La semaine qui débute avec Lorna sous notre toit va sûrement chambouler nos habitudes, heureusement que Suzy est en vacances.
J’avais besoin de regonfler ma libido, cette splendide ?’créature’’ est en tous points ce dont je rêvais inconsciemment.
Suzy m’étonne, aux petits soins pour Lorna, elles ne se quittent plus.
Après être passées à la banque régler les problèmes de Lorna, ce qui ne fut pas une mince affaire compte tenu du montant du chèque, elles ont disparues toute la journée.
A leur retour, j’aurais aimé être mis au courant de leur emploi du temps, mais elles sont restées muettes, Lorna se comportant comme si elle faisait partie de la famille depuis toujours.
La grande complicité qui les réuni m’enchante, dans le fond, je crois que mon épouse avait, elle aussi, besoin de nouveauté.
Les voir évoluer dans le plus simple appareil, se touchant au passage, riant pour un rien, me met dans tout mes états.
Je croyais bien connaître Suzy, notre mariage ayant toujours été basé sur une grande complicité, nous nous disons tout.
Il est évident qu’elle était certainement frustrée si j’en juge par ce qui s’est passé à notre retour du restaurant.
Pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté, Suzy à repris contact avec la mère de John qui s’est montrée très coopérative, j’ai même eu l’impression qu’elle était plutôt soulagée de ne plus avoir Lorna sous son toit.
De John, plus aucune nouvelle, il doit filer le parfait amour avec son copain en dilapidant le magot ?’emprunté’’ à Lorna.
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Dans l’après midi, je suis allé rendre visite à la femme de Claude pour lui parler, même si les élucubrations de son mari n’étaient que des paroles d’après boire, il doit y avoir un fond de vérité que j’aimerais bien tirer au clair.
Cette femme, Aline, je la connais depuis plus longtemps que Claude, nous étions voisins et amis durant notre adolescence.
C’était une ?’belle nana’’, un peu ronde peut-être, mais ses formes plaisaient, tous mes copains étaient secrètement amoureux d’elle.
Aline ne ?’couchait’’ pas mais flirtait assez facilement, se laissant toucher et ne dédaignant pas non plus, faire une petite ?’gâterie’’ à celui qui lui donnait du plaisir.
Dans notre bande, un copain avait un frère qui revenait de l’armée, ?’les couilles gonflées à bloc’’ comme il disait, c’est lui qui à déniaisé Aline, et de belle façon si j’en juge par la frénésie de sexe qui l’à prise après son dépucelage, je crois que toute la bande lui est passée sur le corps sauf moi, et pour cause.
J’avais dénichée une fille dans un bal, pas le canon du siècle, mais au moins, elle couchait, c’est la raison pour laquelle, je n’ai jamais rien fait avec Aline.
Claude est arrivé le dernier dans la bande, trouvant Aline à son goût, il l’a draguée ouvertement et, contre toute attente, elle s’est laissée ?’séduire’’ et ils se sont mariés 10 mois après.
En venant la voir, j’avais préparé un laïus que je comptais bien lui débiter avec le plus grand sérieux, j’ai été reçu comme un chien dans un jeu de quilles.
Il a fallu que je déploie toute ma diplomatie pour calmer cette furie qui m’incendiait en me traitant de tous les noms d’oiseaux.
Claude avait mis, le soir de notre discussion, les points sur les ??I’’ de la façon la plus brutale qui soit, Aline ayant un joli cocard !
Je lui avais dit qu’une bonne baffe remettrait les pendules à l’heure, sans penser qu’il prendrait ce conseil à la lettre !
Pour ?’excuser’’ son geste, cet idiot lui a dit que l’idée venait de moi, Aline n’a pas apprécié du tout, et je la comprends.
Je m’en suis pris plein la figure pendant un quart d’heure, entre les pleurs et les grincements de dents, je ne savais plus quoi faire ni quoi dire.
