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Impulsions comateuses – Chapitre 3

Impulsions comateuses - Chapitre 3



Les trois jours suivants, Théo fut exténué par les séances de rééducation qui avaient été renforcées pour lui permettre de rentrer plus tôt chez lui. Les nuits furent aussi difficiles, des admissions à différentes heures de la nuit le réveillèrent.

De plus avec tout ce travail les infirmières ne vinrent pas le voir pour se détendre.

C’est dommage pour elles, je suis sûr qu’elles seraient contentes de se détendre un peu avec moi, se dit-il dans un énième réveil en pleine nuit.

Il s’étira dans le noir et dit :

— Pourtant avec tous ces efforts, je devrais être naze.

Il réfléchit et ses yeux tombèrent sur le chapiteau formé par les draps au-dessus de son entrejambe. Il trouva la solution même si elle ne lui plaisait pas.

— Faut que je me masturbe, pas le choix.

Il prit son biper et appela une infirmière. Carline arriva quelques secondes plus tard.

— Désolé pour le bruit Théo, on a bientôt terminé. Un service de comateux ferme dans une clinique proche si bien que nous en récupérons toutes les nuits.

— Ça va, pas de problème pour ça et puis cela doit être dur aussi pour vous. Je voulais juste savoir si tu pouvais te libérer pour me faire une fellation.

Carline sourit en s’approchant, sa franchise lui plut toujours autant. Elle s’approcha et glissa sa main sous les draps et attrapa le sexe en érection.

— Oh mon pauvre, ça fait combien de temps que tu es comme ça ?

— Depuis que les ambulanciers sont arrivés, tu te rends compte.

Elle hocha la tête en retirant le drap de la verge.

— Ta queue est plus dure que jamais, dit-elle avec l’eau à la bouche.

Elle la caressa et lui fit un bisou dessus.

— Le problème c’est que Noémie est en repos alors je ne peux pas faire ça.

— Pourquoi donc ? demanda-t-il.

— J’ai Jérôme avec moi alors si je m’éclipse il viendra nous voir et là…

Théo fit signe qu’il avait compris.

— Bah, tant pis je vais me masturber.

Carline, la verge toujours à la main, le regarda dans les yeux et dit affolée :

— Je ne peux pas te laisser gâcher ça ! Tu me donnes une minute.

Elle sortit et revint quelques secondes après. En entrant dans la chambre baissa son pantalon et montra son string.

— Tada ! Tu aimes ?

Théo lui fit le plus beau des compliments sa verge se mit à suinter abondamment. Elle finit de se déshabiller pour lui montrer l’ensemble. Il dit juste :

— Tu es superbe.

Elle hocha la tête en s’approchant, jamais elle n’aurait cru qu’un jour quelqu’un lui dirait cela. Et le plus important : elle le crut, malgré son ventre rondouillard, ses hanches un peu trop larges et sa poitrine de taille moyenne. Oui, elle le crut.

— On n’a pas trop de temps, alors on va y aller à fond.

Elle sauta sur le lit et le suça. Elle aspira le pré-sperme avec délice et fit couler beaucoup de salive. Au bout de deux minutes, elle se leva au-dessus de lui. Elle écarta son string dévoilant sa fente aux yeux de Théo. Celle-ci était bien humide, il approcha sa bouche et la lécha doucement.

— Oh mon Théo, c’est trop bon.

Elle le laissa faire encore quelques minutes et le força à s’arrêter.

— On passe aux choses sérieuses.

Elle retira son string et descendit :

— Je ne pourrais pas être plus d’accord avec toi, dit-il la voix rauque.

Ils s’embrassèrent pendant qu’elle rentra la verge dans son sexe humide.

— Ma chatte a vraiment besoin d’une queue comme la tienne.

En position accroupie, elle put l’enfoncer entièrement sans l’aide de Théo.

— Joli, dit-il en voyant les mouvements de hanche de son amante.

— Tu aimes ? Demanda-t-elle entre deux pénétrations.

— Tes mouvements sont géniaux.

— Je les ai piqués à Noémie.

