eux de rôle : la policière.
Je gravis péniblement l’escalier qui mène à mon appartement ; je repense à ma journée et me dis que le fait que l’ascenseur soit en panne est simplement la suite logique d’une journée particulièrement pénible. Pour la petite histoire, je travaille dans l’informatique, et ce matin j’ai passé trois heures au téléphone avec un client, certes sympathique, mais qui a tendance à confondre ses serveurs avec l’ordinateur domestique qu’utilise bobonne et les enfants.
Mon après-midi n’a pas été plus intéressant ; on a passé en revue notre catalogue de solutions logicielles. Bref, mon programme de la soirée est clair : je rentre à la maison, je mange rapidement et je vais ensuite aller me défouler à la salle de sport en bas de chez moi ; il n’y a rien de tel pour se vider l’esprit.
J’arrive enfin au quatrième étage. Jouvre la porte, pénètre dans le couloir de l’entrée et pose ma veste sur le portemanteau. Soudain, je la vois sortir de la chambre dans une tenue… disons inhabituelle.
Ah oui, c’est vrai, je ne vous ai pas présenté Sophie. J’ai rencontré Sophie sur un site de littérature érotique ; nous nous sommes rapidement découvert beaucoup de points communs, et nous sommes très vite passés du virtuel au réel. Et pour tout vous dire, comme cela devient même sérieux, je lui ai donné la semaine dernière un double des clés de mon appartement.
Retournons donc à ma Sophie. La voici accoudée au mur près de la porte de la chambre ; elle arbore un sourire aiguisé et ses yeux pétillent de malice. Je reste interloqué et me contente de scruter sa tenue de haut en bas.
Elle porte un petit chemisier blanc qui est presque trop petit pour elle. Malgré le fait qu’elle ait défait plusieurs boutons, ses seins semblent très à l’étroit dans ce petit haut et ne demandent qu’à s’en échapper. Par transparence, je peux voir qu’elle arbore un soutien-gorge noir. Au niveau de sa poitrine, elle a épinglé un petit bout de carton sur lequel figure le mot "POLICE".
Mon regard se porte un peu plus bas vers sa petite jupette qui lui arrive au-dessus du genou, mais qui est largement fendue sur le côté. J’aperçois ainsi une attache de porte-jarretelles qui maintient un bas de couleur chair qui est du plus bel effet sur sa sublime peau métissée.
Finalement, ma journée risque de ne pas être si mauvaise que ça ; la tenue de Sophie commence déjà à provoquer chez moi un début d’érection.
Mes yeux continuent leur exploration en suivant les lignes de ses jambes fuselées et tombent finalement sur une paire d’escarpins aux talons assez fins.
Sa tenue est un véritable appel au sexe. Je suis subitement pris d’une bouffé de chaleur et je sens mon sexe être extrêmement à l’étroit dans son cocon. L’air penaud, je me contente d’expulser une stupide onomatopée de ma bouche :
Ouaaaa…
Voyant que j’ai fini d’admirer sa tenue, Sophie me montre de sa main droite qui était restée jusqu’à présent dissimulée derrière son dos une paire de menottes. D’un seul coup, son visage qui était illuminé de sensualité se durcit, et d’une voix ferme et autoritaire elle me lance :
On nous a signalé des activités suspectes chez vous, Monsieur ; je vais devoir procéder à votre interpellation.
Puis, sans me laisser le temps de réagir, elle se précipite vers moi, me plaque contre le mur les mains dans le dos et me passe la paire de menottes. Trouvant qu’elle se prend un peu trop au jeu, je lui dis quand même :
Eh, oh… doucement ! Ne m’abîme pas pour la suite…
Elle me répond toujours aussi sèchement :
Taisez-vous, Monsieur. Contentez-vous d’obtempérer !
« Obtempérer »… Ce n’est pas possible ; elle a appris par cur le vocabulaire de base du flic, elle se met vraiment dans la peau du personnage. Du coup, pour rentrer dans son jeu, je lui réponds :
Bien, Madame, je vais obéir ; mais ne me faites pas de mal, s’il vous plaît.
Voilà, c’est bien. Maintenant, je vais procéder à la fouille au corps afin de m’assurer que vous n’avez pas d’armes ou d’objets dangereux sur vous.
Alors qu’elle dit ça, je décerne de nouveau une pointe de salacité dans sa voix. Puis très vite Sophie procède aux palpations en règle.