Je l’ai laissé se calmer, je voulais parler avec elle, plus exactement, je voulais qu’elle m’écoute, cela n’a pas été une mince affaire.
A force de la voir tous les jours, je n’avais pas remarqué le changement intervenu dans son physique, cela s’est fait petit à petit, Aline étant devenue quasiment obèse.
Habillée d’une robe d’intérieur boutonnée devant, chaussée d’une paire de charentaises éculées, elle ne ressemblait plus du tout à la belle femme que j’ai connu.
Sa robe était tendue au point que les boutons étaient prêts à sauter, par les bâillements, je pouvais voir qu’elle était entièrement nue dessous, pas de culotte ni soutien gorge.
Enfin calmée, elle s’est assise, en face de moi sur le bras d’un fauteuil, je ne savais plus ou regarder, la robe ne cachait rien des ses cuisses, j’avais même une vue imprenable sur sa toison bien fournie.
-Alors Fred, c’est à toi que je dois ce joli cocard, espèce de salaud !
-Aline, je ne comprends pas ce que tu veux dire…
-C’est ça, fous toi de moi maintenant ! C’est bien toi qui à dit à Claude qu’une bonne baffe de temps en temps… Ce n’est pas un gifle qu’il ma mise, mais un bon coup de poing, tes conseils de ce genre, tu peux te les mettre où je pense…
-Aline, j’ai dit ça en rigolant, d’ailleurs, il l’avait pris dans ce sens, enfin je croyais…
-Tu vois le résultat ! Il était bourré c’est vrai, mais ce n’est pas une raison pour me taper dessus…
-Aline, que se passe t’il dans votre couple ?
-Rien, il ne se passe plus rien et depuis longtemps ! Je sais que j’ai grossi, mais ça ne date pas de la semaine dernière, le pire c’est que je ne sais même pas pourquoi je prends du poids. Est-ce que tu sais depuis combien de temps il ne m’a pas baisée et je ne parle même pas de faire l’amour. Il va aux putes se vider les couilles, tu penses bien qu’il n’a plus envie de moi…
-Aline, lève toi s’il te plait et regarde toi dans la glace. Tu crois que Claude à envie de toi dans l’état où tu es, tu me fais penser à la chanson d’Aznavour. Aline, ça fait combien de temps que tu n’as pas mis les pieds chez un coiffeur ? Peignée comme ça on dirait une folle, tu te laisses aller ma vieille, ne t’en prends qu’à toi…
-Ben voyons, défends le pendant que tu y es…
-Aline, Monique à 6 mois de plus que toi, tu pourrais peut-être prendre exemple sur elle…
-Je sais Fred, elle me l’a dit plusieurs fois. Elle devait m’aider mais, un jour, je l’ai fichue dehors…
-Je ne savais pas ça… Pourquoi, elle t’a manqué de respect ?
-Non, j’étais en vrac ce jour là, je venais de recevoir l’avis d’imposition de mon père décédé depuis trois ans…
-C’est quoi cette connerie ?
-Rien, une erreur informatique parait-il, mais ça m’avait fichu le blues, du coup, elle ne m’en a jamais plus reparlé. Fred, tu es mon ami depuis longtemps, je sais que je vais perdre Claude si je continue mes conneries, mais je ne sais plus quoi faire, aide moi s’il te plait…
-Aline, si tu te faisais suivre par un bon toubib, je suis sur que tu pourrais, sinon redevenir comme avant, au moins perdre du poids. Tu ne t’occupes plus de toi ma vieille, on dirait un souillon, ne t’étonnes pas si Claude ne te regarde plus. Aline, tu es assise en face de moi, et je vois les poils de ton sexe, tu pourrais les tailler un peu quand même, c’est affreux !
-Je sais Fred…
-Au lit, vous ne faites plus rien du tout ?
-C’est vrai que tu ne sais pas. Nous nous sommes payé un super lit, le même que le votre, sauf que nous avons désaccouplés les sommiers, comme ça, on ne se touche même plus !
