Cette belle journée de printemps m’a donné envie de m’aérer et je me suis rendu dans une forêt bien connue de l’Ouest parisien. Laissant mon véhicule sur un parking proche du château, j’empruntais une large allée me permettant de profiter au mieux de la douce chaleur prodiguée par un soleil renaissant.
Je marchais lentement et répondais franchement aux saluts des quelques promeneurs rencontrés. Un homme me rattrapa et, m’ayant salué d’un "bonjour" que je lui rendis cordialement, poursuivi sa ballade à ma hauteur. Nous engageâmes la conversation sur la météo agréable ainsi que d’autres banalités et avons poursuivi notre cheminement ensemble.
D’un âge sensiblement égal au mien, une cinquantaine bien sonnée, sa voix était douce et son physique agréable. C’est ainsi que, tout naturellement, nous avons quitté cette grande allée pour emprunter un sentier un peu plus ombragé, vers les sous bois.
Le cheminement étant moins large, nos corps se sont rapprochés et je sentais parfois le frôlement de son bras contre le mien et aussi celui, plus discret de sa main sur ma cuisse. Ne ressentant aucun recul de ma part, il a pris ma main dans la sienne et nous nous sommes arrêtés, face à face. Notre solitude vérifiée d’un coup d’oeil, nos visages se sont rapprochés pour unir nos lèvres et échanger un baiser et laisser nos mains vérifier l’éveil de nos virilités respectives. J’ai senti sa main sur mon sexe alors que le sien grandissait sous l’effet de ma caresse. L’envie de nous découvrir plus intimement montait en nous. Conscients du manque de discrétion du lieu où nous nous trouvions, nous avons repris notre promenade jusqu’à une petite sente s’enfonçant dans les fourrés proches.
La végétation aidant, quelques pas ont suffi pour ne plus être visibles du chemin et nous nous sommes arrêtés dans une petite clairière.
Presque timidement, nos corps se sont à nouveau rapprochés et nos mains ont commencé leur découverte de l’autre et rechercher la chaleur de sa peau en se glissant sous nos légers vêtements. Nos bouches se sont à nouveau unies et tandis que nos langues luttaient pour la possession de la bouche de l’autre, je sentais ses mains caresser mon dos, la chaleur de sa peau sous les miennes et, nos bassins se trouvant l’un contre l’autre, son sexe raide contre mon ventre.
Nos bouches se sont brièvement quittées pour permettre à nos tee-shirts de s’enlever et nos torses se sont collés l’un à l’autre. Je sentais ses mains tenter de se glisser sous la ceinture de mon pantalon pour atteindre mes fesses.
Nous nous sommes un peu écartés et j’ai aussitôt sa main s’est posée sur mon sexe pour le caresser par dessus mon vêtement. Je dégrafai sa ceinture et baissai son pantalon et son slip pour découvrir et mieux approcher son membre bien tendu. Ses mains habiles ont aussi eu vite fait de me dénuder et offrir ainsi mon sexe raide et mes fesses nues à sa vue et à ses caresses. Nos ventres se sont rejoints et je sentais son sexe chaud palpiter contre le mien, entre nos ventres. Peau contre peau et mains de plus en plus fureteuses, nous avons repris notre baiser fougueux. Sa peau était douce et chaude et je sentais ses mains caresser ma poitrine, en titiller les pointes, se glisser sur mon ventre, caresser mes cuisses et remonter vers mes couilles et mon membre raide, repartir vers mon dos pour me caresser les fesses tout en glissant un doigt dans mon sillon.
Ma bouche a quitté la sienne et est descendue le long de son torse, ma langue a chatouillé ses seins pour en faire raidir les tétons et en me baissant sans plier les genoux, j’ai continué, par petits coups de langue, ma progression vers son ventre. Une de ses mains s’est posée naturellement sur ma tête alors que l’autre glissait sur mon dos. J’ai senti son sexe tendu contre ma joue et mes lèvres se sont posées sur son pubis à la toison courte. J’ai remonté lentement ma bouche vers son gland si tentant tout en goûtant la peau de sa verge de la langue. Une goutte de plaisir perlait à l’entrée de son méat. Cueillie par ma langue, je l’ai senti douce et sucrée. J’ai coiffé son gland de mes lèvres et, tout en le massant de la langue, je l’ai laissé lentement me pénétrer la bouche. Je le sentais palpiter et il me semblait qu’il grossissais plus encore.
