Je m’appelle Anna. J’ai 22 ans, je suis une métisse aux cheveux longs et j’ai une paire de seins assez volumineuse.
Mes relations familiales sont des plus compliquées. Mes parents par exemple n’ont jamais été du genre pudiques, et ceci quel que soit mon âge. Je les ai souvent vu nus, et les ai même souvent entendus copuler, les murs de la maison n’étant pas très épais. Mon père, plus foncé de peau que moi, est le cliché de l’antillais dragueur et infidèle. Ma mère quant à elle, est plus sage et douce que lui. Elle supporte les écarts de son mari pour ne pas briser notre famille.
C’est avec mon frère jumeau Thibaut que j’ai la relation la plus immorale. Plus jeunes, nous dormions souvent nus dans le même lit, et ceci sans aucune gêne, conséquence de notre éducation impudique. Cette proximité se mua au fil des années en tension sexuelle, qui donna lieu quatre ans plus tôt à un premier rapport sexuel incestueux. Je m’en souviens encore. Mon frère s’était collé à moi au cours de la nuit, et j’avais pu sentir son pénis se frotter à mes fesses. Les érections nocturnes étant fréquentes chez les hommes, je ne m’étais pas alarmée. Mais peu à peu, je sentis que ces frottements s’intensifiaient, et je compris alors que mon frère était non seulement réveillé, mais également en pleine tentative de pénétration ! Je me décidais à le laisser faire, le grotesque de la situation m’ayant beaucoup excitée. Il ne fallut pas longtemps à Thibaut pour me pénétrer franchement, et effectuer des va-et-vient à l’intérieur de moi. Nous ne poussions que de petits gémissements, afin de ne pas réveiller nos parents.
Cette première fois dura une bonne demi-heure, au terme de laquelle mon frère se retira et éjacula sur mes jambes. Il ne portait pas de préservatif, c’était donc la décision la plus intelligente.
Nous ne l’avons jamais regretté, bien que nous ne prîmes pas la peine d’en informer nos parents. Aujourd’hui encore, nos rapports sont plutôt fréquents, mais nous privilégions la fellation, plus discrète et rapide. La taille de son engin, c’est-à-dire une vingtaine de centimètres, m’a toujours fasciné. Elle me rappelle à bien des égards celle de notre père, que j’ai souvent vu sans y porter attention. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Je me surprends parfois à rêver du chibre paternel, allant même jusqu’à imaginer que c’est lui qui me pénètre lorsque je me masturbe. J’y pense tant qu’un soir, j’ai dû changer mes draps au beau milieu de la nuit tant je les avais mouillés. C’est lors de cette virée nocturne que je surpris à nouveau mes parents en plein accouplement.
Ma mère, dont les seins sont au moins de taille égale aux miens, est assise à quatre pattes sur le lit conjugal, encaissant sans vergogne les coups de reins que lui inflige mon père. Ils suent tous deux beaucoup, preuve de la passion qui les anime. Ma génitrice est de ces femmes qui crient fort, au risque de réveiller le voisinage. Elle est incapable de retenir ses gémissements, au contraire de moi et mon frère. Je reconnais toutefois que la poutre de mon père ne semble pas tendre avec elle, écartant ses lèvres vaginales avec une force démesurée. Il crie lui aussi, mais des obscénités. Je suis choquée d’entendre les mots "pute", "salope" et "gros cul" sortirent de la bouche de mon géniteur. Malgré tout, il l’aime et le prouve en ce moment-même. Il couche avec d’autres femmes, et nous le savons tous, mais je ne crois pas qu’il en aime une plus que ma mère, d’où la tolérance de celle-ci envers ses infidélités. A la fin de ce spectacle grandiose, il éjacule abondamment dans son vagin et se retire en toute simplicité.
Étonnement, à peine s’est-elle remise de ses émotions, que ma mère décide de quitter la chambre. Je me cache alors sous un porte-manteau, priant pour que l’obscurité de la nuit me camoufle. Elle passe à côté de moi sans me voir, et se dirige vers la salle de bain où elle s’enferme. Quant à mon père, il est allongé sur son lit, le pénis encore fièrement dressé et dégoulinant de sperme et de sueur. Cette vision m’excite au plus haut point, réveillant ma libido. Dans un accès de folie, je me surprends à entrer dans la chambre parentale et à prendre place aux côtés de mon père. Les yeux fermés, il ne remarque pas ma présence, ou du moins soupçonne qu’il s’agit de ma mère. Mon regard s’attarde alors sur sa bite, qui a gardé toute sa vigueur malgré l’éjaculation. Maniaque que je suis, je meurs d’envie de la nettoyer de cette semence qui m’est interdite. Sans trop y réfléchir, je pose mes lèvres sur son gland.