-C’est grave, Aline. Et toi, tu n’as pas envie ? A ton âge ce n’est pas normal…
-D’autant que j’aimais le cul, c’est ça ? Tu peux le dire, je ne m’en cache pas. Si tu veux tout savoir, j’ai toujours envie de baiser, mais comme personne ne me touche, je me contente toute seule…
-Aline, que tu te masturbes passe encore, mais au moins, fait le devant lui, ça ravivera peut-être sa libido, qui sait ?
-J’y ai pensé, mais je ne sais pas si je peux faire ça devant lui. Il va me prendre pour une salope…
-Claude, te prendre pour une salope ? Tu t’égares Aline, il est aussi coquin que toi, nous parlons quelques fois…
-Il te raconte ses histoires de cul ?
-Pas ses histoires, mais ce qu’il aime, ce qu’il aurait aimer faire avec toi, etc.
-Je sais, il aurait bien aimé me traîner dans les clubs ou vous sortiez Suzy et toi, mais ce n’est pas mon truc Fred. Me faire baiser devant tout le monde ça me bloque. A la maison, je ne dis pas, mais…
-Répète un peu ce que tu viens de me dire… Tu le ferais à la maison, c’est ça ?
-Oui, je crois que je pourrais. Fred, j’ai toujours aimer faire l’amour, j’étais devenue une grande baiseuse, tu sais. Des partouzes, j’en ai fait des tas…
-Première nouvelle Aline, tu faisais ça où et quand ?
-Un peu avant de rencontrer Claude, quand je bossais. J’avais un copain qui organisait des orgies monumentales chez lui, deux fois par mois. Je me suis même tapée des nanas, pourtant ce n’était pas ma tasse de thé…
-Aline, je tombe des nues…
-On ne se voyait plus Fred, tu avais ta vie. Viens avec moi, je vais te présenter mes amis… Je les cache au cas ou…
-Au cas ou Claude les trouverait ?
-C’est sur qu’il ne comprendrait pas. Regarde comme ils sont mignons…
-Aline, ce n’est pas possible, tu te masturbes avec ces engins ?
-Et je te prie de croire que je prends mon pied…
-Je n’en doute pas… Celui-ci est énorme !
-Attend, tu n’as pas tout vu… Avec celui-là, je…
-Oh non ! Tu dois te défoncer avec un truc de cette taille…
-Maintenant, je me prends des deux cotés en même temps. Celui-ci devant et celui là derrière…
-Je n’y crois pas ! Tu te mets ça dans…
-Oui Fred, dans le cul, et sans lubrifiant en plus ! Tu veux que je te fasse une démonstration ?
-Aline, s’il te plait, je te crois sur parole…
-Rien que de les toucher, je coule comme une fontaine, tu es sur que tu ne veux pas voir ? De toute façon je suis excitée, alors que tu soies là ou non, je vais le faire…
-Aline, je vais partir…
-Fred, je vois bien que tu bandes, tu es autant excité que moi alors reste…
-Non Aline, c’est vrai que je ne suis pas de bois, mais…
-Tu n’es pas obligé de me toucher, tu te branles en me regardant, ça augmentera mon plaisir…
-Justement, je n’ai pas envie de me branler en te regardant…
-Fred, tu es le seul de tous les copains qui ne m’a jamais baisée. Je me souviens que les filles disaient que tu avais une belle queue, j’aimerais bien la voir…
-Pas aujourd’hui Aline, d’ailleurs, je ne suis pas très en forme, j’ai eu une nuit agitée…
-C’est quand tu veux Fred, tu peux même venir avec Suzy…
-Aline !
-Et alors ? Elle n’aimerait pas peut-être ?
-Sûrement que si, enfin je ne sais pas…
-Dis moi, qui est cette superbe créature qui est partie avec elle ce matin ?
