8.
Jones marchait dun pas rapide dans le vaisseau, avec un sentiment de malaise grandissant. Non seulement elle narrêtait pas de faire des cauchemars érotiques, mais en plus son intuition pessimiste saggravait. Et voilà que le Docteur Wenz lappelait car des choses nallaient pas : le résultat des analyses ne collaient pas, et son assistant quil avait envoyé dans la soute avait disparu depuis presque deux jours. De plus, Lhatta, Belinda et Jenny sétaient éveillée et avaient un comportement bizarre.
Enfin Jones arriva à linfirmerie. La porte était verrouillée. Elle passa son badge dans une encoche, à gauche de la porte, et celle-ci souvrit. Jones entra dans linfirmerie, et allait dire quelque chose au Dr Wenz, mais ce quelle vit la laissa sur place, bouche ouverte
Devant elle, sur la table dexamen, Lhatta était couchée, nue, et devant elle il y avait le Dr Wenz, le visage pourpre, nu lui aussi. De son sexe raide, de petite taille mais assez gros, il senfonçait dans la vulve offerte de Lhatta, qui gémissait de plaisir, se caressant les seins. A ses pieds, Belinda et Jenny, qui tout en se masturbant avec de gros objets médicaux, léchaient lanus et les couilles du Dr Wenz. Celui-ci accélérait son va et vient, ahanant des « Petites salopes ! Ah mes petites salopes, vous allez voir ce que vous allez voir ! ». Se sentant proche de léjaculation, il se retira du sexe trempé de Lhatta, et tout en se masturbant guida son sexe vers le visage de la jeune femme. Il lui éjacula sa semence blanche, par saccade, sur la joue, le menton, la bouche. Lhatta lècha ce sperme qui coulait sur ses lèvres et son menton. Puis le docteur Wenz, le sexe de plus en plus mou, alla vers un petit pot de médicament décapuchonné sur une table, et avala une gélule bleue. Après quelque minute, son sexe redevint raide et bandé ! Il revint près des filles, et vit que Jenny léchait le sperme sur le visage de Lhatta, tout en la branlant avec sa main. Il se dirigea donc vers Belinda, lui prit la bouteille de désinfectant avec laquelle elle se masturbait et la retourna avec rudesse. « A ton tour maintenant ! » Ce à quoi elle répondit « Oh oui, punissez-moi docteur, punissez-moi très très fort » tout en balançant sa croupe humide devant le docteur. Il enfonça la petite bouteille trempée dans lanus de Belinda. Elle gloussa de plaisir. Puis il la prit en levrette, sans ménagement. Il senfonçait de plus en plus vite et de plus en plus fort en elle, donnant des claques retentissantes sur ses fesses arrondies.
« Mais enfin, quest-ce qui vous arrive ? Arrêtez ! Je vous ordonne darrêter ! » Cria le Lieutenant Jones. Mais rien ny fit. Elle sapprocha pour secouer vigoureusement le Dr. Wenz, mais celui-ci la repoussa fermement, ahanant « Patience ! Ton tour viendra après ! ». Jenny se colla contre le Lieutenant Jones, son sexe humide caressant la tunique de lofficier, au niveau des fesses, sa main la caressant au niveau des seins. « Laissez-vous aller Lieutenant, venez voir et goûtez comme cest bon » Dit-elle, lui léchant loreille. Mais Jones se dégagea, hurlant « Non ! ». Et elle quitta précipitamment linfirmerie. « Oh non, ça recommence ! Je suis sûre quune de ces saloperies est ici. Le meilleur moyen de savoir comment cest arrivé, cest de retrouver lassistant du Dr. Wenz. Il faut que je descende aux soutes pour essayer de le retrouver ».
Jones fouilla méthodiquement tout le niveau inférieur, sans retrouver trace de lassistant du Dr. Wenz. « Bon, pensa-t-elle, il ne me reste plus que la soute aux déchets, et là si je ne le retrouve pas, jappelle lamirauté et je mets le vaisseau en état dalerte ».
Elle pénétra dans le local de maintenance, où se trouvaient deux ouvriers qui discutaient tout en jouant aux cartes. Reconnaissant luniforme dun officier supérieur, ils se mirent tout deux au garde à vous.
