CH 12 – C’est moi le patron.
Quand je suis revenu en France, Rodolphe mattendait. Il ma dit être en plein préparatif pour son départ à la retraite. Tant mieux ! Je naurais pas à lui foutre la honte devant tout le monde. Il ma quand même pris à part pour quelques leçons de management. Lui, avait été formé en autodidacte. Il ma juste donné quelques tuyaux. Ce nest que quelques mois plus tard quil ma officiellement confié les clés lors dune soirée où il avait convoqué tous ceux qui avaient travaillé de près ou de loin avec nous. Jai été surpris de voir que des couples sétaient formés entre acteur et membre de léquipe. En même temps à force de senfiler devant la caméra, ça donne des idées pour se revoir en privé. Même Mike mon ancien collègue gendarme, aujourdhui bodyguard et monsieur le député, mon ancien patron dont javais été le chauffeur étaient là pour ma passation de pouvoir. Jen aurais presque chialé.
Ça y est ! Cest moi le patron. Cest moi qui dirige. YEESSSS ! Au départ je voulais bazarder le grand bureau de Rodolphe jusquà ce que je comprenne pourquoi il lavait pris. Il y a de la place pour les jambes si vous voyez ce que je veux dire. Il était très pratique surtout quand une actrice, ayant besoin de tourner pour arrondir ses fins de mois, se glissait dessous pour me convaincre de linclure au casting du prochain film. Je ne mimaginais pas quil pouvait niquer autant. Maintenant cest à mon tour den profiter.
Jen ai aussi profité pour faire quelques aménagements. Jai mis en place un système qui permet aux abonnés de nous proposer des scénarios de films. Pour les plus courageux dentre eux et sils sont libres moralement, ils pourront même y participer. Javais eu la chance de commencer comme ça. Je me suis dit que jallais en faire profiter les autres. Bien entendu Il y a un processus de sélection. Tous les textes étaient examinés mais seuls les meilleurs faisaient lobjet dun film, à raison dun par mois environs, voir plus en fonction des circonstances.
Cest comme ça quon a fait connaissance avec un homme, dune trentaine dannée, qui allait devenir un de nos acteurs réguliers. Il sappelait Pascal et il était le patron dun magasin de vêtements discount. Il était le genre de gars pas à laise dans ses baskets. Enrobé . On peut même dire gros, il na pas touché une fille depuis le lycée. Il sest malheureusement laissé aller et na retrouvé du réconfort que dans la nourriture. Sa situation ma touché et on la sélectionné. Aimant les jolies poupées blondes avec des formes bien placées, Je lui ai choisis une partenaire à son gout ayant de lexpérience et on est parti en voiture à sa rencontre.
On sétait donné rendez-vous à son magasin, dans un des pôles commerciaux nouvellement ouvert en banlieue. Quand on est arrivé devant lenseigne, la porte était ouverte mais le rideau de fer à moitié fermé. Avec Jenny, lactrice, on voyait une paire de jambes faire les 100 pas. Visiblement, il nous attendait et semblait impatient. Cétait compréhensible. Moi aussi au Baléares jétais pressé de rentrer dans le vif du sujet (et dans les actrices aussi). On est rentré en passant sous le rideau, moi caméra sur lépaule avec micro incorporé et Jenny en tenue légère sous un manteau de fausse fourrure, et on sest présenté. Il était larchétype du petit gros avec des bourrelets qui dépassent et une calvitie naissante, habillé dun Jean noir et dune chemisette vert pomme. Dès quon est entré, il na pas quitté du regard la jolie Jenny quil semblait reconnaître.
— Salut, Pascal je présume, moi cest Pierre, je te présente Jenny .
— Oui je vous reconnais. Jai vu tous vos films sur le site.
— Un grand fan visiblement. Donc tu es notre grand chanceux du jour ?
— Faut croire.
— Comment tu la trouves ? Jolie ? Y a du monde au balcon hein ?
— Jai du mal à la regarder dans les yeux.
— Je te comprends. Bon, venons-en à la raison de notre venue. Tu nous a envoyé un scénario. Une cliente de ta boutique qui essaie des fringues dans sa cabine dessayage et qui y entraîne le vendeur pour obtenir une réduction. Cest ça ?
— En une phrase oui.
— Et tu tétais inscris récemment je crois.
— Oui je me suis abonné depuis 15 jours.
— Comme quoi, tout le monde a sa chance, quelque soit lancienneté. Bon on va y aller. Vous allez vous mettre en position et ce sera bon.
Jenny sest donc mise dans la cabine dessayage avec quelques fringues et Pascal sest mis en retrait prêt à arriver.
La scène commence avec Jenny essayant des dessous et narrivant pas à fermer son soutien gorge.elle appel à laide.
