Ramenée chez moi, je mempressais de prendre une douche. Avec une crème apaisante, je soulageais les brûlures dues aux multiples enculages que javais dû supporter. Mon mari rentra tard et il me trouva pimpante dans le salon de notre appartement. Cependant, il ne compris pas quand je trouvais une excuse bidon (jai mal à la tête !!) pour quil ne me fasse pas lamourJe me demande encore pourquoi je ne lui ai rien dit de notre mésaventureJétais très troublée par ce quil venait de marriver. Maman et moi avions été contraintes bien sûr mais nous avions également eu des orgasmesune jouissance que je navais jamais ressentie jusque làEpuisée, je me couchais de bonne heure et dormis dune traite jusquau matin.
En arrivant au lycée, une petite appréhension métreignait la poitrine. Javais longuement hésité devant ma penderie le matin, me demandant comment je devais mhabiller. Je me souvenais des ordres de Mohamed qui mavait demandé dêtre sexyRefusant dabdiquer si facilement, je mhabillai dune jupe à carreaux sarrêtant juste au-dessus du genou, un haut blanc, des bas noirs et des escarpins à talons plats.
Je traversais les couloirs me rendant dans ma salle de classe quand je tombais sur Mohamed et Rachid. Je blêmis en les voyants. Mohamed sapprocha de moi :
— Comment tes sapée !!! Tu te fous de ma gueule : on avait dis sexy ! Tas mis une culotte, je parie ?
— Je vous préviens que je vais porter plainte si vous continuer à me harceler ! Lançais-je dune voix que je voulais autoritaire.
Mais Mohamed et Rachid ricanèrent :
— Vas y porte plainte et demain ton mari et ton père auront les vidéos de vos exploits à ta mère et à toi ! Surtout quand tu jouis tellement que tu tombes par terre ! Alors ? Tu obéis ?
Tétanisée, je ne pus quacquiescer
Rachid et Mohamed mentrainèrent vers les toilettes.
Mohamed sortit un objet de sa poche. Cela ressemblait à un uf mais de couleur rose. Jécarquillais les yeux, ne comprenant pas
— Tu vas tenfoncer ça dans la chatte, salope !!
Je me sentis devenir rouge de honte
— Relève ta jupe !! aboya Rachid.
Apeurée, je mexécutaisJe soulevais doucement ma jupe dévoilant mes jambesArrivée à la lisière de la jarretière, je marrêtais
— Continue, connasse ! Fais voir ta culotte !
Je soulevai la jupe laissant apparaitre mon string en dentelle Je reçu immédiatement une violente claque sur les fesses et je dus lenlever.
Mohamed sapprocha de moi et mintroduisit luf dans la chatte. Puis il sortit une espèce de télécommande de sa poche et me la montra, hilare.
— Tu vas prendre ton pied ma salope !!!
Il actionna un bouton et luf se mit à vibrer dans mon intimité !!! Cétait une sensation étrange de sentir ce corps étranger bouger dans ma chatte. Très vite, je ressenti une délicieuse chaleur dans mon bas-ventre. Rachid me dégagea les seins de mon haut et baissa les balconnets de mon soutien-gorge. Il me suça les pointes lentement, me les mordillant à peine. Luf continue de vibrer et je mouille comme une folle.
Mohamed mexplique quil peut choisir la vitesse de vibration de lengin et joignant le geste à la parole, il appuie sur un autre bouton. Immédiatement, je sens luf vibrer de plus en plus vite. Cen est tropJe me mords les lèvres en gémissant et donne de furieux coups de reins ; Mohamed passe sa main sur ma vulve et ramène ses doigts couverts de cyprine. Il me force à les nettoyer avec la langue et je mexécute vilement.
Il arrêta le moteur de luf me laissant au bord de lorgasme et je ne pus mempêcher de pousser une exclamation de dépit.
— Tu vas aller en cours, sans culotte et avec luf dans la chatte. Je me mettrais au premier rang et je te ferais prendre ton pied en plein cours si je veux !