— Repos, messieurs ! fit Jones dun ton autoritaire. Jinspecte ce niveau à la recherche dun membre déquipage porté disparu Rien vu danormal par ici ?
— Rien Lieutenant. Sauf que le mécanisme de la soute à déchets ne fonctionne plus.
— Quoi ? Depuis quand ?
— Presque deux jours
— Presque deux jours ! Mais ça colle avec la disparition de lassistant du docteur. Et vous navez rien fait pour essayer de réparer ?
Les deux ouvriers se regardèrent, un peu gênés.
— On ne comprend pas Lieutenant. Tous les sas donnant accès à la soute aux déchets sont verrouillés de lintérieur. Il ny a quune ouverture possible mais on est trop gros ! On sait pas passer par là !
Tout en parlant, il montra une petite trappe, sur la droite de la porte menant au sas de la soute de déchets. Elle nétait effectivement pas très large. Même Jones aurait du mal à y passer. Pourtant, si elle voulait savoir ce qui se passait, elle devait aller dans cette soute, elle le sentait. Elle sapprocha et examina la trappe. A la hauteur du sol, large dun demi-mètre, pas beaucoup plus haute, Jones ne savait pas y passer tête la première. La trappe donnait sur un conduit, pas très long. Elle sassit donc par terre, prit appuis sur ses mains et engagea ses jambes dans le conduit. Elle avança lentement. Alors que ses jambes y étaient totalement engagées, elle entendit un clac distinct, et elle ne sut plus bouger ses jambes. Dinstinct, paniquée, elle sarqua et entra ses mains dans le conduit, pour sentir ce qui bloquait ses jambes. Ses mains sentirent une barre métallique. Alors que ses mains palpaient la barre un autre déclic se fit entendre, et quelque chose emprisonna les bras de Jones. Elle ne savait plus bouger ! Elle était assise par terre, le visage contre la paroi en fer du vaisseau, ses pieds et ses mains bloqués
— Au secours, cria-t-elle vers les deux ouvriers, je suis coincée, venez maider !
— Mais bien sûr Mamzelle !
Était-ce le ton utilisé par louvrier ? Directement, Jones comprit que quelque chose ne tournait pas rond. Cétait un piège ! Dans les vaisseaux de la Fédération, aucune salle, aucune pièce, aucun sas ne fermait complètement de lintérieur, par mesure de sécurité. Les ouvriers lui avaient menti, pour quelle fonce dans ce conduit, dans ce piège. Et, sans réfléchir, agissant dinstinct, elle y avait plongé, les deux pieds devants !
Elle sentit la présence de louvrier dans son dos. Il agrippa fermement ses épaules. Lautre ouvrier alla ouvrir le sas, entra dans la soute à déchets, et débloqua quelque chose près des pieds de Jones. Louvrier qui la tenait par les épaules la tira alors fermement en arrière. Jones se retrouvait assis au milieu de la pièce, les pieds et les mains coincés dans une sorte de pilori métallique. Les ouvriers la regardaient, un sourire mauvais aux lèvres.
— Mais vous êtes devenus fous ? Cest de la mutinerie ! Relâchez-moi, ou vous le payerez très cher !
— Pas question Lieutenant. Nous devons le faire, nous devons la protéger. Cest plus important que nos propres existences. Et vous, vous voulez la détruire. Depuis que vous lavez vue. Vous avez été très vilaine et vous allez être punie !
Et, un sourire méchant aux lèvres, louvrier approcha de Jones, un couteau à cran darrêt en main. Jones devint blême. Il passa derrière elle. Sa fin allait-elle venir ? Mais au lieu de sentir le froid de la lame sur sa gorge, Jones sentit que lhomme découpait ses vêtements ! Rouge de honte, Jones se retrouva entièrement nue, sauf la partie de son uniforme coincé par le pilori et ses bottes dofficier.
Puis les hommes la soulevèrent, et la portèrent hors de la soute où ils se trouvaient. Ils marchèrent un bon moment, puis déposèrent Jones. Ils ne la déposèrent pas assise, mais sur le dos. Celle-ci sentit le contact froid dune table métallique contre son dos. De ce quelle voyait, elle devait être près du réfectoire du vaisseau. Nue, posée ainsi sur le dos, arqué, avec ses bras et ses jambes qui arrivaient au niveau de son visage, elle devait offrir sa croupe et son sexe aux regards de tous. Et elle ne voyait rien, si ce nest le plafond. De plus, cétait un passage obligé dans le vaisseau, et très fréquenté. Etre exposée ainsi, nue, offerte, quelle honte !
