Les aventures d’Anne et Patrick racontées par les deux protagonistes.
LE GITE NATURISTE
Chapitre 3
ANNE
Ce dîner au restaurant m’as mise dans un état pas possible, je suis excitée à l’extrême, mes seins sont gonflés, mes tétons durs et mon sexe trempé.
Assise contre le mur avec en face de moi Pierre et Patrick, sans compter l’autre homme, à une table voisine, qui n’arrête pas de me sourire, la situation m’a donné une envie folle de faire l’amour.
Heureusement que le retour vers le gîte est rapide, dans la voiture Patrick nous a invité à venir dans sa caravane pour boire une coupe. Je lui ai d’ailleurs dit oui en précisant que nous passerons d’abord dans notre chalet pour nous mettre à l’aise.
Une fois au chalet, Pierre et moi nous enlevons nos habits de sortie pour nous retrouver nus mais j’enfile ma courte et légère (et transparente) nuisette noire car avec la nuit, il y a une légère brise.
Je lui demande aussi que j’aimerais qu’il aille un peu nager dans la piscine (elle est accessible jour et nuit) pour faire son activité sportive quotidienne qui lui est recommandée et qu’il nous rejoigne ensuite chez Patrick. Cela me laisse une bonne demi-heure.
Je sors et rejoins la caravane de Patrick distante d’une trentaine de mètres de notre chalet.
J’arrive et doucement ouvre la porte. J’entre et le trouve allongé dans la tenue d’Adam sur le lit dans une semi-pénombre.
Mes yeux remarquent tout de suite l’excroissance gonflée de son sexe qui repose sur son ventre.
En silence, je m’approche de lui, me penche et promène ma langue autour de son gland.
Une furieuse envie de le dévorer m’anime. Je le suce, le happe avec beaucoup de plaisir et enfin mets cette colonne de chair en bouche qui en a profité pour s’allonger sous mes papouilles.
Il garde les yeux fermés et me laisse faire. J’emprisonne son champignon entre mes lèvres, et l’aspire avec ma langue. La laissant tournoyer autour de son pénis.
Sans la tenir, ma bouche coulisse sur la hampe généreuse, mes lèvres décalottant et recalottant le gland gorgé de sang.
Il a ouvert les yeux qui pétillent de plaisir, ses mâchoires se crispent sous les attaques incessantes de ma bouche sur son pieu.
Mes mamelles qui pendent et sont visibles sous la nuisette fine attirent ses mains qui malaxent avec vigueur mes seins gonflés aux pointes tendues.
Mais je ne veux pas qu’il éjacule maintenant mais en moi alors j’arrête et me mets sur lui à califourchon.
J’accroche mes mains autour de ses hanches. J’ai tellement envie de lui, de le sentir en moi, de me sentir en lui.
D’une manière presque vorace et ostentatoire je prends d’une main ce pieu, le guide vers ma grotte et après l’avoir frotter plusieurs fois sur ma vulve en feu, doucement je descends sur cet axe d’airain et je le sens entrer en moi, écartant mes lèvres, défonçant les parois de mon vagin trempé.
Je monte et descend dans une chevauchée sans fin, imposant mon rythme.
Mes mamelles ballottent. Je lui interdis de les toucher, il a seulement le droit de les regarder au travers de la fine soie de ma nuisette.
Et je monte, je descends sur son rostre, perdant la notion du temps, des minutes qui s’égrainent les unes après les autres.
Il commence à se crisper, son plaisir est proche. Le mien aussi car son gros dard "laboure" bien ma caverne écartelée comme jamais par sa grosseur.
Je vois son corps se raidir et je sens la violente effusion de son sperme, il crie, je sens les jets chauds frapper ma matrice, je crie aussi. Nous jouissons de concert, c’est fort C’est long et c’est bon…
Je m’affaisse et me penche sur lui, ma tête reposant sur sa poitrine. On reste ainsi quelques minutes, lui encore en moi toujours raide, puis doucement je délivre son engin de mon fourreau brûlant et exténuée, m’allonge contre lui.
Il me serre dans ses bras. Il respire l’odeur de ma peau et me dis doucement :
— Merci pour ce moment.
La fatigue me gagne. Nous sommes là, moi dans cette nuisette qui ne couvre que mes seins et mon ventre mais qui laisse à l’air mon sexe lisse bien rempli de sa laitance. Lui nu avec un sexe toujours érigé, prêt à recommencer.