— Monsieur le vendeur ? Vous pouvez venir maider ?
— Jarrive.
Pascal stoppa Net devant le spectacle de sa cliente en sous vêtement devant lui.
— Vous pouvez maider ? Je narrive pas à fermer.
Il laida et elle se mit à prendre des poses plus que provocantes.
— Vous qui êtes un homme, comment vous me trouvez ?
— Euh . Cest que .
— Vous semblez troublé. Cest moi qui vous fais cet effet sur votre entrejambe gonflée ?
— Euh . Oui
— Aller venez. Dit-elle en attrapant Pascal par le col de sa chemise pour lentraîner dans la cabine.
Jenny a donc pris la direction des opérations. Il faut dire que Pascal perdait un peu ses moyens tout impressionné quil était. Elle la plaqué contre le mur du fond et la galoché goulûment.
— Dites moi monsieur le vendeur, que dois-je faire pour avoir une réduction.
— Ça dépend jusquoù vous voulez aller.
— Je vois. Dans ce cas ..
Elle sest alors agenouillé, lui a baissé son pantalon et son slip, puis elle la sucé. On avait limpression que Pascal était dans un état second. Il était les yeux fermés, la tête en arrière, la bouche légèrement ouverte. Il savourait linstant. Au bout de quelques minutes il a repris ses esprits.
— Une simple pipe ne suffira pas vous savez.
— Je vais sortir lartillerie lourde alors.
Elle sortit un préservatif pour le mettre sur la verge de Pascal et sest positionné en levrette prête à être prise, les mains en appuis contre le mur den face. Pascal se plaça derrière et essaya de la prendre mais visiblement il nétait pas à fond. Ils se sont allongés au sol pour entamer un bon 69.
Pascal nétant pas un pro et nayant apporté que le minimum vitale pour filmer, je savais que ce film allait vraiment paraître plus quamateur, sans gros plan et avec des angles de caméras parfois approximatifs. Je ne me suis contenté que de filmer de loin en espérant une éventuelle ouverture pour faire quelques zooms.
Ce 69 commencé par notre couple du jour a permis à pascal darriver à 100% de sa virilité. Ils se sont alors remis en position et il a enfin pu la prendre en levrette. Il nous avait prévenus quil navait pas touché une femme depuis des années et ça se voyait. A chaque coup de reins, il soupirait comme le fait un sportif lors de son footing matinal. Même sil semblait avoir du mal à y arriver, on sentait chez lui lenvie de réussir.
Il a stoppé et sest assis sur un tabouret. Jenny sest assise sur lui, plaçant ainsi sa poitrine à la hauteur de son visage. Elle sest déhanchée sur lui en poussant des petits gémissements de plaisir. Il était heureux comme tout. Ses yeux brillaient. Au bout de quelques minutes on la entendu jouir dans un râle assez grave. Problème il était sensé faire une sodomie par la suite et on devait terminer la scène avec une ejac faciale. Bon bah tant pis. On va sen contenter. En studio on aurait pu rattraper le coup mais là on navait pas ce quil fallait. Jenny sest relevé, a retiré le préservatif pour en vider le sperme sur sa poitrine et létaler sur ses seins lors dun massage des plus sensuels devant la caméra. Pascal sapprocha et lui fit un bisou sur chaque mamelon. Jenny se pencha devant la caméra en disant « et vous ? Tentez votre chance. » Suivi dun clin dil.
Après la scène on a enregistré ses impressions.
— Alors Pascal ? comment cétait ?
— Génial, super ! Franchement jinvite tous ceux qui le veulent à tenter leur chance. Jaurais voulu en faire plus mais cétait déjà bien.
— Oui on ta senti un peu timide et impressionné. En tout cas sache que si tu veux recommencer tas quà nous envoyer un mail Et on verra ce quon peut faire.
Pascal nous a raccompagnés à la sortie et on est rentré.
Cette première vidéo de notre nouvelle rubrique a fait un carton. Le nombre de nos abonnés a grimpé car beaucoup voulait essayer. Seulement tous les scénarii proposés nétaient pas bons. On écartait ceux qui semblait écris sans originalité ni saveur du style : « jemmène la fille dans la cave et avec mes cousins on se la fait ». Non il fallait de loriginalité. On demandait aux candidats de parler deux pour mieux les cerner.
Cest ainsi que pour dautre films on a eu droit à des couples qui voulait faire ça entre eux devant la caméra, un patron et sa secrétaire dans une chambre dhôtel vivant une histoire secrète et passionnée. Mais le meilleur restait quand même à venir.