Elle est derrière moi, je suis toujours le visage plaqué contre le mur. Ses mains commencent par desserrer ma cravate, puis d’une façon lente et méthodique elle défait un par un les boutons de ma chemise. Une fois celle-ci ouverte, elle passe ses mains sur mon torse, à la recherche d’une arme imaginaire. Elle joue un peu avec mes tétons et en profite pour les pincer légèrement au passage. Ses doigts glissent ensuite vers ma ceinture abdominale, ou plutôt vers mon petit bidon sexy, comme elle dit. Elle descend de plus en plus bas ; ses doigts frôlent l’élastique de mon boxer.
De mon côté, je me prends également au jeu ; la situation m’excite complètement et je suis maintenant totalement en érection. J’essaie même de contracter mon sexe pour le faire jaillir de mon boxer et qu’il vienne ainsi à la rencontre de ses doigts.
Mais ses mains ne descendent pas ; elle joue toujours avec moi, me caresse le bas-ventre en prenant bien soin de ne pas toucher mon sexe. Je suis son jouet. Je sens ses ongles griffer délicatement ma peau… J’adore, je suis aux anges. L’impression d’impuissance, de ne pas pouvoir la toucher est à la fois frustrante et aussi incroyablement grisante.
D’un seul coup elle s’accroupit et commence à me fouiller au niveau des chevilles. Elle remonte ensuite doucement vers mes mollets, et voilà qu’elle s’attaque maintenant à l’intérieur de mes cuisses. Ses mains s’aventurent de plus en plus haut, je les sens frôler mes testicules. Puis d’un seul coup, alors qu’elle se tient toujours accroupie derrière moi, elle plaque sa main contre ma queue et l’empoigne au travers du tissu de mon pantalon. Elle s’adresse à moi d’une voix suave et lubrique :
Eh bien, on dirait que j’ai trouvé une arme prohibée ici ; il va falloir que je regarde ça de plus près.
Sur ces paroles, elle défait la braguette de mon pantalon qui se retrouve aussitôt à mes chevilles. Elle joue ensuite avec mon sexe par-dessus mon boxer ; elle le caresse de haut en bas en s’attardant régulièrement sur mes testicules.
Elle se décide enfin à baisser mon boxer qui rejoint ainsi mon pantalon à mes pieds. Je sens enfin la douceur de ses mains sur mon membre ; comme ce contact est délicieux ! Elle joue avec mon gland, le caresse délicatement avec la paume de ses mains. Je suis tellement excité que des gouttes de liqueur séminale commencent à suinter de ma queue.
Sophie continue son petit jeu :
Eh bien, Monsieur possède un beau calibre ! Il va falloir que j’inspecte ça de plus près
Elle se relève d’un seul coup, m’attrape par la cravate et me traîne comme un chien en laisse vers la chambre. J’essaie tant bien que mal de la suivre car il faut dire qu’avec le pantalon et le boxer aux chevilles, ce n’est pas forcement pratique. Je me rends compte du ridicule de la situation, me faisant tirer de la sorte avec le sexe au garde-à-vous et les mains et les chevilles entravées.
Elle me jette alors sur le lit. Je me retrouve allongé sur le dos ; j’ai toujours les mains menottées, ce qui fait que je ne peux que difficilement me relever. Je la vois néanmoins s’accroupir entre mes jambes.
Alors qu’elle caresse la base de mon sexe dont je taille la toison régulièrement, elle continue à me supplicier :
Votre arme est parfaitement entretenue ; c’est très intéressant tout cela.
J’ai envie qu’elle gobe mon sexe, sentir la chaleur et la douceur de sa langue, mais elle continue à me masturber doucement, puis au bout d’un moment elle me dit, l’air un peu blasé :
Depuis que j’ai votre arme en main, je me sens toute chose…
Je me dis que ça y est : à défaut d’avoir une petite gâterie, elle va venir me chevaucher, comme un cowboy qui enfourche sa monture. Mais au lieu de cela, elle se lève et va fouiller dans son sac à main qui est au pied du lit. Elle en ressort son vibromasseur japonais. Sophie est une adepte des jouets ; mais de toute sa collection, son masseur japonais est sans doute le plus imposant et le plus impressionnant.
Elle pose son joujou sur le lit et m’aide à m’installer confortablement en positionnant les oreillers afin que jaie la tête relevée. Elle vient ensuite se placer à l’autre bout du lit, face à moi.