Sa verge est allongée sur son ventre, vers son nombril. Doucement, elle perd de sa rigidité, sa taille par contre, est encore impressionnante.
Nous entendons des coups à la porte, toc, toc
PATRICK
C’était divin ! Une des façons de faire l’amour que j’aime le plus avec une femme, c’est de ne rien faire, lui laissant l’initiative de m’amener par sa science au plaisir ultime.
Et je ne suis pas déçu avec Anne, c’est une amante « d’expérience ».
Mais je suis un peu resté sur ma fin. Elle m’a dit que demain, Pierre serait absent toute la matinée car il va pêcher, il ne reviendra peut-être même pas le midi si le poisson est au rendez-vous.
Justement, il vient de nous rejoindre. Je ne sais pas ce qu’il pense mais je vois qu’il fixe le centre de mon corps pas encore tout à fait « détendu ». Est-il complice de l’infidélité d’Anne ? Je ne sais pas.
La soirée se prolonge jusqu’à la fin de la bouteille et nous nous souhaitons bonne nuit.
Le lendemain, je vois Pierre partir au lever du jour, prendre sa voiture pour partir à la pêche.
Anne m’appelle pour prendre ensemble le petit déjeuner.
Décidément, je ne suis pas encore suffisamment habitué à me retrouver à tout bout de champ avec une femme appétissante à poil devant moi !
— T’as vraiment de beaux seins, ils me font bander rie que de les regarder, la preuve….
-Mouais, je te remercie du compliment. Jette-elle en regardant la chose.
Elle m’embrasse, me caresse.
Quand elle se penche pour me verser du café, j’ai ses seins à hauteur de mon visage et comme je ne suis pas de bois, « Popaul » atteint très vite sa taille de croisière.
Anne fait semblant de rien et nous finissons notre collation mais avant de se lever, elle n’oublie pas de donner une caresse au pic qui se dresse entre mes cuisses.
— Merci Anne, c’était délicieux !
Une fois fini, elle dessert la table et lave la vaisselle dans l’évier.
Elle a mis un petit tablier qui couvre difficilement sa poitrine généreuse, mais j’ai devant moi tout le coté face uniquement vêtu du cordon du tablier…
La vue de son cul me donne des envies très cochonnes. Je la provoque en lui avouant :
— Appétissant tout ça. J’aime ta petite chatte … Elle est très bonne.
Elle tourne la tête et rougit de mes propos crus.
Je vois ses fesses musclées, le trou de son cul, sa raie, j’imagine sa chatte toute mouillée, son clito Lorsqu’elle se retourne, elle me voit debout, la queue raide et turgescente, mes yeux qui la dévorent.
-Au lieu de dire des bêtises, vient plutôt me peloter les seins et m’embrasser!
Je la rejoins et la caresse partout, la lèche de même, l’embrasse à pleine bouche.
Elle se retourne, se penche un peu en avant, écartant les jambes et s’appuyant à deux mains sur l’évier.
Mon chibre s’est insinué entre ses cuisses et je la pénètre d’une seule poussée, les mains sur les fesses.
Je la lime sur un tempo rapide puis j’alterne avec des périodes plus lentes, admirant à loisir son beau corps, des seins lourds animés d’une vie propre sous mes poussées, allant de gauche et de droite, les tétons tendus vers le plaisir, son ventre avec sa minuscule touffe pubienne sous la paume de ma main.
Ses gémissements se transforment bien vite en hurlements. Je la pousse vers l’avant sous mes assauts, l’écrasant sur l’évier. Elle m’encourage :
— Oui, prends-moi à fond, plus fort !
Je lui murmure à l’oreille :
— J’ai envie de t’enculer !
Comme sous un électrochoc, elle se tétanise et arrête net de bouger, essayant de se dégager de mon emprise.
Mais j’ai trop envie, n’écoutant que mes plus bas instincts, je retire mon pal de sa gaine de velours pour m’introduire de force entre ses fesses.
Je la pénètre alors violemment. Elle ne peut retenir ses cris, Je la sodomise aussi fort que je peux.
Elle reste ensuite passive, soumise au faune, laissant passer la tempête.