Soudain Jones se crispa. Elle avait sentit quelque chose de tiède et dhumide contre son sexe. Ce contact lélectrisa. La sensation revint. Cétait une langue. Une langue qui lui léchait les lèvres intimes. Qui était-ce ? Un des ouvriers ? Quelquun dautre ? Jones ne le savait pas. Elle ressentait cette langue qui cherchait maintenant son clito, qui fouillait son intimité. Puis qui la pénétra, se délectant de ses sécrétions intimes. Jones rougit du plaisir quelle ressentait. Elle était attachée, offerte, contre son gré mais son sexe souvrait, comme une fleure, devant cette langue fouilleuse et experte. Puis la langue se retira. Jones sentit alors quelque chose de tout aussi tiède et mouillé, mais de beaucoup plus dur contre ses lèvres intimes. Un sexe bandé ! Le gland la pénétra doucement, puis dun coup de rein, toute la verge entra dans le sexe de Jones. Était-ce la même personne qui lavait léchée ? Elle ne le savait pas. Elle ne pouvait rien voir, juste ressentir les sensations. Et ça décuplait son excitation. Elle ressentait ce sexe en elle, qui allait et venait, de plus en plus vite, lui occasionnant des vagues de plaisirs. Elle ne voulait pas, non, elle ne voulait pas aimer ça. Mais ces sensations ces vagues de plaisir, de plus en plus fortes. Elle était proche de lexplosion, mais la verge se retira delle. Puis elle sentit un liquide latteindre, par jets, tièdes, gluants, mouiller ses fesses, et couler le long de ses fesses, vers son dos. Puis de nouveau un gland contre son vagin. Et nouvelle pénétration. Cétait une autre verge, elle le sentait, moins longue, mais plus grosse. Et cette verge là, elle tapait juste sur son point G. Après quelques rapides va-et-vient du gland sur ce point, Jones ne sut retenir un soupir de plaisir lorsquelle explosa. Lhomme explosa peut après en elle, la remplissant de son sperme chaud. Puis vint, un troisième, avec une verge beaucoup plus imposante que les précédents. Sa verge était vraiment très épaisse, Jones la sentit passer doucement son passage intime, et remplir tout son sexe. Lhomme savait si prendre, jouant de son épaisseur, de la vitesse, de la profondeur Là, Jones ne sut retenir ses cris de plaisirs lorsquelle explosa. Elle eut encore un troisième orgasme avant que lhomme néjacule en elle. Il avait vraiment un sperme abondant, Jones le sentit couler de son sexe, et couler le long de son entre-jambe vers son anus.
Au bruit qui commençait à se faire, Jones sut quil devait maintenant y avoir plusieurs hommes. Elle entendit des commentaires grivois, des rires. Puis elle entendit la voix dune femme qui relevait un défi. Et ce fut sans doute elle qui vint lécher le sperme abondant qui coulait du sexe de Jones. Elle lécha le sexe, sa langue faisant des bruits très indécents pour bien ramasser tout le sperme, puis sa langue descendit le long des fesses de Jones. Cette langue fouilla lanus, puis joua à y pousser le sperme dégoulinant sur les fesses de Jones. Quelquun écarta la femme, et Jones sentit une nouvelle bite en elle. Mais celle-là était plus petite, et Jones était tellement mouillée, et son sexe si ouvert, quelle ne lui faisait pas beaucoup de sensation. A lhomme non plus sans doute car il se retira et vint pénétrer lanus de Jones. La surprise lui arracha un cri de douleur. De plus lautre navait même pas pris la peine de se lubrifier lengin ! Mais au fil des minutes lagacement devient plaisant, et la douleur devint plaisir. Son anus se fit à cette queue, et accepta le vas et vient de lhomme dans le rectum, tandis que la femme recommença à lécher le sexe trempé de Jones. Elle léchait bougrement bien en plus ! Jones jouit en même temps que lhomme éjacula dans son cul. Il se retira, et Jones sentit le sperme couler hors de son anus.