-Une amie…
-Une amie ? Elle embrasse ses amies à pleine bouche maintenant ? J’étais en bas quand elles sont sorties Je te signale que la grande lui mettait allégrement la main au cul. Au fait, tu diras à Suzy que sa jupe est trop courte, on lui voit les fesses quand elle se penche, l’autre en a même profité pour lui glisser un doigt dans la raie !
-L’autre c’est Lorna, une Finlandaise qui va habiter chez nous quelques temps…
-Quelqu’un de ta famille ?
-Pas vraiment, je t’expliquerais, c’est assez compliqué…
-C’est une fille splendide en tout cas, je ne l’ai qu’entre aperçue, mais quelle belle plante, et ses cheveux… Suzy et elle ?
-Aline, tu deviens indiscrète…
-Excuse moi, simple curiosité, mais le peu que j’ai pu voir ne laisse pas de doute sur leurs relations. Par hasard, ça ne serait pas la fille que vous avez croisé Claude et toi ?
-Il t’en a parlé ?
-Dans son délire, il m’a dit des trucs incompréhensibles, ça vient juste de me revenir…
-C’est bien elle que nous avons croisé, avec son copain…
-Le copain, il est chez vous aussi ?
-Non, c’est un homo, rien à voir avec elle…
-Elle est lesbienne ?
-Pas que je sache…
-Et elle touche le cul de ta femme sans en être ?
-Aline, nous en reparlerons, je vais les retrouver. Je te laisse te masturber…
-Tu es sur que tu ne veux pas voir, alors casse toi ! Je vais me fourrer mes godes dans tous les trous, si tu m’entends crier, tu sauras pourquoi !
-Bonne bourre Aline, à plus… Si tu t’arranges un peu, nous pourrions peut-être…
-Nous y voilà ! Je vais t’écouter Fred, tu as raison. Je n’ai pas envie de perdre Claude, il veut aller vivre au bungalow ce con. Je ne peux pas vivre sans lui, tu sais…
-Alors fait ce qu’il faut et tout se passera bien !
Je me suis esbigné au moment ou elle dégrafait sa robe, la vue du tablier de sapeur qui lui couvre le pubis m’a presque donné un haut le coeur !
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Chez moi, je me suis retrouvé dans un état bizarre, excité mais sans plus, Aline, avec ses engins du diable, m’a donnée des idées, j’en toucherai deux mots à mon épouse.
Je ne sais toujours pas ou elles sont, il n’y a pas de message sur mon portable et rien sur le répondeur filaire.
Si elles me laissent tomber souvent comme ça, je ne vais pas aimer du tout, en plus, c’est moi qui ai introduit le loup dans la bergerie !
Sur mon bureau est posée une grosse enveloppe à entête de la banque de Suzy, j’y jette un oeil, tout semble en ordre pour Lorna, mon épouse s’est bien occupée de son cas.
Dans le coffre, en plus de ce qu’avait déposé Lorna, je trouve plusieurs liasses de billets de 200 et 500 euros, elle ne manquera pas d’argent.
Claude va arriver, je vais essayer de le choper au passage et lui dire ce que fait sa femme dans son dos, visiblement, il ne le sait pas.
Je tourne un peu en rond, le bureau n’ayant pas besoin de moi, il se pourrait que cette semaine, je reste avec ?’mes’’ femmes.
Le bruit de la porte me fait sursauter, voilà les femmes qui reviennent.
C’est Lorna qui entre la première, un large sourire éclaire son visage, elle me saute au cou.
-Fred, nous avons passé une journée formidable… Ta femme est une merveille !
-Lorna, je connais Suzy…
Suzy entre, les bras chargés de paquets qu’elle laisse tomber sur le canapé, en me donnant un baiser, elle me tend le plus petit.
-Tiens mon chéri, c’est pour toi de la part de Lorna…
L’emballage est au nom d’une grande bijouterie du centre ville, je l’ouvre avec fébrilité, c’est un grosse boite siglée d’un logo que je connais bien, une couronne.
