Wife Deborah Is Taken By The Boss Ch.
Mon patron fait de ma femme son jouet sexuel Ch. 09
Coulybaca / wifelvrman
Récit Déborah :
Dan vient de m’appeler en m’ordonnant de le rejoindre au bureau après les classes.
C’est la première fois qu’il me contacte depuis l’épisode de l’hôtel.
J’en avais conservé une chatte douloureuse et meurtrie pendant un bon bout de temps.
J’avais été extrêmement humiliée de me retrouver allongée sur un lit jambes grandes écartées, les hommes formant une queue pour me baiser l’un après l’autre.
Ils semblaient adorer me voir pleurer lorsqu’ils plongeaient leurs épaisses bites au fin fond de ma foufoune endolorie.
Je n’étais plus qu’un trou, ou plutôt plusieurs trous dont ils pouvaient abuser à satiété.
Je n’étais plus qu’une poupée gonflable.
— "Baisez-moi… baisez-moi à couilles rabattues! …." m’avait-t-on ordonné de leur dire.
— "J’aime, c’est si bon, baisez-moi encore! …."
Ils riaient de mes cris aigus, je pense qu’ils appréciaient me voir étouffer lorsque leurs bites projetaient des flots de foutre au fin fond de ma gorge! …..
Un à la fois ne leur suffit bientôt plus.
Aussi se mirent-ils à me partouzer en chour, je ne pouvais m’y opposer.
Je dus enfourcher une bite tendue qui se planta dans ma chatte tandis qu’une autre s’enfonçait dans mon trou du cul, et qu’une troisième forçait ma bouche.
Je dus aussi branler énergiquement deux salopards tandis que les trois premiers me prenaient sauvagement par mes trois trous.
Chaque fois que je délaissais leurs bites ils me frappaient sauvagement sur les fesses parfois sur les nichons ou en plein visage.
George voyait à quel point j’étais lasse et meurtrie alors que je m’étais méticuleusement nettoyée avant de retourner au lycée.
Mes traits étaient marqués, heureusement que le maquillage estompait mes cernes, le principal adorait mon apparence, c’est tout ce que je pouvais faire en attendant de me faire culbuter dans son bureau après les cours.
Mon principal est un de mes tourmenteurs réguliers désormais, il me rejoint au moins deux fois par semaine à la maison.
Je dois ensuite téléphoner à Dan pour lui rapporter les détails de ma séance de baise.
George doit me lécher la chatte et bouffer le sperme de mon baiseur tandis que je converse au téléphone avec Dan, et je dois m’assurer qu’il s’acquitte avec soin de sa tâche.
Généralement je jouis à nouveau alors qu’il me broute le gazon tandis que je raconte ma petite affaire à Dan.
Dan adore m’entendre changer de ton lorsque je jouis sous les caresses d’un tiers.
Deux semaines s’étaient écoulées depuis le dernier épisode dans la chambre d’hôtel, et je gagnais maintenant les bureaux de Dan.
Amy son assistante se trouvait avec lui.
Je pensais que je me serai bien passée de sa présence, j’étais sur le point de chialer lorsque je la vis.
— "Hello Déborah… " me salua Amy jovialement "J’ai visionné la vidéo de ta performance dans la chambre d’hôtel! …."
— "Oh mon Dieu, non… Je ne vais pas me mettre à pleurer… Je dois me retenir! ….. Je ne pourrai plus m’arrêter! …."
— "C’était excellent! …" ajouta Amy à l’adresse de Dan "Déborah a l’air d’aimer jouer dans ces films! ….."
Elle entreprit de déboutonner mon corsage, je me tenais debout face à elle et la laissais faire. Je suppose que j’aurai laissé faire n’importe qui. Cette attitude plaisait énormément à Dan.
Maintenant Amy suçait mes nichons, l’un après l’autre.
— "Remonte ta jupe salope! …" m’intima-t-elle brutalement alors que Dan se régalait la vue.
Elle se mit à frotter ma chatte, il me semblait être en transe.
Amy m’embrassait à pleine bouche, enfonçant sa langue dans ma bouche, elle léchait les larmes qui coulaient sur mes joues, elle repoussa mes épaules en arrière.
Je ne sais pas comment cela s’est passé réellement, c’est comme si je me trouvais sur une autre planète.
Et voila que maintenant je lui bouffais la chatte, pénétrant profondément de la langue sa foufoune comme elle me l’ordonnait.
Dan me giflait les joues de sa bite raidie.
Amy s’assit sur une chaise.
J’étais à quatre pattes, je léchais, suçais et langottais profondément sa fentine odorante.
Dan me flagellait le cul de sa bite brandie.
Soudain il enfouit son épaisse mentule dans mon intimité alors que j’enfonçais de plus en plus profondément la langue dans la grotte inondée de cyprine d’Amy.
Elle me tenait par les cheveux alors que son jus coulait avec abondance dans ma bouche.
Dan se vida les couilles dans ma chatte alors que toilettais la chatoune de son assistante.
— "Tiens-toi droite, Déborah," entendis-je soudain Amy m’ordonner.
J’obéissais, elle me tendit une paire de bas à résille et m’intima de les enfiler, puis elle me donna une micro jupe noire puis un petit corsage se boutonnant devant.
Elle me l’enfila sans le boutonner, elle serra juste un lien sous mes nibards, elle compléta ma tenue avec une paire de hauts talons noirs.