Les mains de Théo caressèrent tout le corps de Carline, il palpa ses formes, son ventre dodu, ses fesses rebondies et ses cuisses charnues. Celle-ci réagit bizarrement aux touchés de Théo. Elle se mit à haleter.

— Qu’est-ce que tu me fais là ? Tes mains sont si douces, je crois que je vais…

Elle augmenta ses coups de hanches. Il continua, ses mains parcourant le corps de l’infirmière.

— …je crois que je vais…qu’est-ce que tu fais ?

— J’explore ton corps ta peau douce et soyeuse tes formes rebondies et fermes. Et enfin tes points sensibles.

Les mains de Théo lui caressèrent la nuque et descendirent le long de son dos en appuyant sur sa colonne vertébrale.

— Oh oui ! Oh oui ! Oh oui.

Les choses prirent une tournure chaotique. Carline se laissa aller et perdit le contrôle. Elle s’enflamma forçant des pénétrations profondes et rapides, elle gémit à voix haute. Théo l’embrassa pour la faire taire. Elle l’agrippa par ses cheveux pour empêcher leur visage de s’éloigner. Une minute passa et ils s’écartèrent, elle dit :

— Je te baise fort là…t’aimes ça, hein ? T’aimes ça !

Théo profita de la vigueur retrouvée dans ses jambes pour pousser lorsque Carline redescendait sur sa verge. Elle ne le supporta pas plus de quelques secondes et jouit bruyamment tout en laissant échapper une bonne quantité de cyprine.

Théo éjacula au même moment libérant lui aussi une bonne quantité de sperme.

— Je la sens vibrer à l’intérieur, tu lâches encore ce qu’il faut mon cochon.

— C’est de ta faute, vu comment tu m’as malmené j’ai tout lâché.

Ils s’allongèrent, Carline faillit s’endormir mais se reprit. Elle se leva, ses jambes tremblèrent sous l’effort qu’elle venait de faire. Son esprit se fit de plus en plus nébuleux, elle remit son string et chuta vers l’avant. Son visage heurta la verge encore dure de Théo.

— Tu as l’air claqué, tu ne veux pas te poser quelques secondes avant de t’habiller.

Elle le regarda, le visage collé à sa verge. Elle fit glisser le sexe poisseux contre son visage.

— Attention tu vas t’en mettre partout.

Elle hocha la tête l’air vicieux.

— Attends, il faut bien le nettoyer ?

Sur ce, elle ouvrit la bouche et le suça.

— Arrête, elle est sensible…si tu fais ça je vais éjaculer dans ta bouche.

Elle eut un sourire gourmand et continua à fond. Il déglutit difficilement et éjacula.

— Humpf !

Elle avala le sperme tout chaud en pressant la verge avec sa main pour avoir jusqu’à la dernière goutte.

— Comme ça je suis à égalité avec Noémie sur les fellations. Et j’ai un coup d’avance sur les pénétrations, elle va être jalouse comme un pou.

Ils se nettoyèrent ensuite rapidement, Théo ne pouvait pas se déplacer tout seul sur une longue distance, longue étant de son lit jusqu’à la salle de bain. Elle l’aida toujours vêtue de ses sous-vêtements.

— Voilà comment toutes les infirmières devraient être habillées pour venir me voir.

Quand il fut dans la salle de bain, elle changea rapidement ses draps et le remit au lit. Puis elle se rhabilla.

Elle se rapprocha de lui et l’embrassa. Il passa ses doigts sous les fesses de l’infirmière et la caressa.

— Arrête sinon ça va couler comme les chutes du Niagara et la culotte de grand-mère est moins séduisante mais elle retient plus facilement les liquides.

Théo rit de la boutade tout en lui palpant les fesses.

— Et désolé je me suis…commença-t-elle.

Elle secoua la tête pour remettre ses idées en ordre.

— …je me suis un peu emballée.

Théo sourit avec un regard plein de désir.

— Ne t’excuse pas c’était génial, j’ai senti la vraie toi.

Il l’embrassa et voulut la faire revenir dans le lit.

— Non non c’est fini, dit-elle.

— Mais tu meurs d’envie d’une sodomie, lui susurra-t-il à l’oreille.

