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Une voisine très sympa – Chapitre 1

Une voisine très sympa - Chapitre 1



Une voisine très sympa et un couple très accueillant.

Pendant la semaine jhabite un appartement, dans un immeuble où personne ne se connait.

De temps en temps on croise des gens, rarement les mêmes, je ne connais même pas mes voisins de palier et ne pourrais même pas dire leur nom ou à quoi ils ressemblent.

Je pars de chez moi le matin il est 6 h et je rentre le soir il est 19 h et chaque jour dans lascenseur, je croise une femme dâge moyen, 40 ans tout au plus, brune les yeux marron, elle est toujours bien habillée et maquillée très discret.

Depuis 2 ans que je la croise je ne lui ai jamais, mis à part bonjour, adressée la parole.

Il faut dire quelle monte au 5 ème et quelle ne reste dans lascenseur que 1 minute maxi, le temps darriver au sous-sol.

Je ne la vois que le matin et je ne sais pas à quelle heure elle rentre le soir.

Ce soir, je rentre il est 19 h 30, je gare ma voiture dans mon box particulier, ferme la porte et me dirige vers lascenseur.

— Monsieur ! Monsieur ! Sil vous plait.

Je cherche doù vient cette voix féminine, que je ne connais pas et vois, là, assise par terre, entre deux voitures, la femme que je croise tous les matins.

Je mavance vers elle.

— Monsieur, je viens de me tordre la cheville, jai horriblement mal et mon portable ne passe pas dans le parking, pouvez-vous maider svp.

— Bien sûr madame, voulez-vous que jaille appeler des secours ou que je vous aide à monter jusque chez vous ?

— Si vous pouvez maider à rentrer chez moi, jhabite au 52, après je me débrouillerais, merci !

52 veut dire, quelle habite au cinquième étage la porte de droite, je laide donc à monter à son appartement, elle ouvre sa porte et je la porte jusqu’à son salon.

Comme jai exactement le même appartement quelle, je sais exactement où sont les pièces, je la dépose sur un des deux divans qui sont dans la pièce et lui demande si je peux faire autre chose pour elle.

— Merci vous êtes très gentil, ça va aller, je vais appeler ma sur, elle viendra maider.

— Je ne veux pas vous ennuyer madame mais permettez-moi de savoir si vous êtes en sécurité avant de partir de chez vous, appelez votre sur, jattends son arrivée et je vous laisse, ou jappelle les pompiers. Vous ne pouvez pas marcher et vous êtes seule, votre époux nest pas là ?

— Mon époux ne rentre quen fin de semaine, jappelle ma sur !

Elle na pas sa sur au téléphone et je la vois désorientée, je comprends quelle a mal et je prends les choses en main, je ne peux pas la laisser seule.

— Je vais vous conduire aux urgences, ce nest pas la peine dappeler un médecin, il vous dirait dy aller de toute façon, car il faut prendre une radio.

— Je suis confuse, vraiment, je vous crée des problèmes et on ne se connaît même pas, votre dame vas sinquiéter.

— Ce nest pas grave, je ne peux vous laisser seule et je ne suis pas marié, allons il est temps de soigner cette cheville, vous souffrez et ce nest pas utile dattendre plus.

Je la conduis aux urgences, la confie au service médical et lui laisse mon n° de téléphone au cas où elle aurait besoin de moi, ou pour rentrer chez elle ou pour tout autre problème.

Elle me remercie, encore confuse des ennuis quelle ma créés et je rentre enfin chez moi.

Voilà bien un mois que je ne la croise plus et nai pas de nouvelle mais bon, il faut dire que je nen ai rien à faire. Jai rendu service et jai oublié lincident.

Un matin, lascenseur sarrête au cinquième et voilà ma belle qui entre.

— Bonjour et encore merci, je suis restée à lhôpital 8 jours et je nai pas osé vous appeler à mon retour, mais je vous invite ce soir à dîner, je vous présenterais mon mari, il tient à vous remercier personnellement. Ce soir 20 h ça vous ira ?

— Très bien merci mais vous nêtes pas obligée.

— Si, jy tiens, vous avez été si gentil, cest normal.

Le soir après être passé à mon appartement, pour une douche et me changer, il est 20h et je descends donc au 52 moi je suis au 102.

Je sonne, cest un homme qui vient mouvrir, 45 ans bcbg très courtois et un langage très recherché, il me fait entrer au salon, me disant que son épouse va arriver, quelle est à la cuisine.

Il me remercie très chaleureusement, son épouse nous rejoint, elle est habillée plutôt sexy, jupe noire courte, bustier juste ce quil faut pour tenir deux magnifiques seins et talons aiguilles attachés à la cheville par une sangle, ce qui fait cambrer ses mollets, quelle a fort beaux, et est très heureuse de me voir.

