HEUREUSEMENT QUIL Y A LES STAGIAIRES
Odile nest pas revenue dans la chambre quand André ouvre les yeux. Vexé, il se lève sans bruit et fuit la maison avant le réveil des femmes.
A son arrivée au cabinet, Jérôme et toute léquipe prennent le café en commentant le match de la veille.
— Ce Zidane, sexclame Jérôme, quel champion ! Tu as vu comment il a transpercé la défense espagnole !
Non il na pas vu ! Au même moment la queue de Luc monopolisait toute son énergie et il fermait les yeux sous lemprise dune jouissance inconnue. Davoir été privé de cet instant privilégié dans la vie dun supporter, accroit son ressentiment envers le fils du Bâtonnier. Incapable de participer à la discussion de ses collègues qui rejouent la rencontre, André sempare du premier prétexte venu pour les abandonner et sisoler dans son bureau.
Lavocat saffale sur le canapé plein de rancur contre Luc et ses deux acolytes. Il ne comprend pas comment il a pu laisser faire les trois garçons. Il sen veut, mais il sen veut de les avoir accueillis ! Quelle force la poussé à séduire le jeune homme malgré la présence de sa femme ? Non, vraiment, il nétait pas dans son état normal. Il navait pas bu pourtant ! Jamais cela ne lui était arrivé Enfin en famille Daccord, il a toujours eu un faible pour Luc, mais de là à vouloir lenculer devant Odile Et celle-ci qui papillonnait autour des deux autres en exhibant sa grosse poitrine !
André ricane : Dire quau début de la soirée il se voyait épingler le fils du Bâtonnier à son palmarès ! Ouais ! Cest le contraire qui est advenu ! Tout avait bien commencé pourtant, Luc semblait apprécier ses caresses. Il croyait que comme Joseph, le garçon se laisserait faire (Soupir) Il na pas tardé à déchanter (Re-soupir) Il nen revient pas de la facilité avec laquelle il accepté le retournement de situation. A croire quil le souhaitait ! Mais non ! Comment pouvait-il désirer non seulement de se faire enculer mais que sa femme et sa fille soient victimes de ces perturbateurs ? Euh Victimes ? Elles nen donnaient pas limpression, trop heureuses de lhumilier par leurs gémissements de femelles en chaleur. Ah non, ce nétait pas une bonne soirée !
Pourtant, à y réfléchir, tout na pas été négatif dans cette funeste aventure. Oh ! Léclair de jouissance qui la terrassé quand il a déchargé dans les doigts de Luc lorsque que le sperme de celui-ci a déformé ses intestins malgré le préservatif. Si cest ce que ressent Joseph, il comprend mieux la docilité du garçon. Et Martine La joie de la tenir nue dans les bras !
Sa verge se redresse à cette évocation. En fermant les yeux, il se revoit caressant la jeune poitrine, enveloppant de sa paume un sein qui remplit juste sa main. Il a limpression de sentir les doigts de sa fille se refermer sur sa queue. Ny tenant plus, il ouvre sa braguette et sort un sexe rigide quil astique en se remémorant les doux instants de lintroduction
— Je peux entrer ?
Joseph passe la tête par la porte.
— Jai frappé mais vous navez pas répon Oh !
Le garçon reste figé devant la queue dressée. Que cest gros ! Ce nest pas possible cette énormité entre dans son cul ! Pourtant
André, surpris par lintrusion, esquisse le mouvement de se rajuster. Le regard insistant de Joseph vers son bas ventre len dissuade (« Ma parole ! Le jeune stagiaire madmire ! Pourquoi len empêcher ? Dailleurs, il tombe à pic ! Quel meilleur remède quun cul juvénile pour me consoler »). Il poursuit sa lente caresse.
— Ferme la porte, sil te plait Mieux que ça.
Le garçon met le verrou.
— Approche. Que veux-tu ?
— Euh Jétais venu vous parler du dossier Hector.
Il narrive pas à détacher les yeux de la verge dont André décalotte le gland.
— Que regardes-tu ainsi ? On dirait que tu nas jamais vu de sexe masculin.
— Euh Il est si gros.
— Tu me flattes, mais je tassure, il na pas augmenté depuis hier.
