Je vais vous raconter mon histoire qui dure depuis un peu plus d?un an déjà. Je me nomme Valérie, j?ai 23 ans, je suis plutôt petite, 1m57 pour 49kg, châtain clair mais ce qui retient l?attention chez moi, ce sont mes seins car je fais du 95C. Mon mari Eric, lieutenant dans l?armée a été muté l?année dernière dans un DOM-TOM et nous nous sommes plus tout de suite, d?autant que l?entre aide n?est pas un vain mot dans l?armée. Certains de ses collègues sont venus nous accueillir à l?aéroport, accompagnés de la femme du chef de corps. Cette dernière m?a longuement regardé et m?a fait une bise plus qu?appuyée en me souhaitant la bienvenue mais avec la fatigue, je n?y avais pas fait attention…….
Mme C . (c?est son nom) vint me voir presque tous les jours au début, pour m?aider à m?installer et me donner des tuyaux, puis un matin tôt, elle vint alors que j?étais encore en nuisette, je lui proposa un café et alors que j?étais devant ma cafetière, elle se plaqua dans mon dos et glissa ses mains sous mon vêtement et empauma mes seins qu?elle caressa. Je me suis dégagée rapidement en la traitant de tous les noms alors elle me regarda froidement puis me gifla en me disant :
?Doucement ma petite…. Ici c?est moi qui fait la loi… Tu apprendras qu?une carrière peut se faire ou se détruire en un clin d?oeil… Alors quand tu auras réfléchie; appelle-moi!?
Je ne dit rien à mon mari mais la semaine qui suivi, Eric rentra de plus en plus morose ; il me dit que son chef de corps l?avait pris en grippe et que ses notes n?arrêtaient pas de descendre en flèche. Au bout de la 2ème semaine de déception; je me décida à aller voir la femme du colonel, je l?appelai donc et elle me dit de passer la voir le lendemain matin. Elle m?invita à entrer et me proposa un café, et après s?être assises face à face; comme elle ne disait rien, je pris la parole :
?Mon mari n?a rien fait…. Depuis 2 semaines, il déprime par les brimades de votre mari… Je suis sûr que c?est vous qui avez parlé de lui…. Que voulez-vous à la fin ??? ?
Elle me regarda sans rien dire puis se leva et fit glisser sa robe par terre – stupéfaite, je vis qu?elle était entièrement épilée. Elle dit :
?La ferme Valérie! D?abord quand on sera en public, tu m?appelleras Brigitte mais en privé, ce sera Madame, compris? Tout dépend de toi désormais… Ton mari va avoir une carrière formidable ou alors sera toujours relégué dans un second rôle… A toi de choisir….?
La dessus, elle m?attira et m?embrassa ; d?abord réticente, je pensai à Eric et entrouvris ma bouche pour lui faciliter l?accès. Mme C. savait qu?elle avait gagnée… Elle m?emmena dans une chambre où se trouve un énorme lit au milieu de la pièce, fit descendre la fermeture éclair de ma robe et retira celle-ci, après quoi elle me regarda et fit la grimace en voyant mes dessous. Elle me dit qu?elle m?accompagnerait en ville pour aller en acheter de plus convenables puis me retira slip et soutien-gorge ; elle commença alors à me soupeser les seins, puis les téta avidement avant d?en pincer les bouts qui se mirent à durcir. Elle me poussa sur le lit et appuya sur une télécommande, puis commença à me caresser partout, elle m?embrassait, me suçait et je n?aimais pas du tout. Elle écarta mes cuisses et s?occupa de mon minou qu?elle lécha, aspira et branla jusqu?à ce que je commence à gémir. Elle se déchaîna alors et me brouta le clitoris tandis que 2 de ses doigts entraient en moi et s?activaient de plus en plus vite. Malgré moi, je me mis à hurler et essayait de l?arrêter:
?Nooonnnn… S?il vous plait…. Laissez-moi…. Nooonnn… Aaarrrrêêêê^ttezzz….?
Mme C. n?en avait cure, elle continua puis m?embrassa à pleine bouche, après quoi elle me raccompagna jusqu?à sa porte d?entrée, elle me rendit ma robe, en gardant mes sous vêtements. Elle m?embrassa une dernière fois en me disant de revenir le lendemain….
