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Voyeur de naissance – Chapitre 2

Voyeur de naissance - Chapitre 2



La nuit de travail fut longue, je savais qu’elle était là, derrière cette cloison, peut-être à dormir, ou lire, car la cuisine était juxtaposée à mon bureau. Et dans le courant de ma nuit, des bruits de pas, et de vaisselle se faisaient entendre.

6 heures, la relève étant faite, je ne mis pas longtemps à prendre la direction de la maison de campagne, à 6 km de là. Une tension se faisait sentir dans tout mon corps, tremblant à imaginer ce que j’allais trouver.

Vous me direz, il est possible que tout ceci ne soit que fantasme, peut-être qu’elle avait simplement oublié de faire une chose, avant de partir. Mais, je ne sais pas pourquoi, une intuition, celle qui ne trompe pas, ou rarement.

Me voici arriver, à peine descendu de voiture que je me dépêchais d’ouvrir la porte, pour me rendre dans la pièce, qui servait de salon, cuisine. Mais tout de suite, mon regard tomba sur ce que j’espérais jusqu’à cet instant. Elle avait déposé une de ses culottes noire, en coton sur l’accoudoir du canapé en cuir marron. Sans attendre plus, je vins me servir, humant, son parfum, jusqu’à détailler l’entre jambe, souillée d’une auréole blanchâtre, odorante de sa crème, dont je m’enivrais, à ne pouvoir dormir.

Cela, confirmer bien ma première impression, elle était venue durant ma sieste, me surprendre avec mon doudou, sur l’oreiller.

Je gardais son précieux cadeau, au plus près de moi, et tout cela, sans que mon épouse y tombe dessus, durant quelques jours. Ma série de nuit terminée, je lui trouvais une cachette. Puis, quelques semaines passèrent, entre temps, j’eus l’occasion de la remercier discrètement, au coin de l’oreille.

Quelques jours plus tard, c’était mon anniversaire, le soir même, mes beaux-parents vinrent boire l’apéro. En partant, ma belle-mère me dit

"Tu es de nuit, prochainement ??"

"Oui, demain"

"Je te laisserai un cadeau, qui je suis sure, te fera plaisir"

Je ne répondis pas, mais, nous échangeâmes un long regard, accompagné d’un sourire.

Et déjà, mon cur battait la chamade. Javais une idée sur ce qu’il pouvait être. Laquelle allait-elle m’offrir ? Une de ses blanches, en sachant qu’elle utilisait que du coton.

Le suspense fut long, et court la fois.

Il faut dire que dans mon jeu, car à présent, c’était un jeu avec une grosse poignée de complicité. Lorsque je savais qu’elle allait à la maison de campagne, alors que mon beau-père travaillait, et que je venais de passer la nuit. Je choisissais parmi ses robes amples et courtes, ou ses mini jupes en jean, une tenue, accompagnée de la petite culotte de service. Tout en espérant qu’elle m’en ferait profiter un jour, et très souvent, dans ce cas-là je faisais le choix de la petite culotte, ou slip blanc, plus que le noire, le rouge ou le chair.

Bien sûr, arriva le jour où je finissais ma nuit, et d’autrement plus que les autres fois, je m’empressais d’arriver.

Jouvris la porte, et en rentrant dans le salon, sur la table était déposée, enroulée dans du papier alu, avec un petit mot, que je lis.

"Joyeuse anniversaire!! Profites bien de ce cadeau, Bisous !!"

Puis, j’ouvris ce qui était emballé, pour y trouver, une de ses culottes : un slip blanc à pois rouges, qui, bien sûr avait été portée récemment car l’auréole présente, jaunie sur lentrejambe, paraissait encore fraiche de quelques heures.

Que du bonheur !

Jusque-là, j’humais à pleines narines, mais sans aller à me masturber. Mais là, je ne pouvais pas, ne pas me masturber, dans la salle de bain, au-dessus du lavabo, y laissant quelques gouttes de ma semence épaisse, sur le bleu ciel de la vasque. Toute ma sainte journée, je ne fis que sentir encore et encore, sans pouvoir fermer l’il.

Allait-elle venir ??

Malheureusement, je n’eus pas l’occasion de la remercier pour ce jour-là

Une de plus, dans ma garçonnière, façon de parler !!

Je décidais de ne garder que la blanche, car, la noire était moins odorante à mon goût.

Le lendemain, je déposais la culotte noire dans le panier à linge, alors que j’étais encore seul. Pour profiter, au maximum, de mon cadeau d’anniversaire.

Notre jeu était bien synchro.

Elle prenait un fin plaisir, à se vêtir de ses robes, ou jupes qui me font fantasmer, lorsque nous devions passer les voir, ou que nous allions manger chez eux.

Le plus fort moment, fut.

Ce matin-là j’avais fait mon inspection de la corbeille, je n’avais pas avec moi, mon doudou préféré. J’avais trouvé peu de chose, si ce n’est un slip chair, avec une importante auréole de sa glaire, qui par la quantité, n’avait pas séchée, et donc avec un doigté du pouce, il se présentait une viscosité, qui s’en dégageait.

Je m’endormis, au doux parfum enivrant, sous la couette, avec pour seul vêtement, mon maillot de corps. Je savais qu’elle devait venir pour manger ensemble.

À midi, elle vint me réveiller, pas choquée de me surprendre avec sa culotte sur l’oreiller. Je la regardais, en lui souriant.

"J’arrive !!"

Puis, dans le même mouvement, je me levais, alors qu’elle était sortie de la chambre. Décidant de la jouer à la provoque.

Je ne mis que mon chandail, qui me couvrait le haut de mes cuisses, laissant apparaitre mon pénis, dès que je me baissais, ou tout simplement, en ouvrant mes jambes, avec lesquelles je jouais, à ouvrir, fermer. Ceci était mon idée.

Mais, lorsque je la rejoignis dans la cuisine, gardant en mains, la culotte, que j’exhibais. Elle se trouvait dans la partie cuisine, elle avait un corsage blanc, offrant sa poitrine nue dessous, et une de ses jupes amples, transparente, s’offrant nue de toute culottes dessous. Debout, elle finissait son repassage, et avec les rayons du soleil, elle s’offrait ainsi. Pour ma part, je m’asseyais dans le canapé, m’offrant pleinement, les cuisses ouvertes, nous avons échangés de longs regards, alors que j’humais à pleines narines, son vêtement chair, une main sur mon pénis. Elle ne dérogea pas son regard, restant insistant.

Le téléphone sonna, elle me demanda de décrocher, car ce devait être sa fille.

À suivre ….

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