Elle a les jambes légèrement écartées ; je distingue sa petite culotte noire en fine dentelle, je vois très nettement au travers du tissu son sexe parfaitement épilé comme à l’habitude. Elle s’installe elle aussi avec d’autres oreillers, puis elle défait deux boutons de son chemisier, abaisse son soutien-gorge pour en faire jaillir ses seins. Elle se met alors à jouer avec ; elle se caresse les tétons, les titille, puis parfois les pince. Je sais qu’elle est très sensible à ce niveau-là. Elle commence à être sérieusement excitée, son bassin commence à onduler.
Ses mains descendent ensuite sur ses cuisses. Elle caresse ses jambes revêtues de ses bas, elle fait crisser ses ongles sur le nylon. Elle sait très bien à quel point cela m’émoustille, et tout en faisant ça elle me fixe droit dans les yeux en se mordillant légèrement la lèvre inférieure.
Je suis dur comme du béton, j’en ai mal au sexe ; je ne me souviens pas avoir autant été excité.
Elle remonte maintenant sa jupe et commence à se caresser par-dessus sa culotte. Elle a maintenant une main sur son sein gauche et l’autre dans sa culotte. Elle ne me regarde plus et se concentre uniquement sur son plaisir.
Je lui en veux presque de me laisser en plan comme ça, mais elle est tellement belle quand elle se caresse, elle transpire littéralement la sensualité. Je profite du spectacle de ma Sophie en lingerie sexy, elle sait que c’est mon péché mignon.
Sa culotte devient vite un obstacle ; elle s’en sépare rapidement et en profite pour se saisir de son masseur japonais. Elle l’allume et commence à l’appliquer sur son clitoris en faisait des petits mouvements circulaires.
Très vite, sa respiration s’intensifie et elle commence à pousser de petits gémissements. Son bas-ventre commence à s’agiter nerveusement. Je peux distinguer son sexe qui se liquéfie sous l’effet de son joujou. Elle m’ignore toujours complètement. J’aimerais moi aussi me caresser en même temps qu’elle, mais j’ai toujours les mains menottées dans le dos.
Sa main gauche abandonne son sein et part sous sa jambe ; d’un doigt, elle commence à caresser son petit trou en faisant de délicats petits cercles tout autour. Elle applique son vibromasseur sur son clitoris avec de plus en plus d’insistance.
Elle finit par rouvrir les yeux et me dit :
Regardez dans quel état vous m’avez mise Dommage que je n’aie pas le droit de me servir de votre arme ; j’en aurai fait bon usage !
Tout en disant ça, elle plonge un doigt dans son anus et augmente l’intensité des caresses de son jouet sur son clitoris. Je suis hypnotisé par Sophie qui se donne ainsi en spectacle devant moi ; je ne peux que la contempler, alors que j’aimerais tant la toucher, la caresser, la lécher.
Son bassin s’agite et devient incontrôlable ; elle se cambre une dernière fois et pousse un profond soupir. Elle reste quelques secondes en se caressant négligemment sa petite chatte, comme pour se remette de ses émotions, puis elle sort doucement de sa torpeur et finit par me dire :
Excusez moi, mais votre arme était si… que je me suis laissée prendre au jeu.
Je reste là, estomaqué, sans trop savoir que dire, toujours avec le sexe au garde-à-vous.
Elle finit par se mettre à quatre pattes et à avancer vers moi telle une tigresse et me dit :
Par contre, c’est très dangereux de circuler avec une arme chargée ; il va falloir que je m’occupe de ça.
J’écarte un peu les jambes pour qu’elle puisse se frayer un chemin vers mon sexe. Elle avance vers lui et s’installe confortablement, allongée sur le ventre, la bouche à quelques centimètres de mon sexe. Je sens son souffle brûlant sur mon gland. Elle se penche vers moi et commence à déposer une multitude de petits bisous tout le long de ma tige.
Bientôt, sa langue entre en action ; elle lape mon sexe sur toute sa longueur, elle le mouille abondamment avec sa salive.
Elle s’interrompt un instant pour me fixer droit dans les yeux, puis tout en continuant à soutenir mon regard, elle me prend entièrement dans sa bouche. J’adore quand elle me suce comme ça, c’est délicieux. Je sens sa langue s’activer sur mon gland ; elle m’excite tellement que si elle continue comme ça je ne vais pas tarder à jouir. J’aimerais pourtant que ce moment dure une éternité, tellement la sensation est divine.
Elle rallume son vibreur, le pose sur le lit et vient y plaquer sa fente. Elle est tellement coquine ce soir ; j’ai envie de la prendre tout de suite mais je dois patienter : c’est elle qui décide.
Elle descend me lécher les couilles tout en caressant la partie sensible de mon gland avec un doigt qu’elle a au préalable mouillé en le mettant dans ma bouche puis dans la sienne. Elle reprend mon sexe en entier en bouche tout en frottant son sexe sur son masseur japonais.