Je me penche sur elle, lui pétrit les seins. Puis je me recule, l’entraînant avec moi. Mes coups de bite se font de plus en plus doux, je lui jette :
— Viens sur moi.
Je m’assieds sur la banquette, elle en profite pour me caresser la bite puis passe un genou de chaque coté de mes jambes et empale son abricot sur mon gourdin.
Elle savoure l’instant, passe sa main dans ses cheveux. Mon sexe est dur comme du bois sous le désir, je le caresse comme un fou pendant qu’elle fait du rodéo sur ma queue.
Sa respiration s’accélère, elle se mordille les lèvres, les 2 mains enserrant ma tête.
Brusquement elle ouvre grande la bouche, rejette la tête en arrière, le corps arqué, elle crie, les muscles tétanisés, essaie de se désaccoupler mais je m’y oppose.
Elle essaie de se relever pour soulager son bassin, extraire cette cheville incongrue de sa mortaise.
Elle s’agite comme une folle sentant monter son plaisir, et dans un long cri de jouissance, retombe désarticulée comme une poupée de chiffon, son coquillage avalant mon chibre le plus loin possible.
-Putain, je n’ai jamais jouis à ce point ! M’avoue-t-elle.
Je lui rétorque en me relevant, toujours fiché en elle :
-Je n’en ais pas encore fini avec toi.
— Tu vas me tuer !
— Ca serait une belle mort, non ?
C’est à moi d’uvrer et je m’y donne corps et âme, il était temps qu’elle s’éjecte de mon engin sinon moi aussi j’allais rendre les armes.
Elle couine de plaisir. Tout y passe, un cunnilingus de feu, des caresses et des léchages à n’en plus finir des zones les plus érogènes de son corps, elle demande grâce mais pas un centimètre carré de son corps n’échappe à ma langue. Pendant ce temps, la pression s’estompe un peu au niveau de mon bas-ventre. Je lui lance :
-A toi maintenant !
Et je glisse ma queue entre ses seins, me branlant doucement. Pas besoin de lui faire un dessin, elle emprisonne ma teub entre ses mamelles …
Je donne de légers coups de reins amenant mon gland au niveau de ses lèvres et à chaque passage, elle en profite pour lui donner un coup de langue pour le lécher ou le sucer.
Je sens alors ma sève monter, un fleuve de feu part de mes bourses vers le gland, mes couilles se vident dans l’urètre, même si je le voulais, je ne peux plus stopper le stress éjaculatoire, trois long jets de foutre s’écrasent sur ses seins, son menton, dans sa bouche, et maculent son visage.
Je lui présente alors mon organe devant la bouche et laisse faire sa langue si douce goûter mon gland et tourner autour en une sarabande infernale.
Elle lèche sur toute la longueur mon rostre avant de le reprendre en bouche le plus loin possible.
Son désir charnel n’est pas assouvi, sa main vient en renfort me branlant à toute vitesse, je suis aspiré, pompé, branlé et son autre main joue maintenant avec mes couilles.
Je n’ai pas eu le temps de débander qu’elle m’a déjà remis en « service ».
Elle suce goulûment. Je reste quelques instants alors qu’elle continue à me lécher et me sucer. Puis je me retire :
— Tu as apprécié, tu en veux encore ?
Elle se contente d’ouvrir grand la bouche en me souriant
Je l’embrasse. Le goût de mon sperme est encore sur ses lèvres. Je la regarde :
— Je t’aime, Anne.
— Moi aussi, Patrick.
Je retire ma verge encore dure. Elle se cambre en avant, ne voulant pas la libérer.
J’écarte les lèvres de sa chatte d’une main et y glisse mon sexe qui a retrouvé toute sa vigueur.
Elle gémit, laisse aller son corps sur la banquette. Ses hanches bougent pour accompagner mes pénétrations.
L’étreinte dure longtemps, l’étalon s’est transformé en robuste cheval Comtois qui laboure de son soc le sillon offert pendant de longues minutes. Je la sens partir plusieurs fois avant de ressentir ma queue redevenir à nouveau cette colonne de feu.
Je dois encore jouirJe peux encore jouir Je veux encore jouir
De mes couilles douloureuses, des jets de foutre remontent ma verge, franchissent son extrémité et vont se perdre au plus profond de son intimité.
J’ai envie de hurler de plaisir, elle me demande de continuer encore et encore
Fin du troisième chapitre.