« Ma femme m’énerve. Elle est tellement parfaite ! En 2 ans de mariage, pas une dispute sérieuse, pas un reproche, rien, et elle s’occupe bien de la maison, hein ! Rien à dire à ça, non plus.
C’est un beau petit lot pas compliqué qui me prépare de bons petits plats. Elle ne me casse pas les pieds quand je regarde la télé ou que je traîne avec des copains. Elle me donnerait même des enfants si j’en voulais, mais j’en veux pas. J’suis encore trop jeune.
Les premiers mois, nous faisions l’amour tous les jours. Elle ne dit jamais non. C’est moi qui ait moins envie. Ce que je veux, c’est tirer cette salope de Véro, sa copine. Une belle garce de 20 ans aux formes appétissantes. Elle m’excite avec ses décolletés déments sans soutien-gorge et ses petites jupes qui remontent jusqu’au ventre, exhibant sa petite culotte quand elle se vautre sur notre canapé sans se préoccuper de ma sensibilité d’homme.
Son sourire me tue. Ses lèvres sont très rouges, ourlées et laissent voir des petites dents blanches. Elle a bien vu l’effet qu’elle me faisait. « Tu vas te crever les yeux à me mater comme ça ! » Qu’elle m’a lancé l’autre jour. Heureusement que Michèle était dans la cuisine à s’expliquer avec le lave-vaisselle. »
Voilà le discours que Fredo m’oblige à écouter depuis une demie heure. Je me contente de hocher la tête. On a fait connaissance lors d’une soirée du club des supporters de l’équipe de football.
Ce mec, c’est tout le contraire de moi, avec ses épaules étroites et ses petits bras. Il doit faire 70 kg tout mouillé. Il est aussi sportif que je suis ballerine mais il a des relations et des bonnes places pour les matchs. Fredo est imbattable sur le nom des joueurs du club. Il connaît même le nombre de buts qu’ils ont marqué ou qu’ils ont encaissé. Il est bavard comme une pie. Il n’arrête pas. Je sais tout sur lui. « L’appartement est à elle. Au moindre faux pas, je me retrouve à la rue avec ma valise. Elle est comme ça, Michèle, gentille et douce mais intransigeante. Elle m’a prévenu. Si tu me trompes, c’est fini entre nous pour toujours, qu’elle m’a dit. »
J’imagine que sa femme est comme toutes les autres, maintenant qu’elle a dégotté un mari, elle se laisse aller sur les confitures et la charcuterie. C’est pour cela qu’il fantasme sur sa copine célibataire.
Pour une fois que notre équipe a gagné, Fred arrose la victoire comme si c’était lui qui avait marqué les buts et reçu le trophée. Moi, je ne bois pas. J’ai un tournois de tennis demain et en plus, je supporte mal l’alcool. J’ai tout de suite mal à la tête. Je l’accompagne avec un jus de fruit rouge comme du vin pour ne pas casser l’ambiance. Tout le monde chante. Les verres succèdent aux verres.
Une heure après, je suis devant la porte de son appart. Je sonne. Mon cur fait un bond dans ma poitrine. La femme qui se trouve devant moi est la plus belle créature que je n’ai jamais vu. Elle a un visage d’ange. La lampe placée derrière dévoile, à son insu, son beau corps à travers le fin tissu de son déshabillé. Ses seins et ses fesses transparaissent. Elle est quasi-nue. J’en ai le souffle coupé.
— Bonjour madame. Excusez moi de vous déranger, mais je vous ramène Fredo. Il a eu un petit coup de mou.
Je lui explique la situation en bafouillant vu que je suis ému comme un puceau devant une fille qui enlève sa culotte. Elle me sourit gentiment.
— C’est gentil de votre part de vous être dérangé. Ça ne vous ennuie pas de le porter jusqu’au lit ?
— Mais non ! C’est par où ?
Elle s’efface en me désignant le chemin de leur chambre. Je dépose son mari sur le lit et me redresse. Elle est juste là, devant moi. Avec ses beaux yeux et son doux sourire. Je me tiens devant elle, ne sachant trop quoi dire, ni quoi faire.
— Quand il est comme ça, rien ne peux le réveiller. Vous voulez boire quelque chose ? Me demande t-elle, avec un petit sourire triste, comme pour s’excuser.
Nos regards se croisent et se fixent. Je ressens une décharge électrique directe dans le cervelas et là, je déraille complètement. Je fais un pas vers elle et la prends dans mes bras. Curieusement, elle ne résiste pas, ne tente pas de s’enfuir. Au contraire, elle se blottit juste contre moi. Je saisis son menton l’obligeant à relever la tête. Sa bouche entrouverte attire la mienne de façon irrésistible. Je l’embrasse. Au début, elle se laissa faire, passive, puis ses lèvres chaudes prennent vie contre les miennes. Ses mains saisissent ma nuque pendant que les miennes glissent sous le négligé jusqu’à ses fesses. Nos souffles se mêlent. Elle tremble de tout son corps.