C’est ?’la’’ montre dont je rêvais depuis des lustres, pas le modèle de base, l’oyster gold, je n’en crois pas mes yeux.
Elles me regardent découvrir mon cadeau, j’en ai le souffle coupé au point de ne plus pouvoir prononcer une parole sans bégayer.
-Lorna… Il ne fallait pas…
-Fred, elle ne te plait pas ?
-Je… Si… mais…
-Tu peux la mettre, nous l’avons faite ajuster à la mesure de ton poignet…
En la sortant de sa boite, je tremble comme une feuille, j’apprécie le poids du bijou en la glissant sur mon poignet, je suis comme un gosse a qui on vient d’offrir un nouveau jouet.
Je m’avance vers Lorna pour la remercier et l’embrasser, elle se jette à mon cou et me roule la pelle du siècle !
Un peu décontenancé, je me dégage, Suzy ne marque pas un point de jalousie, au contraire, elle vient se joindre à nous.
-Merci Lorna… Je suis le plus heureux des hommes tu sais, j’en rêvais de cette montre, mais je me serais contenté de celle en acier…
-Monique me l’a dit, et je le comprends. Mais c’est aussi un bijou et puis, je peux le faire, non ?
Je sais ce que coûte cette montre, ayant pu voir le prix sur l’étiquette mal cachée, c’est de la folie !
Elles déballent leurs achats, des vêtements pour la plupart, vu les sacs, elles ont dévalisées les boutiques de luxe.
Lorna nous laisse quelques instant pour aller ranger ses achats, Suzy vient me voir.
-Fred, Lorna est une fille sublime, d’une intelligence remarquable et quelle culture ! Elle a eue son bac à 16 ans, avec mention en plus !
-Elle a fait quoi après le bac ?
-Elle vivait à Paris avec ses parents, c’est son père qui est Finlandais. Reparti en Finlande pour ses affaires, sa mère et elle sont restées en France pour qu’elle termine ses études. Elle a fait tellement de chose que je ne sais plus par où commencer, ce qui est sur c’est qu’elle est agrégée de lettres…
-Ouf !
-Fred, en arrivant j’ai vu Claude…
-Zut, je voulais le voir…
-Il à une drôle de tête, que se passe t’il ?
-Tu n’as pas vue Aline ?
-Quand nous sommes parties ce matin, elle était en bas, mais je ne lui ai pas parlé…
-Donc tu n’as pas vu son oeil. Claude lui a mis un pain, il était bourré hier après midi…
-C’est quand tu as rencontré Lorna et John ?
-Exact. ?a se passe mal entre eux chérie, il faudrait que tu revoies Aline…
-Attend, je voulais l’aider, elle m’a fichue dehors, qu’elle se démerde, ce n’est pas ma vie…
-Suzy, Aline est mon amie depuis toujours, je suis peiné de la voir dans cet état…
-Que puis-je faire pour elle, la faire maigrir ? Je ne suis pas diététicienne. Elle se laisse aller Fred, on dirait qu’elle ne se lave même plus, tu as vu ses cheveux ?
-Je sais, je suis allé lui parler pendant que vous étiez parties. Si tu savais…
-Si je savais quoi ?
-Claude et elle ne se touchent plus depuis des mois, ils font même lit à part…
-Fred, si j’étais comme elle, tu aurais encore envie de me faire l’amour ?
-Je ne te laisserais pas devenir comme elle, c’est certain. Depuis quelques temps Claude va aux putes, ça doit lui coûter un max…
-Et alors, il à de l’argent non ?
-Suzy… Aline est une femme qui aime le sexe, elle m’a fait des confidences…
-Tu ne vas pas me dire qu’elle a un amant…
-Non, pas un, des amants…
-Tu te fiches de moi, qui voudrais baiser un thon pareil, même avec un préservatif à la mayonnaise ?