Elle le regarda avec les yeux ronds.

— Mais de quoi tu parles ?

— Tu ne t’es pas contractée quand j’ai glissé mon doigt sur ta pastille.

Elle fit un signe de dénégation.

— Et même maintenant que je joue avec tu ne dis rien.

Elle le remarqua puis se dit qu’elle avait de nouveau très chaud et une envie pressante.

— C’est depuis que tu as vu Noémie ?

Elle s’éloigna avec un sourire mauvais et le pinça.

— Je retourne au boulot, tu as eu plus qu’assez de moi ce soir.

— C’est sûr, je pense que là tu m’as bien eu…

Il ferma les yeux pour revivre l’instant.

— Avec tes coups de hanches et tes baisers ! Wow ! Et dire que je voulais juste une fellation.

— Justement j’ai été surprise que tu ne me demandes pas de fellation plus tôt, dit-elle en faisant la moue.

— Je sais mais je ne voulais pas te déranger en plein rush.

Elle tira la langue de fatigue.

— C’est clair qu’on a souffert avec le vieux Jérôme.

Elle regarda son biper et ne vit aucune alerte.

– Et vu qu’il ne m’a pas appelé il doit-être en train de dormir, finit-elle par dire.

— Je ne voulais pas non plus abuser de ton temps…

Elle lui sourit devant cette marque de gentillesse.

— …alors il y a deux jours j’ai demandé à Annette.

Elle perdit son sourire.

— Pardon ?

— Elle n’a pas voulu !

Carline le regarda avec suspicion sentant que l’histoire était loin d’être terminée.

— Alors elle en a parlé à Fanny, et elle, elle a bien voulu me la faire.

Carline sentit la colère monter et dit :

— Et qu’est-ce qu’a dit Annette quand Fanny est passée à l’action ?

— Elle n’a rien dit, elle a juste regardé en silence. Mais je l’ai sentie courroucée de son choix.

Carline fut béate de ce qu’elle entendait.

— C’est pour ça qu’hier c’est Annette qui me l’a faite, et au réveil en plus.

Il rigola et ajouta :

— C’est assez agréable comme réveille-matin.

Carline le regarda avec une colère pleine et entière :

— Je vois et qui est la meilleure de nous toutes pour monsieur l’ancien comateux qui demande beaucoup de travail buccal à ses infirmières ?

Théo la pointa du doigt et lança d’un ton très sérieux :

— Ah ça je le savais ! Je vois que je ne peux pas te faire confiance. Je te l’avais dit, voilà ce que je redoutais, "des comparaisons".

Elle ouvrit la bouche pour répliquer et partit en grand éclat de rire. Elle s’approcha de lui en se souvenant de ses paroles qu’il avait dites la première fois, et l’embrassa. Après leur baiser elle dit :

— Tu as pensé à rester ici plus longtemps ? Tu pourrais servir d’exutoire sexuel à toute une bande d’infirmières affamées et délurées. Je suis sûre que ça te plairait…

— Tu sais que je ne peux pas, ma famille a aussi besoin de m’avoir à ses côtés. Ils m’ont attendu assez longtemps je pense.

Elle le regarda et lui caressa la bouche.

— Tu as raison, mais je pense que tu vas me manquer.

Les yeux pleins de larmes elle s’éloigna.

— Je ne suis pas encore parti. Demain je serai là et on pourra le faire de nouveau.

— Et Noémie sera là.

— Alors elle viendra regarder ou tu la regarderas et cette fois sans te cacher.

Elle ferma les yeux avec un frisson de plaisir.

— Ça me semble plus que bon.

Le lendemain matin, il se réveilla avec un sentiment de bien-être supérieur. Il ouvrit les yeux et découvrit Fanny en train de lui faire une bonne fellation.

— Alors cette petite pipe matinale te fait du bien, dit Annette au-dessus de lui.

Elle avait son décolleté ouvert et sans soutien-gorge. Il lui suça un téton en écartant le haut.

— Ouh ! T’es un vrai coquin.