— Viens ! Sa voix est rauque.
Je me débarrasse de mon pantalon avec mon slip sans la quitter du regard pendant qu’elle passe sa nuisette par-dessus sa tête, dévoilant d’un coup son corps nu. Ses seins aux formes pleines sont magnifiques, son ventre plat et ses cuisses fuselées rendraient jalouses la Vénus de Botticelli. Elle s’est allongée près de son mari et écarte les cuisses sans aucune pudeur. Je suis surpris de voir cette jeune beauté s’offrir avec autant de naturel. Tant pis pour ce con de Fredo !
Elle aussi semble étonnée. Ses yeux fixent mon sexe bandé à la verticale. « Comme tu es fort ! » Me souffle t-elle quand je m’allonge entre ses cuisses, empoignant ses mamelons à pleines mains. Ma bite bute à l’entrée de son vagin trop étroit. Mon désir est trop fort ! Impérieux, mon gland force l’entrée, écartant et comprimant ses chairs intimes, mouillées par l’excitation.
Elle ouvre la bouche, comme si elle manquait d’air. Ses yeux ne quittent pas les miens. Je m’arrête pour laisser son fourreau intime s’adapter aux dimensions de mon sexe. Je me retire lentement, presque entièrement. Son doux visage s’éclaire, comme soulagé. Elle me sourit pour la première fois depuis notre rencontre. Je lui rends son sourire et plonge ma queue tout entière au fond de son ventre. Elle pousse un petit cri et se mord les lèvres. Je ne bouge plus. « Ça va ? » Je lui demande à voix basse, inquiet. Elle ferme les yeux en signe d’assentiment. Je l’embrasse à pleine bouche en lui donnant le premier coup de reins puis la lime lentement et régulièrement par d’amples allers-retours. Elle ferme les yeux, commence à ahaner puis à gémir de plus en plus fort.
Je lui prends les fesses à pleines mains et la bourre bien profond. Son visage rougit et se crispe. Des veines bleues marbrent ses mamelons blancs. Elle se cambre. Son orgasme éclate brusquement. Elle poussa un long cri de gorge et se tord sous moi comme si elle voulait m’échapper. Je ralentis puis suspends mon rut le temps qu’elle reprenne ses esprits. Elle ouvre les yeux et me sourit tendrement. Je reprends ma bourre. Elle a un nouvel orgasme, encore plus fort. Fredo grogne, dérangé dans son sommeil d’ivrogne par les mouvements du sommier et les cris de jouissance de sa femme. Il ne se réveille pas
Elle pleure, gémit, hurle même pendant que je la défonce jusqu’à ce que le plaisir me tétanise. Surpris par l’ampleur de ma propre jouissance, je m’effondre sur la jeune femme, poussant un grognement de bête. Je reste bien au fond de son ventre, laissant mon sperme inondé sa matrice, savourant ces sublimes secondes.
Ayant reprit mes esprits, je bascule sur le côté pour la libérer de mon poids. Elle tourne le dos à son mari qui ronfle bruyamment et vient se blottir contre ma poitrine. Des larmes coulent encore de ses yeux. Elle m’embrasse. « C’était merveilleux. Je ne savais pas qu’on pouvait jouir si fort. C’est la première fois pour moi, tu sais. » Elle m’embrasse les lèvres, puis la poitrine. Sa bouche descend sur mon ventre. Sa petite main saisit mes bourses et les pelote doucement. « Comme elles sont grosses et douces ! » De l’autre, elle caresse tendrement ma verge luisante de foutre, comme si c’était un petit animal. « Tu m’as éclatée la petite chatte, gros filou ! » Elle bécote affectueusement le gland visqueux avant de le gober entre ses lèvres et le sucer. Elle s’excite sur ma queue, poussant de petits gémissements, prenant tout ce qu’elle peut dans sa bouche.
Son mari bouge et murmure des mots incompréhensibles. Elle s’interrompt pour me rassurer une nouvelle fois. « Ne t’occupe pas de lui. » Puis elle reprend ses caresses, frottant sa joue contre ma bite et embrassant mes couilles tant et si bien que je reprend de la vigueur. Cela l’encourage à persévérer dans sa démonstration de tendresse. Elle enserre ma bite dans ses mains. « Mes doigts n’en font pas le tour ! » Constate-t-elle, à la fois étonnée et admirative.
C’est vrai qu’elle a les mains fines.
