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Insatiable Diane – Chapitre 1

Insatiable Diane - Chapitre 1



INSATIABLE DIANE

Mon amie, mon amour, mon amante

Depuis que je vis avec Diane, je suis cocu. Bon, bien sûr, il faut relativiser un peu cette affirmation car tout dabord, quand je suis sorti avec elle, je savais quelle avait un mec et quelle sortait plus ou moins avec un autre. Moi, je men foutais pas mal ! Je la considérais alors comme une bonne copine et comme je la trouvais vraiment canon, si elle disait oui, je nallais pas dire non. Nous avions alors 22 et 23 ans et, franchement, je crois que ni pour elle, ni pour moi, nos aventures nengageaient à quoi que ce soit. De fait, à ce moment, je ne peux pas dire que jétais cocu et, je ne vivais pas avec elle non plus.

Comme je disait, Diane était une amie avant tout et pendant environ trois ans, on se voyait épisodiquement, à loccasion de soirées, quelques jours pendant les vacances ou comme ça pour une sortie au musée, cinéma ou au restaurant. Elle avait toujours plus ou moins un copain même si ça changeait souvent mais ça ne marchait jamais vraiment. Il faut dire quils avaient rapidement « du mal à passer sous les portes » comme on dit et quelle ne pouvait pas sempêcher de les tromper. Diane me disait : « La vie est courte et je ne vois pas pourquoi je devrais me retenir quand je vois un beau mec ! Je ne lui demande pas si il bande pour dautres filles ! Franchement, la jalousie, y a rien de pire ! Cest le tue lamour par excellence ! » Moi, bien entendu jacquiesçais ! Je couchais avec elle suffisamment souvent et jétais content dêtre compté parmi les beaux mecs ! Cest un concours de circonstances qui nous a réuni. Elle venait de se faire mettre à la porte par son jules du moment et se retrouvait à la rue. Quand à moi, je venais dhériter de ma grand-mère dun cinq pièces du côté du jardin du Luxembourg. Comme jétais seul, je lui proposais de venir habiter chez moi, un peu comme dans une colocation en partageant uniquement les charges. Elle me dit que ça lintéressait mais quelle voulait réfléchir un jour ou deux avant. Finalement, deux heures après, elle était dans lentrée avec toutes ses affaires. Au début, nous avons fait chambre à part et gardions des vies relativement distinctes. Seulement, nous nous autorisions de coucher ensemble de temps en temps, à lenvie. Généralement, ça nous prenait le soir, après dîner et notre blague favorite cétait « on va chez toi ou on va chez moi ? » Cependant, petit à petit, un sentiment plus fort se fit sentir et nous noccupions finalement plus quune seule chambre. Progressivement on se mit à sappeler par des « Chéri-e » et des « mon amour » ou encore des « mon cur » et des « ma douce ». Il fallait bien reconnaître que même si nous nous en défendions, nous étions en couple. Mais Diane continuait à avoir des amants et men parlait tous les jours. Il lui arrivait aussi de « découcher » une ou deux fois par semaine. Je savais tout delle et de sa vie sexuelle. Je savais qui la draguait, qui lattirait, qui lui avait mis un râteau et qui avait dit oui. Elle me racontait même ce quils avaient fait et où. Il ny avait pas de malice chez Diane. Elle considérait que cétait naturel et que tout le monde avait le droit davoir des envies. Pour elle le sexe était aussi vital que manger, boire, dormir ou respirer. Dans la mesure ou notre relation sétait établie de manière très libre, je ne voyais pas pourquoi cela devait changer et je suivais avec intérêt les témoignages de ses aventures. Vivre avec Diane interdisait toute jalousie et tout sentiment absurde, mais pourtant si courant, de propriété sur la personne aimée. De mon côté, jaurais pu faire la même chose et multiplier les maîtresses et les aventures mais je nen avais pas franchement envie. Jétais bien comme ça avec elle. Je lui étais devenu fidèle, non par obligation, mais simplement comme ça, parce que je me sentais comblé. Parfois, elle me posait la question et je lui disais que non, que jétais comblé avec elle et que je navais besoin de personne dautre quelle. Ça la faisait rire, mais ça la touchait aussi. Elle trouvait que cétait une belle preuve damour. Alors, elle me demandait : « Mais toi, mon pauvre chéri, tu sais que je ne peux pas résister à la tentation dun bel homme, tu nen souffres pas trop ? » et moi je répondait : « Non, ma douce, je tai toujours connue comme ça, je ne vois pas pourquoi tu changerais ou te forcerais à un effort impossible. Reste comme tu es ; je taime comme ça. ». Elle trouvait ça bizarre. Elle disait que tous les mecs précédents avaient soufferts de son comportement et lavaient quittée à cause de ça et que moi je ne paraissais pas affecté par le fait dêtre cocu. Elle disait quon formait quand même un drôle de couple. Pour moi, ça navait pas dimportance ; j’étais décidé à ne jamais la mettre en cage. Je disais : « on sen moque, tant quon est heureux comme ça, quon saime et quon se soutient ; tant quon forme une équipe forte et solidaire, quest ce que ça peut bien faire ? ». Je rajoutais même que jaimais être « fidèle à une femme infidèle ». Cest à cette période, alors que nous avions ce genre de débats, que jai décidé de lui proposer le mariage. Cétait un soir de semaine, Diane mavait appelé pour me dire quelle rentrerait tard (elle le faisait toujours quand elle sortait). Je lai attendue patiemment jusquà une heure assez avancée de la soirée pour lui faire ma demande. Elle a dû rentrer vers onze heures ou minuit et a tout de suite été surprise de me voir car d’habitude j’étais déjà couché. Elle mavoua plus tard quelle avait eu peur que je lui fasse une scène comme les autres. Mais, à peine fut elle là que je lui tendis un petit paquet contenant la bague que je lui avais achetée. Une belle bague en or blanc, avec une émeraude sertie de diamants et que je lui offrais en guise de bague de fiançailles. Quand elle la vu, elle ma regardé avec la tête de la personne qui ne comprenait rien et je lui ai fait ma demande. Elle nen revenait pas ! Elle ma demandé si jétais sérieux sachant quelle rentrait à peine dune soirée « chaude », quelle avait passée avec deux collègues. Elle aurait du mal à me jurer fidélité, que ce soit devant un maire ou un curé. Alors, je lui ai dit quelle navait quà me jurer infidélité, que ça mirait très bien et lui donnais le temps quelle désirait pour réfléchir à ma proposition et me donner sa réponse. Elle ma regardé dans les yeux en souriant, elle a passé la bague à son doigt, puis elle ma embrassée et on a sorti le champagne. Cétait OUI !

