Comment je suis devenue Bi.
Bonjour, je me présente. Je me nomme Anne-Sophie, j’ai maintenant 61 ans bientôt 62 et ce que je vais vous raconter est la réalité, c’est ainsi que cela s’est passé. A force de lire les histoires sur ce site, j’ai éprouvé le besoin de vous confier la mienne, tout est authentique.
Bien sur étant jeune j’ai eu l’occasion de gouiner avec mes sours légèrement plus jeunes que moi et aussi plus délurées. Ces relations étaient très rares même si à l’époque j’y prenais du plaisir. Bref, à 19 ans seulement j’ai perdu mon pucelage avec un garçon de la fac qui est devenu par la suite mon mari.
J’ai interrompu mes études pour me marier, faire deux filles et les élever.
A 39 ans j’étais donc une parfaite épouse, fidèle et plutôt coincée. Je subissais mon devoir conjugal plus que je ne l’appréciais.
Donc cette année là nous avions emmené en vacances dans notre maison du bord de mer, outre mes filles de 16 et 18 ans, une de leur copine Elisabeth qui avait aussi 18 ans. Cette fille me troublait beaucoup car elle n’avait à aucun moment hésité à se mettre la poitrine à l’air sur la plage au grand plaisir des autres vacanciers car elle l’avait superbe. bien ronds, très développés 90 C et des tétons très saillants. Je l’enviais d’avoir d’aussi jolis seins car les miens commençaient à chuter inexorablement. Pour attiser encore plus elle ôtait son slip pour bronzer et ne le remettait que pour aller se baigner, montrant ainsi sa chatte parfaitement lisse et bombée à souhait.
Une journée de pêche en mer avait été programmée par mon mari et, peu tentée, je décidais de rester à la maison et le matin même juste avant le départ Elisabeth annonça qu’elle ne se sentait pas bien et préférait rester à se reposer.
Je m’installais dans le jardin pour bronzer et Elisabeth se retira dans sa chambre. La chaleur était telle que très vite j’éprouvais le besoin de me doucher. Je n’étais certes pas très portée sur le sexe mais la fraîcheur de la douche, jointe à la puissance du jet qui faisait saillir mes tétons, m’amusait. Je caressais mon corps avec ce jet et bien sur vint le moment où autant par jeu que par désir j’écartais mes cuisses et les lèvres de mon vagin pour le faire pénétrer en moi. Il ne m’emplissait pas assez a mon goût. Progressivement je m’ouvris et introduisis la pomme de douche en moi. Le jet fouettait mon intérieur et le dilatait pour que l’eau puisse s’écouler. Pendant que d’une main je maintenais le jet en moi, de l’autre je caressais mon clitoris, mon bouton gonflait sous mes doigts.
Inévitablement, un violent orgasme m’envahit et ne pouvant plus tenir, je m’assis les yeux clos dans la douche, profitant de plaisir que je venais ainsi de me donner. Incapable d’un quelconque mouvement je restais là la bomme de douche enfoncée dans mon vagin et les mains crispées sur mon mont de Vénus.
Je reprenais conscience lentement. Machinalement, toujours les yeux clos je coupais l’eau et restais ainsi, assise cuisses écartées et la pomme de douche en moi. Je savourais ce que je venais de faire. J’en jouissais encore.
— Tu es une belle salope !
J’ouvris les yeux et découvris Elisabeth totalement nue devant moi et debout me dominant. Elle reprit :
— Moi aussi je voulais prendre une douche, j’ai tout vu ! Tu as pris ton pied n’est-ce pas ?
J’étais incapable de dire quoi que ce soit tant la surprise étant grande. et la honte de la situation m’envahissait. Je me voyais cuisses ouvertes, la pomme en moi et le tuyau qui la prolongeait courant entre elles.
A ma grande surprise Elisabeth s’agenouilla et saisissant la douche elle l’agita doucement en moi. Bizarrement malgré la honte que j’éprouvais a être aussi indécente je me laissais faire. Lorsque sa main se posa sur mon sein et caressa le téton je poussai un soupir de plaisir.
— Tu aimes ma salope ?
Je n’avais pas encore dit un mot. Et maintenant je ne pouvais plus car sa bouche s’était posée sur la mienne et sa langue caressait déjà mon palais.
Sans doute étais-je encore sous l’influence de mon orgasme car je n’avais aucune réaction. Non seulement je me laissais embrasser et peloter mais les mouvements de la pomme dans mon ventre me plaisaient. Inerte je subissais l’emprise de cette gamine, totalement incapable de réagir, et pourtant je savais que ce qui se passait était totalement anormal.Mais c’était si agréable.