Avec Clarisse, une autre actrice, on sest dirigé vers la demeure de ce quon pensait être un célibataire. Au lieu de ça, le GPS nous a mené jusquà un presbytère. Dabord surpris, on a tapé à la porte pour se renseigner. Cest un prêtre qui nous a ouvert 40, 45 ans, cheveux grisonnant et une petite barbe taillée dà peu près 3 semaines.
— Bonjour mon père, excusez nous de vous déranger. Nous cherchons Monsieur Gilbert Cadoret.
— Vous lavez devant vous. Vous êtes ceux que jattendais visiblement.
On était surpris. Il avait indiqué sur sa fiche Profession : sexuellement frustrant. Ah oui je comprends. Moi qui ne suis pas vraiment pour la religion, faire tourner un curé était plus quexcitant.
Il nous a raconté son histoire comme quoi, avec tous les scandales de pédophilie dans léglise, il ne sy reconnaissait plus. Mais surtout ça faisait des années quil fréquentait platoniquement une femme qui refusait daller plus loin tant quil ne sera pas défroqué. Ne ten fais pas mon pote. On va te défroqué, nous. Mais pas forcement comme tu le penses.
Il voulait se faire filmer alors quune de ses paroissiennes venait se confesser davoir commis ladultère. Elle allait devoir faire pénitence dune manière toute particulière. Il nous a raconté quil navait trouvé que ce moyen pour forcer sa hiérarchie à lexclure de lordre. Etant en pénurie de prêtre, ils avaient toujours refusé. Il nous a mené vers léglise, a allumé toutes les lumières pour pourvoir filmer dans les meilleures conditions et a refermé la porte juste après notre passage. Le père Gilbert et Clarisse se sont mis en place dans le confessionnal toute porte ouverte.
— Pardonnez-moi mon père car jai péché
— Je vous écoute mon enfant.
— Voila . Il y a quelques jours, jai profité que sa femme nétait pas là pour coucher avec le boulanger.
— Ah ce nest pas bien ma fille.
— Je sais. Que dois-je faire pour ma pénitence ?
— Pour cela il faut que je sache ce que vous avez fait.
Elle sest mis à raconté des détails obscènes dune nuit fictive qui navait jamais eu lieu. Pendant ce temps là, le curé avait sorti sa queue et commençait à se branler. Voir un vrai curé se tirer sur la nouille dans le confessionnal une image improbable qui méritait son pesant dor. Après avoir tout raconté, le curé lui donna sa pénitence et elle se prépara à repartir quand il lui agrippa le bras.
— Tu restes là. Tu ne crois quand même pas que tu va ten tirer comme ça ? Je tai pardonné mais vu létat dans lequel tu mas mis, ça ne suffira pas pour notre seigneur. Regarde moi, regarde dans quel état se trouve mon petit Jésus. Il va falloir que tu arranges tout ça.
— Que Que voulez vous ?
— Pour satisfaire Dieu, il faut aussi satisfaire son serviteur. Alors je me contenterai du même traitement que celui que tu as réservé au boulanger.
Elle sest alors agenouillée pour lui lustrer la tige durant quelques minutes. Sen ai suivi plusieurs pénétrations fougueuses dans diverses positions. Clarisse passait son temps à pousser des « Oh oui monsieur le curé » ou encore des « plus vite, plus fort mon père ». En plus, Le père Gilbert avait tout compris. Il me savait derrière lui et sarrangeait pour que jaie des angles de vue imprenables. Pas comme Clarisse qui était prise par tous les bouts. Bien évidement la scène sest terminée par un grand classique : lejac faciale.
— Alors mon père, comment cétait ?
— Pierre, appelez moi seulement Gilbert.
— Ok donc Gilbert.
— Cétait super jai passé un très bon moment.
— Visiblement vous aviez déjà pratiqué ?
— Tous les curés ne sont pas Puceaux. Certains vont aux putes ou vivent une histoire cachée. Certains ont même des enfants. Perso je voulais le faire, dailleurs jespère avoir un exemplaire de la vidéo car jai un projet pour elle.
— Lequel ?
— Lenvoyer à mon archevêque sous plis discret et de manière anonyme.
— Oh !! Alors là je veux voir ça. vous me tiendrez au courant de sa réaction ?
— Promis.
Avec Clarisse on est reparti après avoir copié le film depuis la carte mémoire de la caméra sur le PC du curé. Cétait ce genre de situation improbable et original que lon cherchait. Vu le nombre croissant de demande, jai finalement embauché plus de monde et jai constitué plusieurs équipes. Ce studio de production et son site commençait à devenir une affaire lucrative qui marche. Jétais fier de moi. En plus je permettais de réaliser certains rêves et fantasmes de nos abonnés. Rien que cette idée là nous assurait une certaine prospérité et permettait aux acteurs de tourner plus et donc de gagner plus.