Annette commença à avoir chaud et voulut prendre la place de sa collègue. Théo le sentit et prit son menton entre ses doigts et l’embrassa sur la bouche. Elle se laissa faire et apprécia le massage de ses seins en même temps.

Karine avait fait plusieurs visites à l’équipe de nuit ces derniers jours, mais rien ne sortait de l’ordinaire. L’équipe de nuit travaillait dur et ne méritait pas ses soupçons. Ce matin-là, elle passa devant le bureau des infirmières et salua leur chef.

— Salut Caroline, tu vas bien ?

— Bien, tu es là de bon matin, dis donc ? Pourtant j’ai entendu que tu faisais quelques heures de nuit.

— Oui et je n’ai pas vraiment réussi à m’endormir. D’ailleurs j’en ai terminé avec ça.

Elle partit vers son bureau et passa devant la chambre de Théo. Elle continua sa route et s’arrêta car quelque chose l’avait interpellée. Il y avait un panneau toilette du patient sur la porte alors qu’il se lavait tout seul maintenant. Elle rebroussa chemin et ouvrit la porte doucement.

— Ah ! Bonjour Docteur Renaud ! Dit Annette, en retirant les draps du lit. Théo est dans la salle de bain.

— Bonjour Annette ! Dit-elle avec le sourire. Vous l’aidez encore à se laver ?

— Il fait presque tout, tout seul, mais on reste proche quand il se déplace, au cas où, dit Fanny qui avait la tête dans l’armoire et sortait des affaires propres.

— Oui c’est mieux comme ça, dit le docteur.

Karine s’approcha du lit et renifla bruyamment. Une odeur la dérangea.

Annette regarda derrière le docteur et vit Fanny sortir de l’armoire, elle eut coup de sang. Elle fit signe à sa collègue et se gratta le coin de la bouche.

— Un problème docteur ? Demanda Annette focalisant l’attention du docteur sur elle.

Celle-ci la regarda avec la bouche en coin et dit :

— Il y a une odeur dans l’air.

Elle renifla de nouveau.

— J’ai senti la même un soir, c’est un peu écurant.

Fanny posa le linge sur le lit et toucha ses lèvres. Elle sentit une coulée gluante sur le coin de sa bouche, elle la ramena dans sa bouche. Annette lui fit signe que tout était OK.

— Je ne sens pas Docteur, dit la plus jeune des infirmières.

Karine, malgré son métier prenant et son manque "flagrant" d’activité sexuelle, reconnut tout de même cette odeur. Elle se dit que ce n’était pas la première fois qu’elle la sentait, maintenant qu’elle y pensait. Elle observa les infirmières de plus près. Celles-ci ne parurent pas rassurées.

— Annette vous n’avez pas de soutien-gorge ? Demanda soudainement Karine qui vit les tétons ressortir sous le haut d’uniforme.

— Euh… Oh non! J’ai oublié d’en prendre un ce matin pour me changer.

— Pourquoi n’avoir pas gardé celui avec lequel vous êtes venue ?

— Euh… Il est rose et ressortait bien trop sous le blanc.

— Mes dames, je pense qu’il va fall…

La porte de la salle de bain s’ouvrit et Théo sortit à petits pas de la salle de bain, ses béquilles bien en main.

— Bonjour Docteur ! Comment allez-vous ce matin ?

Il était en boxer. Les infirmières encadrèrent Théo qui se dirigeait vers son lit, mais sans l’aider.

— Bien Théo, et toi ?

— Je suis dans une forme olympique.

Les infirmières respirèrent doucement, espérant qu’il n’en dise pas trop.

— Des réveils comme ça, il en faudrait tous les jours.

— Ah oui et des réveils, comment ?

Il s’assit sur son lit et prit le t-shirt que lui avait sorti Fanny.

— En douceur par deux superbes infirmières aux formes aguichantes.

Il passa son t-shirt. Dans le temps, les deux femmes soufflèrent car il n’avait rien dit de compromettant et rougirent sous le compliment.

— Tous les hommes sont pareils, dit Karine. Un uniforme d’infirmière et le tour est joué. Bon je vous laisse.

Il hocha la tête et se concentra pour passer son pantalon. Fanny et Annette sourirent à la remarque du docteur.