-Monique, elle s’est achetée des godes…
-Tu m’en diras tant ! Je me disais bien aussi… Je l’ai vue un après midi, il m’avait semblé qu’elle sortait du sex-shop de la rue Furtado…
-Chérie, tu devrais passer un peu de temps avec elle, Claude lui à dit vouloir aller vivre au bungalow…
-Je vais voir ce que je peux faire. Dans l’immédiat, parlons un peu de Lorna…
-Oui chérie, je t’écoute…
-Je ne sais pas combien de temps elle va rester ici, mais il faut que nous soyons vigilants. Cette fille me fait un effet que je ne peux pas analyser, comme je suppose que c’est idem pour toi…
-Exact… Sauf que moi, c’est purement sexuel…
-Tu as mis le doigt dessus. Je suis en train de tomber amoureuse d’elle, alors, s’il te plait, protège moi, protége notre couple, je ne voudrais pas faire une connerie…
-Suzy, je te fais entièrement confiance. Tu ne vas pas me quitter pour aller vivre avec elle quand même ?
-Mais non, rassure toi… Ce que je veux dire, c’est uniquement pour nous mettre à l’abri, notre couple fonctionne bien, nous n’avons pas de problèmes et il n’est pas question de s’en créer, n’est ce pas chéri ?
-Suzy, nous n’avons pas eu d’enfants, si tu fais un transfert, je ne te jetterais pas la pierre, mais tu as raison, je serais vigilant…
-Jure moi que tu ne tomberas pas amoureux d’elle, Fred…
-Chérie ! Tu es la seule femme de ma vie, et tu le resteras. Lorna n’est et ne sera qu’une passade dans notre couple…
-Alors tout est pour le mieux. A la banque, tout s’est bien passé, j’ai tout arrangé. Nous avons fait un virement sur le compte de sa mère qui pourra l’utiliser pour renflouer leurs finances. Tu aurais vu la tête du directeur de l’agence quand nous sommes entrées dans son bureau, il ne regardait que Lorna, et quand je lui ai montré les papiers, ses yeux lui sortaient des orbites !
-Et le type qui voulait la marier, tu crois que c’est un danger ou non ?
-Elle ne risque rien, en dehors de lui avoir piqué un peu de fric, elle n’a fait que récupérer ce qui lui appartient en prenant son passeport. Elle m’a dit vouloir faire venir sa mère en France…
-Et son père ?
-Bizarrement, elle n’en parle pas. Je crois qu’ils ne sont plus ensemble…
-Pourquoi reste t’elle en Finlande Alors ?
-Elle nous racontera ça un jour, soyons patients. Pour le moment, nous allons au resto, va t’habiller mon chéri. Au fait, tu n’as pas été au bureau ?
-Je prends ma semaine, j’y ferais un saut de temps en temps…
-Fred, c’est la première fois depuis longtemps que tu ne parles pas boulot…
-Tu es en vacances, je reste avec vous…
-Nous pourrions peut-être partir un jour ou deux…
-Ou trois, et pourquoi pas la semaine ? Mon nouvel assistant est revenu de stage, il peut se débrouiller sans moi maintenant. S’il y à un problème, j’aviserai. J’ai vu que vous avez pris de l’argent à la banque…
-Je ne voulais pas mais elle a pris 15.000 euros. Elle n’a pas encore assimilé qu’elle est riche…
-?a viendra, n’aie crainte !
-Fred, cet après midi, nous sommes allé ?’chez Prune’’, la boutique de Catherine. Lorna voulait un tailleur mais aucun n’était à sa taille, alors elle s’est rabattue sur une robe. Ne s’étant pas rhabillée, elle se baladait à poil au milieu des portants pour choisir, heureusement qu’il n’y avait personne dans la boutique, mais dehors, ça frisait l’émeute !
