Je m’appelle Lily et j’ai 20 ans. J’ai perdu ma virginité il y a quelques temps, avec mon beau-père. Je vais vous en faire le récit.
Je vivais chez ma mère et son petit copain en attendant de me trouver un loyer pas trop cher avec mon amie Christelle. Le petit ami de ma mère, Charles, était un homme dans la fin trentaine et était, je dois le dire, assez beau. Ses cheveux noirs contrastaient avec les miens, blond pâle. Il s’entraînait à la gym régulièrement, ce qui lui procurait une bonne carrure et des bras musclés. Pour finir, il avait une odeur complètement enivrante! Je me rendais même en cachette dans leur chambre pour sentir ses chandails tant j’adorais ce parfum.
Donc, je dois avouer que j’étais attirée par cet homme. Je refusais évidemment de me l’avouer, car je trouvais impensable de tomber amoureuse du petit ami de ma mère! Et je me disais que c’était inutile, car il ne s’intéresserait jamais à moi. Un soir, pourtant, tout changea. Ma mère était partie à Toronto pendant une semaine à cause d’un voyage d’affaires. J’étais donc seule avec Charles à la maison. Nous regardions la télé, mais il ne semblait y avoir rien de bon. Mon beau-père changeait de chaînes depuis quelques minutes et tomba sur une émission pornographique. Gênée, je détournai le regard en voyant deux filles s’embrasser et attendit qu’il zappe, mais les gémissements ne se taisaient pas et je voyais le regard de Charles s’intensifier. Il ne me regarda même pas et fixait l’écran où un homme s’était maintenant joint aux deux jeunes filles. Je risquai un il sur la télé et je dois avouer que cela m’excita de voir une des filles se faire enculer tout en léchant la chatte de l’autre. Je m’installais donc pour mieux voir et je sentis le regard de mon beau-père sur moi. Il me fixait en affichant un rictus amusé.
— Alors, t’aimes ce genre de truc?
Me demanda-t-il le plus naturellement du monde. Je balbutiais quelque chose d’incompréhensible et redirigeais mon regard sur le plancher, terriblement gênée.
— Mais non, tu n’as pas à avoir honte. Personnellement, j’adore regarder de la pornographie…
Je le regardais avec étonnement et il termina sa phrase:
— … Mais je préfère la réalité.
Cela me frappa, d’autant plus qu’il me regardait avec envie.
— Dis-moi, as-tu déjà baisé?
Je hochais négativement la tête.
— Aimerais-tu cela?
Embarrassée, je murmurai un léger «Oui…», à peine audible. Mais il sembla qu’il m’ait entendue car il se leva de son fauteuil et vint s’asseoir à côté de moi. Il glissa sa main dans mon dos et, tout en le caressant, me murmura à l’oreille:
— Alors, je peux te faire un cadeau… À condition que cela reste entre nous.
Je le regardai dans les yeux, hésitante. Puis, j’acceptais son offre. Il sourit et me désigna la télé, où l’homme prenait une jeune fille en missionnaire, les deux jambes de sa partenaire appuyées sur ses épaules et sa bite profondément enfoncée dans sa chatte.
— Ça te dirait de faire ça?
— O… Oui…
Il me caressait maintenant les seins. Il se leva et baissa ses pantalons, découvrant une bite qui me semblait monstrueusement grosse.
— Avant, tu devras me faire bander, m’annonça-t-il.
