5. Après une semaine, l’après-midi, Stefy fait connaissance avec Madame Jacqueline
J’étais arrivée sans faire de mauvaise rencontre chez la secrétaire de mon Maître. J’allais lui demander la permission de rentrer dans le bureau mais avant que je n’aie pu ouvrir la bouche, elle me dit: c’est ouvert, tu sais ce que tu dois faire, n’est-ce pas? Mais ce n’étais pas vraiment une question, juste une confirmation que j’étais autorisée à entrer. Son tutoiement m’avait aussi choquée mais avec ce que j’avais vécu depuis le début de la matinée, cela ne faisait qu’un point de plus à gérer.
— Ha si, dis-je, vous deviez avoir des instructions pour moi.
— Des instructions me répondit-elle? Je ne voie pas.
— Si, Monsieur m’a dit que vous pourriez répondre à la dernière question que je lui a posée.
— Et qu’elle est cette question ma petite?
— Eh bien ce n’est pas facile à dire Madame.
— Ne fait pas l’idiote, tu sais qui je suis?
— Oui Madame, vous êtes l’assistante particulière de Monsieur.
— Et bien alors tu imagines bien qu’il n’a pas de secret pour moi, non?
— Oui Madame.
— Quel rôle as-tu choisi? Me demanda-t-elle alors.
— Je ne comprends pas Madame que voulez-vous dire?
— C’est ton deuxième rendez-vous, non? Tu as donc choisi le rôle que tu allais jouer. "Escort-girl" de luxe pour accompagner Monsieur dans ses déplacements à l’étranger. "Assistante ménagère" pour aller faire le ménage chez lui un ou deux jours par semaine. Ou bien alors "assistante de bureau" pour m’aider à gérer mes dossier et être là quand il a besoin d’un peu de détente entre deux dossiers stressants? Alors quoi?
— Rien de tout ça Madame.
— Rien de tout ça? Quoi alors?
— Presque tout bas je lui dis alors: chienne Madame.
— Pardon?
— J’étais certaine qu’elle avait bien entendu mais j’ai tout de même répété pour son plaisir: j’ai choisi d’être sa chienne Madame.
— Evidemment. Mais comment voulais-tu que je trouve? Si tu as choisi d’être sa chienne tu ne dois pas me dire: "Monsieur m’a dit que vous pourriez répondre à la dernière question que je lui a posée" mais "Mon Maître m’a dit que vous pourriez répondre à la dernière question que je lui a posée". Pas vrai?
— Si Madame.
— Une chienne… Eh bien tu cache bien ton jeu ma fille, sous tes petits airs BCBG on te donnerait le bon dieu sans confession. Tu es donc une soumise aussi docile que cela! Cela faisait bien longtemps qu’on avait plus eu de chienne, je crois que Monsieur va beaucoup s’amuser. Si tu es aussi intelligente que tu es obéissante, tu va aller loin ma fille. Une chienne … Cela faisait bien cinq ans qu’il n’y en avait plus eu dans ce bureau et pourtant crois-moi, les candidates défilent, et avec la crise on doit même refuser du monde. Une chienne … Ha oui je voie ton beau collier maintenant. J’adore, cela va donner un peu de vie à ce bureau, les chiennes sont les filles les plus intéressantes, dommages qu’il y en ai si peu.
— Bon alors c’est quoi ta question, ma fille?
— Je dois attendre mon Maître dans la position de "Chienne-Soumise", Madame. Mais je ne sais pas à quoi ressemble cette position.
— Moi non plus ma petite. Mais j’ai des petits livrets pour les filles de Monsieur, je suis sur que c’est à ça qu’il devait faire allusion. Attends, parce comme je te l’ai dit, des chiennes, en 25ans, je n’en a pas connu plus de deux ou trois, toi comprise alors ce n’est pas un fichier que je consulte souvent. Va te mettre en place dans le bureau, je l’imprime et je te l’apporte.
Je suis donc finalement rentrée dans le bureau. J’ai plié mes vêtements sur une chaise dans un coin et je me suis mise à quatre pattes sur la table basse. Cambrée, cuisses ouvertes, en talons-aiguilles, bas-autofixants, collier de chienne et laisse pendante entre les bras. Nue pour le reste. Et j’ai commencé à me doigter la chatte pour être bien excitée bien mouillée quand mon Maître rentrerait.