Il ne nous restait plus quà organiser la fête, choisir le lieu. Nous avons fixé une date au printemps, profitant du pont du 8 mai pour sassurer de la disponibilité des gens et pour le lieu Diane a proposé de le faire dans son village. Il y avait là un petit manoir qui se louait pour ce type de réception avec, cerise sur le gâteau quelques chambres pour nous loger nous, cest à dire les mariés et quelques amis comme les témoins par exemple. Ma famille étant peu nombreuse, elle pouvait être aisément logée chez les parents, frères, surs, oncles, tantes, cousins et cousines de Diane qui pour la plupart habitaient autour de ce même village.

Cest à cette occasion que jai découvert le pays dorigine de ma chérie et que jai fait la connaissance de sa famille et de ses amis denfance. La première chose quils mont dit cétait quils ne sattendaient pas à ce que Diane se « case » un jour. Sa mère, Ginette, ma demandé si je connaissais bien sa fille, ce à quoi jai répondu oui et expliqué que nous étions amis et confidents depuis plusieurs années. Elle ma dit alors quelle me souhaitait bien du bonheur. Le ton était bizarre et je comprenais quelle connaissait les excès de Diane et les désapprouvait sans aucun doute possible. Diane ma alors pris à part et ma fait cette confidence : « Avant que tu ne lapprennes par quelque personne mal intentionnée (et elle a lancé un regard sévère en direction de sa mère), il faut que tu saches que beaucoup dhommes du pays ont déjà couché avec moi et que tout le monde le sait. Ici, comme ils maiment bien, ils disent que jai du tempérament et, à part ma mère, personne ne me critique vraiment, enfin plus maintenant. Il faut dire que je nai jamais fait de tort à aucune femme. Jai toujours refusée de faire lamour avec un homme marié ou engagé dans une relation. Ceux qui ont essayé de me draguer, je les ai toujours menacé den parler à leur femme ou à leur copine. Généralement, ça les calme ! Du coups, les femmes ne men veulent pas et mon comportement est toléré, voir accepté. Par contre, je me rattrape avec les célibataires et les veufs de tous âges. Mes parents, eux, ont eu beaucoup de mal à accepter car, bien entendu, dans les petits villages, les choses même les plus secrètes se savent à une vitesse hallucinante et arrivent comme par enchantement aux mauvaises oreilles. Après de longues engueulades et discussions pénibles mes parents ont fini par reconnaître que ce nétait pas leurs affaires et mon père a finalement réussi à laccepter mais ma mère a encore du mal à me comprendre et doit se poser des questions sur ce que tu sais vraiment. Je crois quelle a peur que tu te barres en voyant comment je suis et quun nouveau scandale ne la frappe Elle nimagine sans doute pas que tu sais tout et que tu lacceptes. »

Après un petit moment de silence, je lui ai dit que nous trouverions bien une opportunité pour leur dire que son comportement ne me dérangeait pas et que je navais pas lintention ni de la museler ni de la faire changer avec le mariage.

