Pour rappel ma petite fille de 19 ans vit chez moi le temps de ses études, et on en profite pour baiser ensemble. Elle m’avoue que son fantasme est de se faire sodomiser par une énorme bite noire, et on passe une annonce pour rechercher un vieux black très bien monté, incestueux, qui pourrait m’offrir sa petite fille, majeure, en échange de la mienne. On a eu deux réponses qui correspondent à nos souhaits, et du coup on se retrouve à six chez moi pour un long week-end de quatre jours.
Cela fait à peine vingt-quatre heures qu’ils sont là, que je me suis déjà soulagé les couilles cinq fois, et que les autres vieux mâles ont du en faire aux moins autant. Quand à nos jeunes femelles elles ne comptent plus leurs orgasmes.
On est dimanche, fin de matinée, et on se ballade avant de se faire un restaurant. On marche les trois hommes ensemble, et les petites nous suivent à distance. On se raconte les exploits de notre première nuit, pas de jaloux, on a joui trois fois chacun:
— Pour ma part j’ai joui dans chacun des orifices d’Emma, vingt ans, la petite fille de Yannick.
— Yannick a éjaculé deux fois dans la chatte, et une fois dans la bouche de Vanessa, dix-huit ans, la petite fille de Charlie. Elle n’a pas osé offrir son petit trou à cette trop grosse queue.
— Charlie a déchargé trois fois dans le cul d’Anne-Laure, ma petite fille. Normal, c’était le but de notre rencontre, se faire enculer par une énorme bite noire pour elle, se trouver un petit trou enfin capable d’accepter son phallus pour lui.
On se retourne de temps de temps pour voir si les minettes suivent; elles sont toujours là, bras dessus bras dessous, ont l’air de bien s’entendre et nul doute qu’elles se racontent elles aussi leur nuit blanche et débridée.
On déjeune et on rentre pour une après-midi crapuleuse.
La veille on s’était partagé en trois et trois, moi avec les deux adorables blackettes, et Anne-Laure avec leurs grands-pères, mais là on hésite à se décider. Ce sont les filles qui trouvent la solution.
On va rester les six ensemble et s’échanger les partenaires. Puis Emma et Vanessa rajoute quelque chose qui devrait faire grand plaisir, si ça se réalisait, à leur papy: elles veulent bien réessayer la sodomie avec eux.
Elles ont assisté la veille aux ramonées anales que ma petite fille s’est prises par leurs ancêtres, et ont vu à quel point ça la faisait jouir. De plus je suppose que cette putain leur a raconté sa folle nuit, et leur a vanté tous les mérites de la sodomie, de quoi leur en donner envie.
On va se déshabiller dans les chambres et on revient au salon, tous à poil.
Chaque papy prend sa fille en main pour la chauffer en toute confiance. On se caresse, caresses très intimes, on s’embrasse, on se dit des mots gentils pour les encourager, surtout nos petites invitées fraichement dépucelées du cul. Elles étaient encore vierge anale il y a un jour, mais m’ont fait l’honneur et le bonheur de dévirginiser leur joli petit cul, ma bite étant bien plus acceptable que le gros chibre familial et interdit dont elles font leur quotidien dans leurs deux autres orifices.
On se décide à passer aux choses sérieuses, et c’est Emma, encore elle, qui se dévoue pour être la première.
Je l’enfile après l’avoir préparée, et elle accepte ma queue qu’elle commence à bien connaître et à apprécier. C’est son papy qui doit prendre la suite, me remplacer, et on est plusieurs à l’encourager, la rassurer, la convaincre que tout va bien se passer. Je l’ai bien limée, bien ouverte, et Yannick vient derrière elle, à l’affut de mon retrait pour s’engager. Je me dégage, et il tente de s’introduire après lui avoir répété plusieurs fois que ce n’est pas grave si elle s’y refuse. Je le vois pousser son engin, tandis que Vanessa et Anne-Laure encouragent encore Emma par des mots doux, la caressent, l’embrassent à pleine bouche. Le gros boudin noir continue sa progression dans ce petit trou encore innocent il y a à peine un jour, et finit par s’enfouir totalement. Son grand-père s’inquiète de savoir si ça va, et c’est des sanglots dans la voix qu’elle le rassure, l’invite à la ramoner, persuadée qu’elle y trouvera le bonheur au bout. C’est effectivement ce qui se produit, et elle finit par gémir, jouir, sans retenue, sous l’assaut incestueux de plus en plus viril.
Il va rester un moment en elle, et Vanessa se met en place à ses côtés pour que je la prépare à son tour. Je lui casse bien le cul, puis on change de place avec Yannick. Elle accepte son gros sexe elle aussi, et jouit intensément. On se remplace régulièrement pour qu’elles s’habituent toutes les deux à cette grosse bite de couleur, comme elles, sachant qu’il y en a une encore plus grosse qui espère son tour.
Pour le moment c’est Anne-laure qui en bénéficie, et après l’avoir bien sucée elle l’accueille bien au chaud entre ses fesses, pour la maintenir bien bandée.