Je me levai et me mit à genoux devant lui. Je pris son immense queue dans mes mains et la glissai dans ma bouche, commençant de lents va-et-vient. Il semblait apprécier, car je l’entendais grogner de contentement. Je sentais sa bite durcir dans ma bouche et j’avais du mal à l’enfoncer complètement, tant elle était longue et volumineuse. Puis, je me levai en caressant ses fesses musclées et l’embrassai fougueusement. Il glissait ses mains partout sur mon corps et s’attarda sur ma chatte mouillée. Lentement, il y enfonça un doigt et le fit tournoyer à l’intérieur de moi. J’adorais ça! Je commençais à être très excitée. Il sortit son doigt de mon minou et posa ses mains sur mes épaules, poussant vers le bas pour que je me couche. Je m’étendis donc sur le dos et il hissa mes jambes sur ses épaules, comme à la télé. J’appréhendais la suite, car je savais que le dépucelage était douloureux. Sans m’avertir, il posa son gland à l’entrée de mon vagin et commença à pousser. Je n’eus d’abord pas trop de douleurs mais il donna un coup sec pour s’enfoncer complètement, m’arrachant un cri perçant. Des larmes coulaient sur mes joues pendant qu’il faisait des va-et-vient à l’intérieur de moi, de plus en plus rapides. Progressivement, la douleur fit place à l’excitation et mes pleurs dévirent des gémissements de plaisir. Charles, tout en me baisant sauvagement, regardait l’émission porno avec une attention qui me rendit presque jalouse. Quand la jeune fille se mit à quatre pattes et que l’homme la prit par derrière, il m’empoigna par le bassin et me retourna brusquement. Il me prit en levrette et c’est en voyant la télé que je comprit qu’il voulait reproduire la mise en scène. Cela m’excita d’avantage et je commençais à pousser de petits cris saccadés au rythme de ses va-et-vient exagérément rapides et puissants. Ses couilles frappaient violemment mon entrecuisse que je sentais rougi par les coups. J’étais hors de moi, je hurlais désormais et je haletais bruyamment. Tout à coup, il se retira de ma chatte alors que je sentais un premier orgasme venir en moi. Déçue, je compris alors son geste quand je vis à l’écran que l’homme était sur le point de sodomiser la jeune fille! Paniquée, je tentais de me lever en protestant mais il me retint de ses bras forts. L’idée d’avoir cette énorme queue gonflée de sang et de sperme à l’intérieur de mon petit trou me terrorisait. Pourtant, quand je vis à la télé le visage excité de la fille tandis que son partenaire la prenait dans le cul, je voulus savoir ce qu’elle ressentait. Résignée, je me soumet donc à Charles, qui sembla surpris, mais satisfait. Il enfonça d’abord un doigt dans mon anus, puis deux. Je n’avais pas trop mal, mais ça chauffait légèrement. Il tendit ensuite sa bite et je retins mon souffle tandis qu’il l’appuyait sur ma rondelle. Me prenant par les hanches, il poussa et réussit à pénétrer mon anus de quelques millimètres, m’arrachant alors le cri le plus puissant que je n’avais jamais poussé. La douleur me traversa tout le corps dans une décharge monstrueuse. Je hurlais et pleurais tandis que mon beau-père me pénétrait de plus en plus profondément. Au bout de quelques minutes, je sentis ses couilles contre ma chatte. Il était complètement entré dans mon cul le salaud ! Malgré la durée et la lenteur du processus, j’avais toujours intensément mal et je ne voulais qu’une chose: qu’il retire son immense queue de mon pauvre anus. Je pleurais toujours et le suppliais d’arrêter, mais il tenta plutôt de me rassurer.
— Tu verras, ça va passer… c’est normal que tu aies mal… laisse-moi faire, tu es si bonne…
Malgré la douleur aigüe que je ressentais toujours, je me laissais bercer par sa voix rassurante et acceptais de le laisser faire. Il commença à onduler son bassin et je sentis sa queue bouger en moi. Il la coulissa lentement dans mon anus et, voyant que je ne me plaignais pas, entreprit d’accélérer la cadence. J’avais de moins en moins mal et je me surpris même à gémir de plaisir alors qu’il allait et venais dans mon cul de plus en plus vite. Ses couilles recommencèrent à heurter mon entrejambes. Il gémissait, lui aussi, en murmurant des bribes de phrases que j’avais du mal à comprendre.
— A… Ah oui… T’es bonne, j’aime ça… Oui c’est bon… C’est bon…
Puis, ses gémissements s’accentuèrent, se transformant en cris. Il allait encore plus vite, serrant les dents et s’agrippant de plus en plus fort à mes hanches. Je n’en pouvais plus, un orgasme montait de nouveau en moi, et je compris que lui aussi.
— Je… je vais jouir Lily… Je vais tout décharger dans ton beau p’tit cul!
Hurla-t-il en me défonçant comme un possédé. Puis, il poussa une longue plainte en cessant de bouger, tous ses membres tendus, et je sentis un liquide chaud envahir mes entrailles. En même temps, j’eus moi aussi un orgasme fulgurant. Nous restâmes sans bouger quelques secondes, puis il retira sa queue de mon cul débordant de foutre. Le liquide blanc coula par terre et je m’effondrai sur le sol, épuisée. Une douleur cuisante tenaillait mon trou de cul. Charles était debout à côté de moi et m’admirait.
Ça y est, j’avais perdu ma virginité. La semaine qui suivit fut tout aussi excitante, car Charles profita de l’absence de ma mère pour me faire découvrir tous les plaisirs sexuels… Mais je vous raconterai tout cela plus tard !