Le soir même, nous avons été chez son oncle Roger qui vivait seul avec ses deux fils Fabien (22 ans) et Bruno (24 ans) depuis le décès accidentel de sa femme, la sur de Ginette, quinze ans au par avant. Loncle Roger avait cinquante-huit ans et navait jamais cherché à se remarier. Sa ferme était située dans un hameau un peu éloigné que nous avons rejoint en vélo par les chemins des tracteurs. En y allant, Diane ma expliqué que chaque fois quelle rentrait chez elle, elle commençait par consacrer une ou deux journées à son oncle et à ses cousins. Elle y passait toujours au moins une nuit. Elle ma alors expliqué que cétait son oncle qui lavait dépucelée et que rapidement, laîné de ses cousins avait aussi profité de ses faveurs. Enfin, depuis six ans, le benjamin sétait joint aux deux autres. Elle ma ensuite expliqué que son oncle navait pas voulu supprimer la tradition de linviter dès son arrivée et quelle ne leur avait pas dit que jacceptais dêtre cocu. Elle se demandait si je supporterais de la voir embrasser et baiser avec un autre homme. Il était vrai que cette situation ne sétait encore jamais produite avant. Je ne savais pas comment jallais réagir. Mais je me suis dit que, tôt ou tard, une fois mariés, jallais être confronté à ça : la voir sortir ou coucher avec un autre Alors je lui ai dit que je ne voulais pas quils changent quoi que ce soit pour moi et que je serais bien être obligé de la voir, un jour ou lautre, niquer devant moi. Il fallait que je my habitue. Elle ma demandé encore une fois si jétais bien sûr de moi. Diane était prévoyante et elle na jamais voulu me blesser. Elle ma dit que son oncle nous avait préparé une chambre pour nous, ce quil ne faisait habituellement jamais pour elle puisquelle dormait généralement avec lui ou avec ses cousins. Elle pensait quils allaient être tous les trois un peu gênés de me rencontrer.

Elle ne sétait pas trompée. Ils étaient bien gênés, ça se voyait. Cependant, ils mont fait bon accueil. Diane et moi étions daccord pour quelle ne change pas ses habitudes. Aussi, à lapéro, alors quils nous posaient des questions sur : « comment on sétait rencontrés », « ce que je faisais dans la vie » et dautres banalités de ce genre, nous avons décidé de tout leur raconter à deux voix. Diane a fait mon éloge en disant que jamais elle aurait cru pouvoir rencontrer un homme aussi sympathique, tolérant et compréhensif que moi. Elle a expliqué comment je la laissais libre de satisfaire son appétit sexuel avec qui elle voulait sans jalousie aucune. Elle a précisé quelle avait quand même changé ses critères de sélection : dorénavant, elle refusait toute relation avec quiconque me manquerait de respect. Jai été très touché de cet aveu. Jai alors rajouté que je connaissais bien Diane et quil me semblait impossible de vivre avec elle en la privant de sa liberté ; ce serait exiger limpossible. Les trois hommes nous ont regardé ahuris quelques instants jusquà ce que Diane leur demande de venir lembrasser « normalement ». Ils se sont levés de leurs fauteuils tous les quatre et elle a échangé, devant moi, des baisés profonds avec chacun deux. Cétait la première fois que jassistait vraiment à ça depuis que nous étions ensemble. Je la regardait faire, interdit, stupéfait. Elle était entourée par ces troois hommes et sa bouche passait de lun à lautre. Elle fini par sattarder avec son oncle alors que ses cousins se reculaient. Roger a glissé une main sous sa jupe et lui a demandé denlever sa culotte. Elle la fait instantanément et me la donnée « pour quelle ne traîne pas par terre ». Elle est retournée dans ses bras, sous les regards envieux de ses deux cousins et de moi même. Ils se caressaient avec frénésie et Diane excitait la bosse quil avait au devant de son pantalon. Comme Roger demanda qui voulait bien arrêter le four pour que le dîner ne brûle pas, je me suis proposé et une fois dans la cuisine, je me suis servi un grand verre deau pour essayer de me rafraîchir les idées. Je me rappelle que mes sentiments étaient confus, mon cur battait à 200 à l’heure, javais besoin de souffler mais javais une trique denfer. Du simple fait davoir vu Diane embrasser son oncle et ses cousins, je bandais comme un âne. Jai pris mon temps, je voulais me calmer. Jai attendu là un bon moment dans lespoir de voir retomber mon excitation mais ça ne faisait quempirer les choses Jai respiré encore un bon coup et je suis retourné au salon doù venait maintenant des bruits et gémissements caractéristiques. Quand je suis rentré dans la pièce, ils étaient tous nus. Roger était un homme costaud avec un corps sec, forgé par les travaux physiques. Il pilonnait Diane avec toute sa puissance. Son sexe était épais et noueux. Diane était à moitié couchée sur le canapé. Son oncle lui tenait les jambes très écartées, bien hautes. Fabien et Bruno les entouraient et elle les prit en main et en bouche. Bruno, laîné avait le sexe le plus modeste. Il était long et fin avec un gland pointu tandis que Fabien semblait tenir davantage du père avec un sexe à la fois grand et épais. Diane semblait prendre beaucoup de plaisir à le sucer et faisait son possible pour lavaler entièrement. Jai été surpris de voir quelle pouvait faire rentrer cette colonne de chair entièrement dans sa bouche et sa gorge. Roger accélérait la cadence. Il beuglait comme un taureau, traitant sa nièce de « Catin » et de « Salope ». Diane a finalement arrêté ses fellations, elle tenait les deux jeunes bites dans ses mains et gémissait, criait. De toute évidence, Tonton lenvoyait au septième ciel ! Jétais stupéfait. Mon sexe était tendu à éclater. Après avoir longuement éjaculé, Roger a laissé une place bien chaude et bien crémeuse.

