Jeudi se passe et à 20h je reçois un sms me demandant dêtre prête à 10h. Sans plus de précision.
Le matin je me lève et arrivé dans la salle de bain, je maperçois que mon rustre de mari ne sest même pas aperçu de mon passage chez lesthéticienne. Je soupire. Peu de temps car jessaie dimaginer ce qui pourrait passer par la tête de mon gendre.
Être prête ? Jimagine ce quil peut imaginer par-là, me laissant libre en même temps.
Petit-déjeuner, douche, un peu de maquillage et je me prépare. Jattends dans le salon, assise sur le canapé, les mains sur les cuisses et me lève en sursaut quand la sonnette retentit. Je ne peux plus reculer.
Jouvre la porte et je vois mon gendre avec un sourire satisfait et une petite lueur dans les yeux qui me fait frémir. Peut-être parce que je lui ouvre la porte uniquement vêtue de lensemble quil ma fait aller chercher après mon épilation mercredi soir
Il entre et me félicite de ce choix. Espéré ajoute-t-il, mais pas évident pour moi. Il a raison. Il me parle ensuite de jeux et men propose un pour commencer. La règle est simple : lun demande à lautre en une phrase courte et lautre réalise, en alternant. Pour commencer.
Je trouve son idée bizarre et il glisse que cest à moi de commencer. Il me prend de court et je murmure pendant quil sapproche de moi : Embrasse-moi..
Il approche son visage du mien. Déconnectée de toute raison, j’entrouvre doucement mes lèvres et les siennes se posent dessus, sa langue rejoins la mienne pour un baiser langoureux. Quelques secondes peut-être mais avec une impression longue. Je sens une érection se former, contre moi et il sen aperçoit.
Il me demande de le caresser. Je m’écarte légèrement et pose ma main sur son entrejambe en la massant comme je peux. Quelques instants se passent ainsi, insatisfaisants pour tous les deux et sans attendre je lui dis : "Enlève ton pantalon".
Avec un sourire victorieux, il défait sa ceinture, et laisse tomber son pantalon par terre.
Une bosse se forme clairement à son entrejambe. Mon gendre a lair dêtre correctement monté si je puis me permettre.
"Descend." Je ferme les yeux, puis je me blottie toute entière contre lui et descend le long de son torse, ventre et je m’arrête à ses cuisses. Je ne vois rien, je profite de cet instant et de ce jeu, incongru au départ mais qui se révèle intéressant. Je sens son sexe, son odeur fauve et sa chaleur. Ça me met dans un état d’excitation quil ne me semble jamais avoir connu jusqualors.
J’avance une main, lentement, et je saisis sa hampe. Je sentais le relief de sa peau, de son sexe dans ma main, je le branle doucement, hypnotisée par mon geste, ma respiration. Je l’entend gémir faiblement.
Jai soudainement envie de plus.
Japproche mon visage de son sexe et je prononce la première chose dont jai envie et qui me vient alors, avec un trouble intérieur évident et dont ma culotte témoigne alors : "Met tes mains sur ma tête …"
Je les sens se poser sur mes cheveux, appuyant un peu pour me faire baisser. Je sens le bout de son gland touchant mes lèvres. Je ressens ma culotte trempée. Jamais je naurai cru ça de lui. Ni de moi surtout en fait.
"Ouvre ta bouche". J’ouvre lentement mes lèvres, laissant son gland à l’entrée de ma bouche sans plus progresser. Jai tellement envie … Je ne résiste pas à passer un petit coup de langue avant d’achever la chose :"Appuie …"
Poussée par ses mains, mes lèvres descendent, lengloutissent progressivement. Sa bite glisse sur ma langue.
Le jeu n’a plus grand intérêt maintenant. Je commence à faire des va et viens avec ma bouche, mes lèvres, enroulant son sexe avec ma langue. Je le sens se contracter à chaque vague de plaisir.
Il donne des petits coups de hanches, pénétrant de plus en plus profondément, s’insérant dans ma gorge. Il me demande de mallonger sur le canapé mais je nen ai pas fini avec lui. Et je sens quil a des idées dans la tête mais je veux avant tout le finir là maintenant.
Je le suce avec plus d’ardeur, envahie par le plaisir de limaginer jouir grâce à moi.
Je marque des pauses pour reprendre ma respiration, en gémissant, avant de gober sa bite à nouveau en y allant le plus profondément possible.
Des spasmes ont commencé à arriver, signifiant qu’il allait jouir sous peu. Je le pompe avec encore plus d’ardeur, tandis que sa main sur ma tête m’empêche de me retirer. Il se met à se cambrer, enfonçant son gland dans ma gorge et avant que je ne puisse réagir, se met à éjaculer.
Je n’avais jamais bu le sperme de mon mari ni de personne dailleurs mais je pris plaisir à sentir le liquide chaud et gluant couler dans ma gorge pour finir dans mon estomac. Je le sens gicler de grandes quantités dans mon bouche. Je ne pensais jamais pouvoir le faire un jour sans dégoût. En fait, je ne lavais jamais imaginé. Je ne me reconnaissais pas.