-Catherine devait être ravie…
-Tu parles ! Elles sont restées au moins un quart d’heure dans la cabine. Catherine lui a même proposé de défiler pour la présentation de la collection d’été. Au fait chéri, Catherine te souhaite le bonjour, tu vois qu’elle ne t’en veut pas…
-Pourquoi m’en voudrait-elle, parce que nous avons fait l’amour ? C’est elle qui voulait et tu as insisté lourdement pour que je le fasse…
-Fred, tu es le premier homme à l’avoir faite jouir, pour une lesbienne pure et dure, ça lui a foutu un coup…
-Tu sais si elle a recommencé avec un homme ?
-À mon avis non, mais avec elle on ne saura jamais. Par contre, avec Lorna, elle s’est éclatée !
-Dans la cabine d’essayage ?
-Avec Catherine, il faut s’attendre à tout. Du moment qu’elle peut tripoter une femme, cabine ou pas, ça faisait bien fait rire Lorna en tout cas !
-La vendeuse était là ?
-Non, partie faire une course et heureusement, sinon elle lui aurait arraché les yeux ! Tu avais flippé sur elle si je me souviens bien…
-Je ne savais pas qu’elles vivaient ensemble sinon je n’aurais rien dit, mais toi, tu le savais et tu ne m’as pas prévenu…
-Nous serons invités pour le défilé, je crois que nous allons passer un bon moment !
-Que fait Lorna ?
-Laisse la se reposer un peu, nous avons beaucoup marché…
-Vous ne vous êtes pas arrêtée pour boire un coup ni manger ?
-Si, mais vite fait, elle voulait acheter ta montre…
-Comment à t’elle su…
-Ce n’est pas moi qui lui ai dit en tout cas, je crois qu’elle l’a fait d’instinct, elle est incroyable cette fille. Dans une rue piétonne, elle est allée parler avec des musiciens, très bons d’ailleurs, je crois qu’elle leur a donné 100 euros…
-Si elle dilapide ses sous à cette vitesse…
-Rassure toi, elle à la tête sur les épaules. C’est un peu trop neuf pour elle, mais elle va vite se calmer. Au fait, elle voudrait une voiture comme la mienne…
-Neuve ?
-Sûrement…
-Sinon, tu lui donnes la tienne et je t’achète la nouvelle Toyota…
-Fred, tu lui en parleras, c’est plus dans tes cordes. Chéri, touche moi…
-Suzy…
-Touche moi je te dis, met ta main entre mes jambes…
-Qu’est ce qui t’arrive ? Tu es trempée…
-C’est comme ça depuis ce matin, à chaque fois qu’elle passe à côté de moi, si elle me touche les fesses ou les seins, je ne sais plus ou j’en suis, ça me met dans tous mes états…
-C’est vrai que je ne t’ai jamais vu comme ça…
-C’est bien ce qui m’inquiète, je ne me reconnais plus et j’ai envie de faire l’amour en permanence ! Regarde mon clitoris, il n’a jamais été aussi gros…
Elle relève sa jupe et écarte les jambes, avec ses mains elle ouvre son sexe ruisselant, les yeux révulsés, elle touche son bouton turgescent.
-Fred, je vais me masturber… Sort ta queue s’il te plait…
La voir se toucher me met en érection d’un seul coup, je baisse mon pantalon et je me caresse en la regardant faire.
Son orgasme arrive vite, elle jouit en glissant ses doigts à l’intérieur.
-Fred, baise moi…
-Suzy, tu ne peux pas attendre ?
-Non chéri, prend moi, je veux sentir…
Elle ne fini pas sa phrase, un nouvel orgasme lui fait plier les genoux et elle se retrouve les fesses en l’air sur le tapis.
Sa fente luisante baille, la mouille lui coule sur les cuisses, sa main toujours fichée dans sa chatte.
-Prend moi chéri, s’il te plait !
Sans enlever mon pantalon, je me mets à genoux derrière elle et je présente mon gland au dessus de ses doigts, je pousse un peu et je m’enfonce d’un coup.