Je suis dans Emma, lui demande si elle est prête pour Charlie, et elle répond oui sans hésiter. Je jouis dans son cul et me retire pour laisser la place. Mon sperme est prêt à s’écouler et Charlie plaque son énorme gland dans ce lubrifiant bienvenu. Sa colonne disparait peu à peu entre les miches d’Emma, sans aucune manifestation hostile, bien au contraire. Il est tout en elle, et elle accepte ses vas et viens avec autant de facilité que ma salope de petite fille.
Yannick va jouir à son tour dans le tube de Vanessa, et son papy va enfin pouvoir l’enculer lui aussi. Il s’introduit, elle verse de grosses larmes mais ne veut pas capituler. Elle est en présence de deux jeunes inconnues qui ont accepté le gourdin de son grand-père, et elle veut mettre un point d’honneur à l’accepter elle aussi. Elle sait surtout que si elle y parvient, elle aura la chance de l’avoir en permanence par la suite. Les larmes stoppent, et elle gémit et jouit elle aussi.
Anne-Laure vient s’installer à côté de ses deux nouvelles copines, et je l’embroche d’un seul coup. On encule chacun notre petite fille, puis on tourne pour les bourrer toutes les trois. C’est bon de se faire ces jeunes cul encore serrés, on y met toutes nos forces, jusqu’à sentir notre plaisir monter. On reprend alors chacun la petite salope de notre sang, et on va la farcir de notre semence grand-paternelle.
Ma petite fille est habitué à sentir couler mon foutre entre ses reins, mais pour Emma et Vanessa c’est la première fois que leur papy se vidange dans cet endroit, et elles explosent de plaisir, hurlent leur bonheur.
Elles sont maintenant accroupies devant nous, nettoient nos queues bienfaitrices, et se torchent le cul pour récupérer nos semences incestueuses et se lécher les doigts.
On prend une douche, on boit un coup, et on sort pour s’aérer, promener, se faire un nouveau restaurant.
Comme la veille on est de retour vers vingt-deux heures, et on va se coucher en couple dans les trois chambres. Nos amis sont encore émerveillés de leur après-midi, de leurs sodomie qu’ils pensaient impossible, et souhaitent, autant les vieux que les petites, passer la nuit en famille. Du coup je me retrouve avec Anne-Laure et on accepte, sachant qu’il reste encore une nuit pour avoir notre troisième partenaire (Vanessa pour moi, et Yannick pour elle).
On s’allonge avec ma petite fille, nu comme des vers:
— Tu n’es pas déçue d’être avec moi? Tu aurais sans doute préféré un des deux!
— Non papy, au contraire c’est très bien. Avec tout ce qu’il a pris mon cul en moins de deux jours, il faut que je le mette au régime.
— Tu ne vas vouloir que je t’encule?
— Papy! Le régime ce n’est pas la grève de la faim. J’espère bien que tu vas m’enculer. C’est juste que ta queue est normale, et c’est ce qu’il me faut.
— Ah, je te reconnais; tu m’as fait peur petite salope.
— Tu sais bien que je ne peux pas m’en passer de ta queue. Bon mais ce n’est pas tout de discuter, ça me chauffe. Encule moi papy, encule moi fort, tu peux penser aux petites noires si tu veux, je m’en fous, du moment que c’est moi qui bénéficie de ta belle bite.
— Tu as raison, on discute trop et on dit des conneries. Crois bien que quand on baise je ne pense qu’à toi, toi ma putain de petite fille perverse comme je l’aime.
— Et moi je pense à toi, mon vieux papy bien cochon et vicieux que j’aime. Baise moi papy, encule moi, donne moi ta queue.
A force de le dire on finit par le réaliser.
Je la baise en levrette puis je change de trou pour la sodomiser:
-Oh oui papy, c’est bon ta bite dans le cul!
— Salope, tu n’en a jamais assez. Il paraît qu’il n’a fait que t’enculer cette nuit.
— Oui, ce qu’il m’a mis ce salaud. Oh putain que c’était bon tout ce que j’ai pris. Il m’a inondé trois fois avec son sperme.
— Oui, je sais salope, et je vais t’inonder moi aussi, je vais le remplir ton putain de vide couilles.
— Oui papy, j’aime te sentir jouir en moi, j’aime quand tu soulages tes grosses couilles bien pleines.
On s’excite l’un l’autre, je la prends de plus en plus fort, et je finis par décharger longuement. Je me retire, récupère sa mini culotte et commence à l’introduire dans son petit trou:
— Qu’est-ce que tu fais papy?
— Je te mets un bouchon pour éviter les fuites. Je t’ai dit que j’allais le remplir ton cul, et je vais le faire, mais en plusieurs fois. Tu vas encore avoir droit à deux ou trois vidanges.