Sentant probablement qu’il ne s’agit pas des lèvres de sa femme, mon père ouvre les yeux et se redresse soudainement. Son regard apeuré croise le mien. Il me demande ce que je fais là, mais je ne lui réponds pas. Je suis comme… hypnotisée. Je ne pense plus qu’à une chose : sucer son pénis. De son côté, sa peur s’estompe et bientôt, son regard se déporte sur ma poitrine. Car oui, je ne l’ai pas précisé, mais je suis nue, comme tous les soirs. Il contemple mon corps juvénile, le même que celui de sa femme, les rides en moins. Je le sens hésitant, incapable de prendre une décision. C’est donc moi qui prends l’initiative de notre rapprochement, en posant ses mains sur ma poitrine. Ses doigts enveloppent mes seins, les malaxent avec tendresse. Je vois dans sa pupille l’émerveillement, il redécouvre la fermeté mammaire que ma mère a depuis bien longtemps perdu. Il ne les quitte pas des yeux, salive devant eux. Il y plonge sa tête, tel un nouveau-né teintant sa génitrice pour la première fois.
Ironique n’est-ce pas ?
Au bout de quelques minutes, j’entreprends de l’allonger sur le lit conjugal. J’ai un projet bien précis en tête : le chevaucher. Prenant place au-dessus de lui, je m’empale lentement mais sûrement sur son pénis toujours aussi ferme. J’ai l’étrange impression qu’on me déchire les entrailles, mais ce n’est pas douloureux, bien au contraire. Un immense plaisir m’envahit, parcourt mon corps à toute vitesse. Aucun homme ne m’a jamais mise dans un tel état. Alors que je rebondis sur cette poutre monumentale qui augmente significativement la largeur de mon trou vaginal, je prends conscience qu’elle est bien plus volumineuse que celle de mon frère. Je suis comblée, au sens propre comme au sens figuré ! Mon père pousse des gémissements, ses cris accompagnant les miens, nous nous fichons alors de nous faire surprendre par ma mère. Ma chatte totalement enroulée autour de son pénis, je ne souhaite le quitter pour rien au monde !
Mais mon géniteur, probablement déjà épuisé par son premier ébat, ne tarde pas à mettre fin à celui-ci. Il me demande de me retirer parce qu’il ne souhaite pas éjaculer en moi. Mais je me fiche de ses paroles, continuant à baiser son manche emprisonné entre mes cuisses. Piégé, il est contraint de déverser son foutre incestueux en moi. Je ressens ce liquide qui m’a donné la vie inonder mon antre, et en entacher les parois. Je pousse un hurlement de plaisir pour exprimer ma satisfaction et me retire une fois son éjaculation terminée. Je suis incapable de prononcer le moindre mot quand je vois des gouttes de sperme couler le long de mes cuisses jusqu’à mes pieds. Je ne sais quoi dire à mon père, que j’ai presque violé. Il est affalé sur son lit, vidé de ses forces, et peut-être rongé par la honte. Ne souhaitant pas briser ce silence neutre, je me décide à partir.
Mon esprit est perdu. Je ne sais quoi penser de ce qui vient de se passer. Si ma relation incestueuse avec mon frère ne m’a jamais dérangé, celle-ci en revanche me parait bien plus immorale. Trahie par mes émotions, j’ai laissé mon père éjaculer en moi. Je vais peut-être tomber enceinte de lui, accoucher d’un enfant illégitime ! Tandis que ces questions me poignardent le cur, je passe devant la chambre de mon frère qui pousse d’étranges gémissements. Je soupçonne fortement qu’il soit (encore) en train de se masturber, et j’entre donc pour vérifier. Et là, à ma grande stupeur, je tombe nez-à-nez avec Thibaut, nu, baisant notre mère sauvagement…