Elle sentit des jets tièdes sur ses fesses, ses cuisses, dautres hommes devaient se branler en voyant la scène. Elle entendit aussi une autre femme jouir, elle aussi devait se faire prendre. Peut-être était-ce celle qui lavait léché ? Puis une autre bite sengouffra dans le sexe béant de Jones, tandis quelle aperçut trois hommes arriver près delle, un à sa gauche, un à sa droite, un derrière sa tête. Ils se branlaient en regardant Jones se faire prendre. La cadence de leurs mains sur leurs sexes tendus augmentait au rythme des va-et-vient de la verge dans le sexe de Jones. Puis elle entendit un râle de plaisir, et quelque chose de tiède et de liquide aspergea son front, puis les joues. Le gars derrière elle venait de lui éjaculer dessus, et les deux autres firent de même. Jones avait le sexe ravagé, le visage plein de sperme, et elle ne comptait plus ses orgasmes Un autre homme arriva, sur elle, au niveau de sa poitrine, et elle sentit une nouvelle bite dans son sexe, alors quune autre pénétrait difficilement son anus
Ces sens sagitaient, se mélangeaient elle nétait plus quune sensation de plaisir. Hors delle-même, elle ouvrit même la bouche pour essayer dattraper au vol un autre jet de sperme qui passait au niveau de son visage. Voyant cela, un des hommes sapprocha delle. « Mais tu sembles aimer ça en plus ! ». Il fit un signe, deux hommes soulevèrent Jones, et ils bougèrent la table sur laquelle était Jones, puis la redéposèrent. Elle avait maintenant la tête dans le vide. Lhomme en profita pour mettre son sexe dans la bouche de Jones, tandis quun autre recommençait à lui astiquer lanus. Comme elle ne savait faire quasiment aucun mouvement, lhomme faisait un mouvement de vas et vient, baisant sa bouche, sa grosse queue allant de plus en plus loin dans la bouche de la femme. Jones serrait les lèvres, écartant les dents, pour donner le plus de plaisir à lhomme, et pour bien sentir cette queue passer et repasser ses lèvres, racler son palais. Et lhomme explosa dans sa bouche, Jones avala tout ce sperme chaud. Et en plus, elle le trouva excellent ! Elle entendit quelquun crier « Vas-y, ouvre la bouche ! ». Elle ouvrit bien grand sa bouche. Trois hommes qui se masturbaient sapprochèrent. Jones vit ces trois gros glands rouges approcher de ces lèvres, les mains qui faisaient ce mouvement de va-et-vient puis les trois qui éjaculèrent, visant sa bouche, quasiment en même temps. Jones bu ce quelle pu, le reste coula sur ses lèvres, ses joues Elle sentit encore une bite dans son cul et une autre dans sa chatte et le plaisir qui montait en force, et les éjaculations, le sperme qui remplissait tous ses orifices. Elle entendit encore quelquun crier « Vous avez vu ? Elle est couverte de sperme ! Regardez, elle en a tellement pris quil coule hors de sa chatte et de son cul ! » Rien quà imaginer ses orifices doù coulait le sperme, Jones eut un orgasme mouillé
Et alors que Jones sombrait doucement dans un coma orgasmique, elle était entourée dhomme, sexe tendu, attendant de pouvoir se satisfaire aussi pas de doute, tout léquipage allait lui passer dessus !
Elle était dans un état de semi-conscience lorsquelle reconnut la voix de louvrier. Il tata sa chatte et dit « Elle est bien dilatée, elle est prête maintenant ». Elle sentit quon la transportait de nouveau. De ce quil lui semblait, elle faisait le chemin inverse. On la redescendait vers la soute. Elle reconnut la soute où les ouvriers lavaient piégée. Mais cette fois une grosse porte était ouverte. On lamenait dans la soute aux détritus.
Au lieu de lodeur infecte, et au lieu du tas dimmondices puants, il y avait une sorte de couche dhumus sur le sol, et au milieu, une plante, avec des fleurs pourpres en forme de trompette. Il y avait deux jeunes plantes près delle. Les ouvriers assirent Jones face à la plus grosse plante qui semblait être la plante mère. « Je le savais ! pensa Jones, je lavais senti ! ».