Lorsque le flot se tari, je me retire, encore sous le choc et le goût du sperme dans la bouche. Sans me laisser récupérer, il me fait me relever et écrase ses lèvres sur les miennes. Sans volonté, je répondis à son baiser, totalement soumise à cet homme plus jeune que moi, sans savoir à quoi mattendre après
Il me caresse les épaules, passant sa main dans mon dos pour me retirer avec dextérité mon soutien-gorge qui tombe au sol, libérant ma poitrine quil empoigne et caresse. Je soupire de plaisir quand il descend sa langue vers mes tétons. Il la glisse dessus, me les lèchent, me titille, envoyant des décharges dans tout mon corps. Ses lèvres se promènent ensuite le long de mon ventre, puis sans l’en empêcher, son visage se pose entre mes cuisses pour commencer à membrasser par-dessus ma culotte, mon tanga devrai-je dire puisque jai découvert cela en ouvrant son cadeau mercredi soir. Je ne connaissais pas. Je sens sa bouche sactiver, ses lèvres en particulier mais également sa langue qui mime de me sucer le clitoris. Étonnée, la sensation nest pas désagréable et me fait même pousser des gémissements de plaisir, peut-être parce que janticipe un peu. Il me fait m’asseoir sur le divan et continue son exploration gourmande.
Il revient exactement où il était, entre mes cuisses. Je pose alors mes mains sur sa tête pour l’encourager. Un de ses doigts se glisse sous lélastique et son autre main me plaque contre le dossier. Il écarte ma culotte pour admirer mon sexe (ma chatte comme il dit et me corrige souvent). Il se penche pour me goûter, en faisant le tour de ma chatte inondée de cyprine, sa bouche fait des ravages. Je me cambre, sous l’emprise d’un plaisir absolu. Il pénètre avec sa langue mon intimité et se colle à mon entrejambe pour aller le plus loin possible, frémissant à l’intérieur de moi.
Mon ventre explose dans un orgasme. J’en ai le souffle coupé, emportée au 7e ciel.
Je crispe mes doigts sur ses cheveux. Tout mon corps se déchaîne de plaisir si soudainement.
Une fois un peu remise, je ne sais pas combien de temps sest passé. Il me demande de me mettre à 4 pattes sur le divan, les jambes légèrement écartées. Il commence à me caresser la chatte et à me la lécher encore par derrière, laissant glisser un doigt. Je suis tellement mouillée et chaude !!! Je commence à tendre mes fesses vers lui tellement ses caresses me font de bien. Je ne me reconnais plus du tout, baignant ainsi dans cette luxure. Et là il commence à me lécher mon petit trou. Je sens que ça va être pour aujourd’hui et que je vais vivre ma première sodomie. Moi qui est toujours refusée, rien que lidée me faisait horreur mais là, dans ce contexte, jai très envie en fait !!!
Je suis à la fois excitée et un peu anxieuse, mais je me dis que ce n’est pas le moment de reculer !!! Il faut que je saute le pas.
Il continue de me lécher et petit à petit à me caresser mon petit trou avec un doigt, qu’il va enfoncer lentement et doucement après lavoir bien humidifié pour être sur de ne pas ma faire trop mal.
Je dois dire que ça me plaît beaucoup, même si cela est un peu bizarre. Il me doigte lentement et commence petit à petit a accélérer le mouvement. Je mouille encore tellement c’est bon. Lorsqu’il sent que je suis assez ouverte et prête, il commence à avancer sa queue vers moi. Il sort un préservatif de son pantalon par terre, linstalle.
Je sens son gland sur mon trou !!!! Il l’enfonce tout doucement. Ça me fait à la fois mal et du bien. Il me demande si je veux continuer et je lui réponds que oui mais qu’il y aille en douceur. J’ai donc son gland en moi mais reste encore à rentrer le reste de sa queue!!!!
Il va le faire tout en douceur. Il rentre et sort son gland lentement et en douceur. Je sens que je suis de plus en plus ouverte, et que bientôt toute sa queue sera en moi. Quest-ce que jose écrire moi avec ses folies Je me dis alors que ça risque d’être un peu douloureux, mais j’ai hâte de la sentir toute entière!!!
Et après avoir pris le temps de s’assurer que j’étais assez ouverte, il enfonce lentement toute sa queue!!! Je la sens qui pénètre mon intimité, que je ne pensais pas offrir un jour à quelqu’un. Mais en fait plus il l’enfonce plus c’est bon !!! Je sens que à lui aussi ça lui plaît, sa queue est vraiment toute dure !!!! Il me tient bien fermement par les hanches et commence un va et vient tout d’abord tout en douceur, mais lorsqu’il voit à quel point cela me plaît, il accélère le mouvement et m’enfonce bien profond sa grosse queue à chaque coup. Je suis vraiment dans un état second. Il est en train de me sodomiser et je me caresse le sexe en même temps. Je sens que je suis sur le point de jouir mais ne veux pas précipiter les choses et faire durer le plaisir. Jamais je naurai cru jouir ainsi. La sensation est différente, tant physique que cérébrale, en tout cas pour moi.
Je sens sa queue si dure et prête a exploser, je lentends qui gémit tellement lui aussi prend son pied. Jen suis très fière javoue. Je continue à me caresser tout en sentant que mon petit trou est totalement ouvert et cette sensation me met dans un état de folie. Il accélère le mouvement une dernière fois, sa queue rentre et sors bien profondément dans mon anus, et là je ne peux plus me retenir, c’est tellement bon que je jouis!!!! M’entendant jouir aussi bruyamment, il lâche tout lui aussi et fini en jouissant dans mon intimité, enfin dans le préservatif.
Je crois que je me souviendrais toujours de ma première sodomie tellement ce fut bien fait et tellement ce fut bon. Et puis durant cette journée-là, que de premières, même si celle-ci est vraiment la meilleure.