Satisfaite de l’ampleur et de la force de mon désir, elle s’accroupit au-dessus de mes hanches, empoigne fermement ma bite et l’engage dans son vagin dégoulinant de foutre. Elle ferme les yeux et descend lentement son cul, s’empalant en pesant de tout son poids. Jusqu’à m’absorber entièrement. Elle me baise et ne tarde pas à jouir de nouveau. Elle s’effondre en poussant un grand cri puis ne bouge plus. Je suis si excité que je la retourne et la bourre violemment entre ses cuisses totalement ouvertes, ses chevilles de chaque côté de mes bras, ses genoux relevés aux oreilles. Elle entre en transe et n’arrête plus de jouir, poussant des petits cris saccadés. Un dernier coup de reins et je me répands en elle. C’est encore meilleur que la première fois.
Sa joue contre mon ventre, elle m’avoue qu’elle n’avait jamais trompé son mari avant moi. « Je ne suis pas une salope ! » Je la rassure. « Je sais. » Elle m’embrasse tendrement. « Je m’appelle Michèle. » Ses mains caressent mes muscles du bras et les pectoraux. « Et moi, Jean. »
Une semaine plus tard, un autre soir de match, je retrouve Fredo au bar, une bière dans la main.
— J’en tenais une bonne, l’autre soir, me lance t-il d’entrée. Je ne sais même pas comment j’suis rentré. Ma femme m’a dit qu’elle m’avait trouvé devant la porte.
— Elle a dû faire la tête.
— Un peu mais pas longtemps. Faut bien que l’homme relâche la pression de temps en temps, non ?
Le lendemain après-midi, sachant que Fredo ne rentrait pas avant 6 heures, je décide de passer voir Michèle, espérant qu’elle sera là. Elle a peut-être des remords et regrette ce moment de faiblesse. J’imagine qu’elle s’est persuadée que j’avais abusé d’elle et qu’elle va refusé de m’ouvrir.
Elle m’accueille avec un grand sourire et prend mes fleurs. Dès que la porte est refermée sur moi, elle me saute au cou pour m’embrasser à pleine bouche.
« J’avais si peur de ne pas te revoir. » Elle dénoue la ceinture de mon pantalon, laisse tomber sa robe et sa culotte, jette son soutien-gorge. Sa bouche forme une moue délicieuse. « Fais-moi l’amour ! » Elle m’attire sur le canapé entre ses cuisses ouvertes. Je la caresse, savourant la douceur de sa peau et les formes harmonieuses de son corps.
J’embouche ses tétons durcis par le désir. « Baise-moi tout de suite ! » Gémit-elle. Je la retourne et l’agenouille sur le canapé en lui flattant les fesses. Elle tend son cul et creuse les reins, gémissant d’impatience. J’appuie mon gland sur sa fente puis m’engage dans son vagin. Le fourreau est étroit mais bien lubrifié. Je progresse en douceur, par va et vient de plus en plus profonds. « Défonce moi ! Bourre-moi fort ! » Elle pose sa tête sur ses bras pour me signifier son impatience. Je m’installe bien au fond de sa chatte, regarde son beau cul rond puis commence à la baiser en la tenant par les hanches. Elle jouit rapidement.
Ses gémissements sont étouffés par le coussin du canapé. Je la baise depuis un bon quart d’heure quand la porte s’ouvre. « Fredo ? Déjà ? »
Surpris et inquiet, je suspends mes coups de reins. Ouf ! Ce n’est pas lui. Une jeune femme aux beaux cheveux auburn est entrée sans frapper. Elle est aussi surprise que moi. Elle regarde la scène puis me sourit en plaçant un doigt verticalement sur sa bouche.
Michèle, inconsciente de ce qui se passe, s’impatiente. « Bourre-moi fort ! Vas-y ! » Rassuré, pensant que la ravissante jeune femme va repartir sans demander son reste, je recommence à bourrer le beau cul de Michèle. Mais la jeune femme referme la porte et va tranquillement s’asseoir dans le fauteur en face du canapé.
Elle ne semble pas choquée par la scène et me sourit d’une façon charmante. Elle est habillée d’une jupe courte et d’un corsage léger qui me permet d’apprécier ses formes agréables. Ce doit être la Véro dont Fred me rabat les oreilles. Je n’ai pas l’habitude d’être maté quand je baise. La présence de la jeune femme me gène et m’empêche de jouir. C’est la première fois que je me trouve dans une telle situation. Ses yeux se fixent sur la chatte dilatée de son amie, d’où mon sexe entre et sort. A ma stupeur, elle ouvre les cuisses, écarte le tissus de son slip. Exposant son sexe sans pudeur, elle entreprend de se masturber devant moi.
