notation. Alors que les autres groupes présentaient leurs enchaînements devant le professeur, Marie, la meilleure amie de Tuna, s’approcha de moi et me dit discrètement :

"Je te propose un deal, j’en ai parlé avec les autres filles de la classe et elles sont toutes d’accord. Si nous parvenons à obtenir au moins la note de 16/20, tu pourras venir te changer avec nous dans notre vestiaire. Qu’en dis-tu ?"

Complètement abasourdi par la proposition qui venait de m’être offerte, je bégayai quelques instants avant de tenter de reprendre un peu de contenance et d’accepter fébrilement :

"Euh… Oui oui… Pourquoi pas ?"

J’avais extrêmement chaud et sentais que mes joues devaient être complètement rouges. J’avais encore du mal à réaliser. Mon pire cours de sport allait peut-être laisser place à la plus belle journée de ma vie. Quoi qu’il en soit, je me devais de tout donner lors de notre passage.

Enfin la fin du cours… Tout le monde se rassembla au milieu du gymnase dans l’attente des résultats. Le professeur s’approcha et énuméra les différents groupes et les notes correspondantes. Nous obtînmes la meilleure note de la classe ! 17,5/20 ! Je réalisai la signification de cette note et mon cur se mit à battre la chamade. Immédiatement, Tuna se dirigea vers moi pour me donner ses instructions :

"Tu as trois minutes pour aller chercher tes affaires et nous rejoindre sans quoi nous fermerons la porte du vestiaire à clé"

J’accourus au vestiaire homme et rassemblai en boule toutes mes affaires avant de ressortir. Etonnés, mes potes me demandèrent ce que je faisais. Je leur dis que je préférais me changer et me doucher chez moi afin d’éviter tout commentaire et ragot. Arrivé devant la porte du vestiaire femmes, je m’arrêtai, inspirai un grand coup et enclenchai la porte.

À peine entré, je m’arrêtai net n’en croyant pas mes yeux. Toutes les filles de la promo étaient devant moi en train de se déshabiller. Certaines étaient déjà en petite culotte et en soutien-gorge. A la fois tétanisé de peur et hypnotisé par le spectacle qui s’offrait à moi, je n’entendis pas Floriane qui ferma derrière moi la porte du vestiaire à clé. Envouté par ces magnifiques corps qui se révélaient petit à petit, mes hormones, déjà bien stimulées tout au long du cours, se mirent à produire leurs effets et je sentis l’excitation monter.

Tuna s’approcha alors de moi et, de manière autoritaire, plaqua d’un coup sa main dans mon entrejambe :

"Oh, mais ce garçon est très excité ! Tu fermes ta sale gueule maintenant que tu nous vois toutes en sous-vêtements. Tu te fous constamment de notre gueule, mais je suis sûr qu’on t’excite tellement que tu branles ta petite bite chaque soir en pensant à nous. Aahahah… Et maintenant ? Regardez-le. Incapable de faire le moindre mouvement et de dire le moindre mot. Pathétique…

Mais avoue. Tu aimes ce que tu vois, n’est-ce pas ? Alors si tu veux continuer à profiter du spectacle tu vas nous obéir et faire tout ce que nous t’ordonnerons. Tout d’abord, tu vas nous présenter tes excuses pour ton comportement."

Sa main serrant mes testicules, je n’eus d’autre choix que d’obéir.

"Ex… Excusez-moi… Je suis idiot… Vous êtes vraiment belles…"

"Non ! Mieux que ça ! Excuse-toi à genoux !"

Complètement dépassé par les évènements, je m’exécute machinalement et m’agenouille instinctivement devant elle tout en réitérant mes excuses :

"Je m’excuse… Je vous en prie… Pardonnez-moi…" sanglotai-je.

Se tournant vers ses camarades, Tuna déclara dans un rire général :

"Je vous l’avais dit ! C’est une petite salope soumise ! Et que serais-tu prêt à faire pour te faire pardonner ?

"… Je ne sais pas… Tout ce que vous voudrez…"

Elle sourit.

"Tout ce que nous voudrons ? Très bien. Déshabille-toi devant nous."

Je me déshabillai et hésitai à enlever mon boxer. La réponse ne se fit pas attendre :

"Complètement. Vite !"

Je l’enlevai et me retrouvai entièrement nu.

Ma bite était tendue comme un câble. Debout dans le vestiaire, je n’arrivais pas à quitter des yeux la poitrine généreuse de Marie délicatement compressée par son soutien-gorge en dentelle. Elle était incontestablement la plus belle fille de la promo. Marie le remarqua très vite et dit, morte de rire et en prenant toutes les filles à témoin :

"Regardez, il me reluque les seins !"

Immédiatement, Tuna qui était près de moi s’exclama :

"Tu bandes comme un âne et tu oses reluquer ma pote. T’es vraiment un sale porc. Et les sales porcs comme toi se tiennent à quatre pattes. Mets-toi à quatre pattes."

Le ton de sa voix était si autoritaire que j’obéis instantanément et automatiquement sans même penser à la signification qu’impliquait mon attitude. Par cet acte, j’acceptais ma subordination entière. Son sourire malicieux ne pouvait que le certifier.

C’est à ce moment que Marie voulut s’amuser un peu et prendre le contrôle. Se penchant au-dessus de moi, elle me demanda :

"Donc tu aimes ma poitrine, n’est-ce pas ? Tu voudrais la voir ?"

Redressant la tête, j’acquiesçai.

"Tellement mignon. Alors, allonge-toi sur banc"

Elle s’assit et posa ma tête sur ses cuisses. Sa tête au-dessus de la mienne, elle plongea ses yeux vers dans les miens. J’étais paralysé. Impossible de quitter son regard. Je lui appartenais. Tout en soutenant mon regard, elle commença avec sa main à masturber doucement ma queue. Puis, avec son autre main, elle baissa les bonnets de son soutien-gorge. Je fus émerveillé par la vision de ses seins sur lesquels j’avais toujours fantasmé. Forcé de quitter son regard, c’était maintenant ses seins qui me paralysaient. Sa main experte me mit en confiance comme sa tendresse naturelle avait vocation à me rassurer et me protéger. Enfin elle me dit doucement mais fermement :

"Tête les."

J’obéis et commençai à les téter. Elle en profita pour parler aux autres filles :

"Ce n’est pas un porc. C’est un petit bébé. Notre bébé soumis."

Des ricanements se firent entendre dans le vestiaire. Tournant à nouveau son regard vers moi, elle déclara tout en serrant un peu plus mon pénis :

"À partir de maintenant du seras notre bébé esclave. Tout ce que nous te demanderons, tu l’exécuteras immédiatement. Quelles que soient les circonstances, tu ne verras plus jamais nos magnifiques corps et ma poitrine. Compris bébé ?"

À peine sa question terminée que j’explosais étalant ma semence sur mon ventre. Cela provoqua un rire général et Tuna enfonça le clou :

"Oui il a parfaitement compris et est complètement d’accord."

Marie s’essuya la main sur mon visage, remonta ses bonnets et finit de se rhabiller. Puis elle me balança un mouchoir sur le visage sans dire un mot et sortit du vestiaire avec les autres filles.

A suivre…

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