Maintenant la pomme me labourait le vagin profondément, maniée avec dextérité par ma compagne. Mon corps se tendait vers les caresses qu’elle procurait et ma langue a son tour pénétrait sa bouche, lui rendant un baiser passionné.
Le hurlement de plaisir que je poussai, interrompit notre baiser et mon ventre raidi poussa violemment sur la pomme l’enfonçant au maximum.
Lorsque je revins à la réalité. Ce fut de nouveau Elisabeth qui prit la parole :
Je me doutais que tu étais une salope ! Tu as une chatte super souple pour contenir cet engin. Tu aimes ça te défoncer ?
Ce n’était pas tolérable, je redevenais lucide. Malgré notre position elle tenant encore la douche en moi et me pelotant le sein, je m’insurgeai :
— D’accord, j’ai aimé mais cela ne t’autorise pas à m’insulter. Tu as profité de la situation mais on en restera là. Laisse moi maintenant !
-Pas question, tu n’es qu’une salope de bourge coincée , la preuve ! Tu m’as toujours attirée et j’avoue que je n’espérais pas qu’une telle occasion se présente. J’aime ton corps de femme mure ! Et tu ne voudrais sans doute pas que tes filles sachent ce qui vient de se passer ?
Là j’étais piégée. La honte m’envahit de nouveau. Enfin J’osais retirer la pomme de douche de mon vagin et commençai à me relever.Restée agenouillée le visage d’Elisabeth se trouva à hauteur de mon ventre et instantanément sa bouche se colla à mon clito.
Malgré tout ce qui venait de se passer et ma réaction, je me laissai de nouveau faire. Mon clitoris aspiré et titillé par sa langue si douce ne demandait que cela. Lorsqu’elle écarta mes cuisse, je m’ouvris docilement.Avec douceur sa langue me pénétra, vite remplacée par ses doigts et elle reprit sa place sur mon clito.
J’étais de nouveau sous son emprise. J’avais envie de jouir, je sentais monter en moi le plaisir. Adossée dans la douche je m’offrais impudique. Lorsqu’un de ses doigts me titilla l’anus, la vague me submergea de nouveau. Jamais je n’avais eu autant de plaisir et aussi souvent.
Elisabeth lécha longtemps ma chatte buvant la cyprine qui s’écoulait. Enfin elle se releva et me prit le bras m’entraînant hors de la salle de bains. Titubante de bonheur le la suivis dans sa chambre et m’écroulais sur le lit. Elle s’allongea près de moi et reprit ses caresses sur mon corps s’attardant longuement sur mes seins.
— J’aime caresser tes seins. Ils me plaisent car ils sont un peu mous et un peu tombants et ça me plait de les malaxer.
-C’est gentil de me dira ça, et moi j’aime que tu me caresse.
Je n’avais plus de réticences. Je prenais plaisir a être nue près de cette jeune fille nue elle aussi. Je sentais sa chaleur. Nos corps se collaient. Je m’enhardis à caresser cette poitrine juvénile que j’avais tant admirée. J’explorais ce corps qui m’avait séduit. J’avais oublié tout ce qui avait été ma vie jusqu’alors. Oublié le mari, oublié que cette gamine était de l’age de ma fille aînée, et sa copine ! Oublié mon corps que je jugeais imparfait et qui pourtant avait attiré cette jeune femme.
A mon tour j’osais rendre à mon amante le plaisir qu’elle venait de me procurer. Les caresses, les baisers les pénétrations de son sexe la transfiguraient. Je retrouvai vite les sensations que j’avais connues dans ma jeunesse, l’art de procurer du plaisir.
Le reste de la journée se passa en caresses et en jouissances successives.Pas question de repas, nous étions si bien enlacées. Epuisées par nos excès, c’est avec regrets que nous nous sommes séparées pour nous rendre présentables avant l’arrivée, heureusement tardive, de la famille.
Pendant toute la soirée nos regards se croisaient et nous esquissions un petit sourire au souvenir de notre journée sexuellement remplie.
Je m’endormis sans peine, incapable de me souvenir du nombre de fois ou mon corps avait atteint le plaisir.
Si ce début vous a plu, je vous raconterai la suite de ma liaison.
Je serais très heureuse que des femmes ayant eues des aventures similaires, entre femmes d’ages très différents, me contactent pour échanger nos souvenirs.