— Euh Je ne sais pas. Je Je navais jamais vu, jai toujours le dos tourné.
— Ah ? Tu fais bien de me le dire, je ferai attention à lavenir. Pose tes affaires sur le bureau et viens tasseoir là.
Lavocat tapote le coussin du canapé à ses cotés. Joseph sapproche en tremblant les yeux fixés sur la verge. Il tend le bras, mouvement vite réprimé.
— Naie pas peur, ça ne mord pas.
André prend la main et la pose sur son sexe. Les doigts se referment sur la tige. Lavocat ferme les yeux et sabandonne un instant à la caresse.
— Sais-tu ce que tu ferais si tu étais gentil ?
— Euh Non
— Tu montrerais que toi aussi tu as un joli sexe Baisse ton pantalon, imbécile ! ordonne-t-il devant le regard dincompréhension.
En quelques coups de poignet, André redresse la verge de Joseph. Lui non plus ne lavait pas regardé jusquici, se contentant de la masturber pendant quil sactive dans le dos du stagiaire. Elle est plus longue que la sienne juge-t-il, mais dun diamètre inférieur.
— Tu as une bien jolie queue tu sais. Tu dois faire des heureuses parmi les étudiantes.
— Euh Je nai pas de copine.
— Tu as tort mon petit.
André tire sur le prépuce. Joseph soupire.
— Tu aimes être caressé nest-ce pas ?
— Il ny a que vous
— Tu sais je ne suis pas jaloux. Tu devrais profiter de ta jeunesse.
André fait tourner Joseph contre laccoudoir du canapé et caresse les fesses.
— Penche-toi en avant.
— Vous allez me Me prendre ?
Cest la première fois que le stagiaire émet une réserve. La surprise fait sursauter lavocat.
— Quest-ce quil y a ? As-tu peur ?
— Euh Cest si gros
— Tu ne te plaignais pas de sa taille hier et je te garantis quil na pas grossi. Tu nas aucune crainte à avoir.
Il promène le bout contre lanus du garçon (« Cest vrai quil semble petit le trou »). Il appuie, les chairs sécartent, le gland senfonce sans difficulté et disparaît peu à peu. Cest la première fois quAndré observe lintroduction. Est-ce que son cul ressemblait à cela lorsque la queue de Luc sengageait ? De penser à la séance de la veille le contrarie. Il donne un violent coup de rein.
— Ouch !
Lavocat ne se maîtrise plus. Il imagine Luc sur le canapé à sa merci et cest son cul quil martyrise. Joseph résiste comme il peut. Quest-ce quil lui prend à André ? Jamais il na été aussi brutal. Ce mélange de douleur et de plaisir, nouveau pour lui, déclenche un orgasme soudain qui macule le cuir du meuble. Lavocat, que la jouissance de sa victime calme, ralentit la cadence au grand soulagement de Joseph. Plus de douleur maintenant, que du plaisir. Le désir revient et développe à nouveau sa queue quune main avide masturbe à la cadence des coups de rein.
André est heureux, fier dêtre capable de faire jouir une jeune personne deux fois de suite dans la même étreinte. Il y a longtemps quil ny parvenait plus Il se sent en pleine forme et maîtrise la progression de la jouissance dans son bas-ventre, pas avant que Joseph néclate à nouveau !
Le garçon se tient le même raisonnement, lui non plus ne veut pas seffondrer avant son partenaire. Comment être sûr du bon moment ? Oui le manchon gonfle dans son anus, André va jouir ! Quelques coups de queue plus tard, le sperme jaillit simultanément dans le sphincter et sur le canapé où il se mélange avec la précédente éjaculation.
Lavocat libère le stagiaire et lentraine vers le cabinet de toilette. Au retour le cuir souillé le fait sourire : (« Il en avait une réserve de foutre le garçon ! ») Avec une lingette il répare les dégâts. Joseph veut renfiler son slip.
— Pas tout de suite sil te plait.
André sinstalle dans son fauteuil et le fait asseoir sur ses genoux.
— Quas-tu à me dire au sujet du dossier Hector ?