Diane a demandé à Fabien de sallonger sur le canapé et sest empalée sur lui. Jassistais à la scène, assis dans un fauteuil. Javait une vue imprenable sur la pénétration. Je métais déshabillé et me branlais doucement. Le spectacle était impressionnant. Jamais je navais encore vu Diane comme ça. Elle semblait littéralement possédée. Roger ma conseillé de garder mes forces pour ma fiancée dès quelle serait libre et sen est allé nu vers la cuisine pour finir de préparer le repas. Je suis retourné au spectacle qui se déroulait sur le canapé. La bite de Fabien glissait dans le conduit déjà bien lubrifié de Diane tandis que Bruno récupérait de la mouille autour de sa chatte pour humidifier sa rondelle. Puis après lavoir bien préparée, il guida son aiguillon vers la rosette de ma chérie qui sous mes yeux ahuris recevait le double hommage de ses cousins. Diane hurlait et les deux frères gémissaient de plus en plus fort. Il la traitait de salope, de pute ou encore de chienne et de sac à foutre. Elle hurlait et disait quelle était leur pute et leur vide couilles. Elle semblait jouir en continue sous les coups de cette double pénétration. Mon sexe était dur et rouge, tendu à me faire mal, mon gland dégoulinait de liquide séminal ; j’étais au bord de lexplosion pourtant javais arrêté de me toucher. Ils se sont mis à crier leur jouissance tous les trois et se sont écroulé. Diane restait allongée en sandwich entre ses cousins les deux bites encore fichées en elle. Elle ma demandé si ça allait et ma demandé dapprocher. Je lui ai dit que je n’allais pas tenir longtemps. Mon sexe était déjà animé de secousses. Je savais que je nallais pas avoir la force de la baiser maintenant alors jai plongé ma bite dans sa bouche et jai éjaculé instantanément et abondamment en lui maintenant la tête. Puis lenchevêtrement de corps sest défait et jai embrassé Diane qui navait pas encore avalé ce que javais mis dans sa bouche. Alors nous avons échangé ma semence dans un baiser langoureux et, pour la première fois de ma vie jai avalé du sperme. Ensuite, jai parcouru son corps de baisers. Doucement, je suis descendu vers son entrecuisse. Alors, jai léché sa chatte, ma langue recueillait les spermes mélangés de son oncle et de son cousin Fabien et javalais cette mixture comme un nectar. La situation était si perverse que mon excitation renaissait. Diane, en relevant son cul et en maintenant ses cuisses avec ses mains sous les genoux, ma demandé de ne rien oublier. Alors, jai également nettoyé son anus puis, ny tenant plus, je me suis redressé et je lai pénétrée. Jamais au par avant, je navait rebandé aussi vite. Je me suis enfoncé lentement et amoureusement. Nous nous sommes embrassés tendrement sous les yeux de nos hôtes. Nous étions dans la position classique du missionnaire et nous avons jouis ensemble relativement rapidement. Cest Roger qui nous a rappelé à la réalité en nous invitant à passer à table.

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