_Il était 18 heures lorsque ma voiture sarrêta dans l’enceinte de ma maison après un mois de vacances à létranger. Je descends après avoir signifié au chauffeur de garer la bagnole et je pénètre dans ma maison. Fatiguée, je me jette toute habillée sur le lit et je roupille, après trois heures jémerge du sommeil profond. Je me dirige vers ma cuisine, et me prépare quelque chose à manger, mon mari nétait pas encore rentré, il ignorait que j’allais revenir ce jour là. Et j’étais sur qu’il passerait la nuit dehors, enfin c’est ce que j’avais pensé. Après avoir bouffé je me dis que rien ne valait un bain. Je rejoins ma salle de bain, je remplis le basin et je me laisse couler dedans, après quelques instants passés à me remémorer le voyage, je me relève, m’assieds sur le bord et commence à me savonner le corps en douceur, en insistant sur mes parties intimes, une chaleur engourdissante m’envahit. Mon corps se relâchait à chaque passage de la savonnette, et c’est seulement là que je vis cyclone qui avait pénétré dans la salle de bain qui me regardait intrigué par mon manège. Cyclone c’est mon berger allemand comme vous le savez déjà, je l’invite d’un geste à se rapprocher encore plus, une fois tout contre moi, je me mis à le laver méticuleusement, en savonnant et brossant son pelage, ses pattes, sa queue et son buste, je pris le soin de ne pas rater son bidule qui trouva ça tellement excitant qu’il commença à montrer la tète, la tête de son engin qui était caché dans le fourreau, ma main s’activait sous le chien pendant que l’autre se glissant sous mes cuisses asticotait les lèvres de ma chatte qui déjà avait commencé à dégager du liquide et des odeurs qui réveillèrent l’instinct du canin, il désirait tant promener sa langue experte dans mon antre sacré. Je dus patientée vu qu’on étaient plein de savon, je me mis debout, je prend la lance de la douche et je laisse couler l’eau sur nous en prenant soin de frotter.. une fois le travail fini, je me dirige vers un banc longeant le mur de la salle de bain, sur lequel était étalé un matelas et j’invite mon amant qui n’attendait que ça, je m’assieds sur le bord, jécarte mes cuisses et j’offre ma chatte à mon chéri, et sans se faire prier il enclencha son mécanisme, sa langue râpait les lèvres de ma chatte, et senfonçait plus loin dans mon intimité, je sentis que j’allais mévanouir, à chaque fois que la langue entrait en contact avec mon clitoris je ressentais comme une décharge électrique qui me paralysait de plaisir, je bafouillais :OUI! ENCORE! AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH! PLUS LOIN MON BEBE ! JE T’ADOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
_N’en pouvant plus, je me laisse tomber à la renverse sur le dos. Je mouillais, je couinais, je haletais tant cétait trop fort, je caressais la tête de mon chien comme pour lui prouver que je trouvais ça très bon, je n’en pouvais plus, j’avais envie de sentir sa bite grossir en moi, l’idée seule me faisait jouir et par gestes et mots je lui fis comprendre ce que j’attendais de lui. Il regarda à droite, à gauche, derrière lui comme pour s’assurer qu’on étaient seuls et d’un bond il fut sur moi, sa bouche se trouva au niveau de la mienne ses pattes de devant me serraient la poitrine, ma chatte me fit comprendre que la bite était sortie de son étui et qu’elle essayait de retrouver son chemin. Je tendis la main par en dessous du chien, je retrouve sa bite qui commençait à s’impatienter et je la pointe vers mon vagin, qui lui même n’en pouvait plus d’attendre plus longtemps, je trempe ma main de ce qui coulait de moi et je m’enduis les seins et le visage , je ressentis la douleur provoquée par la pénétration de l’engin dans mes entrailles, douleur qui très vite laissa place à un plaisir inoui, sa langue me léchait le visage pendant que le va et vient me rappelait que je baisais avec un chien, un berger allemand d’une taille imposante qui me bourrait, la bite en prenant de la taille à lintérieure de mon ventre me faisait l’impression dêtre écartelée, les vagues de foutre ne cessaient pas de cingler mes entrailles, je jouissais sans relâche, je perdais tout sens de raisonnement, je souhaitais que ça n’en finisse jamais, je serrais mon amant contre moi, je pleurais de joie, je lui murmure à l’oreille: tu m’as manqué, tu sais.,? est ce que je t’ai manqué mon chou? vas’y tarrête pas! défonce moi ! remplis moi de ton jus délicieux, bien qu’il ne me comprenait pas, il n’avait nullement l’intention darrêter ce jeu qu’il trouvait fabuleux, AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ; la boule à la base de sa bite venait de trouver refuge dans ma chatte en écartant ses lèvres lubrifiées, mon amant stoppa, alors que je ressentais encore les raz de marée en moi, jétais épuisée, au point que je ne faisais qu’attendre la suite, c’est à dire jusqu’a ce que l’engin se soit essoré de son contenu pour retrouver sa taille normale qui lui permettrait des ressortir de sa prison douillette, vingt minutes se passèrent ainsi, vingt minutes pendant lesquelles je suis restée soudée à mon amant. Lorsque je ressentis qu’il allait se retourner, je le pris par la tête et l’embrassa longuement sur la bouche, en prenant soin d’enfoncer ma langue à lintérieure de sa bouche, il me laissa faire, trouvant que cétait pas mal, il passa une lèche magistrale sur tout mon visage, et me regarda comme pour photographier le visage de sa chienne en chaleur pour qu’il ne l’oublie jamais. Je l’aide à se dégager de moi avec peine, il se retire un peu loin et se mit à se nettoyer la bite avant de revenir à la chatte de sa maîtresse qu’il nettoya, puis il s’affaira sur la mare qui sétait formée sous moi, la mare de ce qui sétait écoulé de ma chatte, nos deux liquides fusionnés en un ensemble, je riais en le voyant sur ses pattes de derrières après le travail fini qui me regardait, c’est à croire qu’il me disait: voila salope! t’es une chienne, ma chienne, la mienne, et je t’adore pétasse, au fait ce qui me faisait rire cétait ce que je m’imaginais, jétais conne au point de croire qu’un chien pouvait penser ça, mais qui sait? Enfin, ayant eu ce que je voulais, et rassasiée pour l’instant, je fis signe à mon amant de quitter la salle de bain que je devais nettoyer de toutes traces de ce qui sétait passé, je ressentais une douleur en marcha,t, il a été fort , le salaud, mais, cétait ce qui donnait plus de plaisir, je ne lui en voulait pas, au contraire, même que je lui préparais après un bon déjeuner pour qu’il reprenne des forces, parce qu’une autre idée germait déjà dans la tête de la perverse que jétais, à plus tard