La main posée sur mon dos n’était pas inactive et caressait mes fesses mieux offertes de par ma position. Un doigt est venu assez rapidement glisser entre mes fesses et se poser sur mon petit trou pour le forcer doucement. Cette caresse s’est soudain interrompue pour reprendre presque aussitôt. Il avait probablement du mettre de la salive sur sa main car son doigt humide se glissait facilement en moi, rejoint par au moins un autre pour une caresse plus appuyée et plus profonde.
Il m’a relevé de cette posture et nos lèvres se sont à nouveau rejointes laissant nos mains continuer leurs explorations. Me prenant aux épaules, il m’a retourné, s’est placé derrière moi et a commencé à m’embrasser le cou et les épaules tout en me caressant les seins. Son corps contre le mien, je sentais son sexe contre mes fesses, se glissant entre elles. Je me laissais faire et savourais cette douce caresse. Tout en continuant cette caresse, il a pris mes mains et les a guidées pour les poser sur le tronc d’un arbre proche, me faisant me pencher en avant. Son membre glissait maintenant de toute se longueur dans le sillon de mes fesses. Sa langue s’est posée au bas de ma colonne vertébrale, s’est à son tour glissée dans mon sillon et est venue chatouiller mon oeillet frémissant. Ses mains écartant mes fesses lui ont facilité le passage pour lui permettre de tenter de me pénétrer ainsi et de bien me saliver.
Mon accord donné, il s’est relevé, a enfilé un préservatif et, de ses mains, a de nouveau bien écarté mes fesses offrant à sa vue mon petit trou impatient et bien enduit de salive. Son gland s’y est posé et, par petites pressions successives, précautionneusement, en a forcé lentement l’entrée. Une fois le sphincter passé, sa progression a été plus régulière et je l’ai senti au fond de moi, son pubis contre mes fesses. Il est resté dans cette position, bien au fond, un moment pour me permettre de m’habituer à sa présence tout en me pétrissant les fesses. Puis il a commencé un lent et profond mouvement de va-et-vient. Décontracté par sa façon d’agir, je me suis rapidement laissé aller et ai ainsi pu savourer le plaisir dû à ce membre vivant et chaud en moi. Ses mouvements se sont progressivement accélérés puis interrompus.
Sentant sa jouissance venir, il m’a demandé où je préférerais qu’il se laisse aller.
Après ma réponse, il s’est retiré de mon fondement, a ôté son préservatif et je me suis agenouillé devant lui. J’ai commencé à lécher lentement ce membre encore chaud de mon antre rectal et à en chatouiller le gland de la pointe de la langue, cherchant à la glisser dans son méat. Sentant sa jouissance proche, je l’ai repris en bouche pour mieux le sentir palpiter contre mon palais et gonfler encore plus. Je l’ai laissé me pénétrer jusqu’au fond de ma bouche, à l’entrée de la gorge. Massé par ma langue, il n’a pas pu attendre plus longtemps et j’ai senti son jus chaud et légèrement acre envahir ma bouche et couler dans ma gorge. Je le gardai au chaud jusqu’à sentir son érection le quitter et, d’une langue gourmande, je nettoyai soigneusement son membre maintenant dégonflé.
Il m’a aidé à me relever, posé ses lèvres sur les miennes et m’a embrassé goulûment.
Il s’est ensuite baissé et, accroupi devant moi, a pris lentement mon sexe dans sa bouche pour me prodiguer une douce fellation. Mon excitation étant déjà à un point élevé, ma jouissance est vite arrivée et c’est dans sa bouche qu’il a accueilli le jus de mon plaisir. Après m’avoir aussi nettoyé le sexe de la langue, il s’est redressé et m’a embrassé, me faisant ainsi goûter au peu de mon jus encore sur sa langue.
Après encore quelques petites caresses câlines, nous avons retrouvé une tenue correcte pour rejoindre la civilisation. Nous avons ramassé nos quelques déchets, avons rejoint nos véhicules et nous sommes quittés dans l’espoir ne nous rencontrer une autre fois.