Les ouvriers se reculèrent. Jones entendit une voix, douce, une vois de femme, très sensuelle.
— Vous ne réussirez pas à nous détruire.
— Pourquoi ? Pourquoi faites-vous cela ?
— Cest une question de survie pour nous. Dautant plus que les humains sont fait pour nous, si faible, si esclaves de leurs sensations ! De tous lunivers, vous êtes les créatures les mieux appropriées pour notre survie. Mais nous avons compris une leçon de nos erreurs passées. Nous avons évolué pour ne pas sucer la force vitale des humains jusquà les faires disparaître, ce qui est arrivé avec les créatures de notre planète dorigine. Nous pouvons vivre en symbiose. Grâce à notre télépathie et votre faiblesse, nous vous contrôlons (comme je contrôle certains membres de votre équipage), et vous nous nourrissez et nous vous fournissons du plaisir
— Vous voulez faire de nous des esclaves ! Jamais, jamais ! Plutôt mourir ! Se battre ou mourir !
— Tssss, tsss créature agitée ! Cest pour cela que nous tavons choisie. Pour ta force, ta combativité, et pour tapprendre à te mesurer à nous !
— Me choisir ? Mais pourquoi ?
— Cest toi qui va nous implanter sur ta planète !
— Jamais !
Jones répéta son « jamais », mais la voix ne lui parla plus. Au lieu de cela, une nouvelle tige sortit de son bulbe. Elle avait aussi au bout de sa tige des pétales pourpres, mais beaucoup plus petit que les autres. Par contre son pistil était énorme. Jaune, en forme de pénis, comme les autres, il était néanmoins plus gros, le plus gros que Jones ait vu, et était granuleux. Les ouvriers sapprochèrent à nouveau, retournant Jones, croupe face à la plante, visage contre terre. La tige savança, le pistil en forme de pénis arriva contre le dos de Jones, et descendit lentement. Jones le sentit, doux, plus doux quun pénis humain, et humide. Il sarrêta près de son anus, puis descendit encore et vint frotter la vulve de la jeune femme. Elle cria « Noooooon ! », mais rien ny fit. Le pénis força doucement lentrée et pénétra dans son vagin. Elle sentit ce gland énorme. Heureusement sa mouille abondante et le flot de sperme, ainsi que sa chatte dilatée par les nombreuses bites qui lavaient visitée, aidaient cet énorme pénis à entrer en elle. Une larme coula de ses yeux lorsque le pénis buta sur le fond de son sexe. Il était si gros ! Puis, il commence ses vas et vient en elle. Un autre pénis, de taille plus normale, glissant sur le sol, arriva près de sa bouche. Jones entendit à nouveau la voix. « Suce-le ! Le nectar te rendra linsémination moins douloureuse tu nen ressentiras que le plaisir ! » Au début Jones nen voulut pas ! Mais ce sexe était énorme ! Si gros ! Elle était fatiguée, et son corps se rappelait les nombreux orgasmes quelle venait davoir. Après tout, pourquoi se faire du mal alors quelle pouvait encore avoir du plaisir ? La lutte viendrait plus tard !
Elle ouvrit la bouche, accepta le pénis jaune qui sy glissa. Il était si doux, et tiède ! Elle sentit le nectar qui en suintait. Sa langue fit le tour du gland, ramassant ce nectar, puis elle suça avidement le pénis jaune, qui allait et venait dans sa bouche. Il explosa bien vite, et elle sentit ce liquide sucré, chaud, qui coulait dans sa gorge. Et elle se sentit mieux, euphorique. Lénorme pénis dans son sexe ne la dérangeait plus, elle sy était fait. Elle en ressentait tout le plaisir. Elle sentait les granules de cette queue qui frottaient tous son vagin de lintérieur, et son point G aussi, elle sentait les secousses de son ventre, chaque fois que le gros gland buttait dans le fonds de son sexe. Cétait si bon ! Jones continuait à sucer le pénis jaune, tout en se faisant ramoner par une bite énorme ! Et la plante attendit quelle eut un violent orgasme pour éjaculer en elle. Jones sentit ce liquide très chaud et très abondant envahir son sexe. Lautre pénis éjacula une seconde fois dans sa bouche. Il lui sembla être rempli de cette semence orangée, qui coulait du haut, du bas elle était si bien, quelle ferma doucement les yeux et sombra dans linconscience
Suivant les ordres de la plante, les deux ouvriers libérèrent et soulevèrent délicatement le lieutenant Jones. Ils la portèrent dans les soutes jusquà la partie du vaisseau où se trouvait les capsules dévacuation. Ils déposèrent le lieutenant dans une de ces capsules, encodèrent une direction, fermèrent la porte de la capsule, puis appuyant sur un autre panneau de commande, ils lâchèrent la capsule dans lespace, qui lorsquelle fut assez loin du vaisseau, prit lentement la direction encodée par les ouvriers.