Elle doit sentir que je suis au bord de la jouissance car elle serre mon sexe très fort à la base tout en le léchant « négligemment ». Sa langue me cajole doucement tout en montant et descendant le long de ma hampe.
Sophie se redresse alors et vient s’asseoir sur moi. Elle passe ses mains autour de mon cou et m’embrasse à pleine bouche. Je sens qu’elle est aussi terriblement excitée.
Elle met fin à ce baiser passionné et sa main descend pour empoigner vigoureusement mon sexe. Elle se recule légèrement et avance sa poitrine vers mon visage. Elle tient ses seins au niveau de ma bouche pour que je déguste sa poitrine.
Je fais rouler ses tétons sur ma langue ; une petite pression de sa part me fait comprendre qu’elle veut que j’y aille plus fort, alors je la mordille, je l’aspire. Ses soupirs me font comprendre qu’elle apprécie la manière dont je me délecte de ses seins.
Elle revient ensuite s’asseoir sur moi et se met à frotter son sexe contre ma queue ; elle me susurre à l’oreille :
Tu vas venir décharger ton arme dans mon petit trou.
Rien qu’à l’idée de me retrouver dans cet orifice si accueillant et si étroit, une bouffée de chaleur me monte instantanément de l’estomac jusqu’à à la tête.
Elle se positionne pour commencer sa danse érotique sur moi et fait onduler son bassin ; je sens son petit trou venir se frotter contre ma virilité.
D’un coup, elle se relève et m’attire vers elle en me tirant par la cravate. Elle se cambre contre le mur et m’ordonne de venir contre elle. Jobtempère.
Elle vient frotter sa croupe contre mon bas-ventre, faisant coulisser mon sexe entre ses fesses. Elle me tire toujours par la cravate, me forçant en venir plaquer ma queue contre elle ; je devine qu’elle se caresse de son autre main. Son fessier s’agite de manière incontrôlée contre moi ; Sophie a l’air d’un volcan prêt à entrer en éruption : c’est terriblement excitant et à la fois effrayant. D’un seul coup je me rends compte que son appétit sexuel semble abyssal.
Au bout de quelques secondes, elle se retourne et saisit ma tige. Tout en me fixant droit dans les yeux, elle se met à genoux et se remet à me sucer. Elle m’arrache de lourds soupirs de plaisir.
Elle se relève ensuite et me saisit de nouveau par la cravate. Elle se replace contre le mur et se cambre pour m’offrir son petit trou. De son autre main, elle empoigne mon sexe et le dirige vers son fondement. Elle vient elle-même s’empaler sur moi ; mon sexe se fraie un chemin dans cet orifice si étroit. Une fois bien installé dans sa grotte, elle donne le rythme ; elle donne le tempo en ondulant lascivement.
Elle lâche finalement ma cravate. Les deux mains au mur, les jambes légèrement écartées, elle se donne à moi, ou plutôt je me donne à elle, car ce soir je ne suis qu’un objet qui lui sert à assouvir ses fantasmes.
Sophie soupire de plus en plus fort ; elle descend une main sur ses seins, puis sur sa chatte. Elle se caresse et commence à gémir.
Elle m’impose maintenant une cadence assez rapide ; je sens mon sexe coulisser dans son anus, je suis tellement excité, je jouis…
Elle a sans doute senti ma semence se répandre en elle ; elle s’active encore plus intensément sur mon sexe en me donnant de grands et profonds coups de bassin. Sa main s’agite de manière frénétique sur son clitoris alors que mon pieu est toujours planté en elle. C’est Sophie qui me baise, j’ai l’impression d’être un de ses nombreux jouets, complètement passif et totalement impuissant.
Après une ultime ruade, elle se met à trembler légèrement et fait encore quelques allers et retours en m’agrippant par les fesses pour je la prenne bien profondément. Je la sens d’un seul coup toute chancelante, fragile et sans défense. Sa respiration devient moins saccadée et retrouve peu à peu un rythme normal.
Je l’embrasse tendrement dans le cou et lui suce le lobe de l’oreille. Elle reste ainsi quelques secondes avec mon sexe toujours planté en elle à profiter de mes baisers, puis elle se retourne et m’embrasse tendrement. Nous n’échangeons pas un mot ; ce n’est pas la peine : à cet instant ils sont superflus. Elle me détache et nous filons tous les deux sous une douche bien chaude. Je lui promets alors d’être au garde-à-vous pour tous ses fantasmes à venir…