Tout en écoutant les explications, il triture le sexe qui grossit entre ses doigts. Il est un peu jaloux, il en serait incapable si près dune étreinte
— Cest bien mon petit, félicite André en raccompagnant Joseph. Encore quelques corrections et ton analyse sera parfaite. Sil te plait Euh Non.
Le garçon tient la porte attendant une suite qui ne vient pas. Il sort.
— Jai bien fait de ne pas lui demander de convoquer Annie. Il est préférable dattendre que je sois plus en forme, murmure André en retournant à son fauteuil.
Ce serait un désastre sil la décevait une nouvelle fois dans le cas où elle serait complaisante. Il sétire. Aah ! Quel plaisir denfoncer sa queue dans un cul accueillant Autre chose que de subir un voyou sans scrupule ! Euh Si les deux arrivaient en même temps ?
Joseph sappuie contre le montant de la porte. Ses fesses sont encore sensibles. Quelle séance ! Pourvu que cela ne continue pas ainsi, son cul ny résisterait pas Euh Peut-être quon shabitue Il se dirige vers la pièce quil partage avec Annie. La jeune fille sétonne de ne pas avoir été convoquée. Joseph ravi dêtre passé devant, la console hypocritement.
— Tu verras, il tappellera
Elle parvient à coincer André avant la pause-déjeuner.
— Maître, vous ne deviez pas me donner du travail ?
— Si, si Annie. Excusez-moi, je ne vous ai pas appelée ce matin car javais trop de dossier à examiner et je naurais pas eu assez de temps à vous consacrer. Je vous attends à quatre heures cet après-midi à mon retour du Palais.
— Merci, Maître.
Quatre heures sonnent au clocher voisin. Annie toque à la porte dAndré qui sourit de la précision de la jeune fille. Il est un peu inquiet. Quelle sera sa réaction sil tente de la caresser ? Hier elle était consentante, en sera-t-il de même aujourdhui ? Peut-être que vexée davoir été délaissée elle refusera ses avances ? Il la fait sasseoir face à son bureau. Elle a changé de jupe et ne porte pas de bas, remarque-t-il. Il donne quelques explications sur ce quil attend delle.
— Je peux prendre des notes ?
— Je vous en prie madem Euh Puisque nous allons travailler ensemble me permettez-vous de vous appeler par votre prénom ?
— Comme vous voulez.
— Merci mad Euh Annie.
Elle sort un carnet et un crayon de son porte-document. André se lève et marche dans le bureau tout en développant sa conception du métier davocat et le travail à réaliser sur le dossier quil lui confie. Elle sétonne :
— Je vais étudier un cas réel ?
— Nest-ce pas plus instructif ?
— Euh Oui.
— Il va de soi que vous êtes dorénavant tenue au secret professionnel et ne devrez en aucune circonstance parler de cette affaire en dehors de ce cabinet. Je peux compter sur vous nest-ce pas ?
— Euh Oui, oui !
Il sapproche derrière la chaise.
— Gendron sécrit avec un G pas un J.
— Excusez-moi.
Annie corrige ses gribouillis. André pose les mains sur les épaules de la jeune fille. Elle appuie la tête contre son torse et laisse glisser le carnet sur ses genoux. Son attitude dabandon encourage lavocat. Des épaules les mains caressent les bras, touchent les cotés des seins. Tiens ! Elle na pas de soutien-gorge. Comment ne la-t-il pas remarqué ? Il a lil dhabitude ! Il plonge les doigts dans le corsage quil aurait déchiré si Annie ne lavait pas prestement déboutonné. Il patouille avec délice la poitrine offerte. Au bout dune minute, la jeune fille interroge dune petite voix :
— Vous navez pas dautre demande ?
Pardi si ! Mais les paroles sont inutiles ! Il la tire de sa chaise et lenlace. Il cherche sa bouche. Annie répond au baiser. Il lentraine vers le canapé où il lallonge. Il embrasse la poitrine découverte et farfouille sous la jupe. Il a lagréable surprise de découvrir des fesses nues (« Elle na pas de culotte ! Elle sattendait à ce que je la baise. Raison de plus pour ne pas la décevoir »). Il découvre le ventre et sort sa verge.
Annie est dépitée par labsence de préliminaires.
