L’il
Cela faisait une semaine que Noémie, Moussa et André avaient mis au jour la machination contre la jolie asiatique. Soukhov et son organisation secrète avaient réussi à contrôler sa libido et ses désirs, la transformant en nymphomane. Par quels moyens ? Et dans quels buts ? Cela restait à découvrir. Ils savaient également qu’elle n’était pas la seule, et que selon Olivier, son "compagnon", la jeune philippine était la treizième. Cassandre, la mystérieuse alliée, les attendait avec de nombreuses réponses…
Les trois amis s’étaient réunis chez André, afin d’élaborer un plan d’attaque. Ils s’installèrent dans la grande cuisine. Sur la belle et massive table, des viennoiseries, du thé et du café étaient à disposition. Une chaude ambiance paisible régnait dans la pièce. Les échanges sur les différentes stratégies à suivre étaient passionnées. Chacun avait son idée. Moussa suggéra de chercher "la banque", l’homme qui se chargeait des transactions. André acquiesça et décida de s’en occuper. L’accès aux fonds d’Olivier permettait à la jeune philippine et ses alliés de financer leur riposte. Il ne fallait toutefois pas éveiller les soupçons. Ainsi, avec l’aide de Moussa, le complice de Soukhov continuait d’envoyer des vidéos de sa compagne à ses "employeurs".
L’ancien militaire avait le visage éclairé par l’excitation : ce genre d’aventure était totalement dans ses cordes et il avait, en plus, une motivation qui lui semblait noble. André n’était pas en reste. Il prenait une revanche sur son neveu. Ensemble, ils allaient combattre. Retrouver leur liberté et vaincre leurs démons. Tous trois avaient des motivations différentes mais les mêmes objectifs. Et malgré les dangers connus et inconnus, ils continueraient.
Noémie regarda ses deux compagnons avec bienveillance : Moussa, avec un t-shirt blanc et un jean délavé, le sourire toujours en coin, son regard lumineux qui donnait à ses traits ce côté serein et apaisant qu’elle avait vu à leur première rencontre ; André, avec son éternelle chemise grise et son pantalon de velours marron… Il avait l’air si sûr de lui, si tranquille maintenant. Comment avait-elle pu se tromper à son sujet ? Elle, en chemise noire et pantalon blanc, décroisa les jambes et reprit du café. Elle se sentait plutôt bien.
— "Demain, on part chercher Cassandre.", dit-elle. "Elle m’a envoyé un mail. Elle a beaucoup d’informations mais préfère en parler en direct."
— "Ok.", dit Moussa.
— "Elle a quelques problèmes qu’il faudra régler, aussi…"
Soudain, à la radio, une information retint l’attention de tous.
— "Nous apprenons la mise en examen de Denis Leclercq, après l’incendie de son usine. En effet, suite à la perquisition de son domicile, les policiers ont découvert des explosifs…"
Moussa sourit. Rien ne lui faisait plus plaisir que de faire tomber ce genre de personnages. Une manière de se racheter. La belle philippine et lui avaient mis leurs plans à exécution et avaient soldé les comptes avant de se lancer dans cette nouvelle aventure. Denis, Geraldi, Jean-Jacques, Bernard… Tous avaient payé, d’une façon ou d’une autre. Les points de pression, les faiblesses, les erreurs de chacun avaient précipité leurs chutes.
Noémie reçut un appel masqué. La jeune femme s’isola pour répondre.
— "Allô ?"
— "Ne dis rien et écoute-moi, "treize."
— "Quoi ? Qui êtes-vous ?"
— "Tu vas te rendre à l’adresse que je vais t’indiquer par message, seule, dans deux heures. Si tu ne fais pas ce que je te dis, je le saurais. J’ai des infos pour toi."
L’homme raccrocha et le message suivit juste après. "Treize", le numéro que Noémie portait, selon Olivier. Qui pouvait bien être cet inconnu ? Cela sentait bien évidemment le piège. Mais avait-elle vraiment le choix ? Il semblait être au courant de tout et devait certainement en savoir plus. Elle décida d’obtempérer non sans s’être bien préparée avant.
Elle retourna dans la cuisine.
— "Je vais devoir partir, les garçons."
— "Quoi ? Où ça ?", demanda André.
— "Quelque part où je dois aller seule. Mais restez à côté de vos portables. Surtout toi, Moussa. N’oubliez pas ce qu’on a dit dans ces cas-là."
— "Ok, mais sois prudente.", dit Moussa, visiblement inquiet.
— "Tu me connais, non ?", essaya-t-elle de le rassurer.