— Oh non, non pas ça, je vous en supplie
Je suis affolée à lidée de jouir en pleine classe devant mes élèves
Mais Mohamed et Rachid, impitoyables, me laissèrent seule dans les toilettes. Juste quand raisonnait la sonnerie annonçant le début des cours
Je marche maladroitement sur lestrade. Gênée par luf. Honteuse dêtre sans sous-vêtement, je narrête pas de me demander, angoissée, si cela ce voit à travers le tissu de ma jupe
Au premier rang, Mohamed, Rachid et Brahim me dévisagent. Une lueur ironique dans le regard
Je suis en train de donner une explication à un élève quand je sens luf se mettre à vibrer. Je sursaute et marrête net de parler. Je deviens toute rouge. Je continue de donner mon cours en balbutiant
— Ca ne va pas Madame ? Vous vous sentez mal ?
— Non, non, ça va, merci.
Les jambes flageolantes, je retourne masseoir à mon bureau. Il y a une ouverture dessous et lon peut voir mes jambes. Certains de mes élèves ne doivent pas se priver de les mater du reste
Je donne un exercice à faire pour être tranquille.
Mohamed se lève, me regarde dans les yeux et me tend un bout de papier. Horrifiée, je découvre le message
— Ecarte les cuisses que lon voit ta chatte
Docilement, je mexécute. Jécarte lentement mes jambes. Ma jupe sest retroussée sur mes cuisses et lon doit se rendre compte que je ne porte rien dessous si lon se penche un peu. Je réalise, humiliée, que cest ce que font plusieurs de mes élèves ! Mon Dieu ! Ils vont apercevoir ma fente !!
Jentends des chuchotements et des gloussementsJessaye de rester naturelle
La sonnerie retentit et je sursaute. Soulagée, je salue mes élèves qui sortent précipitamment. Sauf Rachid, Brahim et Mohamed
Brahim sapproche du bureau et me demande de me lever. Jobéis.
— Soulève ta jupe !
Il introduit un doigt dans ma chatte.
— Tes trempée ma salope, une vraie fontaine !!!
Les autres éclatent de rire. Mohamed a sorti un appareil photo numérique et il commence à me filmer malgré mes supplications
— Monte sur ton bureau. Ordonne Rachid.
Je mexécute et monte sur mon bureau. Je suis obligée de retrousser ma jupe au maximum dévoilant mes jambes gainées de bas noirs à mes trois élèves pervers.
Il me demande de me mettre en position accroupie sur le bureau. Cette posture ne leur cache rien de mon intimité. Mohamed filme et Brahim prend des photos. Je dois sortir mes seins de mon soutien-gorge et je me retrouve la poitrine dénudée en pleine classe !
Rachid actionna luf et très vite je me mis à gémir. Je les supplie darrêter.
— Ca va faire un film du tonnerre, lâche Mohamed, les internautes vont adorer
On moblige à changer de position et je me retrouve à quatre pattes sur mon bureau, le cul tourné vers la caméra, luf vibrant toujours. Brahim menfonça un doigt dans le cul. Le faisant coulisser rapidement. Rachid fit le tour et enfourna sa bite dans ma bouche métouffant à moitié. Je lui suce le gland, le pompant frénétiquement. Brahim agite ses doigts de plus en plus vite et je gémis de bonheur. Rachid magrippe les cheveux et fait coulisser son membre entre mes lèvres. Il déchargea sa semence qui sécoula dans le fond de ma gorgeRachid retira ses doigts et me fit descendre du bureau. Il me retourna et me plaqua dessus, les seins écrasés. Il me pénétra brutalement, et me donna de violents coups de reins. Très vite, il joui et je sentis son sperme couler le long de mes cuisses.
Mohamed réclamant sa part du gâteau mais continuant à filmer, je dus le rejoindre à quatre pattes, comme une chienne me lancèrent-ils, et je dus le sucer sous lil de la caméra qui me filme en gros plan, jusquà ce quil masperge le visage de foutre.
Le portable de Mohamed sonna. Il vient de recevoir un texto.
— Des nouvelles de ta mère, me lance tilElle a bien bossé, elle nous a rapporté un max de fricVa falloir ty mettre toi aussi !
Je baisse la tête, effondréeMa pauvre maman ! Qua-t-elle donc bien pu subir comme humiliations ?