Jétais encore avec mon mari à cette période et mon fils était encore très jeune. Nous possédions un gros chien croisé rottweiler pitbull quun ami de mon mari lui avait donné. Un animal très fougueux.
Souvent il était en érection et ça mémoustillait beaucoup de voir ce membre tout rouge et tout dur surtout que je navais jamais eu de rapport sexuels avec des animaux. Jusque-là.
Un après-midi où jétais restée seule avec le chien, mon fils était à lécole et mon mari était parti chez ses parents, je me mis à le regarder. Je venais de faire du ménage, jétais toute en sueur, ça dégoulinait de partout, de la tête au pied en passant par mon entre cuisse. Je métais mise nue afin de prendre une bonne douche. Il était allongé dans un coin du salon et son sexe était sorti, une grande tige toute rouge. Je me suis approchée de lui, me mis assise par terre et commença à le caresser. Plus je le caressais, plus son sexe devenait gros.
Il était couché sur le dos, je mis ma main sur son ventre puis, lentement vers son membre, commençai à le caresser du bout des doigts puis à le masturber, doucement au début, puis en accélérant mes mouvements.
Tout à coup, me prit une envie folle de le sucer, de le pomper à fond. Davoir ce gros bâton rouge au fond de ma gorge. Japprochai ma bouche vers son braquemart gonflé puis entrepris une délicieuse fellation, hummm que cétait délicieux cette tige toute dure dans ma bouche. Je faisais aller et venir ma langue de ses couilles à la pointe de sa bite. Gobant lune après lautre ses délicieuses boules poilues. Il ne bougeait pas, sa respiration cétait accélérée et il avait lair dapprécier.
Alors que jétais bien en train de mactiver sur son manche, il se redressa brusquement et se mis sur ses quatre pattes. Jeus un moment de peur pensant lui avoir fait mal ou je ne sais pas trop ce pourquoi sa réaction, jeus un mouvement de recul, me mis moi aussi à quatre pattes mais pour essayer de me relever.
A ce moment-là, je sentis sur mon dos, tout le poids de lanimal, ses pattes de devant me labourant le milieu du dos.
Jeus beau tout essayer pour le faire descendre et me relever, rien à faire, il était vraiment très lourd et sagrippait à moi de toutes ses forces, ses grosses pattes sur mes reins mimmobilisant et mempêchant de faire le moindre mouvement. Il était plus fort que moi Jétais coincée, dominée par cet animal en rut. A sa merci. Proie à ses moindres désir bestiale. Pas assez de force pour le repousser.
Puis un moment de frayeur me traversa. Je sentis son membre toujours bien raide entre mes cuisses, sur mon vagin, mon dieu non, il ne va pas, et, en plusieurs coups de boutoir il me pénétra et menfonça sa queue toute entière dans la chatte.
Mon dieu quel engin, plus grosse que celle de mon mari déjà bien monté, mais ce chien il lavait énorme . Mon ventre me brûlait mais quest-ce que cétait bon. Jétais une vraie fontaine et ça faisait un moment que je navais pas joui autant. Jétais trempée au début de sueur, à présent je létais de ma mouille.
Il me laboura la chatte plusieurs minutes en faisant de viril va et vient rapides, je navais plus vraiment la notion du temps ni de quoi dautre dailleurs. Ses assauts était tellement fort, ses coups de boutoir tellement puissant quà chaque coup javançais, je me sentais glisser sur le carrelage. A chaque coup, un cri de jouissance séchappait de ma bouche.
Alors que je prenais un super pied, me foutant de tout le reste, je sentis de longues et puissantes giclées de sperme menvahir le ventre. Il venait de se soulager lanimal me faisant jouir une énième fois.
Il resta un moment collé derrière moi, son poids mempêchant toujours de bouger, puis, doucement , sortit de mon corps et retourna sallonger dans son panier. Je sentis alors son sperme sortir de mon vagin et couler le long de mes cuisses.
Le temps de reprendre mes esprits, je sursautai, la sonnette de la porte venait de retentir.
-Chérie, cest moi, jai oublié mes clés, tu peux venir mouvrir ?
-Heu, oui. Jarrive chéri.
Moment de panique.
Comment expliquer à mon mari pourquoi jétais nue, au milieu du salon, en pleine après-midi.
Je passai vite un peignoir et alla ouvrir.
-Excuses-moi, jai faits du ménage et je suis allé faire courir le chien pour lui dégourdir les pattes (et le reste) Jallais prendre une bonne douche, je me sens un peu transpirante (voir dégoulinante).
-Ok.
-En effet, le chien a lair crevé.
-Tu tes bien dépensé un mon pépère.
Heureusement quil ne pouvait pas répondre, hein, ouf, sauvée.
Cette expérience reste unique pour moi car pour des raisons de sécurité pour notre fils, le chien en était très jaloux et devenait méchant, agressif, nous avons donc été obligé de nous en séparer.
Même quand mon mari me faisait lamour il grognait, bandait comme un sauvage et montrait les dents. Mon mari na jamais compris pourquoi.
Mais cette expérience restera dans mes meilleurs plaisir à ce jour.