Il sourit. Il la connaissait effectivement et savait qu’il en fallait beaucoup pour la prendre au dépourvu. Mais l’organisation qu’ils combattaient était puissante et sans pitié.
Noémie se prépara. Elle ferma les yeux, comme elle le faisait pour son rituel matinal. Anticiper toutes les options. Prévoir, rester sur le qui-vive. Réagir vite. Le peu d’informations et la manque de choix rendaient tout difficile. Mais elle devait pourtant s’y rendre. Quelles précautions pouvait-elle prendre ?
Deux heures plus tard, elle s’avança en voiture dans ce qui semblait être un petit lotissement, dans un village non loin de celui d’André. Étrange choix… L’inconnu la surveillait-elle ? Et d’où ? Elle se gara près d’une maison, presque semblable à toutes les autres : murs de couleur crème, toit de tuiles grises, petite muret clôturant le terrain et allée pavée jusqu’à la porte d’entrée blanche. Tout était très calme et désert. A cette heure-ci, rien d’anormal. Elle dégaina son portable avant d’actionner la sonnette et se diriger vers l’entrée. Elle attendit quelques secondes et la porte s’ouvrit. Elle n’en croyait pas ses yeux. C’était impossible ! Comment pouvait-il être là ? Ce n’était certainement pas son mystérieux interlocuteur. D’un geste, elle tapa "13" sur son portable et envoya le message. Mais rien ne se passa.
— "Quoi ? C’est quoi ce bordel ?", se dit-elle, incrédule.
— "Oh ben ça, alors ! Tu es venue me voir ? Tu n’en as pas eu assez la dernière fois ?"
C’était le neveu de Vigouroux, l’ami d’André qui l’avait prise dans un chai avec ce garçon. Toujours cet air porcin, ce bide gras engoncé dans un t-shirt rouge débordant sur un short noir. Kévin la dévisagea avec surprise. Il n’était apparemment pas au courant. Son oncle aurait-il manigancé tout ça ? Non, il ne pouvait pas savoir pour Soukhov, leur rencontre avait été fortuite. La jeune femme était perdue.
— "Qui c’est ?", cria une voix dans la maison.
— "C’est ma meuf, les mecs !", dit Kévin en regardant Noémie droit dans les yeux.
— "Oh non…", fit-elle.
— "Oh que si…", rétorqua le gamin avec un rictus pervers.
Soumise à nouveau, son "trouble" – comme elle appelait ce soudain désir incontrôlable – au maximum, elle suivit le jeune garçon à travers la maison. Ils passèrent rapidement le couloir étroit, aux murs blancs, pour se diriger vers une porte ouverte. Sa chambre : un lit contre le mur du fond, en face de l’entrée ; à gauche un bureau avec des livres d’école empilés ; des affaires en vrac au sol, une armoire de bois clair ouverte avec des vêtements en boule à droite de la porte ; une fenêtre donnant directement sur un chemin entre le muret et la maison des voisins. Sur les murs, des posters de groupes et de voitures servaient de décoration. La pièce était spacieuse sans être immense.
A l’intérieur, trois jeunes garçons, à peine majeurs, les regardèrent entrer. Leurs yeux étaient écarquillés, ils avaient l’air dubitatif. Noémie les observa : un jeune très mince avec d’énormes lunettes grossissant ses yeux globuleux, les cheveux roux et courts, portant un t-shirt gris et un short rouge ; un petit très enveloppé, brun, plein d’acné, dans une chemisette blanche et un pantacourt beige ; le dernier, plus petit que les autres, très fin, blond, un très long nez, le visage constellé de boutons, en débardeur et short noir. Ils étaient tous assis sur la moquette grise qui couvrait le sol.
La couette blanche du lit, en désordre, arborait des voitures de courses en motifs. Il y avait deux gros coussins assortis à terre. Kévin avança en poussant Noémie en avant. Il se mit juste à côté d’elle. La jeune femme, sous emprise, ne dit rien. Mais dans sa tête, les idées se bousculaient. Elle chercha à faire une très rapide analyse avant que la situation ne dégénéra. Qui l’avait conduite ici et dans quel but ? Elle songea rapidement à un test, ou qu’Olivier avait fini par tout balancer…
— "Elle, c’est Noémie, et eux, c’est…", commença le neveu de Vigouroux.
— "Mec, tu nous prends pour des cons, c’est pas ta meuf, elle", dit le petit rouquin.
— "Ah ouais, Léo ?"
— "Mais oui ! Elle est trop âgée et trop… euh…", renchérit le binoclard.
— "Canon ? Bonne ? C’est ce que tu veux dire, Enzo ?"
— "Euh oui…", répondit-il en rougissant.