Excité par son audace provocatrice, je saisis Michèle par les cheveux et l’oblige à se redresser. Elle découvre brutalement la présence de son amie et pousse un cri de surprise en cachant ses seins de ses mains. L’obligeant à rester cambrée en la maintenant fermement, je la bourre à grand coup de reins. Elle gémit. « J’ai si honte.. Si tu savais comme c’est boonnn ! » « Profite, ma chérie ! » Répond simplement Véro, continuant de se caresser. Michèle jouit. Les muscles de son vagin se contractent fortement autour de ma queue. Elle pousse un long râle de plaisir. L’orgasme de Michèle et l’exhibition érotique de Véro, me font craquer. Je jouis à mon tour en m’effondrant sur Michèle.
Véro pousse un long soupir en fermant les yeux. Pendant une minute, je n’entends que le bruit de nos respirations. La jeune femme remet sa culotte, se lève et disparaît dans la cuisine. Elle revient avec trois verres et une bouteille de champagne. « Voilà un événement qui mérite d’être arrosé. » Annonce t’elle d’un ton enjoué. Je m’habille sous les yeux intéressés de Véro pendant que Michèle s’enfuie dans la salle de bain sans dire un mot. « Il y a longtemps que vous vous connaissez ? Cette petite cachottière ne m’a rien dit. » Je souris, amusé par sa mimique enfantine. « C’est tout récent. » Michèle revient enveloppée d’une sortie de bain.
— Je ne sais pas quoi te dire. J’ai tellement honte, lance t-elle à son amie.
— Tu rigoles. Il y a longtemps que je n’ai pas été aussi excitée. J’ai pas pu me retenir.
— J’ai vu. T’as pas honte de faire ça devant nous ? Elle a pris un air outré.
— Tu peux parler, femme infidèle ! Quoique je comprenne que tu ais craqué – son regard se dirige droit vers ma braguette ton ami n’est pas le premier venu. Dit-elle en riant de bon cur.
— Sers-nous à boire, plutôt que de dire des bêtises.
Je vide ma coupe de champagne, appréciant la complicité affectueuse qui règne entre les deux jeunes femmes. Il se fait tard.
— Il faut que je parte.
— Tu as raison, Fredo ne va plus tarder.
— Dommage, j’espère vous revoir bientôt, minaude Véro.
— Eh ! Dis donc, toi !.. Proteste Michèle.
— Mauvaise copine qui ne veux pas partager, dit Véro en riant fort.
J’embrasse Michèle sur les lèvres et Véro sur la joue.
Deux jours après, je revois Fred. Il a une drôle d’histoire à me raconter.
— Cette Véro me rend dingue. Avant hier soir, quand je suis rentré, elle était encore incrustée sur notre canapé. Michèle arrangeait ses fleurs dans un vase. J’ai eu l’impression de déranger. Je suis quand même chez moi, non ? Je m’écroule dans mon fauteuil préféré et profitais de ce que Véro lisait un magasine pour déguster son décolleté et son entrejambe. Elle a tendance à s’asseoir dans des positions pas possible. Elle ouvrait et refermait ses jambes. Mon cur s’arrête une seconde. J’ai rêvé ou quoi ? C’est bien une grosse tâche mouillée que j’apercevais sur le fond de sa culotte
— Sans blague ? Je fais.
— Je t’assure ! Mes yeux allaient de ses nichons à sa culotte. Elle s’est évidemment rendue compte que je la matais mais cela ne semblait pas la déranger. Son impudeur me rendait fou. Michèle nous tournait le dos et ne voyait rien de ce qui se passait. « Je me vais chercher une bière. » Dis-je tout haut. Le sourire ironique de Véro me confirmait que la bosse qui gonflait mon pantalon ne lui avait pas échappé. Je me suis réfugié dans la cuisine pour me calmer et attendre qu’elle s’en aille. Elle ne restait jamais très longtemps à cette heure là. Je les entendis discuter encore un peu, puis la porte se referma. « Elle a un mec, non ? » Je demande à ma femme. « Elle ne m’a rien dit. Pourquoi ? » « Une impression, comme ça. » J’allais pas lui dire que j’avais vu une tache sur sa culotte. Ma femme n’insista pas et se mit à bailler. « Tu m’excuseras si je ne reste pas avec toi pour regarder la télé. Je vais me coucher. »
— Sacré Fredo ! Je lui fais en lui tapant l’épaule.
Le lendemain après-midi, je vais retrouver Michèle. Je suis surpris de trouver Véro dans le fauteuil. Je regarde Michèle d’un air interrogateur car je pensais la trouver seule.
— Tu as bouleversée ma vie. Je ne peux plus vivre comme avant ! Je ne veux pas te perdre. Véro a une idée. Ecoute !..