Elle ne dit rien, me laisse faire, et après avoir introduit son string je lui donne ma queue à nettoyer. Elle s’applique à bien me faire la toilette, et puis on se couche pour se reposer. Je vais reprendre la méthode que m’a indiquée Emma, une courte baise intense toutes les deux heures.
On est près pour la deuxième séance, et je lui pilonne la chatte. Elle s’inquiète de ma promesse de lui remplir le derrière et je la rassure en lui disant que j’y viendrais en temps voulu. Je suis sur elle, je la défonce, et elle pousse des cris à chaque orgasme. Sa chatte est ruisselante de mouille, et on peut entendre le bruyant clapotis de mes allers retours dans son jus de femelle en chaleur. A propos de bruits, on entend aussi quelques cris venant des deux autres chambres et prouvant que les papy s’occupent bien de leur petite; sans doute nous entendent-ils eux aussi.
J’ai la sève qui va bientôt monter et je m’empresse de me retirer. Ma petite fille m’offre son cul, je retire son bouchon, et j’ai juste le temps de fourrer mon manche que mon plaisir explose en un feu d’artifice pour tapisser toute sa paroi. Je ressors, remets son string en place, et on s’offre un 69 gourmand pour se nettoyer.
Deux heures ont passé, je la reprends en levrette, la chatte et cul en alternance, lui promets une troisième décharge avant de tout lui faire bouffer. Elle n’a rien contre, sauf qu’elle voudrait une quatrième offrande. Je lui dis qu’il ne faut pas rêver, et elle promet de m’aider à y arriver. Je jouis, la remplis une troisième fois, remets sa mini culotte dans son petit trou, on se nettoie et on se repose.
J’ai réussi à m’endormir et me réveille en rêvant d’une bonne pipe. Je suis bien éveillé et réalise que ce n’est pas un rêve. J’allume la lumière et vois Anne-Laure qui me turlutte:
— Oh non! C’est déjà l’heure!
— Oui, et ne te plains pas, je t’ai laissé dormir une demi-heure de plus. Mais là je n’en peux plus d’attendre.
— Tu as encore faim?
— Oui, faim de ta queue, faim de tes couilles, et mon cul à soif de ton sperme.
— Ok salope, tu me donnes soif toi aussi; je veux ta mouille qui coule à flots dans ma bouche.
On s’installe en 69, et on se bouffe, on se broute, on se dévore, on se goinfre dans toutes les positions, dessus, dessous, sur le côté…
Elle est faite pour l’amour ma petite fille, elle est chaude, elle est bonne, elle est très douée, et elle parvient à me refaire bander dur. Je doutais de pouvoir jouir une fois encore, mais je sens que ça va le faire. Je me lève et elle me suit à la salle d’eau. J’enlève son dessous pour la dernière fois, et le remplace par ma bite bien dressée. Je la lime en continu, j’y mets toutes mes dernières forces:
— Tu aimes mon foutre petite putain, je vais t’en offrir encore et puis je vais te faire tout bouffer. Ca te va?
— Oui papy, tu sais que je fais tout ce que tu veux. Tu as un plan bien cochon je suppose!
Je lui explique mon plan, et sa réaction ne se fait pas attendre:
— Tu es vraiment un gros porc mon papy, mais tu as raison puisque tu sais que j’aime ça.
— Oui, tu es ma digne pette fille, et je ne peux te renier: tu es aussi salope que je suis salaud, aussi vicieuse que je suis vicieux, aussi perverse que je suis pervers, aussi chienne que je suis chien…
— Oh oui, tu as raison, je suis tout ça, comme toi, mais tu en oublies; dis moi aussi que je suis ta vide couilles, ton sac à foutre, ta pute, ta trainée incestueuse…
Je répète tout ce qu’elle veut entendre, j’en rajoute, ca nous excite encore plus et je finis par éjaculer entre ses reins. Il y a des WC dans la salle d’eau, et le couvercle est baissé. Elle s’installe au dessus, au ras mais sans s’assoir, et elle écarte ses fesses pour vider son tube hyper bien rempli. Le temps qu’elle fasse sa purge je viens dans sa bouche pour un nettoyage expert.
Plus rien ne s’écoule, et je lui mets un doigt pour secouer son trou et faire tomber les résidus. Elle s’agenouille contre les WC, moi en face, et elle lèche ma semence étalée en une belle flaque. Elle en récupère une partie, me montre sa langue recouverte, et on se roule une pelle au sperme. On le savoure quelques secondes, puis je lui laisse le soin de tout avaler. Nos bouches se séparent, on s’insulte tout en se félicitant d’être aussi dépravé, et on recommence plusieurs fois jusqu’à ce qu’il ne reste plus aucune trace sur le couvercle.
On se recouche et on va dormir jusqu’à tard le matin, tout comme nos invités, épuisés eux aussi.
On se retrouve tous les six au petit déjeuner. Il nous reste éventuellement un peu plus de vingt-quatre heures pour prolonger l’aventure, et on est tous d’accord, sans hésitation, pour poursuivre nos orgies.
A suivre…………