Nous papotons, le monsieur est cadre commercial et elle est cadre dans une banque, ils nont pas denfant.

On sonne à la porte et la dame me dit, avec dans lil un air coquin et un sourire que je dirais enjôleur, pendant que son mari va ouvrir,

— voilà les autres invitées, ce soir on va faire un peu la fête pour vous remercier, vous allez adorer nos amies, ce sont des copines très simples et adorables.

— Je nen doute pas, si elles sont aussi aimables et jolies que vous.

— Merci cest gentil, japprécie le compliment.

Le gars arrive avec trois femmes de 30 à 40 ans très bcbg et me les présente, je sens déjà le coup fourré, pourquoi trois femmes de plus, ils veulent faire une partouse ou quoi ?

La première est Ingrid, belle femme grande, blonde cheveux coupés courts habillée dun tailleur bleu ciel et talons hauts. La seconde Jacqueline est une femme brune cheveux longs en veste et pantalon très bcbg montée sur des talons hauts et la troisième, France, cest le bouquet final, mini jupe ras du cul chemisier transparent dévoilant deux seins qui posés sur une assiette vous diraient mangez- nous, les jambes nues et pieds nus elle est tellement grande quelle me dépasse et je ne suis pas petit, je mesure 1 m 82, elle sexcuse pour les pieds nus, disant que ses chaussures neuves la font souffrir. Ce qui nenlève rien à sa beauté au contraire.

Entre temps on a encore sonné à la porte et il vient de renter un couple, la cinquantaine, lui Jean, petit mais bien bâti et elle Colette belle femme mûre grassouillette mais très jolie et un autre couple dans le même âge, lhomme Maurice, très grand et la femme Ivette, très grosse et grande aussi, une poitrine énorme que son soutien-gorge a du mal à soutenir.

Je me dis pour la partouse tu repasseras, ce ne sont juste que des amis et ils veulent te présenter.

Tout le monde est là, lapéro coule pas à flot mais presque, on passe au repas dans le séjour. Je suis entre Ingrid et Jacqueline, mon hôtesse Marie est en face de moi, son mari à sa gauche, à la droite de Marie, France la fille aux pieds nus. Les autres convives sont dispersés autour de la table. On est très serrés.

La cuisse dIngrid est contre la mienne et le genou de Jacqueline touche le mien, je pense que ce ne serait pas obligatoire mais je ne vais pas men plaindre.

Je sens un pied qui touche le mien, je regarde en face de moi et Marie me fait un large sourire et le pied appuie un peu plus.

Je ne sais que penser, cest intensionnel ou pas ? Pourquoi me faire du pied ?

Mais là ce nest plus par inadvertance, un pied monte le long de ma jambe et vient se plaquer sur mes couilles, ce ne peut être que cette grand bringue aux pied nus, à cette distance.

Elle me fait bander cette courge et jai le chibre qui me fait mal dans mon pantalon, je la regarde, elle me fait un grand sourire et se passe la langue sur la lèvre.

Lautre pied est toujours contre le mien et remonte de temps en temps sur mon mollet, alors avec le mien je fais pareil.

La main dIngrid se pose sur ma cuisse et va rejoindre le pied de France. Deux minutes et Ingrid se penche à mon oreille.

— Tu es monté comme un cheval, tu as gagné ça au tiercé ou cest un héritage ?

— Je lavais déjà tout petit !

— Tu vas en surprendre quelques unes, je suis sûre que Marie va adorer, elle qui se contente de la petite de son mari, elle ne veut pas se faire prendre par les autres mecs mais là, je suis sûre quelle va vouloir la tienne, mais il va y avoir de la concurrence et je vois que France ta déjà marqué pour être la première, tu vas devoir assurer, je te veux aussi mais la première, comme cest Marie qui invite ce soir, cest elle qui a lavantage de choisir qui elle veut. Tu sais comment ça marche nos soirées ?

— Non, cest la première fois que je viens.

— Je vais texpliquer, tu vois chacun son tour on invite des amis, ce nest pas toujours les mêmes et ici je ne connais pas tout le monde, cest ce quil y a de bien. Ce sont les femmes qui choisissent leur ou leurs amants du soir, filles ou garçons ou les deux, la première à pouvoir choisir cest Lhôtesse et chacune des femmes dans lordre darrivé à la soirée, peut poser un choix sur un mec ou une femme, Marie, qui est à côté de France sait quelle a choisi France comme fille et France te montre quelle te veut, donc tu auras les deux, mais si Marie ne veut pas coucher avec toi, tu dois la laisser tranquille et ne toccuper que de France. Moi je te veux aussi et passe en second si tu me veux et Jacqueline te veux aussi cest donc que tu auras au moins quatre femmes, tu es gâté pour ta première soirée. Si toi tu veux une femme il faut que ce soit elle qui vienne à toi, tu ne peux pas choisir mais tu peux la refuser, ça ne se fait pas mais cest possible.