Madame est entrée quelques minutes plus tard et elle m’a dit qu’elle n’avait rien trouvé sur cette position dans le livret des chiennes. Il y avait beaucoup de photos, et de nombreuses instructions que je devrai apprendre par cur très rapidement mais rien sur ce point. Elle a déposé le livret sur mes vêtements, elle a réglé la petite webcam et elle est sortie plusieurs fois pour vérifier sur son PC si le cadrage et le zoom étaient optimaux. Et puis avant de sortir une dernière fois elle m’a dit:
— Tu nous fais quoi là?
Je croyais qu’elle parlais de mes doigts dans ma chatte alors j’ai répondu:
— je dois toujours être en chaleur quand je suis dans ce bureau, Madame. Excitée et mouillée.
— Tu me prends pour une conne? Ça je le sais, je te parle de ta position! Là, tu nous fais la chienne, mais en quoi es-tu plus soumise que n’importe qu’elle fille qui rentre dans ce bureau et qui se met à quatre pattes?
— Je ne sais pas Madame, dites-moi ce que je dois faire alors, s’il vous plait?
— Sois plus humble. Le livret dit que tu devras toujours te déplacer à quatre pattes, évidemment. Mais également qu’en toute circonstance, le sommet de tête devra être plus bas que les genoux de ton Maître. Quand il est debout et toi a quatre pattes, il te suffit de baisser la tête entre les épaules. Quand il s’assied ou se couche, tu dois marcher à quatre pattes sur les coudes ou même ramper à ses pieds. Mais quand, comme ici, tu te trouves sur une table et lui à côté, tu n’a pas d’autre choix que d’être prosternée, la face sur la table! Et pire encore, s’il est encore plus bas que toi, tu te prosterneras en posant tes mains et tes bras au sol mais en laissant tes genoux sur la table, tes cuisses. Compris?
— Oui, Madame.
— Montre.
— je mis donc immédiatement mes mains au sol et puis progressivement mes bras jusqu’à poser mes coudes. En laissant mes genoux sur la tables, j’étais prosternée à l’envers. Madame n’a pas eu le temps d’écarter mes cuisses plus fort jusqu’à ce que mon sexe touché la table ou presque que j’avais pris naturellement cette position, cul tendu vers le haut.
— La Madame m’a dit voilà une position digne d’une " chienne-soumise". Ne bouge plus ma petite et attend ton Maître, cela devrait lui plaire. Mon j’ai du travail et j’ai assez perdu de temps avec toi aujourd’hui. Je crois que j’aurai souvent l’occasion de m’amuser avec toi ces prochains mois …
— J’ai juste eu le réflexe de lui dire " Merci Madame " et elle était sortie.
Ensuite j’ai attendu mon Maître. Et le temps m’a rapidement paru très, très, très long. Je ne sais pas ce qui était le plus insupportable. L’afflux de sang au cerveau, les malaises et le tournis ou tout le poids de mon corps en déséquilibre sur mes bras mais j’ai tenu et vous ne pouvez pas imaginer comme j’étais fière quand il m’a sauvagement claquer un fesse en me disant "tu as un cul sublime ma petite chienne, viens t’appuyer sur mon bureau, penche-toi en avant, je vais te le défoncer jusqu’à ce que tu me supplie d’arrêter.
J’ai voulu courir me mettre en place mais je suis tombée suite à un vertige et j’étais donc bien contente de m’accrocher à son bureau. Il ne m’a pas menti. Il m’a bien déchiré le cul et même une fois entré, il m’a fait très mal et il m’a fait beaucoup pleurer. Mais il a jouis sur mes fesses, m’interdisant de l’essuyer, ce que je n’aurais fais pour rien au monde, j’étais trop fière de moi. Ensuite, il m’a renvoyer hors de son bureau, à ma place en fait, assise à côté de Madame Jacqueline. Qui m’a accueillie avec un petit sourire et qui m’a dit "je te l’avais dit les chiennes s’est les plus intéressantes, il y a longtemps qu’il n’a plus fait crier et pleurer une fille comme toi. Reste debout tant que ce n’est pas sec, et commence à ranger ces dossiers.
J’étais nue, le cul dégoulinant de sperme et je commençais une journée normale de travail dans ma nouvelle vie. J’ai répondu à ma nouvelle chef de service. "Oui Madame"