— "C’est ce que tu penses aussi, Benjamin ?"
Ce dernier ne répondit pas et fit juste un signe de tête. Kévin, pour toute réponse, s’approcha de la belle philippine, qui les dépassait tous d’une tête, et l’embrassa goulûment. Il dégrafa un peu la chemise et passa sa main pour venir caresser fermement les seins au travers du soutien-gorge. De l’autre, il empoigna les fesses rebondies. Ses amis n’en revenaient pas. Il pivota et se mit derrière pour défaire entièrement la chemise, puis libéra la poitrine de la belle en jetant le sous-vêtement à terre. Le gros gamin prit ensuite les deux seins à pleines mains et joua avec les tétons dressés et sombres. Il lui roula une pelle de nouveau et fixa ses copains avec un sourire méprisant.
— "Allez les mecs, c’est cadeau ! Je vous l’offre ! Elle fait tout ce que je lui dis !"
— "Hein ? T’es sérieux ?", fit Léo.
— "Ouais, mon pote ! Allez les puceaux, c’est votre tour ! Benjamin, viens ici et baisse son pantalon !"
Le petit vint se mettre à genoux devant la jeune femme, tandis que son ami malaxait toujours les magnifiques seins durcis. Il approcha ses mains tremblantes de la fermeture-éclair et défit le bouton. Kévin tourna la tête de la jeune asiatique, dont le corps frémissait de plus en plus puis engouffra sa langue entre les lèvres pulpeuses. Elle entendit le "zip" et sentit doucement descendre son pantalon. Le garçon la déchaussa rapidement pour l’enlever totalement.
— "Oh, quelles jambes, la vache…", souffla-t-il.
La culotte blanche devint translucide tant la jeune femme mouillait. Elle se tortillait, sous les caresses du gros Kévin. Ce dernier enfonça une main dans le sous-vêtement trempe et masturba la chatte inondée tout en continuant de l’embrasser. Puis il ordonna à son ami de finir de la déshabiller. Celui-ci s’exécuta et découvrit le sexe gonflé et dégoulinant de Noémie.
— "Putain, c’est la première fois que j’en vois une d’aussi près. Et en vrai !", s’exclama-t-il.
— "Allez chérie, mets-toi à genoux et fais plaisir à mes potes…", murmura le gros neveu à l’oreille de la jeune philippine.
Elle obéit et se retrouva au sol, les jambes pliées et le buste droit, tremblante de désir. Les trois gamins l’entourèrent rapidement et sortirent leurs queues déjà très tendues. Kévin, toujours derrière elle, poussa la jolie tête brune de la main vers la bite du gros Léo. Les belles lèvres épaisses avalèrent le membre et commencèrent de lents va-et-vient. De ses mains, elle branla doucement les deux autres qui attendaient patiemment leurs tours. Le sexe du gros rouquin était court et peu épais et avait une odeur acre. Elle engloutit le morceau de chair jusqu’aux couilles, fit jouer sa langue sur le gland et continua de sucer un peu plus rapidement. Il regarda la jeune femme avec un air abruti. Il réalisait à peine ce qu’il se passait. Elle passa ensuite à celle d’Enzo, le binoclard, qui rit bêtement au contact de la bouche sur son membre. Elle s’appliqua de la même manière, celui-ci étant tout aussi court mais bien plus large. Il avait un arrière-goût salé. Elle le fit coulisser plus rapidement et l’engouffra au maximum avant de relâcher son étreinte et d’aller vers la dernière queue.
Benjamin la regarda, mit sa main sur la belle chevelure noire et enfonça sa bite dans la bouche d’un coup de rein. Surprise, la jeune Noémie se mit alors à sucer rapidement. Le jeune garçon grogna et la fit encore accélérer. Elle pompa aussi vite qu’elle le put en le fixant de ses yeux noirs.
— "Allez, sur le plumard maintenant ! Plus vite que ça, ma petite salope !", ordonna Kévin.
Noémie se releva et s’allongea sur le lit, en écartant au maximum les cuisses, face aux jeunes garçons. Kévin vint s’asseoir juste à côté, et se masturba.
— "Allez ! Vous foutez quoi, les puceaux ? A vos âges, sans déconner… Venez me baiser cette pute !"
Léo s’approcha et se mit à hauteur de la fente ruisselante. Il caressa un peu le clitoris puis enfonça rapidement deux doigts dans le vagin. Noémie se raidit et gémit. Le gros Kévin lui attrapa les seins hypers sensibles tout en se branlant.
— "Tu vas voir, salope, ce que je vais te mettre !", dit le rouquin.
Il se redressa et enfourna sa queue dans le trou trempé, un peu maladroitement. Les autres se rapprochèrent pour regarder.