— Je ne sais pas mais quatre ça fait beaucoup non ? Et on fait ça où ici par terre ?

— Non, tu vas voir Marie va se lever et prendre France par la main, tu vas les suivre et moi et Jacqueline te suivrons, lappartement à côté est à Marie et il est aménagé pour ça, ce nest pas toujours le même qui invite, mais on se retrouve toujours ici, cest Marie qui organise les soirées et cest celui qui invite qui paye, ce soir cest elle qui invite et la soirée est en ton Honneur, donc tu as lavantage de pouvoir refuser davoir un autre mec avec toi et les filles mais apparemment, les filles nont pas choisi dautre mec, donc tu seras seul avec nous dans la chambre. Un autre truc quil faut que tu saches, tu peux refuser lhomosexualité si tu ne veux pas, Gérard, le Mari de Marie, est bi et les autres je ne sais pas je ne les connais pas.

Le repas est fini, Marie se lève et prend la main de France, celle-ci me regarde et me fait signe de la suivre, les deux autres filles nous emboîtent le pas et nous allons dans lautre appartement.

Elles entrent dans une grande chambre où seul un immense tapis très épais, un mini bar et une commode la meublent, la lumière est tamisée et une musique douce est diffusée par deux petits haut-parleurs fixés dans le mur.

Une salle de bain sans porte est attenante à la chambre et chose étrange une poire de douche est au plafond et cest toute la pièce qui sert de bac à douche, jai déjà vu ça en Bulgarie. (Tiens il faudra un jour que je vous raconte mon séjour en Bulgarie)

France vient vers moi et me déshabille, les autres femmes se déshabillent et Marie déshabille France.

Je ne sais trop que faire il faut dire, Ingrid et Jacqueline sembrassent sur la bouche et sallongent sur le tapis.

Marie regarde mon sexe qui prend des dimensions de jour de Fête.

— Mon dieu cest quoi ça, dit donc si javais su je taurais invité avant, tu auras du succès ici. Ingrid ta expliqué. Fais ce que tu veux maintenant quon est dans la chambre cest toi le mâle et tu fais lamour avec qui tu veux, si les filles sont là cest quelles veulent faire lamour avec toi, à toi de choisir la première ou les premières, je ne fais jamais lamour avec les autres hommes mais comme tu es mon invité et que le repas est en ton honneur, je ne peux pas te refuser et jai envie de toi en plus.

Le temps des discours et terminé passons à laction, je la prends dans mes bras et lui prends la bouche, je prends un sein de France dans ma main et les fais sallonger sur le tapis, les deux autres filles sont déjà en train de gémir à côté de nous se mangeant la chatte mutuellement.

Ça me file un gaule pas possible Marie est très belle et France est magnifique.

Jembrasse Marie sur la bouche nos langues se cherchent et nos salives se mélangent, je lui titille le bout des seins, quelle a bien fermes et en pommes.

France a mon sexe en bouche et me fait une pipe dexperte, je descends sur le ventre de Marie qui est maintenant la tête entre les cuisses de France et lui savoure sa vulve rasée, jouvre la vulve de Marie de mes doigts et lui titille son clitoris de la langue, elle sent adorablement bon, jenfonce ma langue dans son antre juteux, la pièce est emplie de gémissements et de bruits de doigts dans la mouille, cest étrange comme atmosphère, très érotique mais aussi très lubrique, lamour organisé, prévu, voulu, la sensation de pouvoir tout faire ou presque à ses femelles en chaleur me rend comme sur un nuage, quatre femmes pour moi tout seul, quatre bouches, quatre chattes et jespère quatre anus, je vois rouge, jen ai mal à la bite France et Marie sont en 69 Marie au-dessus.

Je suis derrière Marie et présente mon sexe devant son abricot que France dévore de sa langue, les deux autres filles sont venues nous rejoindre et cest Ingrid qui prend ma verge et en dirige le gland dans la vulve de Marie.

France me lèche le gland au passage avec sa langue et jentre dans cette vulve débordante de salive et de cyprine. Elle est étroite et je la sens se contracter pendant que jentre en elle, je ressors et pousse en un seul coup toute ma verge en elle.

Elle sest cabrée, droite sur ses bras, elle pousse un Ho ! de stupeur et vient à la rencontre de mon pubis, je touche le fond de son utérus, France continue à lui titiller le clito et me donne de temps en temps des coups de langue sur les couilles, je sais ne pas jouir avant longtemps je bande trop, alors je ne plains pas mes coups de reins et fais crier Marie de plaisir.

— oui, oui.