— Vous ne mettez pas de préservatif ?
— Euh
— Laissez-moi faire.
Elle se lève, ouvre son porte-document, en extrait une capote dont elle déchire lenveloppe avec les dents.
— Asseyez-vous !
Un peu interloqué, André obéit. Annie sagenouille entre les cuisses écartées. Elle donne quelques coups de poignets pour rétablir la raideur. La verge tendue lattire, elle se penche, hésite mais redresse la tête.
— Non, murmure-t-elle, il navait quà me caresser.
Lavocat sur un nuage rose nentend pas la remarque. Annie enfile le préservatif. Elle sallonge à nouveau en tirant André par la queue. Il ne se fait pas prier et trouve tout de suite la bonne ouverture. De tenir une aussi jolie fille dans ses bras décuple son énergie. Il se dépense sans compter et atteint rapidement le point de non retour.
— Aah ! Aaah ! Aaaaah ! Aarrgghh !
Il seffondre heureux sur la jeune fille qui se dégage déçue par la brièveté de létreinte (« Tous les mêmes ces hommes avec leur petit plaisir égoïste ! Incapable de se retenir pour laisser le temps de jouir ! Enfin Jespère quil est satisfait et que cela comptera dans ma note de stage »). Elle extrait de son porte-document la petite culotte quelle avait ôtée avant dentrer et senferme dans le cabinet de toilette. Quand elle ressort, André na pas bougé. Il git les yeux fermés un sourire béat aux lèvres. Cela fait rire en silence la jeune fille (« Ouais, je pense quil est satisfait ! »). Elle retourne dans le cabinet pour prendre une lingette avec laquelle elle essuie le sexe mou.
— Merci.
Péniblement, lavocat se réajuste et sassied sur son fauteuil où il retrouve un peu dautorité.
— Je pense Annie, que votre séjour sera profitable et que vous vous plairez parmi nous.
— Je nai jusquici quà me féliciter davoir rejoint votre cabinet.
— Voici le dossier Gendron. Je pense que vous avez compris ce que jattends de vous. Étudiez-le attentivement. Quand vous aurez fini, nous examinerons ensemble vos conclusions. Si vous avez un problème, nhésitez pas à me demander conseil, ma porte vous sera toujours ouverte. Et noubliez pas le secret professionnel.
— Je vous remercie et soyez assuré que je ferai tout mon possible pour vous donner satisfaction.
— Restez dans ces bonnes dispositions et tout ira pour le mieux.
La jeune fille quitte le bureau. La porte refermée, elle sappuie contre la cloison.
— Whaou ! Ça promet ! Si jai bien compris comment ça fonctionne ici, jai intérêt à compléter ma provision de capote !
Elle rejoint la pièce quelle partage avec Joseph. Le garçon lui fait grise mine.
— Tu en as mis du temps !
— Maître Vermont ma expliqué en long et en large ce quil attend de moi Et je compte bien le satisfaire, lance-t-elle dun air de défi en jetant sur la table le dossier Gendron.
Cela ne rassure pas le garçon jaloux de devoir partager les faveurs de lavocat avec cette petite nouvelle.
André est aux anges. Finie la malédiction ! Pas une fois depuis lentrée de la stagiaire, le fantôme de sa fille ne sest dressé entre lui et lobjet de son désir. Il avait raison de penser que baiser Martine le guérirait de son handicap. Encore une retombée heureuse de la soirée de la veille ! Son front se plisse en se rappelant le comportement de la jeune fille. Dire quil la croyait vierge et innocente ! Cest peut-être mieux ainsi. Il naurait jamais eu le courage de lui faire lamour sachant quil était le premier Et la malédiction perdurerait Pourvu quelle ne resurgisse pas ! Il baisera Martine autant de fois quil le faudra si nécessaire !
Que ça fait du bien cette étreinte avec la jeune stagiaire ! Lanus de Joseph est agréable mais senfoncer dans une chatte bien tendre est aussi bon sinon meilleur ! Rien quun cul de garçon risquait de devenir lassant. Annie ne la pas déçu et a rempli tous les espoirs quil plaçait en elle, même au delà. La vie est belle. Reste à se réconcilier avec Odile
A suivre