— "C’est comment dedans ?", demanda Enzo.
— "C’est chaud, c’est trop bon…", répondit-il, les yeux clos, avec un sourire idiot.
Le petit gros commença à baiser la jeune femme lentement. Kévin approcha sa queue du visage de Noémie et l’enfonça entre ses lèvres. Le roux accéléra un peu, en appui sur les cuisses largement écartées. Il effectuait des va-et-vient désordonnés, mais parvenait à avoir une cadence qui faisait de l’effet à la belle asiatique. Elle gémit de plus en plus, avala la queue à fond, et, d’une main, vint branler son clitoris. Le garçon, dont le souffle s’intensifiait, admira sa verge disparaître dans cette chatte offerte. Il alla un peu plus vite et grogna de plaisir. Sa première fois !
— "Bon, Léo, arrêtes et sors ! Tu jouiras plus tard… Au suivant !", décida Kévin.
Enzo se précipita pour prendre la place et s’enfonça violemment, faisant trembler Noémie. Léo se mit de l’autre côté de son joli minois et vint se faire sucer à l’instar de son compère. Tandis que le binoclard s’activait entre ses jambes, la belle bouche de l’asiatique allait d’une bite à l’autre, pompant avec ardeur les deux gamins.
Le garçon la défonça très brutalement. La belle philippine eut quelques sursauts et tressaillit de tout son corps. Elle avala avec encore plus de fougue les deux bites alternativement. Elle sentait en elle aller et venir rapidement le membre épais du binoclard .
— "Tiens, salope ! T’aimes ça, hein ? Bien à fond, sale pute !", cria-t-il, sous les rires de Kévin et Léo.
Il la lima encore plus vite pendant quelques secondes. Puis Kévin lui demanda de céder sa place au dernier garçon. Mais il avait une idée en tête. Il fit s’allonger Benjamin sur la longueur du lit, ordonna à Noémie de le chevaucher et de bien lui présenter son cul. Dès qu’elle se fut empalée sur la queue de son copain, le gros gamin enfonça son pieu dans l’anus de la belle asiatique d’un coup. Elle cria et les deux amis se mirent à la pilonner de toutes leurs forces.
— "T’aimes la bite, hein ? Allez ! Dis-le, salope ! Dis-le que t’aimes la bite !", hurla le jeune Benjamin.
— "Oui, j’aime la bite !", souffla-t-elle.
— "Plus fort, sale chienne ! Dis que tu aimes la bite ! Crie !"
— "J’aime la bite ! J’aime la bite !", finit-elle par hurler.
Les garçons étaient hilares. Benjamin lui écartait les fesses et les frappait parfois, ce qui faisait frémir la belle. Il redressa la tête et l’embrassa longuement, tandis que son ami continuait de l’enculer à fond. Les deux autres se masturbaient en regardant le spectacle. Puis le neveu se retira et claqua la main du rouquin, comme dans un relais. Celui-ci, ravi, sauta sur le lit et investit le petit trou brutalement.
— "Putain, je te l’aurais fourrée partout, ma bite, hein salope ?"
— "Ouais, sale pute… T’es qu’une chienne, un garage à bites !", dit Benjamin. "Dis-le !".
— "Je suis un garage à bites…", murmura Noémie.
— "Plus fort !"
— "Un garage à bites !"
Les deux copains accélérèrent encore. Léo faisait claquer son bide gras contre les fesses de la belle philippine et était hypnotisé par la vue de sa verge allant et venant dans le magnifique cul doré. L’anus était dilaté et il s’enfonçait sans peine jusqu’à la garde. Dans sa chatte, la jeune femme sentait le gamin au grand nez la ramoner brutalement. Ils s’en donnaient à cur joie, savouraient cette première fois, profitaient à fond des trous de la jolie asiatique. Enzo s’astiquait, à côté de Kévin. Ce dernier mis fin à la partie. Noémie, chancelante, se dégagea, une fois que les garçons se furent retirés.
Mais le petit Enzo avait encore très envie. Il la tira par le bras et la plaqua contre le bureau. D’une main ferme, il la cambra en lui mettant la tête sur les livres, sans ménagement.
— "Écartes tes jambes, salope.", ordonna-t-il.