— C’est faire un peu d’amalgames quand même ! dit-il avant qu’elle ne soit sortie. Je ne suis pas sûr que toutes les infirmières aient des langues aussi agiles, dit-il d’une voix étouffée par l’effort. On va dire juste celles qui s’occupent de moi.

Il s’aida de ses mains pour passer ses jambes sur le lit. Il leva les yeux et vit les infirmières regarder le Docteur Renaud qui la main sur la clenche s’était figée. Elle se retourna et s’approcha de Théo.

— Des langues agiles ? demanda-t-elle à Théo.

(À merde elle ne va pas me demander qui est la meilleure comme Carline ? Vu comment elle s’est mise en colère à ce moment-là… Mince, ce n’est pas ça, je me souviens ! Je ne devais surtout pas en parler ! Je vais plutôt faire l’idiot.)

— Pardon ?

— Tu viens de dire des langues agiles.

— C’est juste une expression, comme ça.

Il voulut attraper son livre de cours mais elle l’en empêcha.

— Tu sais ce que ça veut dire cette expression.

(Va falloir que je m’achète un cerveau, je n’étais déjà pas bien malin avant mais là ça tend au crétinisme.)

— Euh…Oubliez ça docteur.

— Non tu vas me répondre où je te fais mettre dans un autre service et je te garde jusqu’à la fin de ta convalescente.

(Et voilà ! En colère, me v’là bien. Et Laura qui pleure à chaque fois qu’elle vient parce qu’elle ne me voit pas assez souvent. Aïe aïe aïe.)

— Docteur, dit Annette. Je lui ai fait une fellation.

Fanny se mordit la lèvre devant le courage de sa collègue. Karine sembla ne pas comprendre.

— Pardon ?

— Je lui ai fait une pipe.

Théo hocha la tête et leva les mains hautes vers le ciel d’un air entendu.

— Mais pourquoi ? cria le Docteur.

Annette fut surprise de la question et dit tout simplement :

— Il…me l’a demandée.

— Hein ?

— Il me l’a demandé…gentiment, dit-elle d’une petite voix.

Karine sourit mais il n’y avait rien de chaleureux.

— Donc il vous demande une bonne pipe et vous… vous la lui faites ?

Elle hocha la tête. Fanny ne put retenir ses mots.

— Moi aussi je lui en ai fait une.

Karine se retourna vers l’une de ses plus anciennes collègues.

— Toi aussi ! Mais…mais…

— C’est moi qui lui ai fait la première et après on s’est un peu emballées.

Le docteur n’en revint pas. Elle se sentit transportée dans la quatrième dimension.

— Tu lui as fait sa premi…

Théo leva les yeux de son livre qu’il avait pris pendant les atermoiements de Karine.

— C’est faux !

Elles le regardèrent à l’unisson.

— C’est Carline qui m’a fait la première et on ne peut pas lui enlever ça.

Il fit un mouvement tranchant de la main pour clore le débat sur la première fellation. Il retourna à son livre et ajouta :

— D’ailleurs Fanny tu m’as donné ma troisième fellation et Annette la quatrième. Après j’ai arrêté de comptabiliser.

Karine fut prise d’un vertige devant les informations qu’elle venait de recevoir. Elle se retint à Annette. Les deux infirmières, elles, se regardèrent et se demandèrent qui donc avait fait la seconde.

— Et la deuxième? demanda Annette, sous le regard fou de Karine.

Il secoua la tête, ne voulant pas en dire trop. Il lâcha son livre sur ses jambes et leva les deux mains comme pour se rendre.

— Bon, OK ! C’est Noémie qui m’a fait la deuxième, point.

Il marqua une pose théâtrale et ajouta :

— Et puisqu’on en est là, avant que vous me posiez la question, qui, je sais peut amener…un peu d’animosité, la meilleure de vous quatre fut Noémie. Et ce n’est pas un concours, vous êtes toutes géniales. Pas besoin de s’énerver, c’est comme ça et puis c’est tout.

Il repartit à sa lecture en marmonnant un "Ah, les femmes !".

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