Bonjour à tous lecteurs, venant de plus en plus souvent sur ce site, jai décidé de déposer la mienne ; jespère quelle vous plaira.
(Jai changé les noms par prudence)
Je mappelle Thomas. Lhistoire sest passée lorsque javais 17 ans, et que je passais mes vacances chez mes grands-parents avec ma cousine Mélanie, elle âgée de 16 ans. Cette cousine faisait depuis quelques temps lobjet de mes fantasmes, son corps ayant changé en peu de temps. Cest une brune aux cheveux longs ondulés, elle mesurait environ 1m60, dapparence assez svelte, une poitrine parfaite (95 C) et des fesses rebondies.
Etant en vacances à la mer, je la voyais souvent en maillot de bain, ce qui me rendait encore plus dingue delle. Je rêvais de pouvoir prendre ses seins magnifiques entre mes mains, de jouer avec ses mamelons, les lécher, les avoir pour moi tout seul.
Un jour, mes grands-parents devaient nous laisser seuls la journée, partant avec des amis faire une randonnée pédestre. Je me retrouvais donc seul avec ma cousine. Je décide donc daller la voir dans sa chambre :
— Dis Mélanie, ça te dis de faire quelque chose avec moi ? Je mennuie totalement
— Eh bien je ne sais pas moi, tu veux faire quoi ?
— Mmh, pourquoi pas un « action vérité » ? Cest plutôt marrant comme truc !
— Daccord, va pour ce jeu !
Au départ, les questions et défis étaient peu difficiles, mais au fur et à mesure, le jeu abordait des sujets de plus en plus intimes :
— A mon tour Thomas. Action ou vérité ?
— Euuuh, vérité !
— Alors, est ce que tu as déjà vu une fille complètement nue ?
Cette question me déstabilisa, mais vu quelle voulait partir là-dedans, jallais moi aussi en profiter un peu.
— Eh bien non, avouait-je, un peu honteux.
— Aaah, donc mon cher cousin nest pas aussi grand quil en a lair !
— Te moque pas de moi, je parie que toi non plus tu nas jamais vu de mec à poil !!
— Quest-ce que tu en sais ? Me répondit-elle avec un regard coquin.
— Bon, daccord. A mon tour. Action ou vérité ?
— Je vais choisir action ! rétorqua-t-elle avec un grand sourire.
— Daccord Je réfléchis
Une idée me trottait dans la tête depuis quelle avait posé cette question, mais javais peur quelle le prenne mal. Je lui demandais alors :
— Il ny a aucune limite à ce jeu, on est bien daccord ? Et on ne doit pas se défiler ?
— Je suis daccord, répondit-elle en me regardant droit dans les yeux.
— Bon, eh bien tu dois te montrer nue devant moi pendant une minute.
— Quoi ça va pas tes dingue ?!
— Je croyais que le jeu navait aucune limite ? répliquais-je avec un petit sourire. Et puis cest toi qui as commencé à aborder le sujet !
— Ouai, cest vrai, admit Mélanie, un peu décontenancée. Cest daccord, je vais le faire. Mais cela doit rester entre nous, ok ?
Je nen croyais pas mes oreilles, mon rêve allait enfin se réaliser !! Jallais pouvoir contempler son corps comme je voulais.
— Daccord, pas de problème, répondis-je en me retenant de ne pas faire un grand sourire.
Elle commença donc à se déshabiller, en commençant par le haut. Après avoir enlevé son T-Shirt, je vis quelle ne portait pas de soutien-gorge, et je pu contempler sa poitrine qui était comme dans mes pensées, lors de mes précédentes masturbations. Viens ensuite au jean de senlever, il ne restait plus que la petite culotte blanche. Elle devint hésitante, je lui rappela alors :
— Jai dit complètement nue !
— Oui, je sais, cest juste que
— Cest juste que quoi ?
— Eh bien, ne me suis encore jamais montrée nue face à un garçon, alors jai un peu peur forcément
— Ah, mais il ne faut pas, cela restera entre nous, je te le jure.
Elle décida alors denlever son dernier vêtement, et je pu voir son sexe, qui était totalement épilé. La voyant dans son plus simple appareil, mon excitation monta très vite et étant en short, une bosse apparu à mon entre-jambe. Jessayais de la cacher discrètement, mais ma cousine lavait déjà remarqué. Elle me fit donc :
— Eh bien Thomas, jai bien limpression que tas lair dapprécier ce que je te montre !
— Euh, oui, un peu cest vrai, répondis-je en étant très mal à laise.
— Jai une idée ! Vu que maintenant je suis nue, tu nas quà faire de même comme ça nous serons quitte ?
Jhésitais un peu, puis prenant mon courage à deux mains, je me déshabillais aussi rapidement que possible, me retrouvant avec mon sexe en érection.
— Wouah, tu ne perds pas de temps toi ! Et je vois que la nature ta plutôt gâtée ! sexclama Mélanie.
— Eh bien Oui Toi aussi tu nes pas mal du tout ! dis-je, un peu gêné.
— Merci, cest gentil ! On fait quoi maintenant que lon est tous les deux nus sur mon lit ? On ne va pas rester comme ça, à ne rien faire.
Cest à ce moment-là que sans savoir pourquoi, je mavançais rapidement vers elle, et je lembrassais fougueusement. Au début, elle fut très surprise, mais après quelques secondes, elle commençait à me rendre mon baiser. Cela dura plusieurs minutes, et après avoir décollé nos lèvres les unes des autres, nous nous regardâmes dans les yeux. Puis sans dire un mot, elle se pencha vers mon sexe, et le pris entre ses mains. Elle lenfourna dans sa bouche et commença à me sucer. Jétais aux anges, je voulais que ce moment ne finisse jamais. Jétais tellement excité que je ne tardais pas à éjaculer. Je voulu la prévenir, mais elle resta ou elle était et je fini par tout déverser dans sa bouche. Cétait la première fois que javais autant de sperme qui sortait. Elle releva la tête, et en me regardant dans les yeux, elle avala toute ma semence.
— Eh bah, tas lair de savoir y faire toi ! lui dis-je, avec amusement.
— Disons quil mest arrivé davoir à faire ça, répliqua Mélanie, avec un sourire coquin. A ton tour de toccuper de moi maintenant !
— Daccord ! Répondis-je avec excitation.
Elle sallongea alors sur le lit, et je me penchais sur son sexe, qui commençait déjà à être trempé dexcitation. Je commençais alors à jouer avec son clitoris avec ma langue. Jaccélérais un peu le rythme au fur et à mesure, et Mélanie commençais à respirer de plus en plus fort. Jinsérais alors un doigt dans son vagin, et je fis de petits va et viens, ce qui la rendait encore plus folle. Elle commençait à crier :
— Oh oui ! Vas-y, tarrête pas, cest trop bon !
Je continuais alors à lui lécher le sexe, et mettre plusieurs doigts dans sa chatte qui dégoulinait de cyprine. Lorsque que lorgasme vint, elle poussa un cri de jouissance et son vagin se contractait, mes doigts étant encore à lintérieur. Je me retirais alors, et je vins lembrasser, nos langues sentremêlaient avec passion Rien ne pouvait nous séparer.
A suivre.
Si vous avez aimé cette petite histoire, je publierais la suite.