Les deux ouvriers retournèrent vers la plante, qui était mourante. La couche dhumus était trop superficielle pour lui permettre de vivre longtemps, cest pour ça quelle avait donné ses dernières forces pour transmettre la vie de son espèce à la femelle humaine. Ben arriva, lui aussi sous le pouvoir de la plante. Les hommes entendirent cette voix douce et suave. « Merci pour votre aide mes amis. Maintenant il faut effacer toute trace de ce qui est arrivé. Ben, vous qui étiez second sur ce navire vous avez les codes. Faites votre devoir ! »
Ben fit le salut militaire, puis disparut. Il monta jusquà la passerelle de commande. Là, il demanda à léquipage présent de quitter les lieux quelques instants, le temps quil prépare un exercice dun nouveau type. Peu habitué à discuter les ordres, les gens présents obéirent et quittèrent la passerelle de commande. Resté seul, Ben sapprocha du panneau de commande central. Il tapota un code sur ce panneau, et sur sa droite une petite trappe souvrit, et un bouton rouge apparut. Il entra un deuxième code, et un déclic se fit entendre, le système de sécurité du bouton rouge venait dêtre enlevé. Dun doigt qui ne tremblait pas, Ben appuya sur le bouton rouge, qui mit en marche la procédure dautodestruction du vaisseau. Partout les lumières devinrent rouges, et une sirène se fit entendre.
Ceux qui étaient sous le contrôle de la plante continuaient leur orgie, sans se rendre compte de ce qui se passait. Les autres membres de léquipage paniquaient, ne sachant que faire. Un jeune officier se rua sur la passerelle de commande, mais Ben le mis au sol dun uppercut magistral. Et le jeune officier neut pas le temps de se relever. Il y avait juste cinq minutes que Ben avait enfoncé le bouton Dans une gerbe détincelles et de feu, le FPU-Atlas explosa, ne laissant derrière lui que quelques particules fumantes flottant dans lespace.
Seule la petite capsule dévacuation contenant le lieutenant Jones continuait sa route incertaine
Epilogue.
Après avoir contemplé silencieusement les jardins artificiels dOrbital1, lAmiral tapota distraitement la cloison de plexiglas qui illuminait son bureau, et se retourna vers les deux hommes assit de lautre côté dudit bureau. Lun était capitaine et lautre docteur.
— Ainsi donc quand vous êtes arrivé près de XC23, plus de vaisseau ?
— Oui, Amiral. Alors quil était distinctement sur nos radars, le FPU-Atlas a disparu en une seconde. Lorsque nous sommes arrivés sur place, les débris ne laissaient pas place au doute : le vaisseau a explosé. Nous avons juste trouvé la capsule avec lofficier Jones, inanimée, qui venait vers nous.
— A-t-elle repris conscience ?
— Non, fit le médecin. Nous lavons évacué vers la terre pour la soigner.
— Nest-ce pas dangereux ?
— Je ne pense pas, fit le médecin, nos scanners nont trouvé aucune trace de parasitage ou dinfection. Nous en serons un peu plus dans quelques semaines, lorsque le lieutenant Jones aura été examinée sur terre.
LAmiral fit un signe de tête, congédiant ainsi les deux hommes qui étaient venus faire leur rapport de la disparition du FPU-Atlas. Puis il se retourna de nouveau vers la baie en plexiglas, contemplant les jardins artificiels fleuris dOrbital1. Il avait un mauvais pressentiment depuis quil savait la disparition du FPU-Atlas
THE END !