Elle s’exécuta et le binoclard enfonça sa queue dans la fente humide et ouverte. S’agrippant à ses hanches, il la baisa aussi fort et rapidement qu’il put. Noémie s’accrocha aux rebords. Sa jolie chevelure noire dansa dans tous les sens. Les autres vinrent les entourer. Chacun frappèrent les fesses dorées, lui redressèrent la tête pour l’embrasser, ou enfoncèrent leurs bites dans sa bouche. Enzo se retira et l’encula aussi sec. Elle hurla et reçut une salve de claques sur son fessier rougi. Le garçon s’acharna encore plus et la défonça de plus belle. Sa queue écartela le petit trou dilaté et écarlate. Il attrapa ses épaules et pris encore plus d’élan, faisant bouger le meuble et administra deux énormes gifles sur la peau de la belle, qui hurla à pleins poumons.
— "Allez, grosse pute ! Prends ça dans ton cul ! T’aimes ça, hein ? Sale chienne !"
— "Oh oui ! J’aime ça !"
— "Dis-le que t’es une pute ! Dis-le ! Allez, salope, dis-le !"
— "Je suis une pute !"
— "Ouais, une sale pute ! Je t’en fous plein le cul, sale chienne ! Dis que tu aimes ma bite dans ton cul ! Dis mon nom !"
— "J’aime ta bite dans mon cul, Enzo ! Encules-moi bien à fond !", cria-t-elle.
— "Oh ouais, putain, c’est génial !"
Enzo la pilonna encore plus brutalement en frappant de toutes ses forces sur la peau meurtrie de la jeune femme, la faisant presque défaillir. Sa queue alla de plus en plus vite dans l’anus endolori et son ventre tapa sur les fesses à toute vitesse. Après d’énormes coups de boutoirs, il se retira, à bout de souffle. Enfin libre, la jeune femme s’écroula à terre et s’allongea sur le dos. Les jeunes se branlèrent juste au-dessus et éjaculèrent enfin, en poussant de longs râles de plaisir. Les jets chauds giclèrent, en flots énormes et s’écrasèrent sur le corps tremblant de la belle philippine. Couverte de sperme, de la tête aux pieds, elle se releva et demanda à Kévin si elle pouvait utiliser la salle de bain avant de partir.
— "Oui, ma chérie, bien sûr ! Dis merci à mes potes, quand même ! Ils t’ont bien baisée, hein ?"
— "Mer… Merci…", dit-elle, en serrant les dents.
— "Pas de quoi, salope ! Quand tu veux !", s’esclaffa Léo.
— "Dis-le qu’on t’a bien baisée !", cria Benjamin
— "Vous m’avez bien baisée…"
— "Et enculée…", rajouta Enzo.
— "Vous m’avez bien enculée…"
— "Allez, pars te laver et va-t-en !", lança Kévin.
Une quinzaine de minutes plus tard, la jeune femme sortit de la maison. Son téléphone sonna immédiatement.
— "Voilà qui je suis. Je suis celui qui te suit partout et qui connaît tous tes secrets."
— "Pourquoi m’avoir amenée ici ?"
— "Pour te montrer… Je sais que tu as connu ce gamin par hasard. Et je voulais que tu saches que je pouvais à tout moment savoir ce que tu faisais et avec qui…"
— "Qui êtes-vous ? Que voulez-vous ?"
— "Je suis ce qu’ils appellent "l’il", un superviseur. Vous avez toutes un "déclencheur" et un "il". Les premiers organisent, déclenchent les filles sur demande. Nous, on s’assure que tout se passe bien. Si la situation s’envenime, on élimine les menaces. Et si une fille part en vrille, on la "neutralise".
Noémie avala sa salive. Elle se sentit évidemment visée. Mais elle était encore en vie…
— "Pourquoi me dire tout ça ?"
— "Comme tu as pu le constater, je peux à tout moment t’atteindre et même bloquer tes messages de détresse et…"
Noémie rit, ce qui coupa net "l’il".
— "Ce n’était pas un message de détresse. C’était un code pour signifier que j’étais bien arrivée à cet adresse. Si ce code ne parvenait pas à mon ami, il se mettait en route pour venir me secourir. En ce moment même, il doit pointer son arme sur vous. Vous avez bien sûr vérifié tout le terrain à mon arrivée, mais pas après. Je connaissais le temps qu’il me fallait pour venir. Si le message ne partait pas comme prévu, mon complice avait une demi-heure pour se rendre sur place."
— "Je vois, on ne m’a pas menti à ton sujet… Tu as peut-être une chance… On en reste là pour aujourd’hui. Rappelles ton chien de garde et tout ira bien. Je te recontacterai."
L’homme raccrocha. Moussa rejoint rapidement Noémie.
— "Je n’ai pas pu voir son visage.", dit-il.
— "J’ai enregistré notre conversation, écoutes…"
Elle passa son portable au militaire. Celui-ci, en entendant la voix, fit une mine sombre.
— "Je connais cette voix. On a un gros problème."