-Oui chéri, je veux jouir encore…
Depuis l’intermède avec Aline, je suis excité aussi mais je ne vais pas tenir la distance alors je m’active et, sans attendre qu’elle jouisse, je me lâche dans son vagin bouillant.
Bloqué contre ses fesses, je jouis, ses doigts s’agitent encore contre ma queue et elle jouit à son tour.
Nous restons un petit moment sans bouger puis je sors lentement et m’assoie sur le canapé, la queue encore raide.
Elle se tourne vers moi et, sans se lever, vient emboucher ma bite enrobée de cyprine.
Sa langue tourne autour de mon gland, elle aspire pour faire sortir la dernière goutte de sperme.
-Chéri, c’était formidable, tu as vu comme j’ai joui vite… Et toi, tu peux encore ?
-Je suis bien…
-Tu veux m’…
Ses paroles restent en suspend, Lorna est dans l’encadrement de la porte, la jupe relevée, une main entre les cuisses, elle nous regarde faire en se caressant lentement.
Suzy qui ne peut la voir, suit mon regard et se retourne.
-Lorna, tu étais là ma chérie, approche…
Je me retrouve avec deux bouches qui me sucent à tour de rôle, elles se repassent ma queue tout en se donnant des baisers.
Suzy laisse Lorna s’occuper de moi pour me déshabiller, elle enlève mes chaussures et mon pantalon en même temps que mon caleçon.
Lorna est une bonne suceuse, elle enfonce ma queue jusque dan sa gorge, revient au gland puis recommence.
Suzy, passée derrière Lorna, s’occupe de ses fesses, je ne vois pas ce qu’elle fait mais, vu le mouvement de son bras, je suppose qu’elle lui touche la chatte.
-Chérie, s’il te plait, laisse moi la place…
Lorna s’écarte et mon épouse, la jupe relevée, s’assoie sur ma queue en la guidant pour la faire entrer dans son petit trou et se laisse tomber, je me retrouve emmanché dans son cul jusqu’aux couilles.
Les jambes écartées, elle offre sa chatte à Lorna qui n’en demandait pas plus.
-Bouffe moi la chatte ma chérie, Fred vient de décharger dedans, tu vas boire son foutre…
Je n’ai jamais entendu Suzy parler comme ça, l’excitation doit y être pour quelque chose.
C’est moi qui bouge, je la pistonne rapidement, de temps en temps je sens la langue de Lorna qui vient lécher ma queue quand je sors.
L’orgasme de Suzy me surprend, Lorna, la bouche collée contre sa fente, doit lui téter le clitoris, il n’en faut pas plus pour faire jouir ma femme.
Cela n’a pas duré assez longtemps pour que je jouisse, Suzy se lève et dégage ma queue en enjambant Lorna qui se rue sur ma pine.
Elle reprend sa fabuleuse pipe, je n’ai pas eu le temps de voir si ma queue était propre, cela n’a pas l’air de la déranger outre mesure.
Tout en me suçant, elle m’implore du regard, j’opine du chef.
Dans la même position que Suzy, elle s’assoie sur ma queue mais sans la guider, j’entre dans son cul encore plus facilement que dans celui de Suzy.
C’est elle qui monte et descend en écartant bien les jambes qu’elle relève, les pieds posés sur le canapé.
Suzy ne fait plus rien de ses mains mais regarde Lorna se faire enculer.
Elle accélère un peu, sa respiration s’accélère aussi, je sens qu’elle va jouir alors je me laisse aller et je décharge au moment ou son orgasme la prend.
Suzy s’est avancée et lui baise la bouche, puis elle passe sur le côté et me donne un baiser aussi.
Lorna se lève, j’ai le temps de voir que le trou que je viens de quitter se referme doucement.
Elle n’a pas dit un mot mais son sourire en dit long sur le plaisir qu’elle vient de prendre.
Suzy lui prend la main et elles partent vers la salle de bain.
Il me vient à l’idée que si ces séances doivent se renouveler souvent, je vais devoir me faire aider par les petites pilules bleues !