— "Impeccable! …" savoura-t-elle.
Dans s’approcha de moi un collier de chien de cuir noir orné d’étoiles en argent à la main.
Il me le mit au cou.
J’avais envie de pleurer! ….
— "Tu auras tout ton temps pour pleurnicher après cette nuit! …" me sourit cruellement Amy.
Dan lui tendit une laisse noire qu’elle accrocha à mon collier avant de me traîner hors du bureau.
Les sifflets et les commentaires les plus salaces saluèrent mon passage, tenue en laisse par Amy, dans les bureaux, la plupart de ces hommes m’avaient vu nue, la plupart m’avaient baisé.
Amy ouvrit la porte de sa voiture, je m’installais sur le siège avant.
— "Remonte ta jupe avant de t’asseoir…" m’intima-t-elle rudement.
— "Ouvre tes cuisses et branle toi pendant la route… " Elle me caressait les nibards et la chatte à chaque arrêt.
Je n’avais aucune idée de l’endroit où l’on se rendait.
Elle se gara devant un élégant bar, elle saisit ma laisse et me fit marcher devant elle.
Nous entrâmes dans le bar, je remarquais qu’il ne s’y trouvait que des femmes. à l’exception de quelques rares hommes très efféminés qui servaient les consommations.
— "Oh non, elle m’avait emmené dans un bar à gouines et me présentait comme son esclave! ….."
Amy prit place à une grande table et me posta à ses cotés. Rapidement plusieurs curieuses nous rejoignirent
— "Tout d’abord les filles, voici Déborah! …" me présenta Amy.
— "Elle est là pour vous donner du bon temps! …."
Les femmes sourirent et hochèrent la tête visiblement ravies.
Amy tira sur ma laisse et me fit agenouiller à coté d’elle.
— "Montre-leur tout ce que tu sais faire! …." m’intima-t-elle en me poussant sous la table.
Je faisais le tour sous la table, elles remontèrent tour à tour leurs jupes, écartèrent les cuisses et me pressèrent la tête sur leur pubis tandis que je leur broutais servilement le minou, leur jus coulait à flots dans ma bouche asservie.
J’avais droit à une lampée d’eau après chaque broutage, mais elles ne me laissèrent pas me relever avant d’avoir sucé les cinq femmes.
Je fus finalement autorisée à m’asseoir à coté d’Amy.
— "N’est ce pas là une bonne salope? …." les interrogea Amy.
Elles opinèrent toutes ensemble. Amy tendit la laisse à la grosse bonne femme qui avait le sexe le plus odorant.
— "Fais-en ta chienne! …." lui dit Amy alors qu’on m’emmenait aux toilettes.
En chemin, la grosse bonne femme fit signe à une jeune fille de nous suivre.
Une fois installées dans les toilettes, la grosse bonne femme me fit prendre place dans un des cabinets, la jeune fille, d’environ 20 ans, s’assit sur le siège et enleva sa petite culotte.
Ma jupe fut relevée et je dus me retourner, j’eus le temps de voir que la grosse femme portait un leurre attaché à une sangle autour de la taille.
Sans aucune pitié, elle l’enfourna à sec dans ma chatte, elle pinçait mes nibards, me tirait les cheveux tout en me tenant un discours extrêmement dégradant m’enjoignant de faire jouir de la langue la jeune fille qui pressait mon visage contre sa foufoune.
Chacune leur tour, les quatre autres femmes en firent de même, je pleurais à chaudes larmes maintenant, rien ne pouvait être pire pensais-je au fin fond de moi-même, j’étais vraiment reconnaissante envers Dan de m’avoir lubrifié auparavant.
J’étais meurtrie de partout, mes genoux étaient en feux, mes nichons rouges et enflés, alors qu’Amy me ramenait à sa voiture.
Elle jouait avec mes charmes tout en conduisant.
Elle s’arrêta dans une rue du quartier le plus crade de la ville.
— "Sors de la voiture! …." m’ordonna-t-elle sèchement.
— "Pourquoi, que dois-je encore faire? …." l’interrogeais-je anxieusement.
— "Ton ticket de retour est fixé à 250 $! …." me prévint-elle hilare.
— "Quel ticket? …"
— "Le ticket qui te permettra de réintégrer dans la voiture pour que je te ramène chez toi! …." m’expliqua Amy suavement
— "Regarde bien ces femmes, et fais comme elles! …."
J’avais remarqué quelques femmes qui semblaient des prostituées arpentant le trottoir non loin de la voiture. Je savais maintenant que je devais les imiter.
— "Regarde bien comment elles s ’y prennent….. Tu dois aller de long en large en essayant d’attirer l’attention des conducteurs qui roulent lentement, demande leur comment elles appâtent leurs clients et fais de ton mieux pour gagner ton ticket de retour, et maintenant dehors, et au boulot! …."
Comme je déambulais le long du trottoir, le vent soufflait sur ma chatte dénudée, ma jupe descendait à peine sous la raie des fesses et mes nibards pendaient mollement au-dessus du lien qui tenait mon corsage.
Une voiture bleue se gara à coté de moi.
Je m’approchais alors que le conducteur descendait sa vitre.
— Une petite douceur? …" lui demandais-je, c’était dur de reprendre mon souffle alors qu’il démarrait.
Le 15 octobre 2007
Traduction en français de Coulybaca,
avec l’autorisation de l’auteur wifelvrman (Literotica)