Cest tout ce quelle dit et part dun seul coup dans un soupir de jouissance se couchant complètement sur France et faisant sortir ma queue de son con, qui coule son jus à gros bouillons dans la bouche de France.

Celle ci a mis Marie sur le dos et lui mange la moule, me tendant son joli cul, son abricot bien dilaté et ouvert me dit viens et jy vais de bon cur, baiser une telle beauté ça va être sanglant.

Elle est large et profonde, rien à voir avec la chatte de Marie qui, elle, est étroite et peu profonde car à chaque fois je butai sur son utérus, France a lhabitude de prendre de la grosse queue et ça se voit, mais elle monte dans le plaisir aussi rapidement que Marie et elle aussi jouit dans un cri. Je commence à fatiguer même si je nai pas joui, je viens den limer deux, coup sur coup.

Je suis sur le dos mon pieu bandé, Ingrid me chevauche et prenant ma verge sempale dessus mais elle a énormément de mal, elle est encore plus étroite que Marie.

Elle me regarde dans les yeux, tout en grimaçant et senfonçant le pieu en elle.

— Tu mexcuses mais je ne sais pas, lexcitation, jai du mal, pourtant je suis mouillée comme pas possible, cest vrai que je ne prends pas beaucoup de queue, mais en principe ça rentre bien. Tu es gros quand même on dirait que jai une barre de fer dans le ventre.

Elle est maintenant empalée dessus et ne bouge plus, je la sens palpiter autour de ma tige elle se masturbe lentement le clitoris et entame une lente montée, quand elle est presque à faire sortir ma verge de son con, elle se laisse tomber dun seul coup et fait ça un bon moment et chaque fois quelle se laisse tomber, je donne un coup de rein ce qui fait que je la défonce à chaque fois.

Sa tête en arrière elle ahane à chaque coup de pieu en elle, se défonçant la chatte.

— oui, oui, baise-moi, baise-moi à fond, tu mexploses la chatte, cest bon vas au fond, au fond.

Elle vient de retomber pour la dernière fois et gueule quelle jouit en saffalant sur mon torse.

— Putain mais comment tu fais tu jouis jamais toi, je voulais te faire jouir dans ma chatte.

— Là jai du mal à jouir je suis trop excité, tu as vu la taille du machin, il faut que je me calme sinon jaurais mal aux couilles pendant trois jours.

Cest Jacqueline qui se mettant sur le dos me dit

— Viens te calmer avec moi, vas-y comme tu veux, je sais que je vais jouir, ne te retiens pas vide toi dans mon ventre jadore ça et prends le temps quil te faut à ton rythme.

Elle pose ses pieds sur mes épaules et guide mon gland dans sa fente, celle-là est exquise, lubrifiée à point, ni large ni étroite, une chatte de compétition, la formule un de la moule, le con de course, la maîtresse chatte ou la chatte de maîtresse, létui idéal pour nimporte quel chibre, celui qui sadapte, se fait caresse et finesse te lubrifie le gland quand ça rentre et te lessore quand ça sort, te moulant la queue comme te moulerais un pot de crème fraîche, quand tu rentres cest le bonheur, quand tu sors cest sublime, la chatte qui te fait languir dentrer et quand tu es au fond de ressortir pour y retourner. Et la dame à qui elle appartient, qui de sa voix suave.

— Vas-y mon chéri, prends ton pied, je suis une pute, prends ton pied dans mon con de pute, lime ta salope, fais moi jouir, je suis une cochonne, jaime ta queue, putain tu es plus gros quun âne salaud, jaime ton gros chibre, tu me fais jouir connard arrête, tu me fais jouir, arrête, non, non, continue, oui, continue, jai jamais joui avec un chibre, je jouis.

Les trois autres filles nous regardent estomaquées et perplexes, elles ont arrêté toute activité et me regardent la limer et moi ça monte et lautre se tortille, me demandant darrêter mais je ne peux plus, je suis au point de non retour et jexplose dans sa chatte et elle gueule et me griffe le dos de ses ongles et continue un long moment à gueuler, quelle jouit.

Je suis mort épuisé mais reste en elle car elle me retient ses ongles plantés dans ma chair, jai mal mais je nose pas bouger de peur quelle marrache le dos, déjà que je sens quelle a fait du boulot car ça me cuit grave.

— Sale enculé ! tu mas faite jouir, jai jamais joui avec un chibre comme tu viens de me faire jouir, tu las fait exprès de me bourrer en dernier enfoiré. Putain que tu es bon, jen veux encore.

— Je te connais même pas, cest toi qui ma dit de te fourrer, si tu voulais pas jouir il ne fallait pas venir ma puce, je dois te dire que ta chatte est super bonne.

— Jai du mal à jouir, mis à part avec les filles, tu rigoles je veux ton chibre encore, fais moi encore jouir je te promets une surprise.

vous voulez la suite ?

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